Tableaux de l'économie française Édition 2017
Les Tableaux de l'économie française s'adressent à tous ceux qui souhaitent disposer d'un aperçu rapide et actuel sur la situation économique, démographique et sociale de la France.
Consommation des ménages
Insee Références
Paru le :02/03/2017
Présentation
En 2015, en volume, la dépense de consommation finale des ménages augmente plus fortement qu’en 2014 (+ 1,5 %, après + 0,7 %). Elle contribue pour 0,8 point à la croissance du produit intérieur brut. Toutefois, son rythme d’évolution reste encore inférieur à celui d’avant-crise. La consommation effective des ménages , qui inclut en outre les dépenses directement financées par la collectivité, progresse un peu plus vite que la dépense de consommation des ménages en 2015. En effet, la dépense de consommation individualisable des administrations publiques (+ 1,6 %) et celle des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) (+ 2,2 %) sont un peu plus dynamiques.
En valeur, le revenu disponible brut des ménages s’accroît à un rythme plus soutenu qu’en 2014. Cette évolution intervient dans un contexte de reflux des prix. En conséquence, après déjà un rebond en 2014, le pouvoir d’achat accélère nettement. C’est d’ailleurs sa plus forte hausse depuis 2009. Comme le pouvoir d’achat de l’ensemble des revenus perçus par les ménages, le revenu moyen par unité de consommation est en nette croissance, après être resté stable en 2014. Le pouvoir d’achat du revenu arbitrable individuel accélère également car les dépenses « pré-engagées » , qui viennent en déduction du revenu disponible, augmentent moins vite que les autres dépenses. Cette moindre hausse est due à la baisse des prix des dépenses énergétiques dans les logements et au repli de la consommation en assurances et services financiers.
Les achats d’automobiles, neuves ou d’occasion, contribuent le plus à la hausse de la dépense en 2015 ; ils rebondissent nettement, après plusieurs années de forte baisse. Comme en 2014, les voitures à essence soutiennent le marché du neuf : leur nombre d’immatriculations s’accroît fortement alors que le recul s’intensifie pour les voitures diesel qui deviennent minoritaires. Les ménages privilégient toujours les petites voitures économes bien que la part de ces dernières diminue. Les dépenses liées au logement se redressent du fait de la hausse du budget chauffage, après une année 2014 particulièrement douce. La consommation alimentaire accélère.
En 2015, la dépense de consommation en biens et services de l’économie de l’information continue de diminuer en valeur : la baisse marquée et ininterrompue des prix se poursuit et la dépense en volume décélère nettement. Marqué par le recul des achats de tablettes, le marché des équipements informatiques se stabilise. La consommation de produits de l’électronique grand public reflue à nouveau sous l’effet du ralentissement des ventes de téléviseurs et de consoles de jeux. Les services de télécommunications se contractent pour la première fois. En revanche, le marché des téléphones mobiles demeure extrêmement dynamique.
