Tableau de bord de la conjoncture : Île-de-France

Chiffres-clés
Paru le :Paru le06/05/2025
- Mai 2025

Indicateurs clés de la région

Tableau synthétique - Île-de-France

Tableau synthétique - Île-de-France
Indicateurs clés régionaux Date de mise à jour Type et date de valeur Valeur Tendance/période précédente ¹
Régionale Nationale
Activité économique
Heures rémunérées (évolution en % par rapport au même mois de l'année précédente) ** 28 avril 2025 Évolution en % - févr. 2025 -1,5
Emploi
Emploi salarié total (en milliers) ** 21 mars 2025 CVS - 4ᵉ trim. 2024 6 341,8
Emplois intérimaires (en milliers) ** 21 mars 2025 CVS - 4ᵉ trim. 2024 115,6
Chômage
Taux de chômage (en %) ** 21 mars 2025 CVS - 4ᵉ trim. 2024 7,0
Marché du travail
Inscrits à France Travail en catégories A,B,C ** 29 avril 2025 CVS - 1ᵉ trim. 2025 874 110
Offres d'emploi (en milliers) ** 28 avril 2025 CVS-CJO - 1ᵉ trim. 2025 36,0
Indicateurs sociaux
Revenu de solidarité active (RSA) (en milliers) * 10 mars 2025 déc. 2024 351,1
Prime d’activité (en milliers) * 10 mars 2025 déc. 2024 706,4
Entreprises
Créations d'entreprises * 23 avril 2025 CVS-CJO - 1ᵉ trim. 2025 80 320
Défaillances d'entreprises * 24 févr. 2025 brute - Cumul annuel à fin déc. 2024 15 830
Construction neuve
Logements autorisés ** 30 avril 2025 CVS-CJO - mars 2025 4 500
Locaux autorisés (en milliers de m²) * 30 avril 2025 CVS-CJO - mars 2025 340
Tourisme
Hôtellerie (en milliers de nuitées) * 09 avril 2025 brute - févr. 2025 4 940
Hôtellerie de plein air (camping) (en milliers de nuitées) *** 07 nov. 2024 brute - saison 2024 1 810
Autres hébergements collectifs touristiques (en milliers de nuitées) *** 16 avril 2025 brute - févr. 2025 1 000
  • Note : La plupart des données sont susceptibles d'être révisées d'un mois (ou trimestre) à l'autre.
  • Pour la comparaison nationale : * France ; ** France hors Mayotte ; *** France métropolitaine.
  • ¹ : La tendance par rapport à la période précédente est la comparaison par rapport au mois ou au trimestre précédent sauf :
  • - heures rémunérées, indicateurs sociaux, hôtellerie et autres hébergements collectifs touristiques : comparaison de l'évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - défaillances d'entreprises : comparaison au cumul des douze mois précédents ;
  • - hôtellerie de plein air : évolution de la saison par rapport à la saison précédente.

Retrouver ces indicateurs commentés dans les notes trimestrielles et le bilan économique de la collection Insee Conjoncture de la région.

En février 2025, l’activité économique recule sur un an

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

(en %)
Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France ((en %))
Période Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Ensemble - Île-de-France Ensemble - France hors Mayotte
mars 2023 1,4 -1,1 2,4 1,9 2,0 1,5
avril 2023 0,6 -1,8 1,6 1,1 1,2 1,1
mai 2023 1,1 -1,1 1,7 1,4 1,4 1,3
juin 2023 1,3 -0,6 2,2 1,9 1,9 1,4
juil. 2023 1,6 -0,1 2,2 1,9 2,0 1,7
août 2023 2,1 -1,1 2,1 1,7 1,9 1,4
sept. 2023 0,7 -1,2 1,0 0,8 0,8 0,3
oct. 2023 2,5 1,1 2,2 1,9 2,1 1,4
nov. 2023 1,7 0,1 1,3 1,8 1,3 0,7
déc. 2023 0,5 2,3 0,7 1,0 0,8 0,7
janv. 2024 1,8 -1,1 1,8 1,6 1,5 1,1
févr. 2024 2,0 1,3 2,1 2,0 2,0 1,5
mars 2024 -0,6 -0,4 0,8 0,7 0,6 0,1
avril 2024 2,0 1,3 2,7 2,9 2,6 1,9
mai 2024 0,4 0,0 1,7 2,6 1,5 0,6
juin 2024 -1,3 -1,6 0,1 0,1 -0,2 -0,6
juil. 2024 1,2 -0,9 2,3 2,6 2,0 1,2
août 2024 -1,3 -6,0 0,8 1,0 0,2 -0,2
sept. 2024 -0,1 -2,1 0,8 1,6 0,6 0,2
oct. 2024 0,2 -1,6 0,3 2,2 0,3 0,3
nov. 2024 -1,0 -2,6 -0,5 0,9 -0,5 -0,6
déc. 2024 0,6 -3,4 0,0 1,8 0,0 0,0
janv. 2025 -0,2 -1,2 -0,6 1,1 -0,4 -0,2
févr. 2025 -1,1 -3,7 -1,5 0,0 -1,5 -1,1
  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Notes : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré. Le dernier mois est provisoire.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN, traitement Insee.

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Notes : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré. Le dernier mois est provisoire.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN, traitement Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

(évolution en %, contribution en points)
Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France ((évolution en %, contribution en points))
Période Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Évolution totale
mars 2023 0,1 -0,1 1,8 0,2 2,0
avril 2023 0,1 -0,1 1,2 0,1 1,2
mai 2023 0,1 -0,1 1,3 0,1 1,4
juin 2023 0,1 0,0 1,7 0,2 1,9
juil. 2023 0,1 0,0 1,7 0,2 2,0
août 2023 0,2 -0,1 1,6 0,1 1,9
sept. 2023 0,1 -0,1 0,7 0,1 0,8
oct. 2023 0,2 0,1 1,6 0,2 2,1
nov. 2023 0,2 0,0 1,0 0,2 1,3
déc. 2023 0,0 0,2 0,5 0,1 0,8
janv. 2024 0,2 -0,1 1,3 0,1 1,5
févr. 2024 0,2 0,1 1,6 0,2 2,0
mars 2024 -0,1 0,0 0,6 0,1 0,6
avril 2024 0,2 0,1 2,0 0,3 2,6
mai 2024 0,0 0,0 1,3 0,2 1,5
juin 2024 -0,1 -0,1 0,1 0,0 -0,2
juil. 2024 0,1 -0,1 1,7 0,2 2,0
août 2024 -0,1 -0,3 0,6 0,1 0,2
sept. 2024 0,0 -0,1 0,6 0,1 0,6
oct. 2024 0,0 -0,1 0,2 0,2 0,3
nov. 2024 -0,1 -0,2 -0,3 0,1 -0,5
déc. 2024 0,1 -0,2 0,0 0,2 0,0
janv. 2025 0,0 -0,1 -0,4 0,1 -0,4
févr. 2025 -0,1 -0,3 -1,1 0,0 -1,5
  • Notes : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré. Le dernier mois est provisoire.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN, traitement Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

  • Notes : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré. Le dernier mois est provisoire.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN, traitement Insee.

