Tableau de bord de la conjoncture : Île-de-France

Chiffres-clés
Paru le :Paru le31/05/2023
- Mai 2023
Avertissement sur l’emploi salarié

Les Estimations trimestrielles d’emploi (ETE) sont révisées sur le passé (voir note méthodologique) :

  • elles ont été calées sur les Estimations annuelles d’emploi de fin 2020, elles-mêmes révisées en janvier 2023 avec pour principal impact de réhausser le niveau de l’emploi salarié en 2020 (voir l’Insee Focus no 288 « En 2021, l’emploi augmente de façon inédite ») ;
  • les séries sur l’alternance dans le secteur privé ont été révisées, en raison notamment d’une nouvelle correction des variations saisonnières, avec pour conséquence une légère révision de la dynamique infra-annuelle de l’emploi salarié privé depuis 2020.

Par ailleurs, l’introduction de la Déclaration sociale nominative (DSN) en remplacement du bordereau récapitulatif de cotisations (BRC) a pu transitoirement affecter les comportements déclaratifs des entreprises. Durant la phase de montée en charge de la DSN, des adaptations ont été réalisées dans la chaîne de traitement statistique des estimations d’emploi afin de tenir compte de ces changements. En particulier, au troisième trimestre 2022, une bascule vers la source DSN a été opérée pour la fonction publique de l’État. Ce changement de source a pu entraîner une rupture de la saisonnalité de la mesure de l’emploi public ; les ruptures les plus nettes ont été neutralisées, mais certaines moins évidentes et plus légères peuvent subsister. Les évolutions du troisième et quatrième trimestre 2022 sont donc à considérer avec prudence sur ce champ.

Avertissement sur les DEFM

La généralisation du nouveau formulaire d’actualisation en fin de mois des demandeurs d’emploi, intervenue par étapes au cours de l’année 2022, a un impact pérenne à la baisse sur le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A, en contrepartie d'une hausse des catégories B et C liées à la meilleure déclaration des heures d’activité réduite et d’une légère hausse des sorties de listes.

Pour plus de détails, voir la note de la Dares : « Ouvrir dans un nouvel ongletIncidents et changements de procédure » (pages 4 et 5).

Indicateurs clés de la région Île-de-France

Indicateurs clés de la région Île-de-France
Indicateurs clés régionaux Date de mise à jour Type et date de valeur Valeur Tendance/période précédente ¹
Régionale Nationale
Emploi et marché du travail
Emploi salarié total (en milliers) ** 31 mars 2023 CVS - 4ᵉ trim. 2022 6 294,4
Emploi salarié privé (en milliers) ** 31 mars 2023 CVS - 4ᵉ trim. 2022 5 109,1
Emplois intérimaires (en milliers) ** 31 mars 2023 CVS - 4ᵉ trim. 2022 129,0
Taux de chômage (en %) ** 31 mars 2023 CVS - 4ᵉ trim. 2022 6,9
Demandeurs d'emploi (A, B, C) * 26 avr. 2023 CVS - 1ᵉ trim. 2023 951 530
Heures rémunérées (évolution en % par rapport au même mois de l'année 2019) ** 02 mai 2023 Évolution en % - mars 2023 6
Entreprises
Créations d'entreprises * 20 janv. 2023 CVS - 4ᵉ trim. 2022 77 949
Défaillances d'entreprises * 23 mai 2023 brute - cumul annuel au 1ᵉ trim. 2023 9 861
Construction neuve
Logements autorisés ** 31 mai 2023 brute - cumul annuel de mars 2023 76 800
Logements commencés ** 31 mai 2023 brute - cumul annuel de mars 2023 56 000
Locaux autorisés (en milliers de m²) * 31 mai 2023 brute - cumul annuel de mars 2023 4 861
Locaux commencés (en milliers de m²) * 31 mai 2023 brute - cumul annuel de mars 2023 3 421
Tourisme
Hôtellerie (en milliers de nuitées) * 15 mai 2023 brute - mars 2023 5 527
Hôtellerie de plein air (camping) (en milliers de nuitées) *** 15 nov. 2022 brute - sept. 2022 196
  • Note : la plupart des données sont susceptibles d'être révisées d'un mois (ou trimestre) à l'autre.
  • Pour la comparaison nationale : * France entière ; ** France hors Mayotte ; *** France métropolitaine.
  • ¹ : la tendance par rapport à la période précédente est la comparaison par rapport au trimestre précédent sauf :
  • - heures rémunérées : comparaison de l'évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - défaillances d'entreprises et constructions neuves : glissement du cumul annuel sur un trimestre ;
  • - hôtellerie : évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - hôtellerie de plein air : évolution de la saison par rapport à la saison précédente.

Emploi salarié total

Figure 1Emploi salarié total

Emploi salarié total
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2021 3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 trimestrielle annuelle
Paris 1 905,0 1 965,5 1 972,2 0,3 3,5
Seine-et-Marne 496,0 504,2 505,1 0,2 1,8
Yvelines 542,3 541,0 539,7 -0,2 -0,5
Essonne 488,3 492,1 490,3 -0,4 0,4
Hauts-de-Seine 1 125,5 1 146,6 1 148,6 0,2 2,1
Seine-Saint-Denis 661,6 670,3 670,0 -0,0 1,3
Val-de-Marne 552,6 557,0 556,1 -0,2 0,6
Val-d'Oise 407,2 413,1 412,2 -0,2 1,2
Île-de-France 6 178,6 6 289,8 6 294,4 0,1 1,9
France hors Mayotte 26 614,9 26 908,0 26 952,0 0,2 1,3

Figure 2Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur

Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur
Secteur d'activité Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2021 3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 trimestrielle annuelle
Agriculture 5,6 5,8 5,8 0,9 3,0
Industrie 427,4 431,4 431,5 0,0 1,0
Construction 337,1 338,9 339,1 0,0 0,6
Tertiaire non marchand 1 573,5 1 578,5 1 580,8 0,1 0,5
Tertiaire marchand 3 835,0 3 935,2 3 937,1 0,0 2,7
dont commerce 737,8 744,8 744,0 -0,1 0,8
dont intérim 129,5 128,8 129,0 0,2 -0,4
Ensemble 6 178,6 6 289,8 6 294,4 0,1 1,9
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Pour l’agriculture, les données de la source MSA étant livrées avec retard, l’Insee réalise une estimation en exploitant directement les déclarations administratives (DSN) depuis le 1ᵉʳ trimestre de 2018.
  • Accès aux séries longues "estimations d'emploi salarié par secteur d'activité (Régions et Départements)".
  • Champ : emploi salarié total (voir avertissement).
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 3Emploi salarié en France hors Mayotte par grand secteur

Emploi salarié en France hors Mayotte par grand secteur
Secteur d'activité Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2021 3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 trimestrielle annuelle
Agriculture 313,3 308,9 317,6 2,8 1,4
Industrie 3 198,2 3 228,2 3 235,8 0,2 1,2
Construction 1 581,4 1 591,6 1 592,4 0,0 0,7
Tertiaire non marchand 8 408,4 8 429,4 8 430,4 0,0 0,3
Tertiaire marchand 13 113,7 13 349,9 13 375,9 0,2 2,0
dont commerce 3 381,4 3 402,1 3 404,1 0,1 0,7
dont intérim 827,3 808,6 817,2 1,1 -1,2
Ensemble 26 614,9 26 908,0 26 952,0 0,2 1,3
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Pour l’agriculture, les données de la source MSA étant livrées avec retard, l’Insee réalise une estimation en exploitant directement les déclarations administratives (DSN) depuis le 1ᵉʳ trimestre de 2018.
  • Accès aux séries longues "estimations d'emploi salarié par secteur d'activité (France)".
  • Champ : emploi salarié total (voir avertissement).
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 4Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014)
Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014))
Construction Industrie Tertiaire marchand hors intérim Tertiaire non marchand
4ᵉ trim. 2014 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2015 99,4 99,7 100,2 99,7
2ᵉ trim. 2015 98,9 99,5 100,6 100,0
3ᵉ trim. 2015 97,7 98,9 100,7 100,0
4ᵉ trim. 2015 97,8 98,6 100,9 100,1
1ᵉ trim. 2016 97,5 98,0 101,2 100,3
2ᵉ trim. 2016 97,3 97,7 101,4 100,4
3ᵉ trim. 2016 97,5 97,5 101,7 100,5
4ᵉ trim. 2016 97,5 97,0 101,7 100,6
1ᵉ trim. 2017 98,0 96,8 102,3 100,8
2ᵉ trim. 2017 98,7 96,5 102,6 101,0
3ᵉ trim. 2017 99,0 96,2 102,6 100,7
4ᵉ trim. 2017 99,8 95,9 103,2 100,7
1ᵉ trim. 2018 101,3 95,6 103,5 100,6
2ᵉ trim. 2018 102,8 95,6 103,9 100,5
3ᵉ trim. 2018 103,9 95,4 103,9 100,5
4ᵉ trim. 2018 105,2 95,5 104,5 100,6
1ᵉ trim. 2019 108,1 95,7 105,1 100,7
2ᵉ trim. 2019 110,0 96,0 105,7 100,9
3ᵉ trim. 2019 111,6 96,1 106,3 101,2
4ᵉ trim. 2019 113,0 96,3 106,7 101,4
1ᵉ trim. 2020 113,5 96,2 105,6 101,6
2ᵉ trim. 2020 114,9 95,7 104,8 100,2
3ᵉ trim. 2020 116,6 95,7 105,8 102,1
4ᵉ trim. 2020 117,7 95,5 104,8 102,3
1ᵉ trim. 2021 119,2 95,3 105,4 102,8
2ᵉ trim. 2021 120,0 95,5 106,9 103,1
3ᵉ trim. 2021 120,5 95,8 108,5 103,5
4ᵉ trim. 2021 120,7 95,6 109,3 103,2
1ᵉ trim. 2022 121,1 95,8 110,3 103,3
2ᵉ trim. 2022 121,1 95,9 111,5 103,5
3ᵉ trim. 2022 121,4 96,6 112,3 103,5
4ᵉ trim. 2022 121,4 96,6 112,4 103,7
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 4Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 5Évolution de l'emploi salarié total par département