Tableaux et graphiques
tableauConsommation des ménages par fonction
Consommation en milliards d'euros | Variation annuelle en volume en % | Poids dans la valeur de la consommation effective en % | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
2015 | 2013 (r) | 2014 (r) | 2015 | 2005 | 2015 | |
Alimentation et boissons non alcoolisées | 154,9 | 1,2 | 0,7 | 1,1 | 9,9 | 10,1 |
Produits alimentaires | 141,5 | 1,2 | 0,6 | 0,9 | 9,2 | 9,2 |
dont : pain et céréales | 25,0 | 1,8 | 0,7 | 2,0 | 1,5 | 1,6 |
viandes | 36,9 | -0,1 | -0,9 | -1,2 | 2,5 | 2,4 |
poissons et fruits de mer | 8,5 | -1,3 | -1,3 | -0,7 | 0,6 | 0,6 |
lait, fromages et oeufs | 20,6 | 1,5 | 0,3 | 1,2 | 1,3 | 1,3 |
fruits et légumes | 29,5 | 2,9 | 2,6 | 1,3 | 1,9 | 1,9 |
Boissons non alcoolisées | 13,5 | 1,1 | 0,9 | 4,0 | 0,8 | 0,9 |
Boissons alcoolisées et tabac | 41,1 | -2,9 | -2,9 | 1,3 | 2,6 | 2,7 |
Boissons alcoolisées | 20,7 | 0,2 | -1,1 | 1,2 | 1,3 | 1,3 |
Tabac | 20,5 | -5,8 | -4,6 | 1,4 | 1,3 | 1,3 |
Articles d'habillement et chaussures | 45,0 | -0,8 | 0,2 | 1,2 | 3,7 | 2,9 |
Logement, chauffage, éclairage | 306,9 | 0,9 | -1,4 | 1,3 | 18,6 | 19,9 |
dont : location de logement | 223,1 | 1,0 | 1,1 | 1,3 | 13,6 | 14,5 |
chauffage, éclairage | 48,7 | 1,8 | -12,5 | 3,1 | 2,9 | 3,2 |
Équipement du logement | 57,3 | -1,6 | 0,6 | 0,9 | 4,2 | 3,7 |
Santé | 49,0 | 1,7 | 1,6 | 2,5 | 3,0 | 3,2 |
Transport | 152,1 | -2,0 | 0,4 | 2,3 | 10,8 | 9,9 |
dont : achats de véhicules | 38,8 | -8,0 | 0,4 | 5,8 | 3,1 | 2,5 |
carburants, lubrifiants | 34,2 | -1,4 | 0,4 | 0,9 | 2,7 | 2,2 |
services de transports | 27,7 | 1,2 | 0,7 | 2,0 | 1,6 | 1,8 |
Communications | 30,5 | 14,5 | 6,7 | 3,7 | 2,5 | 2,0 |
Loisirs et culture | 97,1 | -1,6 | 1,1 | 1,3 | 7,4 | 6,3 |
Éducation | 10,8 | 4,3 | 0,5 | 1,9 | 0,6 | 0,7 |
Hôtels, cafés et restaurants | 79,1 | -1,2 | 0,6 | 1,8 | 5,0 | 5,1 |
Autres biens et services | 137,8 | 1,8 | 2,2 | 0,5 | 9,0 | 8,9 |
dont : soins personnels | 30,0 | 0,4 | 1,8 | 1,7 | 1,9 | 2,0 |
assurances | 45,4 | 4,1 | 1,2 | -0,6 | 2,8 | 2,9 |
Correction territoriale | -5,7 | -4,9 | -35,1 | -11,3 | -0,8 | -0,4 |
Dépense de consommation des ISBLSM1 | 45,6 | 1,0 | 1,8 | 2,2 | 2,6 | 3,0 |
Dépense de consommation des APU2 | 339,2 | 1,4 | 1,8 | 1,6 | 21,0 | 22,0 |
dont : santé | 154,7 | 2,5 | 3,5 | 2,6 | 9,5 | 10,0 |
éducation | 95,1 | 0,4 | 1,0 | 0,8 | 6,3 | 6,2 |
Consommation effective des ménages | 1 540,7 | 0,7 | 0,9 | 1,6 | 100,0 | 100,0 |
- r : données révisées.
- 1. Institutions sans but lucratif au service des ménages.
- 2. Dépenses de consommation des administrations publiques en biens et services individualisables.