Au quatrième trimestre 2024, l’emploi salarié se replie

Figure 3Emploi salarié total

Emploi salarié total
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2023 3ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 1 987,1 1 995,3 1 984,8 -0,5 -0,1
Seine-et-Marne 506,3 509,6 509,8 0,0 0,7
Yvelines 537,1 540,4 536,8 -0,7 -0,1
Essonne 494,7 498,8 495,7 -0,6 0,2
Hauts-de-Seine 1 166,7 1 171,7 1 165,1 -0,6 -0,1
Seine-Saint-Denis 671,2 681,4 678,1 -0,5 1,0
Val-de-Marne 550,4 553,5 551,1 -0,4 0,1
Val-d'Oise 417,0 421,0 420,5 -0,1 0,8
Île-de-France 6 330,4 6 371,6 6 341,8 -0,5 0,2
France hors Mayotte 27 064,9 27 161,8 27 071,7 -0,3 0,0

Figure 4Évolution de l'emploi salarié

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Évolution de l'emploi salarié ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Emploi salarié total - Île-de-France Emploi salarié total - France hors Mayotte Emploi salarié privé - Île-de-France Emploi salarié privé - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 100,7 100,7 100,8 100,8
2ᵉ trim. 2019 101,0 100,8 101,2 101,0
3ᵉ trim. 2019 101,4 101,1 101,7 101,3
4ᵉ trim. 2019 101,9 101,5 102,2 101,8
1ᵉ trim. 2020 100,5 99,6 100,4 99,4
2ᵉ trim. 2020 99,3 99,1 99,4 99,0
3ᵉ trim. 2020 101,1 101,2 101,1 101,2
4ᵉ trim. 2020 101,0 101,2 101,0 101,3
1ᵉ trim. 2021 101,6 101,9 101,6 102,2
2ᵉ trim. 2021 102,3 103,0 102,5 103,5
3ᵉ trim. 2021 103,2 103,9 103,7 104,5
4ᵉ trim. 2021 103,8 104,5 104,6 105,4
1ᵉ trim. 2022 104,4 104,9 105,3 105,9
2ᵉ trim. 2022 104,8 105,1 105,8 106,1
3ᵉ trim. 2022 105,3 105,4 106,4 106,5
4ᵉ trim. 2022 105,8 105,8 107,0 107,0
1ᵉ trim. 2023 106,0 105,9 107,3 107,1
2ᵉ trim. 2023 106,4 106,2 107,7 107,3
3ᵉ trim. 2023 106,6 106,2 107,8 107,4
4ᵉ trim. 2023 106,7 106,4 107,9 107,5
1ᵉ trim. 2024 107,0 106,7 108,3 107,7
2ᵉ trim. 2024 107,2 106,7 108,4 107,6
3ᵉ trim. 2024 107,4 106,8 108,4 107,7
4ᵉ trim. 2024 106,9 106,5 108,0 107,3
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 4Évolution de l'emploi salarié

  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au quatrième trimestre 2024, l’emploi dans le tertiaire marchand baisse le plus fortement

Figure 5Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur

Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur
Secteur d'activité Emplois (en milliers) Variation (en %) France hors Mayotte - Variation (en %)
4ᵉ trim. 2023 3ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle trimestrielle annuelle
Agriculture 5,7 5,6 5,6 1,1 -1,0 0,1 0,1
Industrie 438,4 440,5 440,5 -0,0 0,5 -0,1 0,3
Construction 341,0 338,3 337,0 -0,4 -1,2 -0,6 -1,8
Tertiaire non marchand 1 581,5 1 602,0 1 591,0 -0,7 0,6 -0,4 0,5
Tertiaire marchand 3 963,8 3 985,1 3 967,8 -0,4 0,1 -0,3 -0,1
dont commerce 742,6 742,7 742,4 -0,0 -0,0 -0,0 -0,2
dont intérim 119,0 117,6 115,6 -1,7 -2,9 -2,3 -6,0
Ensemble 6 330,4 6 371,6 6 341,8 -0,5 0,2 -0,3 0,0
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Pour l’agriculture, les données de la source MSA étant livrées avec retard, l’Insee réalise une estimation en exploitant directement les déclarations administratives (DSN) depuis le 1ᵉʳ trimestre de 2018.
  • Accès aux séries longues "estimations d'emploi salarié par secteur d'activité (Régions et Départements)".
  • Champ : Emploi salarié total.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Construction Industrie Tertiaire marchand hors intérim Tertiaire non marchand
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 102,4 100,1 100,7 100,2
2ᵉ trim. 2019 104,2 100,4 101,0 100,2
3ᵉ trim. 2019 105,8 100,5 101,5 100,5
4ᵉ trim. 2019 107,5 100,9 102,1 100,8
1ᵉ trim. 2020 106,8 100,8 101,1 101,0
2ᵉ trim. 2020 108,5 100,2 99,6 99,3
3ᵉ trim. 2020 110,5 100,0 100,8 101,4
4ᵉ trim. 2020 112,0 100,0 100,4 101,7
1ᵉ trim. 2021 113,2 100,0 101,0 102,1
2ᵉ trim. 2021 114,4 100,3 101,9 102,1
3ᵉ trim. 2021 114,8 100,4 103,3 102,2
4ᵉ trim. 2021 114,8 100,3 104,3 101,8
1ᵉ trim. 2022 115,1 100,2 105,2 102,2
2ᵉ trim. 2022 115,2 100,2 105,9 102,2
3ᵉ trim. 2022 115,2 100,7 106,6 102,1
4ᵉ trim. 2022 115,4 100,8 107,4 102,3
1ᵉ trim. 2023 115,7 101,0 107,8 102,2
2ᵉ trim. 2023 115,8 101,6 108,2 102,4
3ᵉ trim. 2023 115,7 102,0 108,4 102,8
4ᵉ trim. 2023 115,8 102,8 108,5 103,1
1ᵉ trim. 2024 115,8 102,9 108,9 103,2
2ᵉ trim. 2024 115,2 103,4 109,1 103,6
3ᵉ trim. 2024 114,9 103,3 109,1 104,4
4ᵉ trim. 2024 114,5 103,2 108,7 103,7
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au quatrième trimestre 2024, l’emploi intérimaire continue de baisser

Figure 7Emplois intérimaires

Emplois intérimaires
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
4ᵉ trim. 2023 3ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 44,1 40,6 39,5 -2,7 -10,4
Seine-et-Marne 16,4 16,4 16,7 1,7 2,2
Yvelines 7,4 6,6 6,2 -6,9 -16,1
Essonne 11,2 10,5 9,9 -5,7 -11,7
Hauts-de-Seine 13,6 14,6 15,7 8,1 15,6
Seine-Saint-Denis 9,6 11,7 10,8 -7,6 13,0
Val-de-Marne 7,1 6,7 6,7 -0,1 -5,3
Val-d'Oise 9,7 10,4 10,0 -4,2 3,1
Île-de-France 119,0 117,6 115,6 -1,7 -2,9
France hors Mayotte 757,3 728,8 711,7 -2,3 -6,0