(en % par rapport au trimestre précédent)
Évolution de l'emploi salarié total par département ((en % par rapport au trimestre précédent))
3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022
Paris 0,7 0,3
Seine-et-Marne 0,3 0,2
Yvelines -0,2 -0,2
Essonne 0,5 -0,4
Hauts-de-Seine 0,7 0,2
Seine-Saint-Denis 0,5 0,0
Val-de-Marne 0,7 -0,2
Val-d'Oise 0,4 -0,2
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 5Évolution de l'emploi salarié total par département

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Emploi salarié privé

Figure 6Évolution de l'emploi salarié

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014)
Évolution de l'emploi salarié ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014))
Emploi salarié total - Île-de-France Emploi salarié total - France hors Mayotte Emploi salarié privé - Île-de-France Emploi salarié privé - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2014 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2015 100,0 100,0 100,1 99,9
2ᵉ trim. 2015 100,3 100,2 100,3 100,2
3ᵉ trim. 2015 100,4 100,3 100,4 100,3
4ᵉ trim. 2015 100,5 100,4 100,6 100,5
1ᵉ trim. 2016 100,6 100,6 100,8 100,7
2ᵉ trim. 2016 100,8 100,8 101,0 101,0
3ᵉ trim. 2016 101,1 101,1 101,3 101,3
4ᵉ trim. 2016 101,1 101,2 101,4 101,4
1ᵉ trim. 2017 101,7 101,7 102,1 102,0
2ᵉ trim. 2017 102,0 102,1 102,5 102,5
3ᵉ trim. 2017 101,9 102,2 102,5 102,7
4ᵉ trim. 2017 102,3 102,5 103,0 103,2
1ᵉ trim. 2018 102,6 102,8 103,4 103,6
2ᵉ trim. 2018 102,9 102,9 103,8 103,8
3ᵉ trim. 2018 103,0 102,8 103,9 103,8
4ᵉ trim. 2018 103,4 103,0 104,4 104,0
1ᵉ trim. 2019 104,0 103,7 105,2 104,8
2ᵉ trim. 2019 104,6 103,9 105,8 105,1
3ᵉ trim. 2019 105,0 104,3 106,3 105,5
4ᵉ trim. 2019 105,4 104,5 106,7 105,8
1ᵉ trim. 2020 103,9 102,7 104,9 103,5
2ᵉ trim. 2020 103,2 102,5 104,4 103,5
3ᵉ trim. 2020 104,8 104,4 105,8 105,6
4ᵉ trim. 2020 104,4 104,3 105,3 105,3
1ᵉ trim. 2021 105,0 105,0 105,9 106,2
2ᵉ trim. 2021 106,0 106,2 107,1 107,8
3ᵉ trim. 2021 107,2 107,2 108,5 109,0
4ᵉ trim. 2021 107,7 107,9 109,3 110,0
1ᵉ trim. 2022 108,3 108,3 110,1 110,5
2ᵉ trim. 2022 109,1 108,7 111,0 111,0
3ᵉ trim. 2022 109,7 109,1 111,7 111,5
4ᵉ trim. 2022 109,7 109,3 111,8 111,7
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total (voir avertissement).
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : emploi salarié total (voir avertissement).
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Emplois intérimaires

Figure 7Emplois intérimaires

Emplois intérimaires
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2021 3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 trimestrielle annuelle
Paris 49,8 49,6 49,2 -1,0 -1,2
Seine-et-Marne 17,1 17,1 17,0 -0,9 -0,6
Yvelines 8,0 8,0 8,1 1,1 0,5
Essonne 12,5 11,1 10,9 -1,2 -12,3
Hauts-de-Seine 14,3 15,4 16,1 4,3 12,5
Seine-Saint-Denis 10,6 10,7 10,7 0,8 1,2
Val-de-Marne 7,4 7,1 7,2 1,5 -3,3
Val-d'Oise 9,9 9,8 9,9 0,7 0,0
Île-de-France 129,5 128,8 129,0 0,2 -0,4
France hors Mayotte 827,3 808,6 817,2 1,1 -1,2

Figure 8Évolution de l'emploi intérimaire

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014)
Évolution de l'emploi intérimaire ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014))
Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2014 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2015 99,7 99,8
2ᵉ trim. 2015 101,0 103,7
3ᵉ trim. 2015 106,5 107,5
4ᵉ trim. 2015 107,9 109,9
1ᵉ trim. 2016 105,8 110,0
2ᵉ trim. 2016 109,6 112,7
3ᵉ trim. 2016 114,7 116,8
4ᵉ trim. 2016 118,9 121,9
1ᵉ trim. 2017 128,2 126,9
2ᵉ trim. 2017 135,0 132,7
3ᵉ trim. 2017 136,4 137,3
4ᵉ trim. 2017 138,1 142,3
1ᵉ trim. 2018 143,5 143,5
2ᵉ trim. 2018 142,4 141,1
3ᵉ trim. 2018 144,2 141,0
4ᵉ trim. 2018 142,3 137,4
1ᵉ trim. 2019 146,1 142,5
2ᵉ trim. 2019 147,3 141,0
3ᵉ trim. 2019 145,5 140,2
4ᵉ trim. 2019 142,2 137,8
1ᵉ trim. 2020 89,5 84,8
2ᵉ trim. 2020 99,5 103,2
3ᵉ trim. 2020 121,2 125,4
4ᵉ trim. 2020 126,1 130,1
1ᵉ trim. 2021 127,7 133,5
2ᵉ trim. 2021 130,4 137,4
3ᵉ trim. 2021 134,9 138,6
4ᵉ trim. 2021 141,8 145,9
1ᵉ trim. 2022 140,1 143,8
2ᵉ trim. 2022 140,0 140,6
3ᵉ trim. 2022 140,9 142,6
4ᵉ trim. 2022 141,2 144,2
  • Notes : données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 8Évolution de l'emploi intérimaire

  • Notes : données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Taux de chômage

Figure 9Taux de chômage

Taux de chômage
Zonage Taux de chômage (en %) Variation (en points de %)
4ᵉ trim. 2021 3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 trimestrielle annuelle
Paris 6,1 5,7 5,6 -0,1 -0,5
Seine-et-Marne 6,9 6,7 6,7 0,0 -0,2
Yvelines 6,5 6,4 6,4 0,0 -0,1
Essonne 6,4 6,3 6,3 0,0 -0,1
Hauts-de-Seine 6,2 5,8 5,8 0,0 -0,4
Seine-Saint-Denis 10,5 10,2 10,1 -0,1 -0,4
Val-de-Marne 7,4 7,1 7,1 0,0 -0,3
Val-d'Oise 8,3 8,0 8,0 0,0 -0,3
Île-de-France 7,2 6,9 6,9 0,0 -0,3
France hors Mayotte 7,5 7,3 7,2 -0,1 -0,3

