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Insee Focus · Septembre 2025 · n° 359
Insee FocusParc de logements au 1er janvier 2025 La croissance du parc de logements s’atténue depuis 2010

Nicolas Charnacé (Insee)

Au 1er janvier 2025, la France hors Mayotte compte 38,4 millions de logements. 82,5 % des logements sont des résidences principales et 54,4 % des logements individuels (maisons). Depuis 2010, la croissance du parc de logements s’atténue : le nombre de logements augmente en moyenne de 0,9 % par an depuis 2018, contre +1,2 % par an entre 2000 et 2009.

Après avoir fortement augmenté entre 2005 et 2019, la part des logements vacants diminue, passant de 8,1 % en 2019 à 7,7 % en 2025 ; en 2025, 3,0 millions de logements sont vacants. Par ailleurs, 3,8 millions de logements sont des résidences secondaires ou des logements occasionnels ; après avoir augmenté entre 2011 et 2017, leur part dans l’ensemble du parc est stable.

57,4 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale, une part qui avait augmenté de 1997 à 2013 et qui est quasi stable depuis 2014.

Insee Focus
No 359
Paru le :Paru le17/09/2025

Avertissement : Outre la révision des estimations provisoires des trois dernières années, les séries historiques ont été révisées par rapport aux précédentes publications pour tenir compte d’améliorations méthodologiques (sources).

La croissance du parc de logements s’atténue depuis 2010
Publication rédigée par :Nicolas Charnacé (Insee)

Depuis 2018, le nombre de logements augmente de 0,9 % par an

Au 1er janvier 2025, la France hors Mayotte compte 38,4 millions de (figure 1, sources). L’évolution du parc de logements résulte de différents facteurs. La construction de logements neufs ainsi que la transformation de locaux non résidentiels (bureaux, commerces, etc.) en logements contribuent à augmenter le nombre de logements. Inversement, les démolitions et les changements d’usage de logements réduisent le parc.

Figure 1 – Parc de logements en 1982 et en 2025

Figure 1 – Parc de logements en 1982 et en 2025 - Lecture : En 2025, la France hors Mayotte compte 31,722 millions de résidences principales. Ces dernières représentent 82,5 % du parc de logements. Le nombre de résidences principales a augmenté de 1,1 % en moyenne par an depuis 1982.
Catégorie de logement 1982 2025p Évolution annuelle moyenne
(en %)
Nombre de logements
(en milliers)
Répartition
(en %)
Nombre de logements
(en milliers)
Répartition
(en %)
France hors Mayotte 24 023 100,0 38 437 100,0 1,1
Résidences principales 19 849 82,6 31 722 82,5 1,1
Résidences secondaires et logements occasionnels 2 279 9,5 3 753 9,8 1,2
Logements vacants 1 895 7,9 2 962 7,7 1,0
France métropolitaine 23 652 100,0 37 445 100,0 1,1
Résidences principales 19 542 82,6 30 909 82,5 1,1
Résidences secondaires et logements occasionnels 2 260 9,6 3 687 9,8 1,1
Logements vacants 1 850 7,8 2 849 7,6 1,0
Départements d’outre-mer hors Mayotte 371 100,0 992 100,0 2,3
Résidences principales 308 82,9 813 82,0 2,3
Résidences secondaires et logements occasionnels 19 5,0 66 6,7 3,0
Logements vacants 45 12,1 112 11,3 2,2
  • p : données provisoires.
  • Lecture : En 2025, la France hors Mayotte compte 31,722 millions de résidences principales. Ces dernières représentent 82,5 % du parc de logements. Le nombre de résidences principales a augmenté de 1,1 % en moyenne par an depuis 1982.
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Depuis 1982, le parc de logements en France hors Mayotte s’est accru de 1,1 % par an en moyenne (figure 2). Le rythme de croissance du parc a peu évolué sur l’ensemble de la période. Il s’atténue toutefois progressivement depuis 2010 : de 1,2 % en moyenne par an entre 2000 et 2009, il est passé à 1,1 % entre 2010 et 2015 et est de 0,9 % par an depuis 2018. La croissance du parc de logements, tirée par le nombre de , est nettement plus forte que la croissance de la population. En effet, le nombre de personnes par logement diminue, en lien avec l’évolution des modes de vie (mises en couple plus tardives, séparations plus fréquentes, vieillissement de la population, etc.) ; pour loger un nombre d’habitants donné, il faut donc plus de logements que par le passé.