Figure 8Évolution de l'emploi intérimaire

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Évolution de l'emploi intérimaire ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 102,8 103,8
2ᵉ trim. 2019 104,3 103,4
3ᵉ trim. 2019 103,0 102,8
4ᵉ trim. 2019 99,8 100,1
1ᵉ trim. 2020 63,0 61,8
2ᵉ trim. 2020 70,5 75,6
3ᵉ trim. 2020 85,8 91,9
4ᵉ trim. 2020 88,5 94,5
1ᵉ trim. 2021 89,9 97,2
2ᵉ trim. 2021 92,1 100,6
3ᵉ trim. 2021 95,3 101,6
4ᵉ trim. 2021 99,6 105,9
1ᵉ trim. 2022 98,6 104,6
2ᵉ trim. 2022 98,6 102,8
3ᵉ trim. 2022 99,5 104,4
4ᵉ trim. 2022 99,4 104,6
1ᵉ trim. 2023 97,1 102,2
2ᵉ trim. 2023 97,6 101,3
3ᵉ trim. 2023 94,6 99,1
4ᵉ trim. 2023 91,9 97,7
1ᵉ trim. 2024 94,3 97,4
2ᵉ trim. 2024 90,9 94,8
3ᵉ trim. 2024 90,8 94,0
4ᵉ trim. 2024 89,3 91,8
  • Notes : Données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 8Évolution de l'emploi intérimaire

  • Notes : Données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, Estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage est stable

Figure 9Taux de chômage

Taux de chômage
Zonage Taux de chômage (en %) Variation (en points de %)
4ᵉ trim. 2023 3ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 5,9 5,7 5,7 0,0 -0,2
Seine-et-Marne 6,9 6,9 6,8 -0,1 -0,1
Yvelines 6,6 6,6 6,5 -0,1 -0,1
Essonne 6,6 6,5 6,5 0,0 -0,1
Hauts-de-Seine 6,1 6,1 6,1 0,0 0,0
Seine-Saint-Denis 10,6 10,4 10,2 -0,2 -0,4
Val-de-Marne 7,4 7,3 7,2 -0,1 -0,2
Val-d'Oise 8,3 8,0 7,9 -0,1 -0,4
Île-de-France 7,1 7,0 7,0 0,0 -0,1
France métropolitaine 7,3 7,2 7,1 -0,1 -0,2
France hors Mayotte 7,5 7,4 7,3 -0,1 -0,2

Figure 10Taux de chômage

(en %)
Taux de chômage ((en %))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2018 7,7 8,8
1ᵉ trim. 2019 7,6 8,8
2ᵉ trim. 2019 7,4 8,4
3ᵉ trim. 2019 7,4 8,3
4ᵉ trim. 2019 7,2 8,2
1ᵉ trim. 2020 7,0 7,9
2ᵉ trim. 2020 6,3 7,1
3ᵉ trim. 2020 8,3 9,0
4ᵉ trim. 2020 7,7 8,1
1ᵉ trim. 2021 7,8 8,2
2ᵉ trim. 2021 7,6 7,9
3ᵉ trim. 2021 7,6 7,9
4ᵉ trim. 2021 7,1 7,4
1ᵉ trim. 2022 7,0 7,4
2ᵉ trim. 2022 7,1 7,4
3ᵉ trim. 2022 6,9 7,2
4ᵉ trim. 2022 6,8 7,1
1ᵉ trim. 2023 6,7 7,1
2ᵉ trim. 2023 6,8 7,2
3ᵉ trim. 2023 7,0 7,4
4ᵉ trim. 2023 7,1 7,5
1ᵉ trim. 2024 7,1 7,5
2ᵉ trim. 2024 6,9 7,3
3ᵉ trim. 2024 7,0 7,4
4ᵉ trim. 2024 7,0 7,3
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Figure 10Taux de chômage

  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Au premier trimestre 2025, le nombre de demandeurs d’emploi (A, B, C) augmente sur le trimestre

Avertissement sur les inscrits à France Travail

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi pour le plein emploi, les demandeurs et bénéficiaires du RSA, les jeunes en recherche d'emploi accompagnés par les missions locales et les personnes en situation de handicap suivies par Cap emploi sont systématiquement inscrits à France Travail à compter de janvier 2025. Pour tenir compte de ces évolutions, la Dares et France Travail mettent en œuvre les recommandations du groupe de travail du Conseil national de l’information statistique (Cnis) : en particulier des indicateurs complémentaires (hors bénéficiaires du RSA et jeunes en CEJ, Pacea ou AIJ) sont mis à disposition pour appréhender les évolutions conjoncturelles. Ainsi, jusqu’à la fin de la mise en œuvre de la loi prévue pour le 1er janvier 2027, les figures sur les inscrits à France Travail portent sur cette série alternative.

Par ailleurs, depuis le mois de janvier 2025, une évolution dans la procédure d’actualisation a conduit à augmenter le nombre d’inscrits en catégorie A, et en contrepartie à réduire d’une part le nombre d’inscrits en catégories B et C, et d’autre part le nombre de sorties des listes.

En moyenne au 1er trimestre 2025, sur le champ des inscrits hors RSA et hors jeunes en parcours, l’effet au niveau national serait de l’ordre de +105 000 sur la catégorie A et de +46 000 en catégories A, B, C. Au total, sur ce champ, après neutralisation des effets estimés de l’évolution des règles d’actualisation, le nombre d’inscrits évoluerait de +0,8 % pour la catégorie A et de +1,3 % pour les catégories A, B, C au 1er trimestre 2025.

Figure 11Inscrits à France Travail en catégories A,B,C (hors bénéficiaires du RSA et jeunes en CEJ, Pacea ou AIJ)

Inscrits à France Travail en catégories A,B,C (hors bénéficiaires du RSA et jeunes en CEJ, Pacea ou AIJ)
Décomposition Inscrits à France Travail Variation (en %)
1ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 1ᵉ trim. 2025 trimestrielle annuelle
Catégories A, B, C - Île-de-France 812 440 845 700 874 110 3,4 7,6
Catégorie A - Île-de-France 468 210 496 110 528 250 6,5 12,8
Catégories A, B, C - France hors Mayotte 4 435 600 4 524 400 4 627 300 2,3 4,3
Catégorie A - France hors Mayotte 2 285 200 2 380 000 2 507 600 5,4 9,7
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Accès aux séries longues "inscrits à France Travail".
  • Avertissement : Le nombre d’inscrits à France Travail du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 12Inscrits à France Travail en catégories A,B,C (hors bénéficiaires du RSA et jeunes en CEJ, Pacea ou AIJ)

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Inscrits à France Travail en catégories A,B,C (hors bénéficiaires du RSA et jeunes en CEJ, Pacea ou AIJ) ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 99,9 99,4
2ᵉ trim. 2019 98,5 98,1
3ᵉ trim. 2019 97,9 97,3
4ᵉ trim. 2019 97,2 96,6
1ᵉ trim. 2020 97,7 96,3
2ᵉ trim. 2020 103,0 101,5
3ᵉ trim. 2020 103,0 100,0
4ᵉ trim. 2020 103,3 98,9
1ᵉ trim. 2021 103,2 98,9
2ᵉ trim. 2021 102,7 98,6
3ᵉ trim. 2021 100,5 96,5
4ᵉ trim. 2021 97,2 93,8
1ᵉ trim. 2022 95,5 91,7
2ᵉ trim. 2022 94,2 90,0
3ᵉ trim. 2022 94,4 90,1
4ᵉ trim. 2022 93,6 89,5
1ᵉ trim. 2023 93,7 89,4
2ᵉ trim. 2023 94,0 89,2
3ᵉ trim. 2023 94,7 89,7
4ᵉ trim. 2023 95,7 90,4
1ᵉ trim. 2024 95,8 90,2
2ᵉ trim. 2024 96,0 90,3
3ᵉ trim. 2024 97,4 90,7
4ᵉ trim. 2024 99,8 92,0
1ᵉ trim. 2025 103,1 94,1
  • Notes : Données CVS-CJO.
  • Avertissement : Le nombre d’inscrits à France Travail du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 12Inscrits à France Travail en catégories A,B,C (hors bénéficiaires du RSA et jeunes en CEJ, Pacea ou AIJ)

