Les salaires dans le secteur privé et les entreprises publiques en 2018 Base Tous salariés - Insee Résultats

Chiffres détaillés
Insee Résultats
Paru le :Paru le07/04/2021
Insee Résultats- Avril 2021

Les salaires bruts dans le secteur privé et les entreprises publiques en 2018

En 2018, en France, les salariés du secteur privé (y compris les entreprises publiques) perçoivent en moyenne 37 644 euros bruts en équivalent temps plein. Les femmes gagnent en moyenne 16,4 % de moins que les hommes. Le salaire brut horaire moyen s’élève à 20,3 euros en 2018 (après 19,9 euros en 2017). Dans les secteurs des services financiers, de l’énergie, des télécommunications et de la recherche-développement, il atteint 31 euros. Il est également plus élevé en Île-de-France (26,1 euros) qu’en province (18,3 euros).

Insee Résultats

Paru le :07/04/2021

En 2018, le salaire brut en équivalent temps plein atteint en moyenne 37 644 euros par an

En 2018, en France, le salaire brut horaire moyen des salariés du secteur privé (y compris les entreprises publiques) s’élève à 20,3 euros, après 19,9 euros en 2017. Ces salariés perçoivent en moyenne 37 644 euros bruts par an en équivalent temps plein (EQTP). La moitié d’entre eux perçoivent un salaire brut annuel en EQTP inférieur à 29 536 euros (médiane). Les 10 % de salariés les mieux rémunérés gagnent plus de 60 869 euros par an (9e décile), alors que les 10 % de salariés les moins bien rémunérés perçoivent moins de 20 018 euros (1er décile).

Le salaire brut des femmes en EQTP est inférieur de 16,4 % à celui des hommes

En 2018, dans le secteur privé (y compris les entreprises publiques), le salaire brut en EQTP des femmes est inférieur de 16,4 % à celui des hommes : 33 779 euros contre 40 398 euros en moyenne (figure). Cet écart provient en partie des différences de catégorie socioprofessionnelle. En effet, en EQTP, 23 % des hommes occupent des postes de cadre contre 18 % des femmes, soit 5 points de moins. À l’inverse, la part des postes d’employés occupés par des femmes est trois fois plus élevée (47 %) que pour les hommes (16 %). En outre, parmi les postes à temps partiel, les femmes sont près de trois fois plus nombreuses que les hommes (73 % contre 27 %).

Les cadres ont les salaires les plus hétérogènes : le rapport interdécile des salaires annuels bruts en EQTP (rapport entre le 9ᵉ décile et le 1ᵉʳ décile) est de 3,3, tandis qu’il est inférieur ou égal à 2,3 pour les autres catégories socioprofessionnelles. Du fait notamment de leur sous-représentation parmi les cadres, les salaires des femmes sont moins dispersés que ceux des hommes : toutes catégories socioprofessionnelles confondues, le rapport interdécile est de 2,7 pour les femmes contre 3,2 pour les hommes.

Le salaire varie également en fonction de l’âge : en moyenne, les salariés de 50 ans ou plus du secteur privé perçoivent un salaire brut annuel en EQTP de 44 608 euros, contre 24 293 euros pour les salariés de 25 ans ou moins.

Salaire brut annuel moyen en équivalent temps plein par sexe et catégorie socioprofessionnelle en 2018

en euros
Salaire brut annuel moyen en équivalent temps plein par sexe et catégorie socioprofessionnelle en 2018 (en euros) - Lecture : en 2018, les femmes employées perçoivent en moyenne 26 132 euros par an en équivalent temps plein.
Femmes Hommes Ensemble
Cadres et professions intellectuelles supérieures1 59 526 72 099 67 596
Professions intermédiaires 34 926 39 795 37 558
Employés 26 132 27 668 26 623
Ouvriers non qualifiés 22 338 24 487 23 762
Ouvriers qualifiés 26 960 29 871 29 547
Ensemble 33 779 40 398 37 644
  • 1. Y compris chefs d'entreprises salariés.
  • Lecture : en 2018, les femmes employées perçoivent en moyenne 26 132 euros par an en équivalent temps plein.
  • Champ : France hors Mayotte, salariés en équivalent temps plein (EQTP) du secteur privé ou des entreprises publiques, hors agriculture, y compris bénéficiaires de contrats aidés et contrats de professionnalisation. Sont exclus, les apprentis, les stagiaires et les salariés des particuliers employeurs.
  • Source : Insee, base Tous salariés 2018.

