Insee Analyses Nouvelle-AquitaineLes Pyrénées-Atlantiques à grands traits

Laurence Martin, Insee

Département le plus au sud de la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes (ALPC), les Pyrénées-Atlantiques comptent 670 400 habitants début 2015. Les arrivées, plus nombreuses que les départs, constituent à elles seules l'essentiel de l'accroissement démographique. Deuxième employeur d'ALPC, le département des Pyrénées-Atlantiques offre plus d'un emploi sur huit dans la région. Le tertiaire regroupe plus des trois quarts des salariés et présente une spécificité marquée : les activités de R&D, en lien avec la filière de la pétrochimie. L'industrie est un peu plus présente qu'en ALPC et compte quelques fleurons notamment dans l'aéronautique et l'agroalimentaire. Océan et montagne font des Pyrénées-Atlantiques un des principaux départements touristiques de la région. Le taux de chômage départemental est l'un des plus faibles d'ALPC. La pauvreté y est aussi moins présente. Le niveau de vie médian est le deuxième plus élevé de la région.

Insee Analyses Nouvelle-Aquitaine
No 19
Paru le :Paru le07/04/2016
Laurence Martin, Insee
Insee Analyses Nouvelle-Aquitaine No 19- Avril 2016

Deux identités : le Béarn et le Pays basque

Le département des Pyrénées-Atlantiques, formé de deux anciennes provinces jumelées, le Béarn et le Pays basque, occupe 9 % du territoire de la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes (ALPC) soit 7 645 km². Entre océan à l'ouest et chaîne pyrénéenne au sud, les limites de son territoire constituent un tiers de la frontière française avec l'Espagne (figure 1). Le département abrite une partie du parc national des Pyrénées, dont les communes adhérentes se situent en vallées d'Aspe et d'Ossau.

Figure_1Géographie des Pyrénées-Atlantiques

  • Source : IGN 2016

Les agglomérations de Pau (préfecture de département) et de Bayonne sont reliées par l’A64 qui se poursuit vers Toulouse. Porte d'entrée vers l'Espagne, l’A63 met Bordeaux à deux heures des plages basques tout comme l’A65 met Bordeaux à deux heures de Pau. L'aéroport de Biarritz-Anglet-Bayonne (1 million de passagers en 2015) dessert principalement Paris et l'Europe du nord et celui de Pau-Pyrénées (634 000 passagers en 2015) Paris et le Maroc. Avec seulement 32 km de côte, le département dispose d'un port de commerce, le port de Bayonne, dont le trafic s'établit à 2,6 millions de tonnes en 2014 et le classe au 9rang des ports français, et de deux ports de pêche, St-Jean-de-Luz/Ciboure et Hendaye.

Un département attractif

Au 1er janvier 2015, les Pyrénées-Atlantiques comptent 670 400 habitants soit 11 % de la population de la région ALPC. C’est le 2e département le plus peuplé après la Gironde. Reflet de l'attractivité du département, le solde migratoire contribue à lui seul à l'accroissement de la population (+ 0,5 % en moyenne par an entre 2008 et 2015).

La densité de population du département (88 habitants au km²) est supérieure à celle de la région (70 hab./km²) (figure 2). La part de la population vivant dans une aire urbaine (87 %) est nettement supérieure à celle de l'ALPC (77 %) et en fait le 2e département le plus urbain derrière la Gironde. Les aires urbaines de Pau et Bayonne abritent les trois quarts des habitants du département.

Figure_2Des densités élevées sur le littoral et la zone de Pau - Carte lissée de densité de population des Pyrénées-Atlantiques en 2012

  • Source : Insee, Recensement de la population 2012

La population basco-béarnaise est en moyenne légèrement plus âgée que celle de la région (43,3 ans contre 42,9 ans). Les 144 700 jeunes de moins de 20 ans en constituent 22 %, soit trois jeunes pour quatre personnes de 60 ans ou plus. Les 75 ans ou plus représentent un peu plus d'un habitant sur dix, comme en ALPC.