  • Notes : Données CVS-CJO.
  • Avertissement : Le nombre d’inscrits à France Travail du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Au premier trimestre 2025, le nombre d’offres d’emploi baisse fortement sur le trimestre

Figure 13Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail

Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail
Zonage Offres d'emploi (en milliers) Variation (en %)
1ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 1ᵉ trim. 2025 trimestrielle annuelle
Paris 15,4 12,7 11,2 -11,8 -27,3
Seine-et-Marne 4,0 3,3 3,4 3,0 -15,0
Yvelines 4,5 3,9 3,6 -7,7 -20,0
Essonne 3,5 3,0 2,9 -3,3 -17,1
Hauts-de-Seine 7,4 5,5 5,5 0,0 -25,7
Seine-Saint-Denis 5,1 4,1 4,0 -2,4 -21,6
Val-de-Marne 3,2 2,9 2,6 -10,3 -18,8
Val-d'Oise 3,3 2,7 2,8 3,7 -15,2
Île-de-France 46,4 38,1 36,0 -5,5 -22,4
France hors Mayotte 322,5 291,7 275,9 -5,4 -14,4
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 14Offres d'emploi

indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018
Offres d'emploi (indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 106,1 102,8
2ᵉ trim. 2019 102,6 101,0
3ᵉ trim. 2019 103,3 101,6
4ᵉ trim. 2019 101,1 101,1
1ᵉ trim. 2020 76,5 81,9
2ᵉ trim. 2020 37,1 45,6
3ᵉ trim. 2020 58,8 75,7
4ᵉ trim. 2020 63,8 78,5
1ᵉ trim. 2021 73,2 81,9
2ᵉ trim. 2021 87,9 100,0
3ᵉ trim. 2021 93,0 107,2
4ᵉ trim. 2021 108,6 120,8
1ᵉ trim. 2022 115,8 126,5
2ᵉ trim. 2022 115,6 124,6
3ᵉ trim. 2022 111,8 123,3
4ᵉ trim. 2022 103,5 124,3
1ᵉ trim. 2023 102,9 128,6
2ᵉ trim. 2023 102,6 124,9
3ᵉ trim. 2023 99,6 124,3
4ᵉ trim. 2023 102,2 119,1
1ᵉ trim. 2024 101,8 119,1
2ᵉ trim. 2024 92,5 112,1
3ᵉ trim. 2024 95,2 111,7
4ᵉ trim. 2024 83,6 107,7
1ᵉ trim. 2025 78,9 101,9
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 14Offres d'emploi

  • Note : Données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

En décembre 2024, le nombre d’allocataire du RSA augmente sur un an

Figure 15Allocataires du RSA

Allocataires du RSA
Zonage Nombre d'allocataires du RSA (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
déc. 2023 sept. 2024 déc. 2024
Paris 64,0 63,0 64,2 0,4
Seine-et-Marne 32,1 32,0 32,5 1,2
Yvelines 26,2 26,0 26,3 0,3
Essonne 29,8 29,6 30,3 1,7
Hauts-de-Seine 30,8 30,0 30,5 -1,1
Seine-Saint-Denis 84,5 84,0 85,3 1,0
Val-de-Marne 45,9 45,8 46,2 0,7
Val-d'Oise 36,1 36,0 35,9 -0,5
Île-de-France 349,3 346,4 351,1 0,5
France 1 849,7 1 837,7 1 852,6 0,2
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : Données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 16Allocataires du RSA

(indice base 100 en décembre 2018)
Allocataires du RSA ((indice base 100 en décembre 2018))
Période Île-de-France France
janv. 2018 97,1 99,3
févr. 2018 97,0 99,3
mars 2018 97,3 99,4
avril 2018 97,5 99,3
mai 2018 97,9 99,5
juin 2018 98,2 99,4
juil. 2018 98,2 99,1
août 2018 98,1 98,8
sept. 2018 98,5 98,9
oct. 2018 99,5 99,5
nov. 2018 100,1 100,1
déc. 2018 100,0 100,0
janv. 2019 99,7 100,0
févr. 2019 99,6 99,9
mars 2019 99,6 99,9
avril 2019 99,6 99,9
mai 2019 99,8 100,0
juin 2019 99,8 99,9
juil. 2019 99,9 99,8
août 2019 99,8 99,5
sept. 2019 100,3 99,7
oct. 2019 101,1 100,2
nov. 2019 101,5 100,7
déc. 2019 101,2 100,6
janv. 2020 101,2 100,9
févr. 2020 101,5 101,2
mars 2020 103,0 102,4
avril 2020 104,6 103,6
mai 2020 106,0 104,4
juin 2020 107,6 106,1
juil. 2020 109,7 107,5
août 2020 110,8 108,0
sept. 2020 111,7 108,2
oct. 2020 112,8 108,6
nov. 2020 113,3 108,9
déc. 2020 112,4 108,1
janv. 2021 111,1 107,0
févr. 2021 110,1 105,9
mars 2021 109,4 104,9
avril 2021 108,4 103,8
mai 2021 107,6 102,8
juin 2021 106,9 101,8
juil. 2021 108,3 103,2
août 2021 108,4 102,7
sept. 2021 108,5 102,3
oct. 2021 108,3 101,9
nov. 2021 108,2 102,0
déc. 2021 107,2 101,4
janv. 2022 105,7 100,4
févr. 2022 104,6 99,3
mars 2022 104,8 99,8
avril 2022 104,7 99,7
mai 2022 104,7 99,6
juin 2022 104,3 99,2
juil. 2022 104,0 98,7
août 2022 103,8 98,5
sept. 2022 104,4 98,7
oct. 2022 105,3 99,3
nov. 2022 105,6 99,7
déc. 2022 104,7 99,1
janv. 2023 103,9 98,7
févr. 2023 103,1 98,1
mars 2023 103,1 98,1
avril 2023 103,1 97,9
mai 2023 103,4 97,9
juin 2023 103,2 97,6
juil. 2023 102,7 97,0
août 2023 102,3 96,4
sept. 2023 102,4 96,4
oct. 2023 102,8 96,8
nov. 2023 103,3 97,3
déc. 2023 102,9 97,2
janv. 2024 102,2 96,9
févr. 2024 101,6 96,6
mars 2024 101,3 96,3
avril 2024 101,1 96,1
mai 2024 101,1 96,2
juin 2024 101,3 96,2
juil. 2024 101,5 96,3
août 2024 101,3 96,2
sept. 2024 102,0 96,5
oct. 2024 103,4 97,3
nov. 2024 103,5 97,3
déc. 2024 103,4 97,3
  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 16Allocataires du RSA

