Bilan économique 2017 - Nouvelle-Aquitaine
En 2017, le redémarrage de l’activité économique régionale se propage dans presque
tous les secteurs
La reprise de l’activité économique, amorcée dès 2015, décolle en 2017, à l’image
du PIB français qui progresse de 2,2 %. En Nouvelle-Aquitaine, de plus en plus d’indicateurs
économiques sont au vert et retrouvent leur niveau d’avant la crise de 2008, suite
à la nouvelle baisse du taux de chômage ou au regain de créations d’entreprises et
d’emplois dans l’industrie et la construction.
Économie – La dynamique économique prend de l’ampleur et se diffuse largement Bilan économique 2017
Pôle Études Économiques Régional, Direction des Affaires Régionales Banque de France
En Nouvelle-Aquitaine, l’embellie se confirme en 2017 avec la hausse tendancielle de la rentabilité et la contraction des défaillances d’entreprises. L’emploi progresse légèrement. Dans un mouvement assez homogène, la production atteint, pour tous les secteurs, un niveau supérieur à l’année précédente. Les perspectives s’expriment sur une trajectoire favorable, avec toutefois des disparités en matière d’investissement. La distribution du crédit aux entreprises poursuit sa croissance et les encours d’exploitation redémarrent. Les crédits aux ménages se développent, tant pour le logement que pour la consommation. En ce début 2018, le climat des affaires atteint son plus haut niveau depuis 2010.
Insee Conjoncture Nouvelle-Aquitaine
No 13
Paru le :31/05/2018
L’activité industrielle s’intensifie
En Nouvelle-Aquitaine, la production industrielle s’élève progressivement en 2017 à un niveau supérieur à l’année précédente (figure 1). L’embellie pourrait être plus large sans l’épidémie dans la filière des palmipèdes gras.
tableauFigure 1 – Variations brutes dans l'industrie en Nouvelle-Aquitaine et prévisions
2017/2016 | Prévisions 2018/2017 | |
---|---|---|
Chiffre d'affaires HT | 3,3 | 3,7 |
Effectifs | 0,6 | 0,9 |
Investissement | -3,9 | 10,2 |
- Source : Banque de France – Enquête régionale de bilan et perspectives.
graphiqueFigure 1 – Variations brutes dans l'industrie en Nouvelle-Aquitaine et prévisions

- Source : Banque de France – Enquête régionale de bilan et perspectives.
La pharmacie, la chimie et la fabrication de machines et équipements électriques et électroniques marquent les plus fortes progressions. La hausse est plus contenue dans la fabrication de matériels de transport. En effet, le recul de l’industrie automobile régionale et les difficultés dans l’aviation civile atténuent la dynamique portée par la construction navale. En fin d’année, la croissance est plus homogène. La demande, française comme étrangère, ne fléchit pas. La combinaison de stocks, légèrement en dessous des besoins, et de carnets toujours étoffés participe mécaniquement à l’orientation positive.
Le taux d’utilisation des capacités de production reste élevé (80 %). Selon les secteurs, l’appareil productif donne des signes de surchauffe. Les chefs d’entreprise sont plus nombreux à envisager des plans d’investissements, mais restent prudents.
Les effectifs se renforcent légèrement sur l’année, de façon plus marquée dans la construction navale. L’amélioration se traduit également dans la rentabilité d’exploitation. Ces évolutions positives donnent de bonnes raisons aux industriels de se montrer plus confiants en ce début d’année 2018.
La dynamique des services perdure
La dynamique des services marchands ne se dément pas. Le volant des prestations s’accroît à nouveau en 2017, entraînant dans son sillage des créations d’emplois (+ 2,9 %), plutôt qualifiés (figure 2). L’appréciation de la rentabilité s’est significativement améliorée, pour l’ensemble des prestataires.
tableauFigure 2 – Variations brutes dans les services marchands en Nouvelle-Aquitaine et prévisions
2017/2016 | Prévisions 2018/2017 | |
---|---|---|
Chiffre d'affaires HT | 5,9 | 2,9 |
Effectifs | 2,9 | 1,9 |
Investissement | -5,0 | -7,4 |
- Source : Banque de France – Enquête régionale de bilan et perspectives.
graphiqueFigure 2 – Variations brutes dans les services marchands en Nouvelle-Aquitaine et prévisions

- Source : Banque de France – Enquête régionale de bilan et perspectives.
