Tableaux de l'économie française Édition 2020

Les Tableaux de l'économie française s'adressent à tous ceux qui souhaitent disposer d'un aperçu rapide et actuel sur la situation économique, démographique et sociale de la France.

Insee Références
Paru le :Paru le27/02/2020
Tableaux de l'Économie Française- Février 2020

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Sommaire

Principaux indicateurs économiques

Insee Références

Paru le :27/02/2020

Présentation

En 2018, l’activité mondiale reste solide. Certaines économies émergentes, notamment la Chine et le Mexique, décélèrent légèrement mais le ralentissement est beaucoup plus net en Turquie, où l’inflation progresse en lien avec la dépréciation de la livre. Dans les économies avancées, l’activité ralentit aussi un peu mais la croissance reste supérieure à celle de 2016. L’activité accélère de nouveau aux États‑Unis, portée par un fort rebond des dépenses gouvernementales et par les incitations fiscales qui ont soutenu l’investissement privé. Elle perd de l’élan au Japon où les événements sismiques et météorologiques ont pesé. Au Royaume‑Uni, l’activité s’essouffle aussi, dans un contexte d’attentisme lié à la perspective du Brexit qui pèse sur l’investissement britannique. Dans la zone euro, l’activité décélère également, après le pic de croissance de 2017. En conservant des taux d’intérêt bas, la politique monétaire de la Banque centrale européenne favorise l’investissement des entreprises et permet de maintenir le dynamisme des encours de crédit dans la zone euro. Au sein de la zone, les grands pays européens présentent des disparités.

En 2018, en France, l’activité décélère nettement : en volume, le s’accroît de 1,7 %, après + 2,3 % en 2017. Alors que le progresse de 2,7 % en valeur, leurs dépenses de consommation finale augmentent de 2,4 % en valeur. Leur croît pour s’établir à 14,2 % en 2018. Le du RDB ralentit (+ 1,2 %, après + 1,4 % en 2017). Les fléchissent nettement en volume (+ 0,9 %, après + 1,4 % en 2017). La consommation collective des décélère en volume (+ 0,9 %, après + 1,1 % en 2017). L’ des entreprises ralentit mais reste dynamique en 2018 (+ 3,8 % en volume, après + 4,7 % en 2017). Au total, l’investissement des entreprises et leur comportement de stockage contribuent à hauteur de + 0,2 point à la croissance du PIB, après + 0,8 point en 2017.

En 2018, les décélèrent plus modérément que les , si bien que la contribution des échanges extérieurs à la croissance du PIB en volume se redresse (+ 0,7 point après – 0,1 point).

Les dépenses de rémunération versées par les à leurs salariés augmentent de 3,8 % en valeur en 2018, soit un rythme plus rapide que celui de leur (+ 3,0 %). L’ ralentit ainsi nettement (+ 1,3 %, après + 3,2 % en 2017) et le diminue pour s’établir à 31,2 %. L’épargne des sociétés non financières est quasiment stable en 2018 (+ 0,3 %). Leur investissement continue de progresser à un rythme soutenu, proche de celui de 2017 (+ 5,1 %, après + 5,3 %). Leur diminue donc nettement en 2018 (– 4,4 points) pour s’établir à 93,4 %.

Tableaux et graphiques

Figure 1Produit intérieur brut selon 3 approches

en milliards d'euros
Produit intérieur brut selon 3 approches (en milliards d'euros)
2013 2014 2015 2016 (r) 2017 (r) 2018
Produit intérieur brut (approche production) 2 117,2 2 149,8 2 198,4 2 234,1 2 295,1 2 353,1
  Valeur ajoutée brute au prix de base 1 899,8 1 927,2 1 967,5 1 996,8 2 044,0 2 090,9
+ Impôts sur les produits 234,6 240,4 250,0 257,0 271,0 283,9
– Subventions sur les produits -17,3 -17,9 -19,1 -19,7 -20,0 -21,8
Produit intérieur brut (approche demande) 2 117,2 2 149,8 2 198,4 2 234,1 2 295,1 2 353,1
  Dépense de consommation finale 1 667,2 1 686,2 1 711,6 1 742,5 1 783,1 1 819,4
+ Formation brute de capital 471,9 488,2 499,3 505,1 536,3 551,9
+ Exportations de biens et de services 621,7 637,8 672,6 675,8 707,3 737,4
– Importations de biens et de services -643,6 -662,4 -685,0 -689,3 -731,6 -755,6
Produit intérieur brut (approche revenus) 2 117,2 2 149,8 2 198,4 2 234,1 2 295,1 2 353,1
  Rémunération des salariés 1 109,5 1 126,7 1 141,4 1 163,3 1 198,0 1 231,9
+ Excédent brut d'exploitation et revenu mixte brut 721,9 739,5 770,9 775,5 785,9 798,9
+ Impôts sur la production et les importations 330,8 339,1 350,6 359,7 376,4 393,0
– Subventions -45,0 -55,5 -64,4 -64,3 -65,3 -70,7
  • r : données révisées.
  • Note : en euros courants.
  • Source : Insee, comptes nationaux, base 2014.