Salaire brut annuel moyen en équivalent temps plein par sexe et catégorie socioprofessionnelle en 2018

  • 1. Y compris chefs d'entreprises salariés.
  • Lecture : en 2018, les femmes employées perçoivent en moyenne 26 132 euros par an en équivalent temps plein.
  • Champ : France hors Mayotte, salariés en équivalent temps plein (EQTP) du secteur privé ou des entreprises publiques, hors agriculture, y compris bénéficiaires de contrats aidés et contrats de professionnalisation. Sont exclus, les apprentis, les stagiaires et les salariés des particuliers employeurs.
  • Source : Insee, base Tous salariés 2018.

Les salaires horaires bruts moyens sont deux fois moins élevés dans l’action sociale que dans les services financiers

Les quatre secteurs où les salaires sont les plus élevés sont les services financiers, la production et distribution d’énergie, les télécommunications ainsi que la recherche-développement, avec un salaire horaire brut moyen qui atteint au moins 31 euros, soit plus d’une fois et demie la moyenne de l’ensemble des secteurs (20,3 euros). Les emplois sont plus qualifiés dans ces secteurs : la part de cadres et professions intermédiaires (en EQTP) y varie de 75 % à 89 %, soit autour de deux fois plus que dans l’ensemble des emplois du secteur privé (41 %).

À l’opposé, dans l’action sociale et l’hébergement-restauration, le salaire horaire brut moyen est nettement moins élevé que dans l’ensemble des secteurs (entre 14 et 16 euros). Notamment, dans ces secteurs, la part de cadres atteint 7 %, contre 21 % pour l’ensemble des salariés du secteur privé. En revanche, dans ces mêmes secteurs, la part des ouvriers et des employés y est nettement supérieure : de 67 % à 84 %, contre 59 % en moyenne.

Outre ces disparités sectorielles, le salaire horaire brut augmente avec la taille de l’établissement : 16,9 euros en moyenne dans les entreprises de 1 à 9 salariés, 18,9 euros dans celles de 10 à 49 salariés et 28,7 euros dans les entreprises de 500 salariés ou plus.

Le salaire brut horaire moyen est 42 % plus élevé en Île-de-France qu’en province

Les différences de salaires entre l’Île-de-France et la province sont très marquées. En effet, le salaire brut horaire moyen d’un salarié du secteur privé (y compris entreprises publiques) est de 26,1 euros en Île-de-France, soit un salaire 42 % plus élevé qu’en province (18,3 euros), du fait notamment d’une plus grande concentration de sièges sociaux, de grandes entreprises et d’activités de services que les autres régions.

En province, les rémunérations moyennes sont les plus élevées en Auvergne-Rhône-Alpes et en Provence-Alpes-Côte d’Azur (respectivement 19,5 euros et 19,0 euros), du fait d’une plus forte proportion de salariés qualifiés que dans les autres régions. À l’opposé, les rémunérations brutes horaires sont en moyenne les plus faibles en Bretagne (17,5 euros) et en Corse (16,8 euros).

Dans chacun des DOM (hors Mayotte), le salaire brut horaire moyen est inférieur à celui de la métropole. Avec 19,1 euros, la Guyane a le salaire brut horaire moyen le plus élevé des DOM, suivie de la Guadeloupe (18,7 euros), de la Martinique (18,6 euros) et de La Réunion (17,2 euros).

Avertissement

Le secret statistique

Dans les tableaux, le « S » indique une case masquée pour cause de secret statistique.

Pour les tableaux au lieu de résidence, les critères sont les suivants :

  • aucune case ne doit comporter moins de 5 salariés ;
  • aucun salarié ne doit représenter plus de 80 % de la masse salariale de la case.