Les opérations d’investissements se poursuivent, mais la tendance globale est en repli (– 5,0 %).
La progression de l’activité pourrait être un peu moins élevée en 2018, notamment dans l’hébergement et les prestations de l’information et de la communication. Par ailleurs, un moindre recours à l’investissement semble se dessiner.
La reprise se confirme pour la construction
La reprise amorcée en 2016 se poursuit en 2017 dans l’ensemble des compartiments du secteur, avec une croissance de la production de 5,3 % (figure 3). Le gros œuvre tire à la hausse les performances du bâtiment. La contribution du second œuvre est également positive. Dans les travaux publics, où les appels d’offre se multiplient, l’activité s’est accrue.
tableauFigure 3 – Évolution de la production (1) du BTP en Nouvelle-Aquitaine et perspectives
2017/2016 | Prévisions 2018/2017 | |
---|---|---|
Ensemble du BTP | 5,3 | 3,2 |
Gros œuvre | 7,0 | 3,5 |
Second œuvre | 4,3 | 3,1 |
Travaux publics | 5,0 | 3,3 |
- (1) : la production est mesurée par le chiffre d’affaires + la production stockée.
- Source : Banque de France – Enquête régionale de bilan et perspectives.
graphiqueFigure 3 – Évolution de la production (1) du BTP en Nouvelle-Aquitaine et perspectives

- (1) : la production est mesurée par le chiffre d’affaires + la production stockée.
- Source : Banque de France – Enquête régionale de bilan et perspectives.
En dépit de difficultés de recrutements, la hausse des productions s’est accompagnée, cette année, d’une légère progression de l’emploi, plus marquée dans les travaux publics. En revanche, les investissements du secteur de la construction s’inscrivent de nouveau en net repli sur l’année, les dirigeants restant dans l’attente de signes de relance plus nets.
En dépit de devis encore serrés, les opinions portées sur la rentabilité d’exploitation s’améliorent en 2017 grâce à un léger rehaussement des marges constaté par 42 % des chefs d’entreprises. Cette tendance pourrait perdurer.
Les prévisions d’activité pour 2018 sont de nouveau orientées à la hausse, mais de manière plus mesurée (+ 3,2 % pour le bâtiment, + 3,3 % pour les travaux publics), reflétant ainsi les incertitudes qui pèsent encore sur l’avenir. Cependant, une nouvelle appétence pour l’investissement semble s’amorcer pour 2018 (+ 0,7 %), qui devrait marquer la fin de plusieurs années d’immobilisme.
Croissance soutenue des crédits aux entreprises et aux ménages
Les encours de crédits bancaires mobilisés par les entreprises en Nouvelle-Aquitaine progressent de + 6,8 % en un an (figure 4). Cet affermissement concerne la majorité des secteurs de l’économie et toutes les catégories d’entreprises, plus particulièrement les grandes (TPE et PME + 3,5 %, GE + 11,0 %).
tableauFigure 4 – Variation, en glissement annuel, des encours de crédits mobilisés
France | Nouvelle-Aquitaine | |
---|---|---|
déc.-16 | 4,7 | 3,6 |
janv.-17 | 4,1 | 3,7 |
févr.-17 | 4,3 | 3,5 |
mars-17 | 4,8 | 4,2 |
avr.-17 | 5,0 | 4,1 |
mai-17 | 4,4 | 4,5 |
juin-17 | 4,3 | 4,1 |
juil.-17 | 5,0 | 5,3 |
août-17 | 5,2 | 4,7 |
sept.-17 | 5,1 | 4,9 |
oct.-17 | 5,4 | 5,9 |
nov.-17 | 5,7 | 6,4 |
déc.-17 | 5,8 | 6,8 |
- Source : Banque de France.
graphiqueFigure 4 – Variation, en glissement annuel, des encours de crédits mobilisés

- Source : Banque de France.