- Source : Insee, comptes nationaux - base 2010.
tableauDépense de consommation des ménages par fonction de consommation dans quelques pays de l'UE en 2014
Allemagne | Espagne | France | Italie | Royaume-Uni | |
---|---|---|---|---|---|
Produits alimentaires et boissons non alcoolisées | 10,2 | 13,0 | 13,3 | 14,2 | 8,6 |
Boissons alcoolisées, tabac et narcotiques | 3,3 | 4,0 | 3,5 | 4,2 | 4,0 |
Articles d'habillement et articles chaussants | 4,9 | 4,4 | 3,9 | 6,1 | 5,7 |
Logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles | 24,3 | 23,8 | 26,3 | 24,4 | 24,3 |
Ameublement, équipement ménager et entretien courant de la maison | 6,7 | 4,1 | 5,0 | 6,1 | 4,7 |
Santé | 5,4 | 4,2 | 4,2 | 3,3 | 1,8 |
Transports | 14,2 | 11,5 | 13,1 | 12,0 | 14,1 |
Communications | 2,7 | 2,6 | 2,6 | 2,3 | 2,0 |
Loisirs et culture | 9,5 | 6,8 | 8,4 | 6,6 | 10,0 |
Enseignement | 0,8 | 1,8 | 0,9 | 1,0 | 1,8 |
Restaurants et hôtels | 5,3 | 14,5 | 6,7 | 9,7 | 9,6 |
Autres biens et services | 12,8 | 9,3 | 12,1 | 10,0 | 13,3 |
Total | 100,0 | 100,0 | 100,0 | 100,0 | 100,0 |
- Source : Eurostat.
tableauÉvolution du revenu disponible et du pouvoir d’achat des ménages
Revenu disponible brut | Pouvoir d'achat du revenu disponible brut¹ | |
---|---|---|
2008 | 3,1 | 0,3 |
2009 | 0,1 | 1,6 |
2010 | 2,4 | 1,2 |
2011 | 2,0 | 0,2 |
2012 | 0,5 | -0,9 |
2013 | 0,3 | -0,4 |
2014 | 0,8 | 0,7 |
2015 | 1,4 | 1,6 |
- 1. Évolution déflatée à l'aide de l'indice du prix des dépenses de consommation finale des ménages.
- Source : Insee, comptes nationaux - base 2010.
graphiqueÉvolution du revenu disponible et du pouvoir d’achat des ménages

- 1. Évolution déflatée à l'aide de l'indice du prix des dépenses de consommation finale des ménages.
- Source : Insee, comptes nationaux - base 2010.
Définitions
Dépense de consommation finale des ménages : recouvre les dépenses effectivement réalisées par les ménages résidents pour acquérir des biens et des services destinés à la satisfaction de leurs besoins. Les produits correspondants ne sont pas stockés, mais considérés comme consommés au moment de leur achat, même s'ils sont durables (voitures, électroménagers, meubles, etc.). La dépense de consommation finale des ménages inclut la part des dépenses de santé, d'éducation, de logement, restant à leur charge, après remboursements éventuels. Elle inclut également les loyers imputés qui sont représentatifs des services de logement produits par les propriétaires qui occupent leur propre logement.
Consommation effective des ménages : elle inclut tous les biens et les services acquis par les ménages résidents pour la satisfaction de leurs besoins, que ces acquisitions aient fait, ou non, l'objet d'une dépense de leur part. La consommation effective des ménages comprend donc, en plus des biens et des services acquis par leurs propres dépenses de consommation finale, les biens et les services qui, ayant fait l'objet de dépenses de consommation individuelle des administrations publiques ou des ISBLSM, donnent lieu à des transferts sociaux en nature de leur part vers les ménages.
Dépense de consommation individualisable : consommation bénéficiant directement aux ménages tout en étant prise en charge par la collectivité. C’est le cas en particulier de dépenses pour l’éducation, la santé, l’action sociale et le logement.
Institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) : ensemble des unités privées dotées de la personnalité juridique qui produisent des biens et services non marchands au profit des ménages. Leurs ressources principales proviennent de contributions volontaires en espèces ou en nature effectuées par les ménages en leur qualité de consommateurs, de versements provenant des administrations publiques, ainsi que de revenus de la propriété.