Figure 2 – Évolution du nombre de logements selon la catégorie et de la population

indice base 100 en 1982
Figure 2 – Évolution du nombre de logements selon la catégorie et de la population (indice base 100 en 1982) - Lecture : Entre 1982 et 2025, le nombre de logements vacants a augmenté de 56,3 % (indice 156,3, base 100 en 1982).
Année Ensemble des logements Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants Population
1982 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
1983 101,5 101,4 103,1 100,4 100,6
1984 103,1 102,9 106,4 100,9 101,1
1985 104,6 104,3 109,5 101,3 101,6
1986 106,0 105,6 112,6 101,6 102,1
1987 107,3 106,9 115,8 101,8 102,6
1988 108,6 108,1 118,6 101,9 103,2
1989 109,8 109,2 121,4 101,9 103,8
1990 111,0 110,3 124,2 101,9 104,4
1991 112,3 111,8 124,9 102,7 104,9
1992 113,5 113,1 125,3 103,5 105,4
1993 114,7 114,4 125,8 104,2 105,9
1994 115,9 115,7 126,2 104,9 106,3
1995 117,1 117,1 126,7 105,7 106,7
1996 118,3 118,5 127,1 106,4 107,0
1997 119,5 119,8 127,5 107,0 107,4
1998 120,7 121,1 127,8 107,7 107,8
1999r 121,8 122,6 128,2 106,0 108,2
2000r 123,3 124,3 128,9 105,8 108,9
2001r 124,8 126,0 129,7 105,6 109,7
2002r 126,2 127,8 130,4 104,4 110,5
2003r 127,7 129,6 131,3 103,2 111,3
2004r 129,2 131,3 132,5 103,0 112,0
2005r 130,7 133,0 133,8 102,7 112,9
2006r 132,3 134,6 135,6 104,3 113,7
2007r 134,0 136,2 136,4 107,7 114,5
2008r 135,6 137,6 137,2 112,6 115,1
2009r 137,2 139,0 137,3 118,3 115,7
2010r 138,7 140,2 137,8 123,5 116,3
2011r 140,2 141,5 138,6 127,9 116,8
2012r 141,7 142,7 140,3 133,1 117,4
2013r 143,3 143,9 141,9 138,1 118,0
2014r 144,9 145,2 144,3 142,3 118,6
2015r 146,5 146,4 146,9 146,3 119,1
2016r 147,9 147,6 149,5 149,8 119,4
2017r 149,4 148,8 152,1 152,1 119,7
2018r 150,8 150,2 154,2 153,1 120,1
2019r 152,2 151,5 155,6 155,5 120,5
2020r 153,6 152,9 157,4 156,2 120,9
2021r 154,8 154,2 159,0 156,5 121,3
2022r 156,2 155,7 160,2 156,0 121,9
2023p 157,5 157,1 161,8 156,2 122,3
2024p 158,8 158,5 163,3 156,3 122,6
2025p 160,0 159,8 164,7 156,3 122,9
  • p : données provisoires ; r : données révisées.
  • Lecture : Entre 1982 et 2025, le nombre de logements vacants a augmenté de 56,3 % (indice 156,3, base 100 en 1982).
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee, estimations de population ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Figure 2 – Évolution du nombre de logements selon la catégorie et de la population

  • Note : Les données de 1999 à 2022 sont révisées, celles de 2023, 2024 et 2025 sont provisoires.
  • Lecture : Entre 1982 et 2025, le nombre de logements vacants a augmenté de 56,3 % (indice 156,3, base 100 en 1982).
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee, estimations de population ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

La part des logements vacants diminue depuis 2019

En 2025, en France hors Mayotte, le parc de logements est constitué de 31,7 millions de résidences principales (82,5 % du parc de logements), 3,8 millions de et (9,8 %) et 3,0 millions de (7,7 %).

Après s’être stabilisée à un haut niveau au milieu des années 2000 (84,1 % en 2005 et 2006), la part des résidences principales diminue jusqu’en 2019 pour atteindre 82,2 % (figure 3). Elle augmente légèrement depuis (+0,3 point entre 2019 et 2025).