Au 1er janvier 2012, les Pyrénées-Atlantiques comptent 377 800 logements, soit 10 % du parc régional. La part des maisons est moins élevée que dans les autres départements (52 % du parc soit près de 20 points de moins qu'en ALPC). Les résidences principales composent 79 % du parc. La part des résidences secondaires est plus importante que dans la région (+ 1,4 point). Six ménages sur dix sont propriétaires de leur résidence principale, soit la deuxième part la plus faible après celle de la Gironde. Les locataires d'habitations à loyer modéré (HLM) occupent un logement sur dix, comme en ALPC. Le parc des résidences principales est légèrement plus récent que celui d'ALPC : 23 % d'entre elles ont été construites avant 1946 contre 29 % dans la région.

Deuxième département employeur de la région

Fin 2013, 74 600 établissements sont implantés dans les Pyrénées-Atlantiques dont 95 % n'ont aucun salarié ou en emploient moins de dix. Ils représentent 13 % de l'appareil productif de l'ALPC. En 2014, le taux de création d'entreprises (12,4 %) est un peu plus faible que celui de la région (14 %).

Fin 2013, le département totalise 272 000 emplois, soit 12 % de l'emploi régional (figure 3). Il est le 2employeur derrière la Gironde. Entre 2010 et 2013, le nombre d'emplois croît de 0,6 % en moyenne par an, ce qui place les Pyrénées-Atlantiques au 3e rang des départements les plus dynamiques derrière la Gironde et la Vienne. L'emploi non salarié est davantage présent que dans la région et forme 15 % de l'emploi total (2 points de plus qu’en ALPC).

Figure 3Emploi selon le secteur d'activité dans les Pyrénées-Atlantiques en 2013

Emploi selon le secteur d'activité dans les Pyrénées-Atlantiques en 2013
Emploi salarié au 31/12/2013 Emploi total au 31/12/2013
Pyrénées-Atlantiques Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes Part du département dans la région ALPC (en %)
Effectifs (en milliers) 231 272 2 330 11,7
dont
Agriculture (en %) 0,7 3,9 5,0 9,2
Industrie (en %) 14,2 12,9 12,2 12,3
Construction (en %) 6,6 7,4 7,0 12,3
Tertiaire marchand (en %) 43,9 43,9 42,9 12,0
Tertiaire non marchand (en %) 34,6 32,0 32,9 11,3
  • Note : données provisoires 2013
  • Source : Insee, Estimations d'emploi localisées

Les entreprises implantées dans les Pyrénées-Atlantiques sont majoritairement des petites structures. Les micro, très petites et petites entreprises regroupent neuf établissements sur dix du secteur marchand non agricole et emploient 43 % des salariés (respectivement 89 % d'établissements et 40 % de salariés pour les entreprises d’ALPC). Les grandes entreprises détiennent 4,4 % des établissements du département, contre 4,6 % dans la région. Cependant, elles emploient 28 % des salariés (26 % en ALPC). Les moyennes entreprises (ME) et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) possèdent respectivement 2 % et 3 % des établissements. Elles emploient relativement moins de salariés qu’en ALPC : les ME occupent 11 % des salariés et les ETI 18 % (respectivement 13 % et 21 % dans la région).

Le poids du tertiaire renforcé par les activités de R&D

Dans les Pyrénées-Atlantiques, le tertiaire (hors défense) regroupe les trois quarts des établissements. Le seul tertiaire marchand en concentre plus de la moitié (59 %). L'ensemble du tertiaire génère 76 % de l'emploi total et rassemble près de huit salariés sur dix.

Au sein du tertiaire, les services marchands procurent un emploi à près du tiers des salariés du département. Les activités de recherche et développement de groupes comme Total SA ou ELF contribuent au poids du secteur (figure 4). Contrairement aux autres départements de la région, la part des salariés de l'hébergement et restauration (4,5 %) est supérieure à celle des transports et entreposage. Le commerce rassemble 13 % de l'emploi salarié. Il est porté par les enseignes de la grande distribution et profite de la présence d'établissements d'entreprises plutôt spécialisées dans l'agroalimentaire mais ayant diversifié leurs activités comme Euralis.