  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

En décembre 2024, le nombre d’allocataires de la prime d’activité accélère sur un an

Figure 17Allocataires de la prime d'activité

Allocataires de la prime d'activité
Zonage Nombre d'allocataires de la prime d'activité (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
déc. 2023 sept. 2024 déc. 2024
Paris 103,3 105,2 105,9 2,5
Seine-et-Marne 87,2 89,6 90,0 3,2
Yvelines 70,0 70,7 71,0 1,4
Essonne 75,1 76,3 77,3 3,0
Hauts-de-Seine 71,2 73,1 73,7 3,6
Seine-Saint-Denis 121,6 123,8 125,8 3,4
Val-de-Marne 80,7 82,8 83,7 3,8
Val-d'Oise 76,0 78,3 78,9 3,8
Île-de-France 685,1 699,8 706,4 3,1
France 4 683,7 4 738,8 4 779,2 2,0
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : Données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 18Allocataires de la prime d’activité

(indice base 100 en décembre 2018)
Allocataires de la prime d’activité ((indice base 100 en décembre 2018))
Période Île-de-France France
janv. 2018 88,6 88,4
févr. 2018 88,8 88,2
mars 2018 89,7 88,6
avril 2018 89,9 88,1
mai 2018 91,0 89,0
juin 2018 91,7 89,7
juil. 2018 91,0 89,3
août 2018 91,1 90,1
sept. 2018 91,8 91,2
oct. 2018 92,6 92,5
nov. 2018 94,7 95,0
déc. 2018 100,0 100,0
janv. 2019 123,8 123,3
févr. 2019 133,0 131,1
mars 2019 137,2 134,4
avril 2019 137,4 133,8
mai 2019 138,8 135,2
juin 2019 140,0 136,6
juil. 2019 138,9 135,9
août 2019 139,5 137,1
sept. 2019 140,4 138,8
oct. 2019 141,1 139,8
nov. 2019 142,8 141,6
déc. 2019 144,6 142,7
janv. 2020 144,6 141,7
févr. 2020 145,4 141,8
mars 2020 146,0 142,2
avril 2020 146,9 142,7
mai 2020 148,5 143,8
juin 2020 149,3 144,0
juil. 2020 146,4 140,8
août 2020 144,5 139,2
sept. 2020 144,5 139,7
oct. 2020 145,6 141,4
nov. 2020 147,2 143,9
déc. 2020 148,0 145,0
janv. 2021 146,8 143,5
févr. 2021 146,4 142,7
mars 2021 146,5 142,4
avril 2021 146,5 141,7
mai 2021 146,9 141,9
juin 2021 147,1 142,3
juil. 2021 145,9 141,2
août 2021 146,0 141,8
sept. 2021 147,1 143,5
oct. 2021 147,5 144,3
nov. 2021 148,0 145,7
déc. 2021 148,9 146,3
janv. 2022 148,8 145,3
févr. 2022 148,3 143,9
mars 2022 148,8 144,6
avril 2022 148,7 144,4
mai 2022 149,5 145,3
juin 2022 149,8 145,8
juil. 2022 148,9 145,3
août 2022 149,5 146,4
sept. 2022 150,9 148,2
oct. 2022 152,4 150,0
nov. 2022 153,1 151,2
déc. 2022 153,9 151,7
janv. 2023 154,0 151,0
févr. 2023 153,5 150,1
mars 2023 154,1 150,1
avril 2023 153,8 149,2
mai 2023 154,6 149,8
juin 2023 154,2 149,7
juil. 2023 152,3 148,6
août 2023 151,6 148,5
sept. 2023 151,7 148,8
oct. 2023 151,2 148,4
nov. 2023 151,1 148,6
déc. 2023 151,3 148,4
janv. 2024 150,3 146,4
févr. 2024 149,7 145,1
mars 2024 149,2 144,2
avril 2024 149,1 143,5
mai 2024 150,4 144,4
juin 2024 150,9 145,3
juil. 2024 152,3 147,2
août 2024 153,4 148,9
sept. 2024 154,6 150,1
oct. 2024 155,2 150,8
nov. 2024 155,4 151,1
déc. 2024 156,0 151,4
  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : La prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 18Allocataires de la prime d’activité

  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : La prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Au premier trimestre 2025, le nombre de créations d’entreprises augmente

Figure 19Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage et type d'entreprise Nombre de créations Variation (en %)
1ᵉ trim. 2024 4ᵉ trim. 2024 1ᵉ trim. 2025 trimestrielle annuelle
Île-de-France
Classiques (*) 31 190 29 460 30 960 5,1 -0,8
Micro-entrepreneurs 48 510 47 050 49 360 4,9 1,8
Total 79 700 76 520 80 320 5,0 0,8
France
Classiques (*) 103 140 97 250 97 770 0,5 -5,2
Micro-entrepreneurs 185 260 177 080 175 780 -0,7 -5,1
Total 288 400 274 330 273 550 -0,3 -5,2

Figure 20Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage Nombre de créations des trois derniers mois (de janv. 2025 à mars 2025) Variation (en %) (*) Nombre de créations des douze derniers mois (de avril 2024 à mars 2025) Variation (en %) (**)
Paris 29 790 10,2 103 740 9,0
Seine-et-Marne 6 470 -5,5 24 330 -3,3
Yvelines 7 210 -1,9 26 260 0,2
Essonne 6 270 -7,0 23 190 -2,6
Hauts-de-Seine 9 950 -5,7 36 630 -3,1
Seine-Saint-Denis 10 760 -9,4 42 340 -2,3
Val-de-Marne 8 120 -5,0 30 720 -0,2
Val-d'Oise 6 430 -0,6 24 940 3,4
Île-de-France 85 000 -0,5 312 140 1,9
France 295 460 -2,9 1 102 470 1,7
  • (*) Trois derniers mois par rapport aux mêmes trois mois de l'année précédente.
  • (**) Douze derniers mois par rapport aux douze mois précédents.
  • Note : Données brutes.
  • Accès aux séries longues "créations d'entreprises".
  • Champ : Ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Figure 21Créations d'entreprises

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Créations d'entreprises ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Île-de-France hors micro-entrepreneurs France hors micro-entrepreneurs Île-de-France y compris micro-entrepreneurs France y compris micro-entrepreneurs
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 105,5 106,5 109,0 109,9
2ᵉ trim. 2019 107,3 103,9 109,7 109,4
3ᵉ trim. 2019 106,7 104,3 106,2 111,9
4ᵉ trim. 2019 106,7 101,9 109,7 115,0
1ᵉ trim. 2020 103,8 96,5 100,2 107,6
2ᵉ trim. 2020 72,6 75,6 83,9 88,6
3ᵉ trim. 2020 115,4 114,4 133,3 136,9
4ᵉ trim. 2020 117,0 114,3 129,6 135,1
1ᵉ trim. 2021 122,4 115,9 133,5 137,4
2ᵉ trim. 2021 124,6 122,0 120,8 139,6
3ᵉ trim. 2021 120,4 114,9 117,3 130,4
4ᵉ trim. 2021 123,7 114,1 118,9 131,9
1ᵉ trim. 2022 125,9 116,9 124,1 136,4
2ᵉ trim. 2022 126,9 116,4 116,2 132,7
3ᵉ trim. 2022 132,9 119,3 132,0 137,8
4ᵉ trim. 2022 130,9 118,2 133,3 139,8
1ᵉ trim. 2023 114,3 105,1 120,6 128,9
2ᵉ trim. 2023 121,1 106,4 124,0 132,2
3ᵉ trim. 2023 131,7 111,0 138,0 140,6
4ᵉ trim. 2023 132,8 114,1 136,6 141,1
1ᵉ trim. 2024 137,0 117,3 139,8 148,9
2ᵉ trim. 2024 136,3 113,4 143,5 146,0
3ᵉ trim. 2024 125,8 109,6 133,7 140,9
4ᵉ trim. 2024 129,5 110,6 134,2 141,7
1ᵉ trim. 2025 136,0 111,2 140,9 141,2
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Champ : Ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Figure 21Créations d'entreprises