Les crédits d’investissement à long et moyen terme progressent régulièrement (+ 7,3 % en 2017) et le financement à court terme redémarre sur l’année (+ 4,5 %) (figure 5).
tableauFigure 5 – Crédits d'investissement et d'exploitation aux entreprises en Nouvelle-Aquitaine
Crédits d'investissement | Crédits d'exploitation | |
---|---|---|
janv. 2010 | 37 279 | 7 268 |
fev. 2010 | 37 430 | 7 255 |
mar. 2010 | 37 622 | 7 412 |
avr. 2010 | 37 927 | 7 506 |
mai 2010 | 38 109 | 7 318 |
juin 2010 | 38 354 | 7 248 |
juil. 2010 | 38 436 | 7 158 |
aout 2010 | 38 601 | 7 013 |
sept. 2010 | 38 936 | 7 234 |
oct. 2010 | 38 956 | 7 220 |
nov. 2010 | 39 096 | 7 250 |
dec. 2010 | 39 256 | 7 080 |
janv. 2011 | 39 298 | 7 143 |
fevr. 2011 | 39 496 | 7 278 |
mars 2011 | 39 711 | 7 359 |
avri. 2011 | 39 827 | 7 377 |
mai 2011 | 40 141 | 7 437 |
juin 2011 | 40 204 | 7 697 |
juil. 2011 | 40 609 | 7 663 |
aout 2011 | 40 781 | 7 470 |
sept. 2011 | 41 012 | 7 531 |
oct. 2011 | 41 118 | 7 747 |
nov. 2011 | 41 682 | 7 797 |
dec. 2011 | 41 993 | 7 567 |
janv. 2012 | 42 195 | 7 763 |
fevr. 2012 | 42 354 | 7 847 |
mars 2012 | 42 376 | 7 970 |
avri. 2012 | 41 887 | 8 167 |
mai 2012 | 41 788 | 8 196 |
juin 2012 | 42 168 | 8 263 |
juil. 2012 | 42 632 | 8 479 |
aout 2012 | 42 719 | 8 308 |
sept. 2012 | 42 671 | 8 334 |
oct. 2012 | 42 864 | 8 459 |
nov. 2012 | 43 030 | 8 603 |
dec. 2012 | 43 410 | 8 583 |
janv. 2013 | 43 289 | 8 520 |
fevr. 2013 | 43 519 | 8 546 |
mars 2013 | 43 526 | 8 804 |
avri. 2013 | 43 481 | 9 096 |
mai 2013 | 43 116 | 9 288 |
juin 2013 | 43 426 | 9 292 |
juil. 2013 | 43 550 | 9 449 |
aout 2013 | 43 442 | 9 127 |
sept. 2013 | 43 396 | 9 377 |
oct. 2013 | 44 044 | 9 515 |
nov. 2013 | 44 045 | 9 496 |
dec. 2013 | 44 341 | 9 467 |
janv. 2014 | 44 403 | 9 488 |
fevr. 2014 | 44 653 | 9 710 |
mars 2014 | 44 684 | 10 008 |
avri. 2014 | 44 789 | 10 054 |
mai 2014 | 44 939 | 9 912 |
juin 2014 | 45 126 | 10 195 |
juil. 2014 | 45 455 | 10 131 |
aout 2014 | 45 440 | 10 079 |
sept. 2014 | 45 397 | 10 097 |
oct. 2014 | 45 559 | 10 150 |
nov. 2014 | 45 490 | 10 302 |
dec. 2014 | 45 600 | 10 202 |
janv. 2015 | 45 730 | 10 044 |
fevr. 2015 | 45 826 | 10 261 |
mars 2015 | 45 748 | 10 428 |
avri. 2015 | 45 990 | 10 446 |
mai 2015 | 46 115 | 10 205 |
juin 2015 | 46 353 | 10 284 |
juil. 2015 | 46 777 | 10 537 |
aout 2015 | 46 434 | 10 320 |
sept. 2015 | 46 439 | 10 385 |
oct. 2015 | 46 688 | 10 320 |
nov. 2015 | 46 935 | 10 375 |
dec. 2015 | 47 229 | 10 217 |
janv. 2016 | 47 416 | 10 034 |
fevr. 2016 | 47 554 | 10 210 |
mars 2016 | 47 751 | 10 321 |
avri. 2016 | 48 048 | 10 201 |