Figure 3 – Répartition du parc selon la catégorie de logement

en %
Figure 3 – Répartition du parc selon la catégorie de logement (en %) - Lecture : En 2025, 82,5 % des logements sont des résidences principales, 9,8 % des résidences secondaires et des logements occasionnels et 7,7 % des logements vacants.
Année Résidences principales Résidences secondaires
et logements occasionnels
Logements vacants
1982 82,6 9,5 7,9
1983 82,6 9,6 7,8
1984 82,5 9,8 7,7
1985 82,4 9,9 7,6
1986 82,4 10,1 7,6
1987 82,3 10,2 7,5
1988 82,2 10,4 7,4
1989 82,2 10,5 7,3
1990 82,1 10,6 7,2
1991 82,2 10,5 7,2
1992 82,3 10,5 7,2
1993 82,4 10,4 7,2
1994 82,5 10,3 7,1
1995 82,6 10,3 7,1
1996 82,7 10,2 7,1
1997 82,8 10,1 7,1
1998 82,9 10,0 7,0
1999r 83,2 10,0 6,9
2000r 83,3 9,9 6,8
2001r 83,5 9,9 6,7
2002r 83,7 9,8 6,5
2003r 83,9 9,8 6,4
2004r 84,0 9,7 6,3
2005r 84,1 9,7 6,2
2006r 84,1 9,7 6,2
2007r 84,0 9,7 6,3
2008r 83,9 9,6 6,6
2009r 83,7 9,5 6,8
2010r 83,6 9,4 7,0
2011r 83,4 9,4 7,2
2012r 83,2 9,4 7,4
2013r 83,0 9,4 7,6
2014r 82,8 9,4 7,7
2015r 82,6 9,5 7,9
2016r 82,4 9,6 8,0
2017r 82,3 9,7 8,0
2018r 82,3 9,7 8,0
2019r 82,2 9,7 8,1
2020r 82,3 9,7 8,0
2021r 82,3 9,7 8,0
2022r 82,4 9,7 7,9
2023p 82,4 9,7 7,8
2024p 82,5 9,8 7,8
2025p 82,5 9,8 7,7
  • p : données provisoires ; r : données révisées.
  • Lecture : En 2025, 82,5 % des logements sont des résidences principales, 9,8 % des résidences secondaires et des logements occasionnels et 7,7 % des logements vacants.
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Figure 3 – Répartition du parc selon la catégorie de logement

  • Note : Les données de 1999 à 2022 sont révisées, celles de 2023, 2024 et 2025 sont provisoires.
  • Lecture : En 2025, 82,5 % des logements sont des résidences principales, 9,8 % des résidences secondaires et des logements occasionnels et 7,7 % des logements vacants.
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Après avoir baissé de 1982 à 2005, la part des logements vacants a augmenté fortement entre 2005 et 2019, passant de 6,2 % à 8,1 %, retrouvant ainsi le niveau de 1982 (7,9 %). Sur cette période, le nombre de logements vacants a augmenté 3,1 fois plus vite que l’ensemble du parc de logements. Désormais, il augmente moins vite que l’ensemble du parc. Ainsi, la part des logements vacants diminue entre 2019 et 2025, passant de 8,1 % à 7,7 %. Un logement peut être inoccupé donc vacant pour différentes raisons : il est mis en location ou en vente mais n’a pas encore trouvé preneur, il a été loué ou vendu mais n’est pas encore occupé, il est vide à la suite d’un départ en maison de retraite, il est en attente de règlement de succession, il est trop vétuste pour être habité, etc. La vacance de courte durée est inhérente au fonctionnement du marché immobilier. D’autres logements restent durablement vacants, notamment parce qu’ils ne correspondent pas toujours aux attentes des ménages (localisation, taille, prix, état, etc.) [Ouvrir dans un nouvel ongletBoutchenik, Mathieu, 2023].

La part des résidences secondaires et des logements occasionnels se stabilise depuis 2017 ; elle atteint 9,8 % en 2025. Elle a légèrement augmenté entre 2011 et 2017, de 9,4 % à 9,7 %. Le nombre de résidences secondaires et logements occasionnels a en effet davantage augmenté que l’ensemble du parc sur cette période. Par le passé, la part des résidences secondaires et des logements occasionnels a augmenté entre 1982 et 1990, passant de 9,5 % à 10,6 %, puis a diminué régulièrement jusqu’en 2011.

54 % des logements sont des maisons

En 2025, l’ (maisons) représente 54,4 % des logements (figure 4). Ce type d’habitat est majoritaire parmi les résidences principales et parmi les résidences secondaires ou logements occasionnels. La part de l’habitat individuel a tendance à baisser, selon une temporalité et un rythme variables selon la catégorie de logement. Parmi les résidences principales, elle diminue depuis une dizaine d’années (de 57,0 % en 2013 à 55,5 % en 2025), mais c’est au sein des résidences secondaires ou logements occasionnels qu’elle a le plus baissé, passant de 61,7 % en 2006 à 52,3 % en 2025. Elle baisse plus récemment au sein des logements vacants, passant de 49,0 % en 2016 à 45,1 % en 2025.