Figure 10Taux de chômage

(en %)
Taux de chômage ((en %))
Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2014 9,0 10,5
1ᵉ trim. 2015 8,8 10,3
2ᵉ trim. 2015 9,0 10,5
3ᵉ trim. 2015 8,9 10,3
4ᵉ trim. 2015 8,8 10,2
1ᵉ trim. 2016 8,8 10,2
2ᵉ trim. 2016 8,6 10,0
3ᵉ trim. 2016 8,5 9,9
4ᵉ trim. 2016 8,7 10,0
1ᵉ trim. 2017 8,3 9,6
2ᵉ trim. 2017 8,2 9,5
3ᵉ trim. 2017 8,3 9,5
4ᵉ trim. 2017 7,9 9,0
1ᵉ trim. 2018 8,1 9,3
2ᵉ trim. 2018 8,0 9,1
3ᵉ trim. 2018 7,8 9,0
4ᵉ trim. 2018 7,7 8,8
1ᵉ trim. 2019 7,6 8,7
2ᵉ trim. 2019 7,4 8,4
3ᵉ trim. 2019 7,4 8,4
4ᵉ trim. 2019 7,2 8,2
1ᵉ trim. 2020 7,0 7,9
2ᵉ trim. 2020 6,3 7,1
3ᵉ trim. 2020 8,3 9,0
4ᵉ trim. 2020 7,7 8,1
1ᵉ trim. 2021 7,7 8,2
2ᵉ trim. 2021 7,5 7,9
3ᵉ trim. 2021 7,6 8,0
4ᵉ trim. 2021 7,2 7,5
1ᵉ trim. 2022 7,0 7,3
2ᵉ trim. 2022 7,0 7,4
3ᵉ trim. 2022 6,9 7,3
4ᵉ trim. 2022 6,9 7,2
  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Figure 10Taux de chômage

  • Notes : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Demandeurs d'emploi (A, B, C)

Figure 11Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi
Zonage Demandeurs d'emploi Variation (en %)
1ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 1ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Paris 191 120 187 090 186 380 -0,4 -2,5
Seine-et-Marne 104 630 102 970 102 320 -0,6 -2,2
Yvelines 99 090 97 610 97 180 -0,4 -1,9
Essonne 88 650 87 680 87 500 -0,2 -1,3
Hauts-de-Seine 113 130 110 290 110 020 -0,2 -2,7
Seine-Saint-Denis 169 400 165 740 165 350 -0,2 -2,4
Val-de-Marne 107 180 104 700 104 060 -0,6 -2,9
Val-d'Oise 102 170 99 590 98 710 -0,9 -3,4
Île-de-France 975 370 955 660 951 530 -0,4 -2,4
France entière 5 536 000 5 389 500 5 369 300 -0,4 -3,0

Figure 12Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi
Décomposition Demandeurs d'emploi Variation (en %)
1ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 1ᵉ trim. 2023 trimestrielle annuelle
Île-de-France
Ensemble 975 370 955 660 951 530 -0,4 -2,4
Moins de 25 ans 91 090 92 670 93 460 0,9 2,6
50 ans ou plus 275 400 269 290 266 740 -0,9 -3,1
Inscrits depuis un an ou plus 468 980 429 220 417 460 -2,7 -11,0
France entière
Ensemble 5 536 000 5 389 500 5 369 300 -0,4 -3,0

Figure 13Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014)
Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014))
Île-de-France France entière
4ᵉ trim. 2014 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2015 101,4 101,7
2ᵉ trim. 2015 103,3 103,9
3ᵉ trim. 2015 103,6 104,2
4ᵉ trim. 2015 104,8 105,0
1ᵉ trim. 2016 105,3 105,3
2ᵉ trim. 2016 104,5 104,6
3ᵉ trim. 2016 104,8 105,1
4ᵉ trim. 2016 104,9 105,4
1ᵉ trim. 2017 105,4 106,1
2ᵉ trim. 2017 106,4 106,9
3ᵉ trim. 2017 107,3 107,8
4ᵉ trim. 2017 107,9 108,3
1ᵉ trim. 2018 108,3 108,4
2ᵉ trim. 2018 108,7 108,5
3ᵉ trim. 2018 108,7 108,4
4ᵉ trim. 2018 108,5 108,2
1ᵉ trim. 2019 108,5 108,1
2ᵉ trim. 2019 107,9 107,3
3ᵉ trim. 2019 107,4 106,1
4ᵉ trim. 2019 106,3 105,1
1ᵉ trim. 2020 106,8 105,0
2ᵉ trim. 2020 113,7 111,5
3ᵉ trim. 2020 114,6 110,7
4ᵉ trim. 2020 115,7 110,0
1ᵉ trim. 2021 115,4 110,0
2ᵉ trim. 2021 114,7 109,0
3ᵉ trim. 2021 112,3 106,6
4ᵉ trim. 2021 108,6 103,7
1ᵉ trim. 2022 106,2 101,0
2ᵉ trim. 2022 105,3 99,4
3ᵉ trim. 2022 105,0 99,0
4ᵉ trim. 2022 104,1 98,4
1ᵉ trim. 2023 103,6 98,0
  • Notes : données CVS-CJO.
  • Avertissement : le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : Pôle emploi-Dares, STMT.

Figure 13Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à Pôle emploi

  • Notes : données CVS-CJO.
  • Avertissement : le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : Pôle emploi-Dares, STMT.

Heures rémunérées

Figure 14Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année 2019 - Île-de-France

(en %)
Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année 2019 - Île-de-France ((en %))
Industrie Construction Hébergement et restauration Autres services principalement marchands Services principalement non marchands Ensemble - Île-de-France Ensemble - France hors Mayotte
janv. 2020 0,4 6,0 2,6 2,3 1,9 2,3 1,9
févr. 2020 0,8 3,8 2,4 2,1 1,7 2,1 1,7
mars 2020 -8,3 -25,1 -32,0 -8,4 -5,9 -11,0 -13,3
avr. 2020 -24,3 -58,8 -78,8 -26,5 -19,2 -31,5 -33,2
mai 2020 -21,0 -26,5 -72,4 -21,4 -13,7 -24,6 -22,4
juin 2020 -10,7 -5,6 -52,5 -11,8 -4,7 -13,4 -10,3
juil. 2020 -7,0 -2,6 -36,8 -8,1 -2,8 -9,1 -6,8
août 2020 -5,8 1,9 -29,7 -6,0 -1,1 -6,8 -4,5
sept. 2020 -5,1 -2,6 -29,3 -5,5 0,4 -6,4 -4,4
oct. 2020 -6,5 -3,8 -37,9 -6,0 0,2 -7,5 -4,8
nov. 2020 -7,2 -3,1 -65,1 -11,1 -0,5 -12,9 -9,8
déc. 2020 -5,0 -0,8 -62,9 -6,5 2,3 -9,0 -6,7
janv. 2021 -7,9 4,3 -53,0 -6,2 2,8 -8,0 -5,2
févr. 2021 -5,2 1,0 -60,6 -6,0 3,8 -8,2 -5,4
mars 2021 -5,8 3,8 -61,3 -6,2 5,2 -8,2 -5,1
avr. 2021 -6,9 0,6 -62,6 -8,0 1,3 -10,2 -7,8
mai 2021 -7,2 0,1 -51,1 -6,8 3,1 -8,5 -5,7
juin 2021 -3,4 4,4 -29,9 -2,2 5,9 -3,1 -0,4
juil. 2021 -4,3 -0,3 -19,3 -2,1 4,5 -2,8 -0,8
août 2021 -4,0 0,6 -15,9 -1,3 5,1 -1,9 -0,2
sept. 2021 -3,3 1,5 -11,9 -0,4 5,7 -0,8 0,7
oct. 2021 -4,4 0,4 -8,1 -0,4 4,7 -0,8 0,7
nov. 2021 -1,5 2,6 -6,0 1,3 6,2 1,0 2,4
déc. 2021 0,0 2,5 -6,2 1,8 6,7 1,5 2,1
janv. 2022 -5,8 6,4 -11,4 0,4 5,4 -0,2 1,4
févr. 2022 -2,2 6,3 -8,2 2,6 7,0 2,1 3,0
mars 2022 -1,7 6,9 -3,7 4,0 8,9 3,5 4,1
avr. 2022 -4,4 3,6 -2,2 2,2 6,8 1,7 2,2
mai 2022 -1,9 4,3 0,9 3,5 7,8 3,2 3,8
juin 2022 0,3 5,1 1,1 4,6 9,1 4,3 4,6
juil. 2022 -3,7 -1,0 0,5 1,9 6,7 1,4 1,7
août 2022 -0,2 2,1 0,8 3,6 9,1 3,4 3,6
sept. 2022 -1,2 1,5 0,7 3,8 9,3 3,4 3,8
oct. 2022 -2,7 0,0 1,2 3,1 7,6 2,6 3,0
nov. 2022 -0,2 2,4 1,7 4,6 9,2 4,1 4,5
déc. 2022 -1,8 1,1 2,7 4,4 9,5 3,9 3,7
janv. 2023 -3,1 8,0 4,5 5,7 11,8 5,5 5,7
févr. 2023 -1,0 6,1 3,5 6,4 11,3 5,9 5,8
mars 2023 -1,4 5,2 2,8 6,2 11,0 5,6 5,4
  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 14Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année 2019 - Île-de-France

  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 15Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année 2019 - Île-de-France