Figure 2Principaux agrégats de la comptabilité nationale par habitant

en euros courants par habitant
Principaux agrégats de la comptabilité nationale par habitant (en euros courants par habitant)
2017 (r) 2018
Produit intérieur brut 34 223 34 978
Revenu disponible brut des ménages1 20 628 21 126
    Dépense de consom. individuelle des ménages 17 767 18 131
    Épargne brute des ménages 2 861 2 995
Capacité de financement des ménages 784 847
  • r : données révisées.
  • 1. Y c. entreprises individuelles.
  • Source : Insee, comptes nationaux, base 2014.

Figure 3Évolution du PIB de 1950 à 2018

par rapport à l'année précédente en volume en %
Évolution du PIB de 1950 à 2018 (par rapport à l'année précédente en volume en %)
Évolution du PIB
1950 8,6
1951 5,8
1952 3,1
1953 3,5
1954 5,6
1955 5,3
1956 5,0
1957 5,5
1958 2,7
1959 2,7
1960 8,0
1961 5,0
1962 6,8
1963 6,2
1964 6,7
1965 4,9
1966 5,3
1967 4,9
1968 4,5
1969 7,1
1970 6,1
1971 5,3
1972 4,5
1973 6,3
1974 4,3
1975 -1,0
1976 4,4
1977 3,5
1978 4,0
1979 3,6
1980 1,6
1981 1,1
1982 2,5
1983 1,2
1984 1,5
1985 1,6
1986 2,3
1987 2,6
1988 4,7
1989 4,3
1990 2,9
1991 1,0
1992 1,6
1993 -0,6
1994 2,4
1995 2,1
1996 1,4
1997 2,3
1998 3,6
1999 3,4
2000 3,9
2001 2,0
2002 1,1
2003 0,8
2004 2,8
2005 1,7
2006 2,4
2007 2,4
2008 0,3
2009 -2,9
2010 1,9
2011 2,2
2012 0,3
2013 0,6
2014 1,0
2015 1,1
2016 1,1
2017 2,3
2018 1,7
  • Source : Insee, comptes nationaux, base 2014.

Figure 3Évolution du PIB de 1950 à 2018

  • Source : Insee, comptes nationaux, base 2014.

Figure 4Taux de marge, d'investissement et d'autofinancement des sociétés non financières de 1950 à 2018

en % de la valeur ajoutée
Taux de marge, d'investissement et d'autofinancement des sociétés non financières de 1950 à 2018 (en % de la valeur ajoutée)
Taux de marge1 2 Taux d'autofinancement3
1950 33,7 27,1 82,8
1951 33,1 26,0 82,9
1952 30,3 24,8 72,2
1953 30,6 24,8 70,4
1954 29,6 23,1 73,5
1955 30,0 23,0 79,1
1956 29,6 23,3 74,3
1957 29,6 24,9 70,3
1958 29,9 25,1 68,4
1959 30,5 25,4 70,5
1960 31,6 24,6 78,2
1961 30,5 25,5 71,8
1962 28,9 26,0 66,7
1963 28,0 25,8 64,1
1964 28,3 25,3 66,8
1965 28,6 24,8 69,9
1966 28,9 25,0 71,3
1967 29,2 25,4 72,0
1968 28,3 24,4 69,2
1969 30,2 24,9 70,7
1970 30,4 24,2 68,5
1971 30,8 24,1 73,1
1972 30,1 24,4 70,2
1973 30,2 23,8 71,6
1974 29,4 23,9 59,8
1975 26,5 21,9 62,4
1976 26,1 21,9 59,7
1977 27,0 21,2 66,0
1978 26,0 21,0 66,3
1979 25,9 20,8 65,7
1980 25,2 22,1 58,7
1981 24,8 21,6 51,6
1982 24,8 21,7 51,7
1983 25,5 20,6 54,7
1984 27,1 20,0 65,2
1985 28,2 20,4 70,6
1986 31,6 20,3 91,0
1987 31,8 20,9 86,7
1988 33,5 21,5 95,6
1989 33,7 22,2 89,1
1990 33,0 22,8 82,9
1991 32,7 23,0 83,2
1992 32,6 21,8 91,4
1993 31,7 20,3 94,3
1994 31,9 20,1 98,0
1995 32,5 19,8 98,3
1996 31,6 20,1 99,6
1997 32,3 19,4 107,2
1998 33,4 19,9 112,8
1999 32,6 21,0 110,4
2000 32,6 21,9 98,7
2001 32,7 22,1 98,5
2002 32,1 21,1 98,7
2003 32,3 20,4 108,1
2004 32,4 20,6 104,6
2005 32,3 20,9 99,6
2006 32,5 21,5 93,2
2007 33,3 22,7 91,8
2008 33,0 23,4 79,5
2009 30,8 21,6 90,1
2010 31,4 22,1 93,7
2011 31,1 22,7 89,4
2012 30,3 22,7 83,6
2013 29,7 22,6 91,8
2014 30,3 22,8 91,7
2015 32,0 22,8 97,5
2016 31,7 23,2 97,4
2017 31,7 23,7 97,9
2018 31,2 24,1 93,4
  • 1. EBE / VA brute.
  • 2. FBCF / VA brute.
  • 3. Épargne brute / FBCF.
  • Champ : sociétés non financières hors entreprises individuelles.
  • Source : Insee, comptes nationaux, base 2014.