Figure 4 – Part de l’habitat individuel selon la catégorie de logement

en %
Figure 4 – Part de l’habitat individuel selon la catégorie de logement (en %) - Lecture : En 2025, 55,5 % des résidences principales sont des logements individuels.
Année Résidences principales Résidences secondaires
et logements occasionnels
Logements vacants Ensemble des logements
1982 54,4 66,6 52,4 55,4
1983 54,7 66,0 52,4 55,6
1984 55,0 65,4 52,5 55,9
1985 55,3 64,8 52,6 56,1
1986 55,7 64,3 52,6 56,3
1987 55,9 63,7 52,6 56,5
1988 56,1 63,0 52,5 56,5
1989 56,2 62,4 52,3 56,5
1990 56,3 61,7 52,1 56,5
1991 56,3 61,6 51,3 56,5
1992 56,3 61,5 50,4 56,4
1993 56,2 61,4 49,6 56,3
1994 56,2 61,2 48,7 56,2
1995 56,2 61,1 47,9 56,1
1996 56,2 61,0 47,0 56,0
1997 56,2 61,0 46,2 56,0
1998 56,2 60,9 45,5 55,9
1999r 56,3 61,0 44,7 56,0
2000r 56,3 61,1 45,1 56,1
2001r 56,4 61,2 45,6 56,2
2002r 56,5 61,3 46,0 56,3
2003r 56,6 61,4 46,5 56,4
2004r 56,6 61,5 47,0 56,5
2005r 56,7 61,6 47,5 56,6
2006r 56,8 61,7 47,9 56,7
2007r 56,8 61,2 48,1 56,7
2008r 56,9 60,6 48,1 56,7
2009r 57,0 59,9 48,1 56,7
2010r 57,0 59,4 48,1 56,6
2011r 57,0 59,1 48,3 56,6
2012r 57,0 58,8 48,3 56,5
2013r 57,0 58,4 48,4 56,4
2014r 56,9 57,9 48,6 56,4
2015r 56,9 57,3 48,8 56,3
2016r 56,8 56,7 49,0 56,2
2017r 56,7 56,2 48,8 56,0
2018r 56,6 55,5 48,7 55,8
2019r 56,5 55,4 48,7 55,8
2020r 56,4 54,8 48,0 55,5
2021r 56,2 54,3 47,3 55,3
2022r 56,0 53,9 46,8 55,1
2023p 55,9 53,3 46,3 54,9
2024p 55,7 52,8 45,7 54,6
2025p 55,5 52,3 45,1 54,4
  • p : données provisoires ; r : données révisées.
  • Lecture : En 2025, 55,5 % des résidences principales sont des logements individuels.
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Figure 4 – Part de l’habitat individuel selon la catégorie de logement

  • Note : Les données de 1999 à 2022 sont révisées, celles de 2023, 2024 et 2025 sont provisoires.
  • Lecture : En 2025, 55,5 % des résidences principales sont des logements individuels.
  • Champ : France hors Mayotte.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Une part de ménages propriétaires de leur résidence principale quasi stable depuis dix ans

En 2025, 57,4 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale (figure 5). Cette part est quasi stable depuis 2014 (-0,2 point en 11 ans). Cela fait suite à une hausse continue entre 1997 et 2013, année où elle atteint son maximum (57,7 %, soit +2,7 points en 16 ans). Par le passé, elle avait fortement augmenté entre 1982 et 1990, passant de 50,6 % à 55,0 %, puis s’était stabilisée jusqu’en 1997.