(en points)
Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année 2019 - Île-de-France ((en points))
Industrie Construction Hébergement et restauration Autres services principalement marchands Services principalement non marchands
janv. 2020 0,0 0,4 0,2 1,5 0,2
févr. 2020 0,1 0,3 0,2 1,4 0,1
mars 2020 -0,8 -1,8 -2,2 -5,7 -0,5
avr. 2020 -2,4 -4,2 -5,3 -17,9 -1,6
mai 2020 -2,1 -1,9 -4,9 -14,5 -1,2
juin 2020 -1,0 -0,4 -3,7 -8,0 -0,4
juil. 2020 -0,7 -0,2 -2,6 -5,5 -0,2
août 2020 -0,6 0,1 -2,1 -4,1 -0,1
sept. 2020 -0,5 -0,2 -2,0 -3,7 0,0
oct. 2020 -0,6 -0,3 -2,6 -4,0 0,0
nov. 2020 -0,7 -0,2 -4,4 -7,5 0,0
déc. 2020 -0,5 -0,1 -4,2 -4,4 0,2
janv. 2021 -0,8 0,3 -3,5 -4,2 0,2
févr. 2021 -0,5 0,1 -4,1 -4,1 0,3
mars 2021 -0,6 0,3 -4,1 -4,2 0,4
avr. 2021 -0,7 0,0 -4,2 -5,4 0,1
mai 2021 -0,7 0,0 -3,5 -4,6 0,3
juin 2021 -0,3 0,3 -2,1 -1,5 0,5
juil. 2021 -0,4 0,0 -1,3 -1,4 0,4
août 2021 -0,4 0,0 -1,1 -0,9 0,4
sept. 2021 -0,3 0,1 -0,8 -0,3 0,5
oct. 2021 -0,4 0,0 -0,5 -0,3 0,4
nov. 2021 -0,1 0,2 -0,4 0,9 0,5
déc. 2021 0,0 0,2 -0,4 1,2 0,6
janv. 2022 -0,6 0,4 -0,8 0,3 0,5
févr. 2022 -0,2 0,5 -0,6 1,8 0,6
mars 2022 -0,2 0,5 -0,2 2,7 0,8
avr. 2022 -0,4 0,3 -0,1 1,5 0,6
mai 2022 -0,2 0,3 0,1 2,3 0,7
juin 2022 0,0 0,4 0,1 3,1 0,8
juil. 2022 -0,4 -0,1 0,0 1,3 0,6
août 2022 0,0 0,1 0,1 2,5 0,8
sept. 2022 -0,1 0,1 0,0 2,6 0,8
oct. 2022 -0,3 0,0 0,1 2,1 0,6
nov. 2022 0,0 0,2 0,1 3,1 0,8
déc. 2022 -0,2 0,1 0,2 3,0 0,8
janv. 2023 -0,3 0,6 0,3 3,9 1,0
févr. 2023 -0,1 0,4 0,2 4,3 1,0
mars 2023 -0,1 0,4 0,2 4,2 0,9
  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 15Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année 2019 - Île-de-France

  • Note : ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Créations d'entreprises

Figure 16Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage et type d'entreprise Nombre de créations Variation (en %)
4ᵉ trim. 2021 3ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 trimestrielle annuelle
Île-de-France
hors micro-entrepreneurs 28 200 30 169 30 144 -0,1 6,9
y compris micro-entrepreneurs 67 559 75 794 77 949 2,8 15,4
France entière
hors micro-entrepreneurs 102 013 106 997 106 529 -0,4 4,4
y compris micro-entrepreneurs 258 594 275 240 282 818 2,8 9,4

Figure 17Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage Nombre de créations sur un an Glissement du cumul annuel (en %)
déc. 2021 sept. 2022 déc. 2022 sur un trimestre sur une année
Paris 83 990 86 543 89 785 3,7 6,9
Seine-et-Marne 23 717 23 234 23 958 3,1 1,0
Yvelines 25 774 25 073 25 783 2,8 0,0
Essonne 22 606 22 716 23 323 2,7 3,2
Hauts-de-Seine 35 308 35 599 36 576 2,7 3,6
Seine-Saint-Denis 38 042 37 495 39 029 4,1 2,6
Val-de-Marne 28 312 27 971 29 056 3,9 2,6
Val-d'Oise 23 874 23 046 23 974 4,0 0,4
Île-de-France 281 623 281 677 291 484 3,5 3,5
France entière 1 050 520 1 049 681 1 071 881 2,1 2,0

Figure 18Créations d'entreprises

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014)
Créations d'entreprises ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014))
Île-de-France hors micro-entrepreneurs France entière hors micro-entrepreneurs Île-de-France y compris micro-entrepreneurs France entière y compris micro-entrepreneurs
4ᵉ trim. 2014 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2015 94,2 93,3 93,6 94,6
2ᵉ trim. 2015 102,1 93,4 98,2 94,2
3ᵉ trim. 2015 106,6 97,0 101,6 95,9
4ᵉ trim. 2015 107,2 100,4 104,6 98,6
1ᵉ trim. 2016 111,4 104,0 107,4 100,0
2ᵉ trim. 2016 115,4 107,4 114,2 104,3
3ᵉ trim. 2016 109,7 106,4 113,1 102,9
4ᵉ trim. 2016 116,4 110,5 116,9 104,7
1ᵉ trim. 2017 116,0 110,6 118,9 106,1
2ᵉ trim. 2017 115,9 111,7 118,8 107,1
3ᵉ trim. 2017 118,0 115,2 128,8 115,3
4ᵉ trim. 2017 120,8 117,6 136,4 118,4
1ᵉ trim. 2018 119,4 116,8 141,6 122,8
2ᵉ trim. 2018 120,5 118,6 146,3 127,1
3ᵉ trim. 2018 120,4 116,1 147,4 128,3
4ᵉ trim. 2018 121,8 119,7 155,1 134,0
1ᵉ trim. 2019 127,8 125,7 169,8 145,0
2ᵉ trim. 2019 127,4 124,6 169,8 145,4
3ᵉ trim. 2019 130,3 124,7 164,1 150,0
4ᵉ trim. 2019 132,3 120,8 171,2 152,9
1ᵉ trim. 2020 122,8 114,3 153,9 139,2
2ᵉ trim. 2020 91,5 86,5 132,9 114,2
3ᵉ trim. 2020 146,7 132,3 209,2 179,0
4ᵉ trim. 2020 146,1 134,5 202,6 178,8
1ᵉ trim. 2021 147,5 136,1 207,1 182,6
2ᵉ trim. 2021 156,1 139,1 189,1 178,5
3ᵉ trim. 2021 149,0 135,7 182,3 173,1
4ᵉ trim. 2021 151,9 136,8 184,2 176,0
1ᵉ trim. 2022 155,1 134,7 193,2 177,5
2ᵉ trim. 2022 157,6 136,3 181,2 172,3
3ᵉ trim. 2022 162,5 143,5 206,7 187,3
4ᵉ trim. 2022 162,4 142,9 212,6 192,5
  • Note : données trimestrielles corrigées des variations saisonnières (CVS).
  • Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Figure 18Créations d'entreprises

  • Note : données trimestrielles corrigées des variations saisonnières (CVS).
  • Champ : ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene).

Défaillances d'entreprises

Figure 19Défaillances d'entreprises

Défaillances d'entreprises
Zonage Nombre de défaillances sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
1ᵉ trim. 2022 4ᵉ trim. 2022 1ᵉ trim. 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 2 074 2 713 3 019 11,3 45,6
Seine-et-Marne 852 1 388 1 701 22,6 99,6
Yvelines 457 702 759 8,1 66,1
Essonne 498 654 672 2,8 34,9
Hauts-de-Seine 617 759 835 10,0 35,3
Seine-Saint-Denis 1 244 1 330 1 386 4,2 11,4
Val-de-Marne 567 688 731 6,2 28,9
Val-d'Oise 710 753 758 0,7 6,8
Île-de-France 7 019 8 987 9 861 9,7 40,5
France entière 30 257 41 300 45 658 10,6 50,9