Figure 4Taux de marge, d'investissement et d'autofinancement des sociétés non financières de 1950 à 2018

  • 1. EBE / VA brute.
  • 2. FBCF / VA brute.
  • 3. Épargne brute / FBCF.
  • Champ : sociétés non financières hors entreprises individuelles.
  • Source : Insee, comptes nationaux, base 2014.

Figure 5PIB par habitant dans l'UE

en indice base 100 pour l'UE
PIB par habitant dans l'UE (en indice base 100 pour l'UE )
2017 (r) 2018
Allemagne 124 123
Autriche 127 127
Belgique 116 115
Bulgarie 49 50
Chypre 85 87
Croatie 62 63
Danemark 128 126
Espagne 92 91
Estonie 79 81
Finlande 109 110
France 104 104
Grèce 67 68
Hongrie 68 70
Irlande 181 187
Italie 96 95
Lettonie 67 70
Lituanie 78 81
Luxembourg 253 254
Malte 98 98
Pays-Bas 128 129
Pologne 70 71
Portugal 77 76
Rép. tchèque 89 90
Roumanie 63 64
Royaume-Uni 106 104
Slovaquie 76 78
Slovénie 85 87
Suède 121 121
UE 100 100
  • r : données révisées.
  • Note : les chiffres sont exprimés en standards de pouvoir d'achat (SPA), c'est-à-dire dans une monnaie commune qui élimine les différences de niveaux de prix entre les pays, permettant des comparaisons significatives. Cet indice est destiné aux comparaisons internationales plutôt qu'aux comparaisons temporelles.
  • Source : Eurostat (extraction du 17 juillet 2019).

Avertissement

Sauf mention contraire, les données nationales se réfèrent à la France métropolitaine et aux cinq départements d’outre-mer (sauf mention contraire Mayotte est inclus dans les données de la France).

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d’une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Les comparaisons internationales s’appuient en général sur les données issues d’organismes internationaux (Eurostat, ONU, etc.) qui peuvent diverger des sources produites par les instituts nationaux de statistiques, notamment pour l’Insee, pour les données françaises. En effet, ces organismes effectuent souvent des ajustements de champ ou de méthode, d’ampleur souvent réduite, afin de produire des données comparables d’un pays à l’autre.

Sauf précision contraire, les indicateurs relatifs à l’Union européenne (UE) figurant dans cet ouvrage portent sur l’UE à 28.

Définitions

Produit intérieur brut (PIB) : agrégat représentant le résultat final de l’activité de production des unités productrices résidentes. Il peut se définir de trois manières : la somme des valeurs ajoutées brutes des différents secteurs institutionnels ou des différentes branches d’activité, augmentée des impôts moins les subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches d’activité) ; la somme des emplois finals intérieurs de biens et de services (consommation finale effective, formation brute de capital fixe, variations de stocks), plus les exportations, moins les importations ; la somme des emplois des comptes d’exploitation des secteurs institutionnels (rémunération des salariés, impôts sur la production et les importations moins les subventions, excédent brut d’exploitation et revenu mixte).

Revenu disponible brut des ménages (RDB) : revenu à la disposition des ménages pour la consommation et l’épargne une fois déduits les prélèvements sociaux et fiscaux. Il comprend les revenus d’activité (rémunération des salariés et revenus d’entreprise des entrepreneurs individuels), les revenus de la propriété (dividendes, intérêts et loyers), les prestations sociales autres que des transferts sociaux en nature (pensions de retraite, indemnités de chômage, allocations familiales, minima sociaux, etc.), les autres transferts courants (notamment les indemnités d’assurance nettes des primes), diminués des impôts et cotisations sociales versés par les ménages.

Taux d’épargne des ménages : rapport entre l’épargne des ménages et le revenu disponible brut (non ajusté).