Figure 4Les 10 principaux établissements employeurs des Pyrénées-Altantiques en 2013

Les 10 principaux établissements employeurs des Pyrénées-Altantiques en 2013
Raison sociale Tranche d'effectifs salariés Activité Commune
Turbomeca 2 000 à 2 999 Fabrication de matériels de transport Bordes
Total SA 1 500 à 1 999 Recherche-développement scientifique Pau
Dassault Aviation 750 à 999 Fabrication de matériels de transport Anglet
Messier-Bugatti-Dowty 750 à 999 Fabrication de matériels de transport Bidos
Groupe APR 500 à 749 Activités de services administratifs et de soutien Lons
Acticall France 500 à 749 Activités de services administratifs et de soutien Pau
Lindt et Sprungli 500 à 749 Fabrication de denrées alimentaires, de boissons et de produits à base de tabac Oloron-Sainte-Marie
NA Pali 500 à 749 Fabrication de textiles, industries de l'habillement, industrie du cuir et de la chaussure Saint-Jean-de-Luz
Credit Agricole Mutuel Pyrénées Gascogne 250 à 499 Activités financières et d'assurance Serres-Castet
Auchan France 250 à 499 Commerce ; réparation d'automobiles et de motocycles Pau
  • Champ : établissements hors administration publique, défense, enseignement, santé humaine et action sociale
  • Source : Insee, Clap 2013

Les Pyrénées-Atlantiques bénéficient de l'attrait des plages, de la montagne, du thermalisme et de la thalassothérapie. Elles sont au 1er rang des départements de la région pour le nombre d'hôtels (environ 350) et au 2e pour leur capacité (9 400 chambres) derrière la Gironde. En 2014, ceux-ci enregistrent 2,6 millions de nuitées, soit 18 % de la fréquentation hôtelière régionale. Côté hôtellerie de plein air, 140 campings proposent plus de 14 200 emplacements. Cette offre est moins importante que dans les trois autres départements côtiers en partie en raison d'une plus faible étendue de côte, de surcroît très urbanisée. Près de 2 millions de nuitées y sont passées (9 % de la fréquentation régionale), soit 3,5 fois moins qu'en Charente-Maritime, département plébiscité par les campeurs.

L’administration publique, l’enseignement, la santé humaine et l’action sociale concentrent 35 % de l'emploi salarié pour 15 % des établissements du département. Les centres hospitaliers de Bayonne et de Pau sont respectivement les 7e et 9e plus gros établissements employeurs de la région ALPC. Toutefois, la fonction publique hospitalière ne représente que 20 % des 50 500 postes de fonctionnaires du département contre 22,5 % en ALPC. La fonction publique d'État regroupe 44 % de l'emploi public, dont la moitié dans l'éducation, l'enseignement supérieur et la recherche. L'université de Pau et du pays de l'Adour, qui accueille environ 12 000 étudiants, est le 5e employeur du département. Le reste des postes (36 %) est affecté à la fonction publique territoriale.

L'agriculture basco-béarnaise regroupe 4 % de l'emploi total et moins de 1 % de l'emploi salarié, part la plus faible des départements de la région. En 2013, les Pyrénées-Atlantiques possèdent le plus grand nombre d'exploitations d'ALPC (11 250). Toutefois, la part des exploitations moyennes ou grandes (potentiel de production supérieur à 25 000 €) est la plus faible de la région : 45 % contre 62 % en ALPC. Les reliefs pyrénéens sont propices à l'élevage. Les Pyrénées-Atlantiques sont le 1er département producteur d'ovins (principalement de brebis) et de porcins de la région et le 1er fournisseur de lait de brebis en ALPC et le 2e en France. Les zones de plaine du nord du département conviennent aux cultures, principalement de maïs.

Le secteur de la construction rassemble 9 % des établissements basco-béarnais. Il regroupe 7 % de l'emploi total et de l'emploi salarié.

