Insee Conjoncture Grand EstBilan économique 2017 - Grand Est

En 2017, l’emploi salarié des secteurs principalement marchands du Grand Est progresse pour la deuxième année consécutive : + 1,0 % après + 0,7 %. La région se situe à la dixième place en métropole, avec une tendance proche de la Bourgogne-Franche-Comté et des Hauts-de-France. L’emploi dans la construction renoue avec la croissance pour la première fois depuis 2009. L’érosion se poursuit pour l’industrie hors intérim, mais la situation s’améliore en cours d’année et se stabilise au quatrième trimestre. L’emploi intérimaire se maintient à haut niveau pour la troisième année. Le tertiaire hors intérim continue de se développer, timidement dans le commerce, mais avec une embellie dans l’hébergement-restauration et les services aux entreprises.

Insee Conjoncture Grand Est
No 13
Paru le :Paru le31/05/2018
Thomas Ducharne, Elena Mironova, Insee
Insee Conjoncture Grand Est No 13- Mai 2018
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Tourisme - Dans le Grand Est, tourisme rime avec dynamisme Bilan économique 2017

Thomas Ducharne, Elena Mironova, Insee

En 2017, les hébergements collectifs touristiques du Grand Est ont connu une hausse de leur fréquentation sans précédent depuis 2010. Malgré un enneigement limité lors de la saison d’hiver, ces derniers ont bénéficié notamment d’une météo plutôt clémente à la belle saison et d’une fin d’année fortement stimulée par les nombreux marchés de Noël organisés à l’est de la région. Conformément à la tendance nationale, les nuitées augmentent dans tous les types d’hébergements, à commencer par les campings et les « autres hébergements collectifs touristiques » (AHCT). Tous ces établissements ont profité à des degrés divers de la venue massive d’une clientèle française et étrangère de plus en plus séduite par le haut de gamme. Dans les hôtels, la fréquentation progresse notamment très fortement autour de Metz et de Mulhouse.

Insee Conjoncture Grand Est

No 13

Paru le :31/05/2018

Avec un total de 21,3 millions de nuitées au cours de l’année 2017, soit 5,0 % de l’ensemble des nuitées hexagonales, la fréquentation des établissements touristiques marchands du Grand Est s'accroît de 7,1 % par rapport à 2016. Huitième région touristique de métropole en termes de nuitées, le Grand Est se classe ainsi au deuxième rang en termes de progression. L’augmentation est plus soutenue qu’au niveau national (+ 5,5 %). Elle est sans précédent depuis 2010 et concerne non seulement les hôtels (+ 5 %), qui accueillent deux tiers des nuitées touristiques régionales, mais aussi et surtout les campings et les « autres hébergements collectifs touristiques » (AHCT) (+ 11 % et + 13 %). Les Français comme les étrangers sont venus plus nombreux que l’année antérieure (+ 7 % et + 8 % respectivement, contre + 5,0 % et + 6,8 % en France métropolitaine). Deux touristes sur trois du Grand Est sont des résidents.

Tous types d’hébergements confondus, la fréquentation progresse cependant nettement moins dans les massifs montagneux que dans les zones rurales et les espaces urbains (+ 3 % contre respectivement + 9 % et + 8 %). Les nuitées augmentent fortement dans l’Eurométropole de Strasbourg, dans la région de Reims, ainsi qu’au sein des communes où est implanté le vignoble champenois (+ 10 %).

Les hôtels haut de gamme séduisent de plus en plus

Après une année 2016 déjà positive pour le secteur (+ 2,0 % de nuitées par rapport à 2015), la fréquentation des hôtels de la région accélère et suit la même tendance que la métropole (+ 4,7 % et + 4,9 %). Si la fréquentation des touristes résidents croît davantage dans la région qu’au niveau national (+ 4 % contre + 3 %), celle de la clientèle étrangère progresse moins fortement qu’en métropole (+ 6 % contre + 9 %). Ce différentiel de croissance est toutefois sans doute à relativiser, le Grand Est ayant été largement épargné par le fort mouvement de désaffection des touristes étrangers qu’avait connu l’Hexagone en 2016. Dans l’hôtellerie régionale, les nuitées des Néerlandais, des Allemands et des Suisses sont en hausse (entre + 3 % et + 5 %), tandis que celles des Belges stagnent (- 0,1 %) et que celles des Britanniques continuent de reculer (- 3 %).

L’attrait de l’hôtellerie haut de gamme se renforce avec une hausse de 13 % dans les établissements classés 4 ou 5 étoiles. Leur fréquentation augmente en effet nettement, aussi bien auprès des résidents que des étrangers, des touristes d’agrément que de la clientèle d’affaires. Parallèlement, la fréquentation des hôtels appartenant à une chaîne croît davantage que celle des indépendants (+ 6 % contre + 4 %), tout particulièrement en ce qui concerne la clientèle étrangère (+ 10 %).