  • Note : Données CVS-CJO.
  • Champ : Ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

En décembre 2024, la nombre de défaillances d’entreprises sur un an ralentit légèrement

Figure 22Défaillances d'entreprises

Défaillances d'entreprises
Zonage Nombre de défaillances des douze derniers mois (de janv. 2024 à déc. 2024) Variation (en %) (*)
Paris 4 480 22,1
Seine-et-Marne 2 370 26,6
Yvelines 1 260 32,5
Essonne 1 180 40,3
Hauts-de-Seine 1 400 20,7
Seine-Saint-Denis 2 610 33,6
Val-de-Marne 1 360 40,2
Val-d'Oise 1 170 31,4
Île-de-France 15 830 28,6
France 66 120 17,4

Figure 23Défaillances d'entreprises

indice base 100 en décembre 2018
Défaillances d'entreprises (indice base 100 en décembre 2018)
Période Île-de-France France
déc. 2018 100,0 100,0
janv. 2019 100,7 100,8
févr. 2019 100,8 100,7
mars 2019 99,7 100,3
avril 2019 101,1 100,5
mai 2019 100,8 100,2
juin 2019 99,8 99,3
juil. 2019 98,6 99,2
août 2019 98,2 98,0
sept. 2019 97,8 97,3
oct. 2019 96,7 96,1
nov. 2019 95,6 95,2
déc. 2019 94,4 94,6
janv. 2020 93,4 92,4
févr. 2020 92,8 91,0
mars 2020 89,4 87,3
avril 2020 82,8 81,6
mai 2020 77,0 76,8
juin 2020 73,9 74,3
juil. 2020 72,3 71,3
août 2020 71,1 70,4
sept. 2020 69,1 67,6
oct. 2020 65,6 63,9
nov. 2020 63,0 60,9
déc. 2020 60,4 57,8
janv. 2021 57,8 55,2
févr. 2021 54,2 52,1
mars 2021 55,1 51,9
avril 2021 56,8 53,2
mai 2021 59,3 54,3
juin 2021 59,1 53,4
juil. 2021 58,6 52,0
août 2021 58,2 51,8
sept. 2021 56,7 50,9
oct. 2021 55,8 50,4
nov. 2021 55,1 50,4
déc. 2021 55,5 51,0
janv. 2022 55,3 52,0
févr. 2022 57,2 53,8
mars 2022 58,3 55,9
avril 2022 60,3 58,0
mai 2022 60,7 59,9
juin 2022 62,3 62,0
juil. 2022 63,6 64,7
août 2022 64,9 65,9
sept. 2022 68,7 69,1
oct. 2022 70,4 71,8
nov. 2022 72,9 74,5
déc. 2022 74,6 76,3
janv. 2023 77,1 79,5
févr. 2023 79,7 81,8
mars 2023 82,1 84,7
avril 2023 84,7 86,6
mai 2023 87,0 89,1
juin 2023 90,1 91,4
juil. 2023 91,8 93,2
août 2023 92,3 94,0
sept. 2023 92,9 95,8
oct. 2023 96,2 98,8
nov. 2023 99,4 101,7
déc. 2023 102,4 104,2
janv. 2024 106,1 106,1
févr. 2024 109,0 108,8
mars 2024 111,6 109,9
avril 2024 113,4 112,0
mai 2024 117,2 113,6
juin 2024 120,1 115,1
juil. 2024 123,1 117,8
août 2024 122,6 117,4
sept. 2024 126,0 119,1
oct. 2024 129,6 120,7
nov. 2024 130,8 121,0
déc. 2024 131,6 122,4
  • Notes : Données mensuelles brutes au 24 févr. 2025, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Figure 23Défaillances d'entreprises

  • Notes : Données mensuelles brutes au 24 févr. 2025, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Au premier trimestre 2025, le nombre de logements commencés augmente sur le trimestre

Figure 24Évolution du nombre de logements

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Évolution du nombre de logements ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Logements autorisés - Île-de-France Logements autorisés - France hors Mayotte Logements commencés - Île-de-France Logements commencés - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 101,1 96,8 91,4 94,9
2ᵉ trim. 2019 103,8 102,2 82,6 91,7
3ᵉ trim. 2019 96,1 97,2 85,7 93,0
4ᵉ trim. 2019 102,4 110,3 91,2 96,1
1ᵉ trim. 2020 87,9 103,7 74,0 90,9
2ᵉ trim. 2020 52,1 63,5 64,9 76,4
3ᵉ trim. 2020 73,1 86,9 84,2 101,3
4ᵉ trim. 2020 99,3 101,9 69,1 96,3
1ᵉ trim. 2021 85,0 101,4 84,3 103,6
2ᵉ trim. 2021 81,5 105,8 84,6 102,5
3ᵉ trim. 2021 92,6 108,9 68,4 99,5
4ᵉ trim. 2021 91,1 106,8 81,9 101,9
1ᵉ trim. 2022 87,0 126,9 81,3 102,6
2ᵉ trim. 2022 111,1 119,3 66,7 97,6
3ᵉ trim. 2022 132,7 114,6 79,6 95,9
4ᵉ trim. 2022 58,5 82,2 75,5 95,3
1ᵉ trim. 2023 83,0 88,9 65,0 84,7
2ᵉ trim. 2023 76,4 87,1 62,9 78,3
3ᵉ trim. 2023 71,9 80,9 53,5 71,5
4ᵉ trim. 2023 73,2 83,7 47,7 67,8
1ᵉ trim. 2024 72,1 76,6 55,1 65,4
2ᵉ trim. 2024 56,5 72,5 55,9 69,5
3ᵉ trim. 2024 61,6 72,5 47,8 68,5
4ᵉ trim. 2024 74,2 75,5 53,7 76,2
1ᵉ trim. 2025 63,4 79,2 57,4 70,4
  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 24Évolution du nombre de logements

  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 25Logements autorisés à la construction

Logements autorisés à la construction
Zonage Nombre d'autorisations des trois derniers mois (de janv. 2025 à mars 2025) Variation (en %) (*) Nombre d'autorisations des douze derniers mois (de avril 2024 à mars 2025) Variation (en %) (**)
Paris 440 -47,1 3 850 80,6
Seine-et-Marne 2 010 45,8 7 030 10,0
Yvelines 870 -31,6 4 030 -47,7
Essonne 1 810 107,3 6 430 -17,8
Hauts-de-Seine 1 810 -24,9 9 530 -1,3
Seine-Saint-Denis 1 520 -14,1 7 020 -32,3
Val-de-Marne 940 -71,0 9 750 -8,9
Val-d'Oise 1 380 165,6 4 810 -9,2
Île-de-France 10 790 -12,3 52 460 -12,7
France hors Mayotte 84 580 4,9 335 400 -8,0