Figure 5 – Répartition des résidences principales selon le statut d'occupation

en %
Figure 5 – Répartition des résidences principales selon le statut d'occupation (en %) - Lecture : En 2025, 57,4 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale.
Année Ensemble des propriétaires Propriétaires sans charge de remboursement Accédants à la propriété Ensemble des locataires Bailleurs publics Bailleurs privés Logés gratuitement
1982r 50,6 27,6 23,0 41,6 14,8 26,7 7,8
1983r 51,3 27,8 23,5 41,2 15,1 26,2 7,5
1984r 51,9 28,0 23,9 40,9 15,3 25,6 7,2
1985r 52,6 28,2 24,3 40,6 15,5 25,1 6,8
1986r 53,2 28,4 24,8 40,3 15,7 24,6 6,5
1987r 53,8 28,7 25,2 40,0 15,9 24,1 6,2
1988r 54,4 28,8 25,6 39,7 16,1 23,6 5,9
1989r 54,9 29,0 26,0 39,5 16,4 23,1 5,5
1990r 55,0 29,6 25,3 39,6 16,7 22,9 5,4
1991r 54,9 30,3 24,7 39,7 17,1 22,6 5,4
1992r 54,9 30,9 24,0 39,8 17,4 22,4 5,3
1993r 54,9 31,5 23,3 39,9 17,8 22,2 5,2
1994r 54,9 31,9 23,0 40,1 18,0 22,1 5,0
1995r 54,9 32,3 22,6 40,3 18,3 22,1 4,7
1996r 55,0 32,7 22,3 40,5 18,5 22,0 4,5
1997r 55,0 33,1 22,0 40,7 18,7 21,9 4,3
1998r 55,2 33,5 21,7 40,6 18,7 22,0 4,2
1999r 55,5 34,0 21,5 40,5 18,5 22,0 4,0
2000r 55,7 34,4 21,3 40,4 18,4 22,0 3,9
2001r 55,9 34,9 21,0 40,4 18,3 22,0 3,7
2002r 56,1 35,3 20,8 40,3 18,2 22,0 3,6
2003r 56,4 35,9 20,5 40,2 18,2 22,0 3,4
2004r 56,7 36,5 20,2 40,1 18,1 22,0 3,3
2005r 56,9 37,1 19,9 40,0 18,0 21,9 3,1
2006r 57,2 37,6 19,5 39,9 18,0 21,9 3,0
2007r 57,4 37,8 19,6 39,8 17,9 21,9 2,9
2008r 57,5 37,9 19,6 39,7 17,8 21,9 2,8
2009r 57,6 38,0 19,6 39,7 17,7 22,0 2,7
2010r 57,7 38,0 19,7 39,7 17,6 22,1 2,6
2011r 57,7 38,0 19,7 39,8 17,6 22,2 2,5
2012r 57,7 38,0 19,7 39,8 17,5 22,3 2,5
2013r 57,7 37,9 19,8 39,9 17,5 22,4 2,4
2014r 57,6 37,8 19,8 40,0 17,5 22,5 2,4
2015r 57,6 37,5 20,1 40,1 17,5 22,6 2,3
2016r 57,6 37,3 20,3 40,1 17,5 22,6 2,3
2017r 57,5 36,9 20,6 40,2 17,5 22,7 2,3
2018r 57,5 36,7 20,8 40,3 17,6 22,7 2,2
2019r 57,5 36,5 21,1 40,2 17,5 22,7 2,2
2020r 57,5 36,2 21,3 40,3 17,6 22,7 2,2
2021r 57,5 36,0 21,6 40,3 17,6 22,7 2,2
2022r 57,5 35,7 21,8 40,3 17,6 22,7 2,2
2023p 57,5 35,4 22,1 40,3 17,6 22,7 2,2
2024p 57,4 35,1 22,3 40,3 17,6 22,7 2,2
2025p 57,4 34,9 22,6 40,4 17,6 22,8 2,2
  • p : données provisoires ; r : données révisées.
  • Notes :
    – Les données de 1982 à 2022 sont révisées, celles de 2023, 2024 et 2025 sont provisoires.
    – Les bailleurs publics regroupent les bailleurs HLM, les autres bailleurs sociaux tels que les sociétés d'économie mixte (SEM), l'État, les collectivités locales et les établissements publics.
    – Les bailleurs privés regroupent les ménages propriétaires bailleurs et les bailleurs autres personnes morales (associations, mutuelles, banques, sociétés d'assurance, sociétés immobilières, etc.).
  • Lecture : En 2025, 57,4 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale.
  • Champ : France hors Mayotte, résidences principales.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Figure 5 – Répartition des résidences principales selon le statut d'occupation

  • Notes :
    – Les données de 1982 à 2022 sont révisées, celles de 2023, 2024 et 2025 sont provisoires.
    – Les bailleurs publics regroupent les bailleurs HLM, les autres bailleurs sociaux tels que les sociétés d'économie mixte (SEM), l'État, les collectivités locales et les établissements publics.
    – Les bailleurs privés regroupent les ménages propriétaires bailleurs et les bailleurs autres personnes morales (associations, mutuelles, banques, sociétés d'assurance, sociétés immobilières, etc.).
  • Lecture : En 2025, 57,4 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale.
  • Champ : France hors Mayotte, résidences principales.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