Figure 20Défaillances d'entreprises

(indice base 100 en décembre 2014)
Défaillances d'entreprises ((indice base 100 en décembre 2014))
Île-de-France France entière
déc. 2014 100,0 100,0
janv. 2015 99,2 100,5
févr. 2015 100,3 100,3
mars 2015 102,5 102,1
avr. 2015 103,8 102,2
mai 2015 102,6 100,0
juin 2015 105,0 101,4
juil. 2015 103,8 101,0
août 2015 103,8 100,6
sept. 2015 105,5 100,7
oct. 2015 104,9 99,4
nov. 2015 106,3 99,6
déc. 2015 108,4 100,9
janv. 2016 108,5 99,7
févr. 2016 108,4 99,1
mars 2016 107,3 97,8
avr. 2016 105,8 96,8
mai 2016 109,3 99,1
juin 2016 108,7 97,8
juil. 2016 107,8 96,4
août 2016 107,3 96,2
sept. 2016 106,6 95,2
oct. 2016 106,4 94,9
nov. 2016 106,0 94,5
déc. 2016 105,2 93,0
janv. 2017 105,2 92,7
févr. 2017 103,7 91,8
mars 2017 103,1 91,6
avr. 2017 101,5 90,4
mai 2017 100,3 90,4
juin 2017 98,9 89,3
juil. 2017 98,2 88,9
août 2017 98,9 89,0
sept. 2017 98,3 87,9
oct. 2017 97,6 87,6
nov. 2017 97,6 87,0
déc. 2017 97,6 87,2
janv. 2018 97,9 86,5
févr. 2018 97,7 86,0
mars 2018 97,2 84,9
avr. 2018 98,2 85,2
mai 2018 98,4 84,3
juin 2018 99,0 84,4
juil. 2018 100,1 84,8
août 2018 100,2 85,2
sept. 2018 99,9 85,5
oct. 2018 101,4 86,3
nov. 2018 101,9 86,3
déc. 2018 102,6 86,4
janv. 2019 103,3 87,0
févr. 2019 103,4 87,0
mars 2019 102,2 86,6
avr. 2019 103,7 86,8
mai 2019 103,4 86,6
juin 2019 102,3 85,8
juil. 2019 101,2 85,7
août 2019 100,7 84,7
sept. 2019 100,3 84,0
oct. 2019 99,2 83,0
nov. 2019 98,0 82,3
déc. 2019 96,8 81,7
janv. 2020 95,8 79,8
févr. 2020 95,1 78,6
mars 2020 91,6 75,4
avr. 2020 84,9 70,5
mai 2020 79,0 66,3
juin 2020 75,8 64,2
juil. 2020 74,2 61,6
août 2020 73,0 60,8
sept. 2020 70,9 58,4
oct. 2020 67,3 55,2
nov. 2020 64,6 52,6
déc. 2020 61,9 49,9
janv. 2021 59,2 47,7
févr. 2021 55,6 45,0
mars 2021 56,5 44,8
avr. 2021 58,2 45,9
mai 2021 60,8 46,9
juin 2021 60,7 46,2
juil. 2021 60,1 44,9
août 2021 59,7 44,8
sept. 2021 58,2 43,9
oct. 2021 57,3 43,5
nov. 2021 56,5 43,6
déc. 2021 56,9 44,1
janv. 2022 56,7 44,9
févr. 2022 58,6 46,5
mars 2022 59,9 48,4
avr. 2022 61,9 50,2
mai 2022 62,2 51,8
juin 2022 64,0 53,7
juil. 2022 65,3 55,9
août 2022 66,6 57,0
sept. 2022 70,5 59,8
oct. 2022 72,3 62,1
nov. 2022 74,8 64,4
déc. 2022 76,7 66,0
janv. 2023 79,2 68,7
févr. 2023 81,8 70,6
mars 2023 84,1 73,0
  • Notes : données mensuelles brutes au 23 mai 2023, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Figure 20Défaillances d'entreprises

  • Notes : données mensuelles brutes au 23 mai 2023, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Logements autorisés

Figure 21Logements autorisés à la construction

Logements autorisés à la construction
Zonage Nombre de logements autorisés sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2022 déc. 2022 mars 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 2 100 2 500 3 000 18,9 40,6
Seine-et-Marne 12 200 11 600 10 200 -11,9 -16,8
Yvelines 10 600 11 100 9 200 -17,2 -13,8
Essonne 8 300 8 400 8 200 -2,9 -1,6
Hauts-de-Seine 11 200 9 700 9 700 0,8 -13,2
Seine-Saint-Denis 11 300 14 100 14 800 4,9 30,5
Val-de-Marne 9 200 13 300 14 700 10,0 59,5
Val-d'Oise 6 800 7 000 7 000 0,3 2,9
Île-de-France 71 900 77 700 76 800 -1,2 6,8
France hors Mayotte 499 000 485 100 442 600 -8,8 -11,3

Figure 22Évolution du nombre de logements autorisés à la construction

(indice base 100 en décembre 2014)
Évolution du nombre de logements autorisés à la construction ((indice base 100 en décembre 2014))
Île-de-France France hors Mayotte
déc. 2014 100,0 100,0
janv. 2015 99,9 99,7
févr. 2015 99,4 99,1
mars 2015 96,3 98,0
avr. 2015 97,0 99,1
mai 2015 97,5 98,4
juin 2015 96,4 99,6
juil. 2015 99,3 99,4
août 2015 101,3 100,5
sept. 2015 105,7 101,5
oct. 2015 106,2 102,3
nov. 2015 108,8 104,7
déc. 2015 112,4 106,3
janv. 2016 112,5 106,7
févr. 2016 114,7 108,5
mars 2016 114,3 108,8
avr. 2016 116,5 110,2
mai 2016 121,3 112,6
juin 2016 123,5 113,1
juil. 2016 124,0 114,3
août 2016 125,4 115,7
sept. 2016 128,3 118,4
oct. 2016 127,5 119,3
nov. 2016 129,6 120,4
déc. 2016 131,5 121,8
janv. 2017 130,5 122,7
févr. 2017 131,4 123,0
mars 2017 137,2 125,7
avr. 2017 137,6 125,4
mai 2017 137,9 126,4
juin 2017 142,0 127,8
juil. 2017 146,1 129,4
août 2017 146,9 130,0
sept. 2017 149,0 130,3
oct. 2017 149,9 130,9
nov. 2017 146,7 129,8
déc. 2017 146,7 129,5
janv. 2018 149,7 129,9
févr. 2018 150,7 130,6
mars 2018 147,9 128,9
avr. 2018 146,6 129,1
mai 2018 148,7 128,7
juin 2018 144,6 127,0
juil. 2018 141,8 125,4
août 2018 141,1 124,9
sept. 2018 141,4 123,8
oct. 2018 140,9 123,6
nov. 2018 141,2 123,4
déc. 2018 138,1 121,6
janv. 2019 136,0 121,0
févr. 2019 134,1 119,2
mars 2019 133,6 118,4
avr. 2019 135,3 118,7
mai 2019 129,5 118,0
juin 2019 129,0 117,7
juil. 2019 130,5 118,4
août 2019 128,3 117,2
sept. 2019 121,9 115,7
oct. 2019 123,7 116,5
nov. 2019 121,0 116,5
déc. 2019 122,5 118,4
janv. 2020 120,5 119,1
févr. 2020 120,4 120,4
mars 2020 118,5 120,3
avr. 2020 110,3 114,7
mai 2020 107,4 110,5
juin 2020 102,5 109,2
juil. 2020 98,2 106,5
août 2020 97,2 105,8
sept. 2020 95,4 105,9
oct. 2020 91,2 104,1
nov. 2020 92,6 104,3
déc. 2020 94,0 103,1
janv. 2021 94,2 102,2
févr. 2021 93,6 101,8
mars 2021 93,5 102,6
avr. 2021 99,0 108,2
mai 2021 102,2 112,8
juin 2021 102,2 115,0
juil. 2021 106,5 118,4
août 2021 106,1 119,6
sept. 2021 108,2 121,5
oct. 2021 110,0 122,0
nov. 2021 110,3 122,1
déc. 2021 106,1 122,9
janv. 2022 106,4 124,0
févr. 2022 106,1 127,2
mars 2022 107,0 130,6
avr. 2022 110,3 131,9
mai 2022 113,5 133,8
juin 2022 115,2 134,1
juil. 2022 117,1 134,5
août 2022 129,2 137,4
sept. 2022 126,3 134,9
oct. 2022 122,5 132,2
nov. 2022 119,8 130,1
déc. 2022 115,6 127,0
janv. 2023 115,2 124,9
févr. 2023 115,5 120,8
mars 2023 114,3 115,9
avr. 2023 109,7 113,0
  • Notes : données mensuelles brutes, en date réelle. Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Figure 22Évolution du nombre de logements autorisés à la construction

  • Notes : données mensuelles brutes, en date réelle. Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Logements commencés

Figure 23Logements commencés

Logements commencés
Zonage Nombre de logements commencés sur un an (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2022 déc. 2022 mars 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 3 100 2 100 2 100 0,0 -30,9
Seine-et-Marne 9 700 8 400 8 100 -3,5 -16,8
Yvelines 7 700 8 600 7 700 -11,2 -0,7
Essonne 6 700 6 700 6 600 -1,2 -1,8
Hauts-de-Seine 11 200 10 300 9 600 -6,5 -14,0
Seine-Saint-Denis 12 800 8 900 7 700 -13,8 -39,7
Val-de-Marne 7 100 9 100 9 500 3,7 32,5
Val-d'Oise 7 500 5 900 4 800 -18,8 -36,1
Île-de-France 65 800 60 000 56 000 -6,7 -14,9
France hors Mayotte 392 700 372 200 357 100 -4,1 -9,1