Au premier trimestre 2025, la surface de locaux commencés se replie nettement sur le trimestre

Figure 26Évolution de la surface de plancher des locaux

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018)
Évolution de la surface de plancher des locaux ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2018))
Période Locaux autorisés - Île-de-France Locaux autorisés - France Locaux commencés - Île-de-France Locaux commencés - France
4ᵉ trim. 2018 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2019 109,1 115,6 145,9 101,6
2ᵉ trim. 2019 93,8 110,1 86,0 90,9
3ᵉ trim. 2019 104,1 98,6 98,5 99,5
4ᵉ trim. 2019 84,0 104,7 141,4 107,4
1ᵉ trim. 2020 91,5 92,0 79,4 86,0
2ᵉ trim. 2020 72,1 67,5 43,6 67,6
3ᵉ trim. 2020 63,0 96,7 85,7 85,7
4ᵉ trim. 2020 91,2 88,7 122,4 95,4
1ᵉ trim. 2021 68,2 88,5 78,0 79,1
2ᵉ trim. 2021 75,8 94,4 99,1 87,4
3ᵉ trim. 2021 74,5 104,6 104,3 92,6
4ᵉ trim. 2021 86,7 95,6 98,9 93,2
1ᵉ trim. 2022 74,4 97,4 93,9 95,4
2ᵉ trim. 2022 99,6 103,9 119,8 104,5
3ᵉ trim. 2022 88,5 99,9 97,3 85,3
4ᵉ trim. 2022 93,1 106,9 110,3 85,3
1ᵉ trim. 2023 84,3 98,4 85,6 83,2
2ᵉ trim. 2023 63,0 96,1 76,7 76,4
3ᵉ trim. 2023 83,7 93,9 57,7 75,9
4ᵉ trim. 2023 69,0 93,1 74,5 79,0
1ᵉ trim. 2024 79,6 95,0 82,1 75,7
2ᵉ trim. 2024 83,4 93,1 79,3 67,5
3ᵉ trim. 2024 62,6 96,7 72,8 69,8
4ᵉ trim. 2024 74,4 97,2 83,0 67,7
1ᵉ trim. 2025 64,7 102,3 65,6 74,7
  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 26Évolution de la surface de plancher des locaux

  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 27Locaux non résidentiels autorisés à la construction

Locaux non résidentiels autorisés à la construction
Zonage Surface autorisée (en milliers de m²) au cours des trois derniers mois (de janv. 2025 à mars 2025) Variation (en %) (*) Surface autorisée (en milliers de m²) au cours des douze derniers mois (de avril 2024 à mars 2025) Variation (en %) (**)
Paris 44 050 -45,0 374 090 -1,7
Seine-et-Marne 106 590 -34,2 681 440 4,0
Yvelines 65 770 -44,0 363 600 -28,1
Essonne 183 900 6,6 484 720 -17,7
Hauts-de-Seine 74 920 -28,5 386 030 5,3
Seine-Saint-Denis 208 860 263,5 656 100 69,8
Val-de-Marne 61 760 -13,8 457 240 30,5
Val-d'Oise 84 270 -63,6 443 830 -39,9
Île-de-France 830 120 -16,8 3 847 050 -3,1
France 9 088 700 6,2 38 083 590 2,4

En février 2025, le nombre de nuitées dans les hôtels augmente nettement sur un an

Figure 28Évolution du nombre de nuitées totales dans les hôtels par rapport au même mois de l'année précédente

(en %)
Évolution du nombre de nuitées totales dans les hôtels par rapport au même mois de l'année précédente ((en %))
Période Île-de-France France entière
mars 2024 4,8 6,9
avril 2024 -9,3 -8,9
mai 2024 -2,6 -0,5
juin 2024 -13,3 -4,7
juil. 2024 -15,8 -6,1
août 2024 -4,8 0,7
sept. 2024 -1,0 -2,8
oct. 2024 4,5 1,3
nov. 2024 4,1 4,1
déc. 2024 5,7 2,1
janv. 2025 4,6 1,9
févr. 2025 6,2 1,4

Figure 28Évolution du nombre de nuitées totales dans les hôtels par rapport au même mois de l'année précédente

Hôtellerie de plein air

Figure 29Évolution du nombre de nuitées totales dans l'hôtellerie de plein air par rapport au même mois de l'année précédente

(en %)
Évolution du nombre de nuitées totales dans l'hôtellerie de plein air par rapport au même mois de l'année précédente ((en %))
Période Île-de-France France métropolitaine
avril 2024 -19,7 -14,9
mai 2024 4,4 11,1
juin 2024 -17,2 -2,1
juil. 2024 -8,1 -0,9
août 2024 -5,0 2,7
sept. 2024 -14,5 -8,8

Figure 29Évolution du nombre de nuitées totales dans l'hôtellerie de plein air par rapport au même mois de l'année précédente

En février 2025, le nombre de nuitées en hébergement collectif touristique augmente sur un an

Figure 30Évolution du nombre de nuitées totales dans les autres hébergements collectifs touristiques par rapport au même mois de l'année précédente

(en %)
Évolution du nombre de nuitées totales dans les autres hébergements collectifs touristiques par rapport au même mois de l'année précédente ((en %))
Période Île-de-France France métropolitaine
mars 2024 7,5 10,9
avril 2024 0,2 -4,3
mai 2024 7,6 3,6
juin 2024 0,1 -5,1
juil. 2024 1,1 -6,0
août 2024 8,0 -1,4
sept. 2024 14,2 -3,3
oct. 2024 21,0 4,3
nov. 2024 20,5 6,2
déc. 2024 20,7 6,3
janv. 2025 23,0 0,5
févr. 2025 16,9 3,5

Figure 30Évolution du nombre de nuitées totales dans les autres hébergements collectifs touristiques par rapport au même mois de l'année précédente

Avertissement

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Définitions

Heures rémunérées :

Les heures rémunérées couvrent les heures travaillées ainsi que des heures non travaillées mais rémunérées par l’employeur, notamment pendant les congés payés. Les périodes de chômage partiel indemnisées par l’administration publique et non par l’employeur ne sont à ce titre pas comprises dans les heures rémunérées.

Emploi salarié :

Les salariés sont les personnes qui travaillent, aux termes d’un contrat, pour une autre entité résidente en échange d’un salaire ou d’une rétribution équivalente, avec un lien de subordination.

Intérim / Travail temporaire / Travail intérimaire :

L' intérim (ou travail intérimaire ou travail temporaire) consiste à mettre à disposition provisoire d’entreprises clientes, des salariés qui, en fonction d'une rémunération convenue, sont embauchés et rémunérés à cet effet par l'entreprise de travail temporaire.

L'intérim se caractérise donc par une relation triangulaire entre l’entreprise de travail temporaire, l’entreprise cliente et le salarié, et implique la conclusion de deux contrats : un contrat de mise à disposition (entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise cliente) et un contrat de mission (entre l’entreprise de travail temporaire et le salarié).