Avril est le mois où l’afflux des touristes, tout particulièrement étrangers, progresse le plus (+ 15 %), profitant du week-end de Pâques et du 1er mai qui tombait un lundi, suivi d’août et de novembre (+ 8 %). À l’opposé, les mois de mars, de mai et d’octobre ont moins réussi aux hôtels de la région que l’année précédente (- 3,5 %, - 2,3 % et - 0,4 % respectivement). Les mois les plus attractifs pour la clientèle des hôtels restent juillet et août, notamment pour les étrangers, alors que c’est en décembre, mois des marchés de Noël, que la présence des touristes résidents est la plus marquée.

Sur l’ensemble de l’année, les nuitées touristiques ont fortement augmenté en Moselle (+ 8 %), dans le Bas-Rhin (+ 6 %), les Vosges et l’Aube (+ 5 % chacun). Dans le Haut-Rhin, les nuitées gagnent 4 %, après un repli observé en 2016. À l’opposé, la Haute-Marne compte 1 % de nuitées de moins que l’année précédente, suite à la moindre fréquentation aussi bien des résidents que des étrangers. À l’échelle du Grand Est, il s’agit du seul département où la fréquentation recule.

Le tourisme hôtelier progresse dans l’ensemble des principales agglomérations régionales, à commencer par Mulhouse et Metz-Amnéville (+ 8 % chacune). La fréquentation augmente également de manière significative autour de Strasbourg, Reims, Troyes et Colmar (entre + 4 % et + 6 %). Le nombre de nuitées françaises comme étrangères croît dans toutes les agglomérations touristiques, sauf à Nancy où le tourisme résident reste stable. Mais dans l’ensemble, la fréquentation dans les hôtels de l’agglomération nancéienne progresse (+ 3 %) grâce à une forte hausse des nuitées étrangères (+ 16 %). Dans le versant régional du massif des Vosges, la clientèle hôtelière augmente (+ 4 %), tout comme dans le vignoble champenois situé dans la région (+ 2 %), et ce, malgré une baisse de la fréquentation étrangère (- 3 %).

Les campings au plus haut

Entre avril et septembre 2017, les campings du Grand Est ont totalisé 2,9 millions de nuitées, soit près de 15 % de l’affluence globale des hébergements touristiques marchands de la région. Après une saison 2016 déjà très dynamique, la fréquentation croît de 11,1 %, soit une hausse supérieure à toutes celles qu’avait enregistré l’hôtellerie de plein air dans la région depuis le début de la décennie 2010. Dans l’ensemble de l’Hexagone, la croissance atteint également des niveaux records en 2017 (+ 5,5 %), mais reste toutefois deux fois moindre que celle qu’ont enregistrée les établissements du Grand Est.

Cette singularité régionale pourrait s’expliquer en partie par les conditions météorologiques particulièrement favorables qu’a connues le Grand Est comme de nombreuses autres régions du nord de la Loire en 2017. Après une saison 2016 en partie compromise par les inondations, la région a en effet bénéficié d’un niveau d’ensoleillement supérieur aux normales saisonnières au printemps et de températures inhabituellement élevées en été.

Dans l’ensemble, la forte hausse de la fréquentation des campings régionaux en 2017 est aussi bien à mettre à l’actif de la population résidente que des touristes étrangers. Après un recul en 2016, les nuitées des clients en provenance de métropole ont en effet fortement augmenté (+ 12 % après - 4 %). Au sein de la clientèle étrangère, majoritaire dans les campings de la région, la fréquentation augmente sensiblement (+ 10 % après + 0,9 %). Les touristes en provenance d’Allemagne, de Belgique, du Royaume-Uni et de Suisse renforcent notamment leur présence de manière significative (entre + 13 % et + 19 %), tandis que la fréquentation des Néerlandais croît de manière plus modérée (+ 4 %). Ces derniers n’en demeurent pas moins toujours de très loin les premiers clients étrangers des campings du Grand Est.

La hausse est cependant très variable d’un mois sur l’autre. Si la fréquentation augmente de manière particulièrement sensible au cours d’un mois d’avril porté par le week-end de Pâques (+ 69 %), elle baisse en mai (- 8 %), en partie en raison de la forte défection de la clientèle allemande (- 40 %), dont les congés de Pentecôte se sont déroulés cette année début juin. En juin d’ailleurs, la fréquentation augmente par contrecoup de manière très nette (+ 59 %), après un mois de juin 2016 marqué par des crues historiques (- 22 % par rapport à juin 2015). Grâce notamment à une météo plutôt propice au camping, la fréquentation progresse encore en juillet et en août (+ 5 %), mais marque le pas en septembre (- 1 %), en partie en raison d’un rafraîchissement soudain des températures.