Pour les tableaux au lieu de travail, les critères sont les suivants :

  • en plus des deux critères précédents, aucune case ne doit se rapporter à moins de 3 établissements (ou entreprises) ;
  • un établissement (ou une entreprise) ne doit pas représenter plus de 85 % de la grandeur étudiée dans la case.

La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (Cnil) a, dans sa délibération N° 98-005 du 27 janvier 1998, émis un avis favorable sur le dossier relatif au traitement et à la diffusion des DADS. Cette autorisation a été élargie à l’exploitation de l’ensemble des salariés et de leurs employeurs début 2006. Depuis 2013, un décret spécifique aux déclarations annuelles de données sociales (décret n° 2013-506 du 14 juin 2013) simplifie la situation et régit l’accès de l’Insee aux DADS.
Le traitement de données à caractère personnel relatif à la déclaration sociale nominative (DSN) a été créé par le Décret 2013-266 du 28 mars 2013 relatif à la déclaration sociale nominative (articles 3 et suivants). Ce décret est régulièrement actualisé pour suivre les évolutions de la norme DSN. L’utilisation de déclarations ou de sources administratives à des fins statistiques est préconisée par le code de bonnes pratiques de la statistique européenne dans le but d’alléger la charge statistique des déclarants. En France, ceci était rendu possible par la loi n° 51-711 de 1951 relative à l’obligation, à la coordination et au secret en matière de statistique et a été réaffirmé récemment par la loi n° 2016-1321 de 2016 pour une République numérique.
Le règlement général sur la protection des données ou RGPD (règlement (UE) 2016/679) modifie les règles d’utilisation des données. Les traitements effectués pour la constitution des fichiers « Tous salariés » sont conformes aux obligations définies par le RGPD et par la loi informatique et libertés.En ce qui concerne la diffusion des données, aucun tableau destiné à la diffusion externe ne doit permettre l'identification directe ou indirecte d'un salarié ou d'un établissement.

Sources

Deux sources administratives sont principalement mobilisées sur le champ privé pour constituer la base « Tous salariés » :

  • les déclarations sociales nominatives (DSN) ;
  • les déclarations annuelles de données sociales (DADS).

Une présentation générale des données admnistratives Déclaration sociale nominative / DSN et Déclarations annuelles des données sociales / DADS est disponible dans la rubrique "Définitions, méthodes et qualité" du site insee.fr.

Déclaration sociale nominative / DSN

La déclaration sociale nominative est une formalité administrative obligatoire pour toutes les entreprises privées relevant du régime général ou du régime agricole de sécurité sociale depuis le premier janvier 2017. La DSN repose sur la transmission unique, mensuelle et dématérialisée des données issues de la paie et sur des signalements d’événements.
Les données transmises dans la DSN sont le reflet de la situation d’un salarié au moment où la paie a été réalisée. En complément, elle relate les événements survenus (maladie, maternité, changement d’un élément du contrat de travail, fin de contrat de travail…) dans le mois ayant eu un impact sur la paie. Aussi, la DSN véhicule les informations liées à la vie du salarié dans l’entreprise comme le contrat de travail, les rémunérations perçues, les primes reçues ou les arrêts de travail.
Le champ de la DSN concerne les entreprises du secteur privé du régime général et du régime agricole de Sécurité sociale employant des salariés. Elle a vocation à se généraliser à l'ensemble des employeurs comme ceux de la fonction publique. Ceux qui ne sont pas concernés par la DSN doivent déposer une déclaration de données sociales / DADS.