Turbomeca, premier établissement employeur privé d’ALPC

Fin 2013, l'industrie basco-béarnaise représente un peu moins de 6 % des établissements du département, part la plus faible de la région derrière la Gironde. Mais elle regroupe 13 % de l'emploi total et 14 % de l'emploi salarié. Trois secteurs regroupent plus de la moitié des salariés : la fabrication de matériels de transports, essentiellement l'aéronautique, la métallurgie et l'agroalimentaire.

Turbomeca, leader mondial des turbomoteurs pour hélicoptères et premier employeur privé d'ALPC, a implanté son plus gros établissement régional à Bordes. D'autres établissements importants de la filière aéronautique comme Dassault Aviation ou Messier-Bugatti-Dowty font partie du top dix des employeurs du département. Ils contribuent à l'activité de bon nombre de sous-traitants, notamment dans la métallurgie (Exameca, Precision Castparts Corporation France, Eskulanak,...) et prestataires de services locaux. Intervenant sur l'Aquitaine et Midi-Pyrénées, le pôle de compétitivité Aerospace Valley apporte son soutien aux entreprises locales de la filière.

Le domaine de la pétrochimie est emblématique du bassin de Lacq. La découverte d'un gisement de pétrole et de gaz dans le bassin de Lacq dans les années 50 a permis le développement du secteur de la pétrochimie et l'implantation de gros établissements comme Total, Toray, ou Arkema. L'anticipation de l'arrêt de l'exploitation du gisement de gaz a favorisé la reconversion du site industriel, avec notamment le projet Lacq Cluster Chimie 2030. Ce site profite aussi de la présence du pôle de compétitivité Avenia localisé à Pau (pôle dédié aux géosciences).

Profitant de la production locale, les industriels de l'agroalimentaire, comme Lindt&Sprungli, Fromagerie des Chaumes, Labeyrie, Fipso ou Boncolac, sont eux aussi bien implantés dans le département et emploient plus de 6 800 personnes.

Entre espadrilles et vêtements de plage, les industriels du secteur « habillement-cuir-chaussures » s'appuient sur l'identité et l'image des spots basques qui attirent quelques-uns des leaders mondiaux de la spécialité comme Na Pali (Quiksilver). Ce domaine occupe 1 600 personnes dans le département, soit un emploi sur cinq de ce même secteur dans la région.

Un des plus faibles taux de chômage de la région

En 2014, le taux de chômage départemental s'établit à 8,6 %, un des taux les plus faibles de la région derrière la Vienne, la Corrèze et les Deux-Sèvres (figure 5). Fin 2014, le département comptabilise 51 000 demandeurs d'emploi, soit 11 % de ceux de la région. Parmi eux, 15 % ont moins de 25 ans contre 16 % en ALPC, 53 % sont des femmes contre 52 % et 40 % sont inscrits à Pôle emploi depuis un an ou plus contre 42 %.

Figure_5Des indicateurs plus favorables - Position relative des Pyrénées-Atlantiques par rapport à l'ALPC

  • Notes :
  • - les indicateurs sont construits comme le ratio entre le département et la moyenne de la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes. Un ratio supérieur à 1 indique que l'indicateur est plus élevé que la moyenne régionale.
  • - l'indicateur "Allocataires du RSA socle" concerne la part des personnes couvertes par le RSA socle (allocataire, conjoint et personnes à charge) parmi l'ensemble des personnes couvertes par le RSA au titre de décembre 2014.
  • - les indicateurs sur les demandeurs d'emploi (catégories A, B et C) concernent la part des demandeurs d'emploi de moins de 25 ans (ou de longue durée) parmi l'ensemble des demandeurs d'emploi au 31 décembre 2014.
  • Sources : Insee, taux de chômage localisés ; Pôle Emploi ; Dares ; Insee-DGFIP-CNAF-CNAV-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2012 ; CNAF, MSA.