Figure 24Évolution du nombre de logements commencés

(indice base 100 en décembre 2014)
Évolution du nombre de logements commencés ((indice base 100 en décembre 2014))
Île-de-France France hors Mayotte
déc. 2014 100,0 100,0
janv. 2015 98,7 99,3
févr. 2015 99,8 99,4
mars 2015 98,3 99,3
avr. 2015 98,1 98,3
mai 2015 98,1 97,5
juin 2015 98,5 98,3
juil. 2015 100,0 97,7
août 2015 101,9 98,2
sept. 2015 105,2 98,6
oct. 2015 107,9 98,8
nov. 2015 112,8 100,0
déc. 2015 118,4 101,3
janv. 2016 116,7 101,6
févr. 2016 120,7 102,9
mars 2016 120,5 102,0
avr. 2016 122,0 103,0
mai 2016 125,9 105,7
juin 2016 127,8 106,0
juil. 2016 127,2 106,3
août 2016 127,4 106,4
sept. 2016 125,5 106,8
oct. 2016 126,1 108,1
nov. 2016 124,7 108,9
déc. 2016 128,5 109,9
janv. 2017 134,3 112,0
févr. 2017 133,9 112,8
mars 2017 140,4 116,3
avr. 2017 141,2 117,5
mai 2017 141,4 117,7
juin 2017 144,1 119,2
juil. 2017 149,6 121,4
août 2017 150,8 121,9
sept. 2017 154,6 122,7
oct. 2017 156,5 123,6
nov. 2017 159,2 125,7
déc. 2017 162,5 129,2
janv. 2018 161,1 128,6
févr. 2018 161,5 128,0
mars 2018 158,8 126,6
avr. 2018 159,0 126,7
mai 2018 161,3 126,8
juin 2018 164,0 126,6
juil. 2018 160,3 125,4
août 2018 157,7 124,7
sept. 2018 155,9 124,1
oct. 2018 157,1 124,5
nov. 2018 159,2 123,0
déc. 2018 156,1 119,6
janv. 2019 157,1 119,7
févr. 2019 158,4 119,8
mars 2019 156,7 119,0
avr. 2019 160,2 118,8
mai 2019 156,7 117,7
juin 2019 149,4 116,2
juil. 2019 152,1 116,7
août 2019 152,9 116,3
sept. 2019 152,3 116,4
oct. 2019 152,1 115,0
nov. 2019 149,6 114,9
déc. 2019 147,7 115,0
janv. 2020 144,6 114,7
févr. 2020 140,8 114,3
mars 2020 138,9 112,0
avr. 2020 128,7 106,8
mai 2020 126,8 105,4
juin 2020 130,7 106,1
juil. 2020 128,5 105,6
août 2020 130,7 106,6
sept. 2020 129,5 106,3
oct. 2020 124,9 106,2
nov. 2020 120,3 105,4
déc. 2020 118,4 104,4
janv. 2021 118,6 103,6
févr. 2021 119,5 103,9
mars 2021 121,3 107,6
avr. 2021 126,4 112,6
mai 2021 128,5 114,8
juin 2021 128,7 114,9
juil. 2021 125,9 114,0
août 2021 124,1 113,7
sept. 2021 121,6 114,1
oct. 2021 126,8 115,0
nov. 2021 128,7 115,8
déc. 2021 126,4 116,1
janv. 2022 125,5 116,9
févr. 2022 123,4 116,6
mars 2022 126,1 116,5
avr. 2022 123,6 115,3
mai 2022 120,9 114,6
juin 2022 117,2 114,2
juil. 2022 117,4 113,6
août 2022 117,8 113,1
sept. 2022 121,5 112,6
oct. 2022 117,6 111,0
nov. 2022 115,5 109,8
déc. 2022 114,9 110,4
janv. 2023 114,0 109,4
févr. 2023 113,8 108,3
mars 2023 107,3 105,9
avr. 2023 106,7 105,1
  • Notes : données mensuelles brutes, en date réelle. Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Figure 24Évolution du nombre de logements commencés

  • Notes : données mensuelles brutes, en date réelle. Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Locaux autorisés

Figure 25Locaux autorisés à la construction

Locaux autorisés à la construction
Zonage Surfaces de plancher des locaux autorisés sur un an (en milliers de m²) (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2022 déc. 2022 mars 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 400 404 499 23,5 24,6
Seine-et-Marne 846 1 014 911 -10,1 7,8
Yvelines 517 668 631 -5,6 21,9
Essonne 560 582 615 5,6 9,9
Hauts-de-Seine 656 594 510 -14,1 -22,2
Seine-Saint-Denis 463 585 772 32,1 66,8
Val-de-Marne 241 445 463 4,1 92,0
Val-d'Oise 487 479 459 -4,1 -5,7
Île-de-France 4 171 4 771 4 861 1,9 16,6
France entière 38 809 40 083 40 110 0,1 3,4

Figure 26Évolution de la surface de plancher des locaux autorisés à la construction

(indice base 100 en décembre 2014)
Évolution de la surface de plancher des locaux autorisés à la construction ((indice base 100 en décembre 2014))
Île-de-France France entière
déc. 2014 100,0 100,0
janv. 2015 96,2 98,4
févr. 2015 92,7 97,9
mars 2015 90,8 95,3
avr. 2015 88,6 95,4
mai 2015 90,0 96,0
juin 2015 90,2 96,4
juil. 2015 91,3 95,8
août 2015 92,2 95,7
sept. 2015 95,2 95,5
oct. 2015 101,5 96,6
nov. 2015 106,9 98,4
déc. 2015 111,1 98,5
janv. 2016 114,7 100,5
févr. 2016 115,6 101,1
mars 2016 116,7 101,2
avr. 2016 117,2 102,5
mai 2016 119,7 102,5
juin 2016 121,8 101,5
juil. 2016 118,0 100,3
août 2016 121,1 102,6
sept. 2016 123,3 103,6
oct. 2016 125,7 103,6
nov. 2016 126,5 103,8
déc. 2016 127,4 104,6
janv. 2017 126,0 104,4
févr. 2017 125,9 103,6
mars 2017 129,6 105,2
avr. 2017 132,2 104,0
mai 2017 139,3 105,5
juin 2017 139,4 105,8
juil. 2017 145,3 107,6
août 2017 157,5 109,2
sept. 2017 157,3 109,7
oct. 2017 158,4 111,2
nov. 2017 158,8 112,1
déc. 2017 154,6 112,1
janv. 2018 154,5 113,8
févr. 2018 159,1 114,5
mars 2018 164,5 115,0
avr. 2018 159,2 114,7
mai 2018 151,9 113,1
juin 2018 151,1 112,9
juil. 2018 149,8 112,8
août 2018 136,3 109,6
sept. 2018 135,4 109,8
oct. 2018 132,3 108,6
nov. 2018 132,6 108,4
déc. 2018 137,2 108,4
janv. 2019 141,6 109,1
févr. 2019 140,7 110,6
mars 2019 136,8 110,0
avr. 2019 142,3 111,0
mai 2019 141,1 113,9
juin 2019 141,1 114,5
juil. 2019 145,1 116,9
août 2019 145,5 116,3
sept. 2019 144,1 114,8
oct. 2019 138,2 114,8
nov. 2019 139,8 115,7
déc. 2019 137,9 116,4
janv. 2020 139,6 114,6
févr. 2020 138,6 113,6
mars 2020 132,1 109,9
avr. 2020 124,3 105,6
mai 2020 123,9 100,5
juin 2020 125,6 99,0
juil. 2020 117,7 96,3
août 2020 112,8 96,8
sept. 2020 109,7 98,3
oct. 2020 112,4 97,0
nov. 2020 113,4 95,9
déc. 2020 112,4 94,0
janv. 2021 107,4 92,7
févr. 2021 102,3 90,2
mars 2021 105,5 93,5
avr. 2021 110,6 96,6
mai 2021 113,8 99,7
juin 2021 106,4 100,5
juil. 2021 107,8 100,5
août 2021 109,2 102,5
sept. 2021 110,1 103,0
oct. 2021 107,7 103,7
nov. 2021 104,0 104,4
déc. 2021 108,2 105,2
janv. 2022 109,2 105,6
févr. 2022 109,4 107,0
mars 2022 110,0 107,3
avr. 2022 111,9 108,9
mai 2022 113,0 109,4
juin 2022 119,1 109,4
juil. 2022 120,5 109,0
août 2022 126,0 108,7
sept. 2022 122,9 108,0
oct. 2022 130,5 109,6
nov. 2022 130,1 109,8
déc. 2022 125,8 110,8
janv. 2023 125,7 111,9
févr. 2023 128,1 111,6
mars 2023 128,2 110,9
avr. 2023 123,2 109,3
  • Notes : données brutes en date de prise en compte. Moyenne glissante sur 12 mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Figure 26Évolution de la surface de plancher des locaux autorisés à la construction