L’évolution des nuitées en campings n’est pas non plus la même d’un département à l’autre. Portée par l’afflux de la clientèle étrangère, la progression des nuitées est ainsi beaucoup plus nette dans le Bas-Rhin que dans le Haut-Rhin et les Vosges (+ 17 % contre + 10 % et + 9 %). Au-delà de ces trois départements, qui totalisent à eux seuls plus de 60 % de la fréquentation des campings régionaux, les nuitées croissent très fortement en Meurthe-et-Moselle, dans les Ardennes et en Haute-Marne (+ 27 %, + 17 % et + 17 %), alors qu’elles reculent en Moselle, après une année 2016 très faste pour le secteur (- 2 % après + 17 %). Dans l’Aube, la fréquentation continue de progresser de manière significative pour la deuxième année consécutive (+ 13 % après + 10 % en 2016).

Suivant le type de campings considéré, la croissance est également assez inégale. Dans le Grand Est comme dans l’ensemble de l’Hexagone, l’année 2017 confirme l’engouement croissant des campeurs pour les établissements les plus hauts de gamme. Dans la région, la fréquentation augmente ainsi de 14 % dans les campings dotés d’au moins trois étoiles, contre seulement 6 % pour les autres établissements. De même, les nuitées dans les emplacements équipés progressent de 14 %, soit une hausse supérieure de plus de 4 points par rapport aux emplacements nus.

Les autres hébergements collectifs profitent aussi de l’embellie

Avec leurs 4,1 millions de nuitées cumulées, les autres hébergements collectifs touristiques (AHCT) ont contribué en 2017 pour près d’un cinquième à la fréquentation de l’ensemble des hébergements touristiques marchands du Grand Est. Grâce à ce résultat, la fréquentation dans les résidences hôtelières, résidences de tourisme, auberges de jeunesse, villages vacances et autres centres internationaux de séjour croît de 13 % après une année 2016 déjà orientée à la hausse (+ 3 %). Les nuitées des AHCT de l’ensemble de l’Hexagone progressent également (+ 7 %), de manière plus mesurée toutefois que dans la région.

La progression de fréquentation dans les AHCT du Grand Est est d’abord liée à la forte affluence des touristes résidents. À l’origine de plus de 70 % des nuitées, leur fréquentation augmente de 14 % entre 2016 et 2017. La clientèle étrangère n’est cependant pas en reste, puisque sa fréquentation croît de 12 % sur la même période, contre seulement + 3 % dans l’ensemble de la métropole.

La hausse de nuitées des AHCT se répartit de manière très inégale sur l’ensemble du territoire : la croissance est très forte pour les établissements alsaciens et dans les départements champenois et ardennais (+ 17 % et + 39 %), mais beaucoup plus modérée pour leurs homologues lorrains (+ 7 %). Dans le massif des Vosges, la fréquentation recule même, après une année 2016 déjà très compliquée (- 5 % après - 13 %). Les AHCT de cette zone semblent notamment avoir fait les frais de l’enneigement limité de l’hiver 2017. Les difficultés de début d’année se sont fait sentir dans l’ensemble de la région pour ce type d’hébergement. La fréquentation a en effet stagné entre janvier et mars (- 0,3 %), alors qu’elle a fortement progressé sur la période comprise entre octobre et décembre (+ 27 %).

Figure 1Nombre de nuitées dans les hôtels par département

en %
Nombre de nuitées dans les hôtels par département (en %)
Nombre de nuitées dans les hôtels Part de nuitées effectuées en 2017 par une clientèle étrangère
2017 (en milliers) Évolution 2017/2016 Évolution annuelle moyenne 2016/2011 (1)
Ardennes 309 3,5 1,8 23,9
Aube 771 4,6 1,7 25,7
Marne 1 607 1,8 0,6 34,5
Haute-Marne 330 -1,1 -2,4 23,3
Meurthe-et-Moselle 1 061 4,4 -0,3 23,3
Meuse 263 4,3 2,2 20,4
Moselle 1 866 8,2 2,2 23,0
Bas-Rhin 4 220 5,5 2,0 40,7
Haut-Rhin 2 948 3,8 0,5 41,3
Vosges 922 4,6 -2,2 20,9
Grand Est 14 296 4,7 0,9 33,3
France métropolitaine 209 934 4,9 -0,2 36,0
  • (1) : taux d'évolution annuel qu'aurait connu le nombre de nuitées si l'évolution avait été la même pour chaque année de la période considérée.
  • Source : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 2Nombre de nuitées dans les hôtels selon la catégorie