Le contrat ne peut être conclu que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire, dénommée mission, et seulement dans les cas énumérés par la loi. Quel que soit le motif pour lequel il est conclu, un tel contrat ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise utilisatrice.

Secteur tertiaire / Tertiaire :

Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui s'étend du commerce à l'administration, en passant par les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.

Il est composé du :

  • tertiaire principalement marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus aux entreprises, services rendus aux particuliers, hébergement-restauration, immobilier, information-communication) ;
  • tertiaire principalement non-marchand (administration publique, enseignement, santé humaine, action sociale).

Le périmètre du secteur tertiaire est de fait défini par complémentarité avec les activités agricoles et industrielles (secteurs primaire et secondaire).

Taux de chômage :

Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs).

On peut calculer un taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d'une classe d'âge avec les actifs de cette classe d'âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe, par PCS, par région, par nationalité, par niveau de diplôme...

Remarque :

Le taux de chômage diffère de la part du chômage qui, elle, mesure la proportion de chômeurs dans l'ensemble de la population.

Taux de chômage (BIT) :

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Demandeurs d'emploi en fin de mois / DEFM / Demandes d'emploi en fin de mois :

Les demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à France Travail et ayant une demande en cours au dernier jour du mois.

Demandeurs d'emploi de longue durée / DELD :

Les demandeurs d'emploi de longue durée (DELD) sont ceux inscrits en catégories A, B, C, depuis un an ou plus.

Création d'entreprise / Réactivation d'entreprise :

Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre d'une nouvelle combinaison de facteurs de production avec pour restriction qu'aucune autre entreprise ne soit impliquée dans cet évènement.

Les créations d’entreprises sont en fait des créations d’unités légales. On parle néanmoins de créations d’entreprises en raison de la spécificité de la situation au moment de la création. En effet, au moment de son immatriculation, il n’est pas possible de déterminer si une unité légale est indépendante ou appartient à un groupe. Par défaut, au moment de la création, toute entité est donc indépendante et considérée comme une entreprise.

La statistique mensuelle des créations d'entreprises est constituée à partir du dispositif SIDE (Système d’information sur la démographie d’entreprises). Ce dispositif est alimenté à partir de données du répertoire Sirene, enrichies d’éléments provenant du répertoire statistique Sirus.

Les créations d'entreprises correspondent aux unités légales du répertoire Sirene qui enregistrent un début d'activité relevant de l'un des cas suivants :

  • l'immatriculation d'une nouvelle unité légale avec création d'une nouvelle combinaison de facteurs de production ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de plus d'un an (il n'y a pas de nouvelle immatriculation mais reprise de l'ancien numéro Siren, en général pour un entrepreneur individuel) ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de moins d'un an, mais avec changement d'activité ;
  • la reprise par une unité légale nouvellement immatriculée de tout ou partie des activités et facteurs de production d'une autre unité légale, lorsqu'il n'y a pas de continuité économique entre la situation du cédant et celle du repreneur.

On considère qu'il n'y a pas continuité économique de l'unité légale si, parmi les trois éléments suivants concernant son siège, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l'unité légale contrôlant l'établissement siège, l'activité économique et la localisation.

Depuis les données relatives à janvier 2009, à la suite de la mise en place du régime de l'auto-entrepreneur (renommé micro-entrepreneur, à compter du 19 décembre 2014), les statistiques de créations d'entreprises incluent les demandes de créations enregistrées dans Sirene au titre de ce régime. Ce dénombrement n'inclut pas les entrepreneurs déjà en activité avant le 1er janvier 2009 et qui avaient demandé, à titre dérogatoire au plus tard le 31 mars 2009, à bénéficier du régime micro-social et du versement fiscal libératoire en 2009.

La statistique de créations d'entreprises couvre l'ensemble des activités marchandes hors agriculture.

Remarque :

Depuis le 1er janvier 2007, la notion de création d'entreprise s'appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons.


Défaillance d'entreprise :

Une unité légale est en situation de défaillance ou de dépôt de bilan à partir du moment où une procédure de redressement judiciaire est ouverte à son encontre.

Cette procédure intervient lorsqu'une unité légale est en état de cessation de paiement, c'est-à-dire qu'elle n'est plus en mesure de faire face à son passif exigible avec son actif disponible.

Remarque :

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance et la notion de cessation. La notion de cessation correspond à l'arrêt total de l'activité économique d'une entreprise. Toutes les défaillances ne donnent pas des cessations. Par exemple, un jugement d'ouverture de procédure de défaillance (dépôt de bilan d'une entreprise inscrite dans le cadre d'une procédure judiciaire) ne se résout pas forcement par une liquidation.

Toutes les cessations n'ont pas donné lieu à une défaillance. Par exemple, un entrepreneur individuel peut cesser son activité suite à un départ en retraite.

Logement autorisé :

Un logement autorisé est un logement, non encore réalisé, dont la construction a été autorisée par un permis de construire ou une non-opposition à une déclaration préalable.


Logement commencé :

Un logement est considéré comme commencé (ou mis en chantier) après réception de la déclaration d’ouverture de chantier (DOC) envoyée par le pétitionnaire (ou maître d’ouvrage).

Un chantier est considéré ouvert lorsque les fouilles en rigole ou les fondations sont entreprises pour une partie ou la totalité des constructions autorisées.

Remarque :

Une « fouille en rigole » est un creusement du sol pour permettre la construction à l'emplacement des « semelles » (ces dernières sont les parties basses).

Revenu de solidarité active / RSA :

Le revenu de solidarité active est une allocation qui complète les ressources initiales du foyer pour qu'elles atteignent le niveau d'un revenu garanti.

Le montant du revenu garanti varie en fonction de la composition du foyer et du nombre d'enfant(s) à charge.

Remarque :

Le revenu de Solidarité active (RSA) se substitue au revenu minimum d'insertion (RMI) et à l'allocation parent isolé (API).

Le RSA est en vigueur depuis 2009 en métropole, depuis 2011 dans les départements et collectivités d’outre-mer (à l’exception de la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie et Wallis-et-Futuna où il n’est pas applicable) et depuis 2012 à Mayotte (selon des modalités spécifiques).

Prime d'activité :

La prime d’activité est un complément de revenus d’activité s’adressant aux travailleurs percevant des revenus modestes. Elle remplace depuis 2016 le revenu de solidarité active (RSA-activité) et la prime pour l’emploi (PPE).


Sa réglementation s’inscrit dans la continuité de celle du RSA-activité, mais présente cependant quelques spécificités, notamment pour les temps partiels (bonus modulable individuel).

Correction des variations saisonnières / CVS / Désaisonnalisation :

La correction des variations saisonnières permet d’éliminer l'effet de fluctuations périodiques infra-annuelles dues au calendrier et aux saisons, de manière à faire ressortir les évolutions les plus significatives de la série. Celles-ci sont contenues dans la tendance et la composante irrégulière.

Par exemple, les ventes de jouets augmentent toujours fortement entre novembre et décembre, en raison de Noël. Sur les données brutes, cet effet périodique masque l’évolution conjoncturelle sous-jacente pour une année donnée. Une fois la série désaisonnalisée, c’est-à-dire l’effet Noël retiré, les ventes peuvent s’avérer en baisse, signe d’une moins bonne année.