Revenu disponible brut des ménages (RDB) : au sens de la comptabilité nationale, revenu résultant de la répartition de la valeur ajoutée, de la distribution des revenus de la propriété et des opérations de redistribution. Plus concrètement, le revenu disponible brut (RDB) est la part de revenu qui reste à disposition des ménages pour la consommation et l’épargne une fois déduits les prélèvements sociaux et fiscaux. Le RDB comprend les revenus d’activités (salaires et traitements bruts des ménages, augmentés des bénéfices des entrepreneurs individuels), les revenus du patrimoine hors plus values latentes ou réalisées (dividendes, intérêts et loyers), les transferts (notamment les indemnités d’assurance nettes des primes) et les prestations sociales (allocations familiales, minima sociaux, pensions de retraite, indemnités de chômage…). Le RDB est diminué des impôts directs (impôts sur le revenu, taxe d’habitation, CSG, CRDS…) et des cotisations sociales versées. En revanche, les droits de succession ne figurent pas dans ce décompte. Dans l’Enquête revenus fiscaux et sociaux (ERFS), le revenu disponible comprend les revenus déclarés au fisc (revenus d’activité, retraites et pensions, indemnités de chômage et certains revenus du patrimoine), les revenus financiers non déclarés et imputés (produits d’assurance-vie, livrets exonérés, PEA, PEP, CEL, PEL) et la plupart des prestations sociales (hors certains régimes employeurs). Tous ces revenus sont nets d’impôts directs. Il est proche du concept de RDB au sens de la comptabilité nationale, mais son champ est un peu moins étendu, aussi bien au niveau des composantes du revenu (loyers imputés aux propriétaires occupants en particulier) que de la population couverte (personnes vivant en collectivités).
Pouvoir d’achat : quantité de biens et de services que l’on peut acheter avec le revenu disponible brut (RDB). Son évolution est liée à celles des prix et des revenus. Ainsi, si les prix augmentent quand les revenus sont constants, le pouvoir d’achat diminue, alors que si la hausse des revenus est supérieure à celle des prix, le pouvoir d’achat augmente.
Revenu arbitrable : obtenu après déduction des dépenses pré-engagées du revenu disponible.
Dépenses pré-engagées : ensemble des dépenses des ménages réalisées dans le cadre d'un contrat difficilement renégociable à court terme. Elles sont définies comme suit : dépenses liées au logement (y compris, dans le cas de la comptabilité nationale, les loyers imputés), ainsi que celles relatives à l'eau, au gaz, à l'électricité et aux autres combustibles utilisés dans les habitations ; services de télécommunications ; frais de cantine ; services de télévision (redevance télévisuelle, abonnements à des chaînes payantes) ; assurances (hors assurance-vie) ; services financiers (y compris, dans le cas de la comptabilité nationale, les services d'intermédiation financière indirectement mesurés).
Dépense de consommation des ménages en logement : inclut les loyers versés par les locataires (aides au logement déduites) mais également les loyers imputés, que les propriétaires auraient à payer s’ils étaient locataires du logement qu’ils habitent.
Pour en savoir plus
Définitions
Dépense de consommation finale des ménages : recouvre les dépenses effectivement réalisées par les ménages résidents pour acquérir des biens et des services destinés à la satisfaction de leurs besoins. Les produits correspondants ne sont pas stockés, mais considérés comme consommés au moment de leur achat, même s'ils sont durables (voitures, électroménagers, meubles, etc.). La dépense de consommation finale des ménages inclut la part des dépenses de santé, d'éducation, de logement, restant à leur charge, après remboursements éventuels. Elle inclut également les loyers imputés qui sont représentatifs des services de logement produits par les propriétaires qui occupent leur propre logement.
Consommation effective des ménages : elle inclut tous les biens et les services acquis par les ménages résidents pour la satisfaction de leurs besoins, que ces acquisitions aient fait, ou non, l'objet d'une dépense de leur part. La consommation effective des ménages comprend donc, en plus des biens et des services acquis par leurs propres dépenses de consommation finale, les biens et les services qui, ayant fait l'objet de dépenses de consommation individuelle des administrations publiques ou des ISBLSM, donnent lieu à des transferts sociaux en nature de leur part vers les ménages.