Nombre de nuitées dans les hôtels selon la catégorie
Nombre de nuitées en 2017 (milliers) Évolution 2017/2016 (%)
Grand Est France métropolitaine Grand Est France métropolitaine
1-2 étoiles 4 056 56 235 -7,1 -2,8
3 étoiles 5 433 78 477 0,8 4,7
4-5 étoiles 2 665 53 326 12,5 9,8
Non classés 2 143 21 896 39,2 17,0
Total 14 296 209 934 4,7 4,9
  • Source : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 3Nombre de nuitées dans les campings par département

en %
Nombre de nuitées dans les campings par département (en %)
Nombre de nuitées dans les campings Part de nuitées effectuées en 2017
2017 (en milliers) Évolution 2017/2016 Évolution annuelle moyenne 2016/2011 (1) par une clientèle étrangère sur emplacements équipés
Ardennes 178 16,9 -4,2 47,5 25,3
Aube 205 13,2 2,2 56,3 15,1
Marne 128 3,3 -4,3 57,9 12,3
Haute-Marne 228 16,7 -1,4 64,0 30,1
Meurthe-et-Moselle 98 27,3 4,7 72,4 9,4
Meuse 76 6,0 0,5 47,3 18,9
Moselle 216 -1,8 4,1 60,2 22,4
Bas-Rhin 470 17,1 1,3 51,5 32,7
Haut-Rhin 658 9,7 -0,6 60,3 21,9
Vosges 638 9,3 2,4 48,7 32,9
Grand Est 2 894 11,1 0,5 55,5 25,6
France métropolitaine 123 971 5,5 1,0 31,3 52,0
  • Note : données 2017 définitives. La fréquentation des campings n'est observée que d'avril à septembre. De 2010 à 2016 le mois d'avril a été estimé pour toutes les régions (sauf en avril 2016 où les régions Hauts-de-France, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur ont été enquêtées).
  • (1) : taux d'évolution annuel qu'aurait connu le nombre de nuitées si l'évolution avait été la même pour chaque année de la période considérée.
  • Source : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 4Nombre de nuitées dans les campings selon la catégorie

Nombre de nuitées dans les campings selon la catégorie
Nombre de nuitées en 2017 (milliers) Évolution 2017/2016 (%)
Grand Est France métropolitaine Grand Est France métropolitaine
1-2 étoiles 637 15 871 4,3 -3,2
3-4-5 étoiles 1 980 102 398 13,6 8,0
Non classés 278 5 702 10,2 -9,0
Total 2 894 123 971 11,1 5,5
  • Note : données 2017 définitives. La fréquentation des campings n'est observée que d'avril à septembre. De 2010 à 2016 le mois d'avril a été estimé pour toutes les régions (sauf en avril 2016 où les régions Hauts-de-France, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur ont été enquêtées).
  • Source : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 5Évolution des nuitées dans les hôtels et les campings

en indice base 100 en 2010
Évolution des nuitées dans les hôtels et les campings (en indice base 100 en 2010)
Nombre de nuitées - Grand Est Nombre d'arrivées - Grand Est Nombre de nuitées - France métropolitaine Nombre d'arrivées - France métropolitaine
2010 100 100 100 100
2011 103,5 102,91 103,09 103,13
2012 103,33 104,63 103,01 103,62
2013 105,61 107,66 103,65 104,31
2014 105,2 107,13 102,8 103,64
2015 106,62 107,95 105,26 106,52
2016 108,1 109,34 104,29 106,33
2017 114,24 115,45 109,66 111,32
  • Note : données 2017 définitives. La fréquentation des campings n'est observée que d'avril à septembre.
  • Source : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 5Évolution des nuitées dans les hôtels et les campings

  • Note : données 2017 définitives. La fréquentation des campings n'est observée que d'avril à septembre.
  • Source : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux du tourisme (CRT).

Avertissement

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Définitions

Hôtellerie de plein air (campings) / Campings :

Les campings sont destinés à l’accueil de tentes, de caravanes, de résidences mobiles de loisirs et d’habitations légères de loisirs. Ils sont constitués d’emplacements nus ou équipés de l’une de ces installations, ainsi que d’équipements communs.

Les hébergements classés sont évalués selon trois grands axes : la qualité de confort, la qualité des services, les bonnes pratiques en matière de respect de l’environnement et d’accueil des clientèles en situation de handicap.

Nuitée :

Le nombre de nuitées correspond au nombre total de nuits passées par les clients dans un établissement ; deux personnes séjournant trois nuits dans un hôtel comptent ainsi pour six nuitées de même que six personnes ne séjournant qu'une nuit.