  • Notes : données brutes en date de prise en compte. Moyenne glissante sur 12 mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Locaux commencés

Figure 27Locaux commencés

Locaux commencés
Zonage Surfaces de plancher des locaux commencés sur un an (en milliers de m²) (*) Glissement du cumul annuel (en %)
mars 2022 déc. 2022 mars 2023 sur un trimestre sur une année
Paris 396 342 362 5,7 -8,6
Seine-et-Marne 417 650 653 0,5 56,6
Yvelines 291 382 291 -23,8 0,1
Essonne 364 518 513 -1,1 40,9
Hauts-de-Seine 641 432 484 12,0 -24,5
Seine-Saint-Denis 630 469 363 -22,7 -42,5
Val-de-Marne 213 251 314 25,1 47,6
Val-d'Oise 330 443 441 -0,6 33,8
Île-de-France 3 282 3 489 3 421 -1,9 4,2
France entière 26 239 26 336 25 474 -3,3 -2,9

Figure 28Évolution de la surface de plancher des locaux commencés à la construction

(indice base 100 en décembre 2014)
Évolution de la surface de plancher des locaux commencés à la construction ((indice base 100 en décembre 2014))
Île-de-France France entière
déc. 2014 100,0 100,0
janv. 2015 98,5 100,8
févr. 2015 104,6 98,6
mars 2015 100,9 96,5
avr. 2015 95,6 96,0
mai 2015 91,5 95,5
juin 2015 90,2 94,6
juil. 2015 89,5 93,1
août 2015 87,6 91,9
sept. 2015 85,4 92,3
oct. 2015 92,7 92,2
nov. 2015 98,7 92,0
déc. 2015 101,0 91,6
janv. 2016 112,1 92,7
févr. 2016 110,3 92,3
mars 2016 109,7 93,9
avr. 2016 110,7 94,2
mai 2016 112,9 96,1
juin 2016 111,7 96,3
juil. 2016 114,2 94,3
août 2016 117,3 95,3
sept. 2016 119,6 94,8
oct. 2016 112,3 95,9
nov. 2016 107,2 94,8
déc. 2016 113,2 97,0
janv. 2017 104,0 95,2
févr. 2017 102,9 95,7
mars 2017 114,2 96,3
avr. 2017 118,0 97,1
mai 2017 120,1 96,4
juin 2017 124,8 96,8
juil. 2017 121,6 97,1
août 2017 124,2 98,5
sept. 2017 132,5 101,3
oct. 2017 139,2 101,2
nov. 2017 141,4 102,7
déc. 2017 138,6 102,6
janv. 2018 142,3 103,8
févr. 2018 148,9 105,5
mars 2018 145,7 105,8
avr. 2018 147,8 104,3
mai 2018 146,4 106,8
juin 2018 142,9 106,3
juil. 2018 147,4 109,8
août 2018 140,1 107,0
sept. 2018 129,6 103,4
oct. 2018 128,6 105,4
nov. 2018 125,8 104,7
déc. 2018 121,3 104,8
janv. 2019 126,6 105,7
févr. 2019 123,2 105,0
mars 2019 123,1 105,4
avr. 2019 121,9 106,2
mai 2019 119,4 105,5
juin 2019 118,7 106,2
juil. 2019 121,5 107,5
août 2019 125,6 108,4
sept. 2019 125,5 110,3
oct. 2019 123,7 109,1
nov. 2019 128,4 112,9
déc. 2019 137,6 112,4
janv. 2020 127,6 111,7
févr. 2020 124,3 113,3
mars 2020 118,2 107,9
avr. 2020 113,1 104,9
mai 2020 110,0 101,3
juin 2020 105,9 101,2
juil. 2020 99,0 98,8
août 2020 103,3 99,1
sept. 2020 102,1 97,7
oct. 2020 102,5 97,5
nov. 2020 103,3 94,6
déc. 2020 96,6 94,1
janv. 2021 94,8 91,1
févr. 2021 94,6 89,3
mars 2021 96,2 92,4
avr. 2021 100,0 95,8
mai 2021 107,9 99,2
juin 2021 112,4 98,0
juil. 2021 112,9 97,1
août 2021 112,9 98,5
sept. 2021 117,8 99,7
oct. 2021 116,0 98,6
nov. 2021 112,1 98,2
déc. 2021 110,9 99,1
janv. 2022 113,7 102,3
févr. 2022 111,8 102,5
mars 2022 115,6 103,7
avr. 2022 119,5 106,9
mai 2022 120,1 107,5
juin 2022 121,6 108,2
juil. 2022 122,5 108,8
août 2022 122,1 107,6
sept. 2022 119,5 106,5
oct. 2022 120,7 105,9
nov. 2022 119,4 105,0
déc. 2022 122,9 104,1
janv. 2023 124,1 102,2
févr. 2023 123,8 101,1
mars 2023 120,5 100,7
avr. 2023 115,8 96,7
  • Notes : données brutes en date de prise en compte. Moyenne glissante sur 12 mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Figure 28Évolution de la surface de plancher des locaux commencés à la construction

  • Notes : données brutes en date de prise en compte. Moyenne glissante sur 12 mois.
  • Source : SDES, Sit@del2.

Hôtellerie

Figure 29Hôtellerie

Hôtellerie
Zonage Nuitées dans l'hôtellerie (en milliers)
août 2022 sept. 2022 oct. 2022 nov. 2022 déc. 2022 janv. 2023 févr. 2023 mars 2023
Île-de-France 6 172 6 124 6 695 5 405 5 941 5 028 4 677 5 527
Évolution sur un an en pourcentage
Île-de-France 90,4 64,0 34,7 22,3 36,3 80,0 35,1 14,5
France entière 18,5 22,3 15,2 11,3 21,0 42,0 16,4 6,9
  • Notes : le dernier mois est provisoire. Données mensuelles brutes, évolution par rapport au même mois de l'année précédente.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie".
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 30Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014)
Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2014))
Île-de-France France métropolitaine
4ᵉ trim. 2014 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2015 99,8 100,3
2ᵉ trim. 2015 99,4 100,5
3ᵉ trim. 2015 99,6 101,0
4ᵉ trim. 2015 97,3 100,2
1ᵉ trim. 2016 96,1 100,5
2ᵉ trim. 2016 93,4 99,6
3ᵉ trim. 2016 89,5 98,4
4ᵉ trim. 2016 90,6 99,4
1ᵉ trim. 2017 92,8 99,9
2ᵉ trim. 2017 95,7 101,5
3ᵉ trim. 2017 98,9 103,2
4ᵉ trim. 2017 101,0 104,3
1ᵉ trim. 2018 102,7 105,3
2ᵉ trim. 2018 103,8 105,6
3ᵉ trim. 2018 105,7 106,3
4ᵉ trim. 2018 106,3 106,6
1ᵉ trim. 2019 105,5 106,4
2ᵉ trim. 2019 106,1 107,1
3ᵉ trim. 2019 105,8 107,3
4ᵉ trim. 2019 105,6 107,5
1ᵉ trim. 2020 101,0 103,9
2ᵉ trim. 2020 74,7 78,7
3ᵉ trim. 2020 54,7 67,0
4ᵉ trim. 2020 33,9 52,2
1ᵉ trim. 2021 20,5 42,5
2ᵉ trim. 2021 24,7 49,8
3ᵉ trim. 2021 31,5 55,4
4ᵉ trim. 2021 46,8 67,3
1ᵉ trim. 2022 59,0 77,2
2ᵉ trim. 2022 79,7 94,0
3ᵉ trim. 2022 93,0 100,6
4ᵉ trim. 2022 99,4 103,8
1ᵉ trim. 2023 105,6 107,1
  • Notes : données trimestrielles brutes. Chaque point représente le cumul du nombre de nuitées des 4 derniers trimestres en base 100 au 4ᵉ trimestre 2014.
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 30Évolution de la fréquentation (en nombre de nuitées) dans les hôtels

  • Notes : données trimestrielles brutes. Chaque point représente le cumul du nombre de nuitées des 4 derniers trimestres en base 100 au 4ᵉ trimestre 2014.
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT).