L’évolution de la part des propriétaires est contrastée selon qu’ils ont ou non un emprunt en cours. La part des propriétaires sans charge de remboursement diminue depuis 2013 pour atteindre 34,9 % en 2025 (-3,0 points sur la période). Par le passé, elle s’est sensiblement accrue entre 1982 et 2007 (passant de 27,6 % à 37,8 %), puis s’est stabilisée jusqu’en 2014. À l’inverse, la part des , qui ont un emprunt en cours, augmente entre 2014 et 2025 pour atteindre 22,6 % en 2025 (+2,8 points). Cela fait suite à une période de baisse entre 1989 et 2006, où la part des propriétaires accédants était passée de 26,0 % à 19,5 %, puis à une période de stabilité entre 2006 et 2014. Outre leur résidence principale, certains propriétaires détiennent d’autres logements (encadré).

La part des ménages locataires de leur résidence principale se maintient aux environs de 40 % depuis quarante ans. En 2025, les logements détenus par des représentent 22,8 % du parc de résidences principales, ceux détenus par des , 17,6 %. Depuis 1997, la part des logements loués par des bailleurs privés augmente légèrement (+0,9 point sur la période), tandis que la part des logements loués par des bailleurs publics a diminué pour atteindre 17,5 % en 2012 (soit -1,2 point par rapport à son maximum atteint en 1997) et est stable depuis.

Enfin, la proportion des (par exemple, par leur employeur) baisse de façon continue depuis 1982, d’abord fortement, puis à un rythme nettement plus faible, en particulier depuis une dizaine d’années. Elle passe de 7,8 % en 1982 à 2,2 % en 2025.

Davantage de logements vacants en dehors des unités urbaines

En 2025, 14,5 % des logements sont situés dans l’ de Paris et 21,4 % dans des communes hors unité urbaine. Le reste des logements sont répartis à parts égales entre les unités urbaines de moins de 100 000 habitants (33,1 %) et les unités urbaines de plus de 100 000 habitants hors Paris (31,0 %).

La part des logements vacants diminue lorsque la taille de l’unité urbaine augmente : elle est maximale dans les communes hors unité urbaine (8,1 % en 2025) et minimale dans les unités urbaines de 100 000 habitants ou plus, y compris Paris (7,4 %) (figure 6). Il en est de même pour la part de résidences secondaires ou logements occasionnels : elle atteint 16,3 % dans les communes hors des unités urbaines, contre 4,4 % dans l’unité urbaine de Paris et 5,6 % dans les unités urbaines de 100 000 habitants ou plus (hors Paris). Par conséquent, la part de résidences principales est maximale dans l’unité urbaine de Paris (88,2 % des logements, contre 82,5 % en moyenne dans l’ensemble de la France). La part de l’habitat individuel (maisons) diminue également lorsque la taille de l’unité urbaine augmente, ce pour toutes les catégories de logement. Hors unités urbaines, 89,4 % des logements sont des maisons.

Figure 6 – Répartition des logements selon la catégorie de logement et la taille de l’unité urbaine au 1er janvier 2025

en %
Figure 6 – Répartition des logements selon la catégorie de logement et la taille de l’unité urbaine au 1er janvier 2025 (en %) - Lecture : Dans l’unité urbaine de Paris, 88,2 % des logements sont des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et logements occasionnels et 7,4 % des logements vacants au 1er janvier 2025.
Taille de l’unité urbaine Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants
Unité urbaine de Paris 88,2 4,4 7,4
Unités urbaines de 100 000 habitants ou plus (hors Paris) 87,0 5,6 7,4
Unités urbaines
de moins de 100 000 habitants
80,4 11,8 7,9
Communes hors unité urbaine 75,6 16,3 8,1
Ensemble des communes 82,5 9,7 7,7
  • Note : Données provisoires.
  • Lecture : Dans l’unité urbaine de Paris, 88,2 % des logements sont des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et logements occasionnels et 7,4 % des logements vacants au 1er janvier 2025.
  • Champ : France hors Mayotte, zonage en unités urbaines de 2020.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Figure 6 – Répartition des logements selon la catégorie de logement et la taille de l’unité urbaine au 1er janvier 2025

  • Note : Données provisoires.
  • Lecture : Dans l’unité urbaine de Paris, 88,2 % des logements sont des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et logements occasionnels et 7,4 % des logements vacants au 1er janvier 2025.
  • Champ : France hors Mayotte, zonage en unités urbaines de 2020.
  • Sources : Insee ; ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, Service des données et études statistiques ; estimations annuelles du parc de logements au 1er janvier 2025.