La pauvreté est moins présente dans les Pyrénées-Atlantiques qu’en ALPC. En 2012, 11,5 % de la population vit sous le seuil de pauvreté contre 13,3 % dans la région. Un jeune de moins de 30 ans sur cinq est concerné. Plus souvent exposées à la pauvreté, 26 500 familles monoparentales habitent le département. Dans huit cas sur dix, il s'agit d'une femme avec enfant(s). Fin 2014, 19 500 allocataires perçoivent le revenu de solidarité active (RSA) et par extension à leur famille, celui-ci couvre plus de 38 200 personnes. Un bénéficiaire du RSA sur dix de la région vit dans les Pyrénées-Atlantiques. Par ailleurs, 4,8 % de la population bénéficient de la CMU.

Au second rang pour le niveau de vie dans la région

En 2012, dans les Pyrénées-Atlantiques, près de 290 000 ménages fiscaux ont rempli leur déclaration de revenus (figure 6). La part des ménages imposés est légèrement supérieure à celle de la région. La moitié de la population dispose d'un revenu inférieur à 20 150 € annuels par unité de consommation et l'autre moitié d'un revenu supérieur. Ce niveau de vie médian situe les Basco-Béarnais au deuxième rang dans la région derrière les Girondins. Les 10 % des personnes les plus modestes (1er décile) ont un niveau de vie inférieur à 11 400 € annuels. Ce faible revenu reste plus élevé que dans les autres départements d'ALPC excepté les Landes. A contrario, les 10 % des personnes les plus aisées (9e décile) ont un niveau de vie annuel supérieur à 36 850 €, soit 3,2 fois plus que celui des 10 % les plus modestes. Les ménages basco-béarnais présentent la part du revenu du patrimoine (15 %) la plus importante des départements de la région. Toutefois, leurs revenus proviennent pour les deux tiers des rémunérations liées à l'activité.

Figure 6Revenus et pauvreté dans les Pyrénées-Atlantiques en 2012

Revenus et pauvreté dans les Pyrénées-Atlantiques en 2012
Pyrénées-Atlantiques ALPC France de province
Part des ménages fiscaux imposés (en %) 63,4 61,0 61,9
Revenu disponible par unité de consommation (en €)
1er décile (D1) (en €) 11 372 10 819 10 593
Niveau de vie médian (en €) 20 147 19 360 19 402
9e décile (D9) (en €) 36 851 34 620 35 071
Rapport interdécile (D9/D1) * 3,2 3,2 3,3
Taux de pauvreté (en %) 11,5 13,3 14,1
  • * Le rapport entre le niveau de vie au-delà duquel vivent les 10 % de personnes les plus aisées (9e décile) et celui en deçà duquel vivent les 10 % les moins aisés (1er décile) est un indicateur d'inégalités de niveau de vie.
  • Champ : population des ménages fiscaux ordinaires
  • Sources : Insee-DGFiP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2012

Les départements de l'ALPC

Dans le contexte de la réforme territoriale qui dessine un nouveau paysage pour les régions françaises, l'Insee Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes publie l’ensemble des "Portraits à grands traits" des douze départements de la région. Population, emploi, système productif, agriculture, revenus... chaque publication dresse un panorama général des départements : La Charente (16), La Charente-Maritime (17), La Corrèze (19), La Creuse (23), La Dordogne (24), La Gironde (33), Les Landes (40), Le Lot-et-Garonne (47), Les Pyrénées-Atlantiques (64), Les Deux-Sèvres (79), La Vienne (86), La Haute-Vienne (87).

Pour en savoir plus

Pour en savoir plus

Ferret JP.,  « 5 844 177 habitants en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes au 1er janvier 2013 », Insee Analyses Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes n°1, janvier 2016

Saragosa B., Tortosa T., « Le carroyage au profit des politiques de l'habitat : illustration sur la Communauté d'agglomération Pau-Pyrénées », Le Quatre Pages Insee Aquitaine n°216, juin 2014

Dans la collection Insee Analyses Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, les portraits à grands traits des autres départements de la région : La Charente (16), La Charente-Maritime (17), La Corrèze (19), La Creuse (23), La Dordogne (24), La Gironde (33), Les Landes (40), Le Lot-et-Garonne (47), Les Pyrénées-Atlantiques (64), Les Deux-Sèvres (79), La Vienne (86), La Haute-Vienne (87).