Dépense de consommation individualisable : consommation bénéficiant directement aux ménages tout en étant prise en charge par la collectivité. C’est le cas en particulier de dépenses pour l’éducation, la santé, l’action sociale et le logement.
Institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) : ensemble des unités privées dotées de la personnalité juridique qui produisent des biens et services non marchands au profit des ménages. Leurs ressources principales proviennent de contributions volontaires en espèces ou en nature effectuées par les ménages en leur qualité de consommateurs, de versements provenant des administrations publiques, ainsi que de revenus de la propriété.
Revenu disponible brut des ménages (RDB) : au sens de la comptabilité nationale, revenu résultant de la répartition de la valeur ajoutée, de la distribution des revenus de la propriété et des opérations de redistribution. Plus concrètement, le revenu disponible brut (RDB) est la part de revenu qui reste à disposition des ménages pour la consommation et l’épargne une fois déduits les prélèvements sociaux et fiscaux. Le RDB comprend les revenus d’activités (salaires et traitements bruts des ménages, augmentés des bénéfices des entrepreneurs individuels), les revenus du patrimoine hors plus values latentes ou réalisées (dividendes, intérêts et loyers), les transferts (notamment les indemnités d’assurance nettes des primes) et les prestations sociales (allocations familiales, minima sociaux, pensions de retraite, indemnités de chômage…). Le RDB est diminué des impôts directs (impôts sur le revenu, taxe d’habitation, CSG, CRDS…) et des cotisations sociales versées. En revanche, les droits de succession ne figurent pas dans ce décompte. Dans l’Enquête revenus fiscaux et sociaux (ERFS), le revenu disponible comprend les revenus déclarés au fisc (revenus d’activité, retraites et pensions, indemnités de chômage et certains revenus du patrimoine), les revenus financiers non déclarés et imputés (produits d’assurance-vie, livrets exonérés, PEA, PEP, CEL, PEL) et la plupart des prestations sociales (hors certains régimes employeurs). Tous ces revenus sont nets d’impôts directs. Il est proche du concept de RDB au sens de la comptabilité nationale, mais son champ est un peu moins étendu, aussi bien au niveau des composantes du revenu (loyers imputés aux propriétaires occupants en particulier) que de la population couverte (personnes vivant en collectivités).
Pouvoir d’achat : quantité de biens et de services que l’on peut acheter avec le revenu disponible brut (RDB). Son évolution est liée à celles des prix et des revenus. Ainsi, si les prix augmentent quand les revenus sont constants, le pouvoir d’achat diminue, alors que si la hausse des revenus est supérieure à celle des prix, le pouvoir d’achat augmente.
Revenu arbitrable : obtenu après déduction des dépenses pré-engagées du revenu disponible.
Dépenses pré-engagées : ensemble des dépenses des ménages réalisées dans le cadre d'un contrat difficilement renégociable à court terme. Elles sont définies comme suit : dépenses liées au logement (y compris, dans le cas de la comptabilité nationale, les loyers imputés), ainsi que celles relatives à l'eau, au gaz, à l'électricité et aux autres combustibles utilisés dans les habitations ; services de télécommunications ; frais de cantine ; services de télévision (redevance télévisuelle, abonnements à des chaînes payantes) ; assurances (hors assurance-vie) ; services financiers (y compris, dans le cas de la comptabilité nationale, les services d'intermédiation financière indirectement mesurés).
Dépense de consommation des ménages en logement : inclut les loyers versés par les locataires (aides au logement déduites) mais également les loyers imputés, que les propriétaires auraient à payer s’ils étaient locataires du logement qu’ils habitent.
Pour en savoir plus
Quiz Tableaux de l'économie française