Le nombre de logements s’accroît plus fortement dans les DOM qu’en France métropolitaine

Dans les départements d’outre-mer (DOM) hors Mayotte, le parc de logements augmente plus rapidement qu’en France métropolitaine. Cependant, le rythme ralentit également : +1,5 % en moyenne par an entre 2010 et 2025, contre +2,4 % entre 2000 et 2010 et +2,9 % entre 1982 et 2000.

En 2025, les logements sont plus souvent vacants dans les DOM hors Mayotte qu’en France métropolitaine (11,3 % contre 7,6 %) (figure 1). Les résidences secondaires et logements occasionnels sont en revanche moins nombreux (6,7 % du parc, contre 9,8 %). Au total, les résidences principales représentent 82,0 % du parc dans les DOM, une part proche de celle de la France métropolitaine (82,5 %).

65,8 % des logements ultramarins sont des logements individuels (maisons), soit bien plus qu’en France métropolitaine (54,1 %). Cette part y est néanmoins en net recul depuis 1982 : elle était alors de 77,6 %. Les logements individuels restent majoritaires quelle que soit la catégorie de logement.

En 2025, les ménages sont plus souvent locataires dans les DOM hors Mayotte qu’en France métropolitaine (43,1 % des résidences principales, contre 40,3 %). Ils sont aussi plus souvent logés gratuitement (6,0 % contre 2,1 %). À l’inverse, les ménages propriétaires sont moins nombreux (50,9 %, contre 57,6 % en France métropolitaine).

Encadré ‒ Un tiers des propriétaires possèdent deux logements ou plus

Obtenue en rapprochant des sources fiscales et des données de l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), la Base de la propriété foncière permet d’étudier la multipropriété. En France hors Mayotte, en 2022, 9,7 millions de personnes, soit un tiers des propriétaires, possèdent, seules ou en commun, au moins deux logements [Argouarc’h et al., 2025]. Ces multipropriétaires sont globalement plus âgés et plus aisés que les monopropriétaires. Six multipropriétaires sur dix possèdent deux logements, tandis que 3 % en détiennent dix ou plus.

Deux logements sur trois du parc privé sont ainsi détenus par au moins une personne multipropriétaire. Cette situation est plus fréquente dans les départements touristiques et dans les pôles des grandes agglomérations. En dehors de leur résidence principale, les multipropriétaires louent la majorité de leurs logements. Parmi les logements détenus par des particuliers, la moitié des biens loués appartiennent à au moins une personne propriétaire de cinq logements ou plus, alors que ces dernières ne représentent que 4 % des propriétaires.

Publication rédigée par :Nicolas Charnacé (Insee)
Publication rédigée par :Nicolas Charnacé (Insee)

Sources

Les estimations annuelles du parc de logements (EAPL) font la synthèse et la mise en cohérence de plusieurs sources, la principale étant le recensement de la population, dont les dernières données disponibles sont relatives à 2022.

En France métropolitaine, les EAPL s’appuient également sur les fichiers de la taxe d’habitation (disponibles jusqu’au 1er janvier 2022) et depuis sa suppression sur les enquêtes annuelles du recensement (millésimes 2023 et 2024), ainsi que sur le répertoire d’immeubles localisés (Ril) (dernier millésime 2024) et les enquêtes Logement (pour le statut d’occupation détaillé, le dernier millésime disponible étant l’enquête 2020).

Pour les DOM hors Mayotte, l’estimation est réalisée à l'aide du recensement et des enquêtes Logement (dernier millésime 2013). Il n’y a pas d’estimation par DOM. Pour Mayotte, le parc de logements comprend de l’ordre de 80 000 logements ; le recensement exhaustif qui aura lieu début 2026 permettra de disposer d’une estimation plus précise.