Déclaration annuelle de données sociales / DADS

La déclaration annuelle des données sociales (DADS) est une formalité déclarative que doit accomplir toute entreprise employant des salariés, en application de l'article R243-14 du code de la Sécurité sociale (Décret du 24 mars 1972) et des articles 87.240 et 241 de la loi 51-711 du 7 juin 1951 du code Général des Impôts.
Dans ce document (obligatoire pour toutes les entreprises jusqu'en 2016 et remplacé progressivement par la déclaration sociale nominative (DSN) depuis 2017) commun aux administrations fiscales et sociales, les employeurs, y compris les administrations et les établissements publics, fournissent annuellement et pour chaque établissement, la masse des traitements qu'ils ont versés, les effectifs employés et une liste nominative de leurs salariés indiquant pour chacun, le montant des rémunérations salariales perçues.
Le champ des DADS couvre l'ensemble des employeurs et de leurs salariés, à l'exception des agents des ministères, titulaires ou non, des services domestiques (division 97-98 de la NAF rév. 2) et des activités extra-territoriales (division 99 de la NAF rév. 2).

Liste des sigles

  • Urssaf : Union pour le Recouvrement des cotisations de Sécurité Sociale et d'Allocations Familiales
  • CPAM : Caisse Primaire d'Assurance Maladie
  • Cram : Caisse Régionale d'Assurance Maladie
  • Ircantec : Institution de Retraite complémentaire des Agents Non Titulaires de l'État et des Collectivités publiques
  • Unedic : Union Nationale pour l'Emploi Dans l'Industrie, le Commerce et l'agriculture
  • CNRACL : Caisse Nationale de Retraite des Agents des Collectivités Locales
  • DGFIP : Direction Générale des Finances Publiques
  • DADS : Déclaration Annuelle de Données Sociales
  • DSN : Déclaration sociale nominative

Définitions

Condition d'emploi :

Les résultats sont fournis par condition d'emploi qui est la qualification du poste selon le taux d’activité : Postes à temps complet, postes à temps partiel ou autres.
Avertissement : à partir de 2017, les modalités de cette variable ont évolué. Elles ne sont plus directement comparable aux millésimes précédents. La variable de condition d'emploi est purement déclarative.

Poste de travail :

Dans les statistiques d'emploi et de salaire, un poste de travail (ou poste) correspond à la relation entre un salarié et un établissement pendant une période donnée. Ainsi, un salarié qui travaille dans deux établissements (à une date donnée ou sur une certaine période, par exemple une année) occupe deux postes. Inversement, plusieurs contrats de travail entre le salarié et le même établissement (à une date donnée ou successivement sur une certaine période) ne constituent qu'un seul poste.

Le concept de poste principal permet de ne compter qu'un seul poste par salarié. Le poste principal d'un salarié est le poste le plus rémunérateur. Le concept de poste « annexe » permet d’écarter de certaines statistiques les postes dont le volume de travail et le niveau de rémunération associés sont faibles.

Dans le cas général, on considère qu’un poste est « non annexe » si la rémunération est supérieure à 3 SMIC mensuels ou si la durée d'emploi dépasse 30 jours et 120 heures et que le rapport nombre d'heures/durée est supérieur à 1,5.

Remarque :

Le poste de travail est l’unité statistique de base pour les résultats issus des fichiers « Tous salariés », DADS (déclarations annuelles de données sociales), Siasp (système d'information des agents du secteur public), Clap (connaissance locale de l'appareil productif) et Flores (fichier localisé des rémunérations et de l’emploi salarié), qui succède à Clap à partir de 2017.

Salaire :

Le salaire est le paiement du travail convenu entre un salarié et son employeur au titre du contrat de travail dans le secteur privé et pour les agents contractuels dans la fonction publique, ou de l’emploi pour les fonctionnaires.

Il comprend le salaire de base (ou traitement indiciaire dans la fonction publique) mais aussi les primes, la rémunération des heures supplémentaires ou complémentaires effectuées, l’épargne salariale (intéressement, participation, abondement), d’autres indemnités et rémunérations annexes (indemnité de résidence, supplément familial, etc.) et les avantages en nature.

Le salaire correspond à un « prix ». Rapporté à une unité de volume de travail qui peut être une heure (salaire horaire) ou un équivalent temps plein (salaire en EQTP), il permet de comparer des emplois ou des postes de travail de durée et de temps de travail différents.