Hôtellerie de plein air (camping)

Figure 31Hôtellerie de plein air

Hôtellerie de plein air
Zonage Nuitées dans l'hôtellerie de plein air (en milliers)
Saison 2021 avr. 2022 mai 2022 juin 2022 juil. 2022 août 2022 sept. 2022 Saison 2022
Île-de-France 828 215 214 235 395 454 196 1 709
  • Notes : données mensuelles brutes.
  • La saison touristique 2021 couvre les mois de mai à septembre.
  • La saison touristique 2022 couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie de plein air".
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 32Évolution de la fréquentation dans l'hôtellerie de plein air

(en milliers)
Évolution de la fréquentation dans l'hôtellerie de plein air ((en milliers))
Nombre de nuitées - 2021 Nombre de nuitées - 2022
mai 57 214
juin 82 235
juil. 230 395
août 309 454
sept. 150 196
  • Notes : données mensuelles brutes.
  • La saison touristique 2021 couvre les mois de mai à septembre.
  • La saison touristique 2022 couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT).

Figure 32Évolution de la fréquentation dans l'hôtellerie de plein air

  • Notes : données mensuelles brutes.
  • La saison touristique 2021 couvre les mois de mai à septembre.
  • La saison touristique 2022 couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT).

Définitions

Les salariés sont les personnes qui travaillent, aux termes d’un contrat, pour une autre entité résidente en échange d’un salaire ou d’une rétribution équivalente, avec un lien de subordination.

L' intérim (ou travail intérimaire ou travail temporaire) consiste à mettre à disposition provisoire d’entreprises clientes, des salariés qui, en fonction d'une rémunération convenue, sont embauchés et rémunérés à cet effet par l'entreprise de travail temporaire.

L'intérim se caractérise donc par une relation triangulaire entre l’entreprise de travail temporaire, l’entreprise cliente et le salarié, et implique la conclusion de deux contrats : un contrat de mise à disposition (entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise cliente) et un contrat de mission (entre l’entreprise de travail temporaire et le salarié).

Le contrat ne peut être conclu que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire, dénommée mission, et seulement dans les cas énumérés par la loi. Quel que soit le motif pour lequel il est conclu, un tel contrat ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise utilisatrice.

Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui s'étend du commerce à l'administration, en passant par les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.

Il est composé du :

  • tertiaire principalement marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus aux entreprises, services rendus aux particuliers, hébergement-restauration, immobilier, information-communication) ;
  • tertiaire principalement non-marchand (administration publique, enseignement, santé humaine, action sociale).

Le périmètre du secteur tertiaire est de fait défini par complémentarité avec les activités agricoles et industrielles (secteurs primaire et secondaire).

Lorsqu'une entreprise réduit son activité au-dessous de l'horaire légal ou arrête momentanément tout ou partie de son activité et qu'elle n'entend pas rompre les contrats de travail qui la lient à ses salariés, elle peut avoir recours au chômage partiel.

Le système d'indemnisation du chômage partiel permet de gérer une baisse d'activité ponctuelle, limitée dans le temps et ayant pour cadre l'année civile.

Remarque :

Le dispositif du chômage partiel a pour but d'éviter des licenciements : il permet à une entreprise qui subit une perte d'activité de nature économique, technique ou naturelle, de réduire temporairement les horaires de ses effectifs.

Lorsque le chômage partiel se prolonge au-delà de 6 semaines, les salariés dont le contrat de travail est suspendu sont considérés comme étant à la recherche d'un emploi et peuvent être admis au bénéfice de l'allocation d'aide de retour à l'emploi versée par Pôle Emploi ; on parle alors de « chômage partiel total ».

En 2008, afin de tenir compte de la dégradation de la conjoncture économique, l'instruction DGEPF n° 2008/19 du 25 novembre 2008 précise les conditions d'une application dynamique du chômage partiel, qu'il s'agisse, par exemple, de répondre favorablement aux demandes des entreprises en redressement judiciaire, dans la perspective de leur reprise, aux demandes des entreprises de sous-traitance affectées par les difficultés de leurs donneurs d'ordres, ou encore, d'assouplir l'interprétation du caractère temporaire du chômage partiel.

L'instruction rappelle également les autres dispositifs auxquels peuvent recourir les entreprises avant de solliciter l'État pour bénéficier du chômage partiel : aménagement du temps de travail dans le cadre fixé par la loi du 20 août 2008, formation des salariés...

Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs).

On peut calculer un taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d'une classe d'âge avec les actifs de cette classe d'âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe, par PCS, par région, par nationalité, par niveau de diplôme...

Remarque :

Le taux de chômage diffère de la part du chômage qui, elle, mesure la proportion de chômeurs dans l'ensemble de la population.

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Les demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à Pôle Emploi et ayant une demande en cours au dernier jour du mois.

Les demandeurs d'emploi de longue durée (DELD) sont ceux inscrits en catégories A, B, C, depuis un an ou plus.

Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre d'une nouvelle combinaison de facteurs de production avec pour restriction qu'aucune autre entreprise ne soit impliquée dans cet évènement.

Les créations d’entreprises sont en fait des créations d’unités légales. On parle néanmoins de créations d’entreprises en raison de la spécificité de la situation au moment de la création. En effet, au moment de son immatriculation, il n’est pas possible de déterminer si une unité légale est indépendante ou appartient à un groupe. Par défaut, au moment de la création, toute entité est donc indépendante et considérée comme une entreprise.

La statistique mensuelle des créations d'entreprises est constituée à partir des informations du Répertoire des entreprises et des établissements (REE), issu de Sirene. Les créations d'entreprises correspondent aux unités légales du répertoire Sirene qui enregistrent un début d'activité relevant de l'un des cas suivants :

  • l'immatriculation d'une nouvelle unité légale avec création d'une nouvelle combinaison de facteurs de production ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de plus d'un an (il n'y a pas de nouvelle immatriculation mais reprise de l'ancien numéro Siren, en général pour un entrepreneur individuel) ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de moins d'un an, mais avec changement d'activité ;
  • la reprise par une unité légale nouvellement immatriculée de tout ou partie des activités et facteurs de production d'une autre unité légale, lorsqu'il n'y a pas de continuité économique entre la situation du cédant et celle du repreneur.

On considère qu'il n'y a pas continuité économique de l'unité légale si, parmi les trois éléments suivants concernant son siège, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l'unité légale contrôlant l'établissement siège, l'activité économique et la localisation.

Depuis les données relatives à janvier 2009, à la suite de la mise en place du régime de l'auto-entrepreneur (renommé micro-entrepreneur, à compter du 19 décembre 2014), les statistiques de créations d'entreprises incluent les demandes de créations enregistrées dans Sirene au titre de ce régime. Ce dénombrement n'inclut pas les entrepreneurs déjà en activité avant le 1er janvier 2009 et qui avaient demandé, à titre dérogatoire au plus tard le 31 mars 2009, à bénéficier du régime micro-social et du versement fiscal libératoire en 2009.

La statistique de créations d'entreprises couvre l'ensemble des activités marchandes hors agriculture.

Remarque :

Depuis le 1er janvier 2007, la notion de création d'entreprise s'appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons.


Une unité légale est en situation de défaillance ou de dépôt de bilan à partir du moment où une procédure de redressement judiciaire est ouverte à son encontre.

Cette procédure intervient lorsqu'une unité légale est en état de cessation de paiement, c'est-à-dire qu'elle n'est plus en mesure de faire face à son passif exigible avec son actif disponible.

Remarque :

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance et la notion de cessation. La notion de cessation correspond à l'arrêt total de l'activité économique d'une entreprise. Toutes les défaillances ne donnent pas des cessations. Par exemple, un jugement d'ouverture de procédure de défaillance (dépôt de bilan d'une entreprise inscrite dans le cadre d'une procédure judiciaire) ne se résout pas forcement par une liquidation.

Toutes les cessations n'ont pas donné lieu à une défaillance. Par exemple, un entrepreneur individuel peut cesser son activité suite à un départ en retraite.

Un logement autorisé est un logement, non encore réalisé, dont la construction a été autorisée par un permis de construire ou une non-opposition à une déclaration préalable.


Un logement est considéré comme commencé (ou mis en chantier) après réception de la déclaration d’ouverture de chantier (DOC) envoyée par le pétitionnaire (ou maître d’ouvrage).

Un chantier est considéré ouvert lorsque les fouilles en rigole ou les fondations sont entreprises pour une partie ou la totalité des constructions autorisées.

Remarque :

Une « fouille en rigole » est un creusement du sol pour permettre la construction à l'emplacement des « semelles » (ces dernières sont les parties basses).

La correction des variations saisonnières permet d’éliminer l'effet de fluctuations périodiques infra-annuelles dues au calendrier et aux saisons, de manière à faire ressortir les évolutions les plus significatives de la série. Celles-ci sont contenues dans la tendance et la composante irrégulière.

Par exemple, les ventes de jouets augmentent toujours fortement entre novembre et décembre, en raison de Noël. Sur les données brutes, cet effet périodique masque l’évolution conjoncturelle sous-jacente pour une année donnée. Une fois la série désaisonnalisée, c’est-à-dire l’effet Noël retiré, les ventes peuvent s’avérer en baisse, signe d’une moins bonne année.