Pouvoir d’achat : quantité de biens et de services que l’on peut acheter avec une unité de revenu disponible brut (RDB). Son évolution est liée à celles des prix et des revenus. Ainsi, si les prix augmentent quand les revenus sont constants, le pouvoir d’achat diminue, alors que si la hausse des revenus est supérieure à celle des prix, le pouvoir d’achat augmente. Voir aussi dans la rubrique « Définitions » en annexe : Revenu disponible brut des ménages.

Dépense de consommation finale des ménages : recouvre les dépenses effectivement réalisées par les ménages résidents pour acquérir des biens et des services destinés à la satisfaction de leurs besoins. Les produits correspondants ne sont pas stockés, mais considérés comme consommés au moment de leur achat, même s’ils sont durables (voitures, électroménagers, meubles, etc.). La dépense de consommation finale des ménages inclut la part des dépenses de santé, d’éducation, de logement, restant à leur charge, après remboursements éventuels. Elle inclut également les loyers imputés qui sont représentatifs des services de logement produits par les propriétaires qui occupent leur propre logement (retracés via un loyer qu’ils se versent fictivement à eux-mêmes).

Administrations publiques (APU) : ensemble des unités institutionnelles dont la fonction principale est de produire des services non marchands ou d’effectuer des opérations de redistribution du revenu et des richesses nationales. Elles tirent la majeure partie de leurs ressources de contributions obligatoires. Le secteur des administrations publiques comprend les administrations publiques centrales, les administrations publiques locales et les administrations de sécurité sociale.

Investissement ou formation brute de capital fixe (FBCF) : acquisitions moins cessions d’actifs fixes réalisées par les producteurs résidents. Les actifs fixes sont les actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façon répétée ou continue dans d’autres processus de production pendant au moins un an.

Exportations de biens et de services : ensemble des biens et des services fournis par des résidents à des non-résidents, à titre onéreux ou gratuit. Avec l’application du Système Européen des Comptes nationaux et régionaux de 2010 (SEC 2010), en cohérence avec la 6e édition du manuel de balance des paiements (BPM6), la définition des échanges extérieurs en comptabilité nationale est dorénavant fondée sur la notion de propriété. Ainsi, par exemple les biens envoyés à l’étranger pour travail à façon ne sont plus comptés en exportations de biens, et la marchandise transformée n’est plus comptée comme une importation de biens. En revanche est comptabilisée une importation de service industriel par le pays du donneur d’ordre, d’un montant égal à la différence de valeur entre le produit fini et les intrants. Le solde total des échanges extérieurs n’est pas modifié.

Importations de biens et de services : ensemble des biens et des services fournis par des non-résidents à des résidents, à titre onéreux ou gratuit. Avec l’application du Système Européen des Comptes nationaux et régionaux de 2010 (SEC 2010), en cohérence avec la 6e édition du manuel de balance des paiements (BPM6), la définition des échanges extérieurs en comptabilité nationale est dorénavant fondée sur la notion de propriété. Ainsi, par exemple les biens envoyés à l’étranger pour travail à façon ne sont plus comptés en exportations de biens, et la marchandise transformée n’est plus comptée comme une importation de biens. En revanche est comptabilisée une importation de service industriel par le pays du donneur d’ordre, d’un montant égal à la différence de valeur entre le produit fini et les intrants. Le solde total des échanges extérieurs n’est pas modifié.

Sociétés non financières (SNF) : ensemble des unités institutionnelles qui sont des producteurs marchands dont la fonction principale consiste à produire des biens et des services non financiers, et dont les opérations de répartition et les opérations financières sont séparées de celles de leurs propriétaires.

Valeur ajoutée : solde du compte de production. Elle est égale à la valeur de la production diminuée de la consommation intermédiaire.

Excédent brut d’exploitation (EBE) : solde du compte d’exploitation, pour les unités de production. Il est égal à la valeur ajoutée, diminuée de la rémunération des salariés, des autres impôts sur la production et augmentée des subventions d’exploitation. Pour les entreprises individuelles, le solde du compte d’exploitation est le revenu mixte. L’excédent d’exploitation peut être calculé net, si l’on retranche la consommation de capital fixe.

Taux de marge : rapport de l'excédent brut d'exploitation (EBE) à la valeur ajoutée. Voir aussi dans la rubrique « Définitions » en annexe : Excédent brut d'exploitation (EBE), Valeur ajoutée.

Taux d’autofinancement : rapport de l’épargne brute à la formation brute de capital fixe (FBCF).

Taux d’investissement : rapport de l’investissement à la valeur ajoutée.

Revenu mixte : solde du compte d’exploitation pour les entreprises individuelles. Il contient deux éléments indissociables que sont la rémunération du travail effectué par le propriétaire et éventuellement les membres de sa famille, et son profit en tant qu’entrepreneur.