Les données relatives aux trois dernières années (2023, 2024 et 2025) sont provisoires. Les données 2022 sont maintenant définitives. Elles ont été révisées avec l’intégration des dernières données disponibles. En outre, des améliorations méthodologiques ont conduit à réviser les séries sur le passé, y compris les points considérés définitifs lors de la précédente diffusion [Freppel, 2024], afin de mettre à disposition des séries cohérentes dans le temps :

  • le statut d’occupation agrégé – propriétaire/locataire/logé gratuitement – est désormais déterminé à partir du recensement de la population, qui permet une meilleure précision du fait de la taille de son échantillon et est disponible annuellement. Seul le statut détaillé (propriétaire accédant/non accédant, locataire d’un logement détenu par un bailleur public/privé) reste issu de l’enquête Logement. La série a été rétropolée depuis 1982.
  • deux ajustements statistiques ont été introduits. Le premier affecte la répartition entre résidences principales et logements vacants, dont le repérage est plus précis avec l’évolution du protocole du recensement de la population, généralisé en 2022 afin de favoriser la réponse par internet. Le second affecte le nombre total de logements ; il résulte d’une opération exceptionnelle d’amélioration de la qualité du Ril réalisée en 2021. Une explication détaillée est disponible sur insee.fr. Les données ont été révisées depuis 1999.

Définitions

Un logement est un local utilisé pour l’habitation :

  • séparé, c’est-à-dire fermé par des murs et cloisons, sans communication avec un autre local sauf avec les parties communes de l’immeuble (couloir, escalier, etc.) ;
  • indépendant, c’est-à-dire ayant une entrée avec accès direct sur l’extérieur ou sur les parties communes de l’immeuble.

Les logements sont répartis en quatre catégories : résidences principales, résidences secondaires, logements occasionnels, logements vacants.

Bien qu’ayant des caractéristiques particulières, les logements-foyers pour personnes âgées, les chambres meublées et les habitations précaires ou de fortune (caravanes, mobile home, etc.) sont aussi des logements au sens de l’Insee.

Les logements dits « non ordinaires », dans des résidences qui offrent des services spécifiques (résidences pour personnes âgées, pour étudiants, de tourisme, à vocation sociale, pour personnes handicapées, etc.), ne sont pas comptabilisés ici.

Une résidence principale est un logement occupé de façon habituelle et à titre principal par une ou plusieurs personnes qui constituent un ménage.

Une résidence secondaire est un logement utilisé pour des séjours de courte durée (week-ends, loisirs, ou vacances). Les logements meublés mis en location pour des séjours touristiques sont également classés en résidences secondaires. Distinguer logements occasionnels et résidences secondaires est parfois difficile, c’est pourquoi ils sont souvent regroupés.

Un logement occasionnel est un logement ou une pièce indépendante utilisée occasionnellement pour des raisons professionnelles (par exemple, un pied-à-terre professionnel d'une personne qui ne rentre qu'en fin de semaine auprès de sa famille).

Un logement vacant est un logement inoccupé se trouvant dans l'un des cas suivants : proposé à la vente, à la location ; déjà attribué à un acheteur ou un locataire et en attente d'occupation ; en attente de règlement de succession ; conservé par un employeur pour un usage futur au profit d'un de ses employés ; gardé vacant et sans affectation précise par le propriétaire (exemple un logement très vétuste, etc.). Il est à distinguer des résidences secondaires. Ici, l’information est issue du recensement de la population : la vacance du logement est donc constatée par un agent recenseur grâce à une enquête de voisinage.

Un logement individuel est un logement dans une maison individuelle. Une maison peut comporter deux logements individuels s'ils ont été construits par le même maître d'ouvrage d'après le code de la construction et de l'habitation.

Un logement collectif (appartement) fait partie d’un bâtiment dans lequel sont superposés plus de deux logements distincts et dont certains ne disposent pas d’un accès privatif.

Un propriétaire accédant a encore des emprunts à rembourser pour l'achat de sa résidence principale.

Les bailleurs privés correspondent aux ménages propriétaires bailleurs et aux bailleurs personnes morales appartenant au secteur privé.

Les bailleurs publics regroupent les organismes d’habitations à loyer modéré (HLM), les sociétés d’économie mixte, l’État, les collectivités locales et les établissements publics ; que le logement soit conventionné ou non et que son loyer relève de la législation HLM ou non.

Les ménages logés à titre gratuit sont des ménages qui ne sont pas propriétaires de leur logement et qui ne paient pas de loyer. Ils peuvent néanmoins payer des charges. Il s'agit par exemple de personnes logées par leur employeur ou par un membre de leur famille à titre gracieux.

Les unités urbaines sont construites en France métropolitaine et dans les DOM d’après la définition suivante : une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) qui compte au moins 2 000 habitants.

Pour en savoir plus