mai 2016 | 48 155 | 10 090 |
juin 2016 | 48 557 | 10 126 |
juil. 2016 | 48 573 | 10 273 |
aout 2016 | 48 728 | 10 081 |
sept. 2016 | 48 855 | 10 180 |
oct. 2016 | 49 017 | 10 128 |
nov. 2016 | 49 217 | 10 121 |
dec. 2016 | 49 462 | 10 059 |
janv. 2017 | 49 690 | 9 912 |
fevr. 2017 | 49 881 | 9 884 |
mars 2017 | 50 444 | 10 098 |
avri. 2017 | 50 625 | 10 001 |
mai 2017 | 51 110 | 9 809 |
juin 2017 | 51 177 | 9 972 |
juil. 2017 | 51 824 | 10 163 |
aout 2017 | 51 736 | 9 850 |
sept. 2017 | 52 070 | 9 895 |
oct. 2017 | 52 627 | 10 058 |
nov. 2017 | 52 849 | 10 363 |
dec. 2017 | 53 114 | 10 523 |
- Source : Banque de France.
graphiqueFigure 5 – Crédits d'investissement et d'exploitation aux entreprises en Nouvelle-Aquitaine

- Source : Banque de France.
En 2017, la croissance des encours de crédits distribués aux ménages est plus rapide dans la région (+ 8 %) qu’en France (+ 6,4 %). Les conditions de financement pour le logement, toujours attractives, permettent aux crédits à l’habitat de poursuivre leur trajectoire ascendante. La croissance des crédits à la consommation se maintient au niveau de 2016 (figure 6).
tableauFigure 6 – Crédits à l'habitat et crédits à la consommation distribués aux ménages en Nouvelle-Aquitaine
Crédits à l'habitat | Crédits à la consommation | |
---|---|---|
janv. 2010 | 51 320 | 7 187 |
fevr. 2010 | 51 540 | 7 179 |
mars 2010 | 51 857 | 7 280 |
avri. 2010 | 52 126 | 7 286 |
mai 2010 | 52 365 | 7 375 |
juin 2010 | 52 893 | 7 402 |
juil. 2010 | 53 410 | 7 357 |
aout 2010 | 53 746 | 7 297 |
sept. 2010 | 54 147 | 7 309 |
oct. 2010 | 54 607 | 7 305 |
nov. 2010 | 54 882 | 7 391 |
dec. 2010 | 55 807 | 7 422 |
janv. 2011 | 56 120 | 7 374 |
fevr. 2011 | 56 427 | 7 408 |
mars 2011 | 56 875 | 7 456 |
avri. 2011 | 57 215 | 7 495 |
mai 2011 | 57 636 | 7 547 |
juin 2011 | 58 079 | 7 649 |
juil. 2011 | 58 522 | 7 613 |
aout 2011 | 58 740 | 7 601 |
sept. 2011 | 59 047 | 7 589 |
oct. 2011 | 59 285 | 7 618 |
nov. 2011 | 59 499 | 7 632 |
dec. 2011 | 59 956 | 7 635 |
janv. 2012 | 60 419 | 7 592 |
fevr. 2012 | 60 433 | 7 536 |
mars 2012 | 60 621 | 7 598 |
avri. 2012 | 60 734 | 7 642 |
mai 2012 | 60 858 | 7 697 |
juin 2012 | 61 119 | 7 712 |
juil. 2012 | 61 389 | 7 692 |
aout 2012 | 61 487 | 7 590 |
sept. 2012 | 61 603 | 7 565 |
oct. 2012 | 61 808 | 7 638 |
nov. 2012 | 62 013 | 7 690 |
dec. 2012 | 62 304 | 7 727 |
janv. 2013 | 62 483 | 7 625 |
fevr. 2013 | 62 609 | 7 576 |
mars 2013 | 62 839 | 7 604 |
avri. 2013 | 63 100 | 7 675 |
mai 2013 | 63 306 | 7 653 |
juin 2013 | 63 786 | 7 555 |
juil. 2013 | 64 244 | 7 600 |