Remarque :

Le suivi annuel des salaires mobilise plusieurs sources construites à partir des déclarations sociales ou des données administratives. Les informations relatives au secteur privé sont issues des déclarations sociales nominatives (DSN), qui succèdent aux données annuelles de données sociales (DADS). Les informations relatives à la fonction publique sont issues depuis 2009 du système d’information sur les agents des services publics (Siasp), alimenté principalement par les fichiers mensuels de paye de l’État pour les agents civils de la fonction publique de l’État (FPE) et par les DADS, puis les DSN, pour ceux de la fonction publique territoriale (FPT), de la fonction publique hospitalière (FPH) et de certains établissements publics relevant de la FPE.

Deux enquêtes statistiques complètent ces sources administratives : l’enquête de l’Insee sur le Coût de la main‑d’oeuvre et la structure des salaires (Ecmoss) ainsi que l’enquête de la Dares sur l’Activité et les conditions d’emploi de la main‑d’oeuvre (Acemo).

Salaire en équivalent temps plein (EQTP) :

Le salaire en équivalent temps plein (EQTP) est un salaire converti à un temps plein pendant toute l'année, quel que soit le volume de travail effectif. Par exemple, pour un agent ayant occupé un poste de travail pendant six mois à 80 % et ayant perçu un total de 10 000 euros, le salaire en EQTP est de 10 000/(0,5*0,8) = 25 000 euros par an.

Pour calculer le salaire moyen en EQTP ou sa distribution, tous les postes y compris les postes à temps partiel sont pris en compte au prorata de leur volume de travail effectif (soit 0,5*0,8=04 EQTP dans l'exemple précédent).

Champ

Les salaires annuels et les effectifs sont issus des déclarations sociales nominatives (DSN) et des déclarations annuelles de données sociales (DADS) sur le champ des salariés du secteur privé et des entreprises publiques.

Cette exploitation exclut :

  • les agents du secteur public, les salariés du secteur agricole et les salariés des particuliers employeurs ;
  • les apprentis, les stagiaires ;
  • les agriculteurs salariés (catégorie socioprofessionnelle commençant par 1) ;
  • et les salariés ayant un nombre d'heure nul.

France entière y compris DOM, hors Mayotte.
Depuis 2012, les bénéficiaires d'emplois aidés et les chefs d'entreprises salariés de leur entreprise ont été intégrés dans le champ de la publication.

Evolution méthodologique :
Les déclarations annuelles de données sociales (DADS) que les entreprises adressent aux administrations sont remplacées progressivement par les déclarations sociales nominatives (DSN) depuis le millésime 2017.
Pour la validité 2018, seules 1 % des données du champ privé proviennent des DADS alors que celles de 2017 étaient issues pour partie de DSN (environ 75 % des entreprises) et pour partie de DADS (25 % des entreprises). Dans ce contexte de changement progressif des sources d'informations, l'Insee a refondu ses traitements statistiques (voir onglet documentation de l’insee résultat 2017). La validité 2018 s’inscrit dans la continuité de la validité 2017.

Pour en savoir plus

« Description des emplois salariés en 2017 », Fichiers détail, février 2021.

« Description des emplois salariés en 2016 », Fichiers détail, février 2021.

« En 2018, le salaire net moyen dans le secteur privé augmente de 0,4 % en euros constants », Insee Première, n° 1828, décembre 2020.

« Emploi, chômage, revenus du travail », Insee Références, Édition 2019.

« Salaires dans le secteur privé – En 2017, le salaire net moyen augmente de 0,9 % en euros constants », Insee Première, n° 1798, avril 2020.

Salaires dans le secteur privé - En 2016, le salaire net moyen augmente de 0,5 % en euros constants, Insee Première n° 1750, avril 2019.

« Les salaires dans la fonction publique territoriale », Insee Première, n° 1711, septembre 2018.

« Les salaires dans la fonction publique d’État », Insee Première, n° 1708, août 2018.

Description des emplois privés et publics et des salaires en 2015, Fichiers détail, mai 2018.

« Fiches thématiques - Marché du travail », France, portrait social - Insee Références, Édition 2018.