aout 2013 | 64 470 | 7 492 |
sept. 2013 | 65 291 | 7 529 |
oct. 2013 | 65 581 | 7 445 |
nov. 2013 | 65 749 | 7 414 |
dec. 2013 | 66 198 | 7 481 |
janv. 2014 | 66 286 | 7 436 |
fevr. 2014 | 66 558 | 7 383 |
mars 2014 | 66 608 | 7 437 |
avri. 2014 | 66 743 | 7 484 |
mai 2014 | 66 896 | 7 496 |
juin 2014 | 67 094 | 7 552 |
juil. 2014 | 67 401 | 7 596 |
aout 2014 | 67 537 | 7 466 |
sept. 2014 | 67 629 | 7 491 |
oct. 2014 | 67 819 | 7 575 |
nov. 2014 | 67 872 | 7 514 |
dec. 014 | 68 198 | 7 587 |
janv. 2015 | 68 330 | 7 517 |
fevr. 2015 | 68 483 | 7 487 |
mars 2015 | 68 765 | 7 547 |
avri. 2015 | 68 999 | 7 633 |
mai 2015 | 69 222 | 7 659 |
juin 2015 | 69 734 | 7 770 |
juil. 2015 | 70 342 | 7 853 |
aout 2015 | 70 646 | 7 774 |
sept. 2015 | 71 125 | 7 762 |
oct. 2015 | 71 508 | 7 792 |
nov. 2015 | 71 820 | 7 855 |
dec. 2015 | 72 281 | 7 888 |
janv. 2016 | 72 483 | 7 821 |
fevr. 2016 | 72 631 | 7 876 |
mars 2016 | 72 886 | 7 935 |
avr. 2016 | 73 095 | 8 023 |
mai 2016 | 73 435 | 8 139 |
juin 2016 | 73 945 | 8 229 |
juil. 2016 | 74 472 | 8 214 |
aout 2016 | 74 905 | 8 195 |
sept. 2016 | 75 358 | 8 247 |
oct. 2016 | 75 729 | 8 323 |
nov. 2016 | 76 176 | 8 315 |
dec. 2016 | 76 885 | 8 371 |
janv. 2017 | 77 383 | 8 356 |
fevr. 2017 | 77 865 | 8 379 |
mars 2017 | 78 521 | 8 427 |
avr. 2017 | 78 935 | 8 513 |
mai 2017 | 79 457 | 8 645 |
juin 2017 | 80 152 | 8 652 |
juil. 2017 | 80 710 | 8 703 |
aout 2017 | 81 274 | 8 643 |
sept. 2017 | 81 714 | 8 660 |
oct. 2017 | 82 191 | 8 716 |
nov. 2017 | 82 654 | 8 719 |
dec. 2017 | 83 269 | 8 769 |
- Source : Banque de France.
graphiqueFigure 6 – Crédits à l'habitat et crédits à la consommation distribués aux ménages en Nouvelle-Aquitaine

- Source : Banque de France.
Pour comprendre
Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.
Définitions
Le chiffre d'affaires représente le montant des affaires (hors taxes) réalisées par une unité statistique (entreprise, unité légale) avec les tiers dans l'exercice de son activité professionnelle normale et courante.
Il correspond à la somme des ventes de marchandises, de produits fabriqués, des prestations de services et des produits des activités annexes.
Le chiffre d'affaires témoigne du volume d'affaires généré par l'activité courante
de l'entreprise et permet ainsi d'en apprécier la dimension. Cependant, pour mesurer
l'activité d'une entreprise ou d'un secteur, et effectuer des comparaisons, le chiffre
d'affaires n'est pas toujours un indicateur significatif car il peut inclure ou non
des achats pour la revente et des sous-traitances selon le mode de comptabilisation
retenu.