Tableau de bord de la conjoncture : Île-de-France

Chiffres-clés
Paru le :Paru le19/09/2024
- Septembre 2024

Indicateurs clés de la région Île-de-France

Indicateurs clés de la région Île-de-France
Indicateurs clés régionaux Date de mise à jour Type et date de valeur Valeur Tendance/période précédente ¹
Régionale Nationale
Activité économique
Heures rémunérées (évolution en % par rapport au même mois de l'année précédente) ** 28 août 2024 Évolution en % - juil. 2024 0,5
Emploi
Emploi salarié total (en milliers) ** 19 sept. 2024 CVS - 2ᵉ trim. 2024 6 361,9
Emplois intérimaires (en milliers) ** 19 sept. 2024 CVS - 2ᵉ trim. 2024 117,6
Chômage
Taux de chômage (en %) ** 19 sept. 2024 CVS - 2ᵉ trim. 2024 6,9
Marché du travail
Demandeurs d'emploi (A, B, C) ** 25 juil. 2024 CVS - 2ᵉ trim. 2024 970 410
Offres d'emploi (en milliers) ** 29 juil. 2024 CVS-CJO - 2ᵉ trim. 2024 42,1
Indicateurs sociaux
Revenu de solidarité active (RSA) (en milliers) * 10 sept. 2024 juin 2024 341,7
Prime d’activité (en milliers) * 10 sept. 2024 juin 2024 682,4
Entreprises
Créations d'entreprises * 24 juil. 2024 CVS-CJO - 2ᵉ trim. 2024 82 930
Défaillances d'entreprises * 23 août 2024 brute - Cumul annuel à fin juin 2024 14 400
Construction neuve
Logements autorisés ** 29 août 2024 CVS-CJO - juil. 2024 3 710
Locaux autorisés (en milliers de m²) * 29 août 2024 CVS-CJO - juil. 2024 300
Tourisme
Hôtellerie (en milliers de nuitées) * 11 sept. 2024 brute - juil. 2024 5 600
Hôtellerie de plein air (camping) (en milliers de nuitées) *** 09 nov. 2023 brute - saison 2023 1 980
Autres hébergements collectifs touristiques (en milliers de nuitées) *** 11 sept. 2024 brute - juil. 2024 1 160
  • Note : La plupart des données sont susceptibles d'être révisées d'un mois (ou trimestre) à l'autre.
  • Pour la comparaison nationale : * France ; ** France hors Mayotte ; *** France métropolitaine.
  • ¹ : La tendance par rapport à la période précédente est la comparaison par rapport au mois ou au trimestre précédent sauf :
  • - heures rémunérées, indicateurs sociaux, hôtellerie et autres hébergements collectifs touristiques : comparaison de l'évolution par rapport au même mois de l'année précédente ;
  • - défaillances d'entreprises : comparaison au cumul des douze mois précédents ;
  • - hôtellerie de plein air : évolution de la saison par rapport à la saison précédente.

Retrouver ces indicateurs commentés dans les notes trimestrielles et le bilan économique de la collection Insee Conjoncture de la région.

En juillet 2024, l’activité économique rebondit sur un an

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

(en %)
Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France ((en %))
Période Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Ensemble - Île-de-France Ensemble - France hors Mayotte
août 2022 4,0 1,5 6,1 3,9 5,4 3,8
sept. 2022 2,1 0,0 5,0 3,5 4,2 3,1
oct. 2022 1,8 -0,4 4,1 2,7 3,4 2,2
nov. 2022 1,3 -0,2 3,7 2,8 3,1 2,1
déc. 2022 -1,8 -1,3 3,1 2,6 2,3 1,6
janv. 2023 2,8 1,5 6,4 6,0 5,6 4,2
févr. 2023 1,3 0,0 4,6 4,1 3,9 2,8
mars 2023 0,7 -0,4 3,1 3,3 2,6 1,8
avr. 2023 -0,3 -0,8 2,3 2,2 1,8 1,3
mai 2023 2,3 -0,2 3,0 3,0 2,7 1,9
juin 2023 -0,1 0,4 2,3 3,1 2,0 1,6
juil. 2023 1,2 0,8 2,5 3,2 2,3 1,7
août 2023 1,2 1,0 3,0 3,1 2,7 1,5
sept. 2023 0,3 0,2 1,6 2,1 1,4 0,6
oct. 2023 1,6 1,5 1,8 3,2 1,9 1,3
nov. 2023 1,1 0,7 1,5 2,6 1,5 0,7
déc. 2023 0,3 3,1 1,0 1,9 1,1 0,8
janv. 2024 3,4 -1,2 1,7 2,5 1,7 0,8
févr. 2024 2,0 0,4 0,7 2,2 0,9 0,5
mars 2024 0,5 -0,3 -0,1 0,5 0,0 -0,4
avr. 2024 4,3 1,3 2,3 3,8 2,6 1,9
mai 2024 0,5 -0,1 0,7 2,6 0,8 0,1
juin 2024 0,1 -1,4 -0,4 1,1 -0,3 -0,7
juil. 2024 0,7 -2,8 0,7 1,3 0,5 0,1
  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 1Évolution sectorielle mensuelle des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

(en points)
Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France ((en points))
Période Industrie Construction Services principalement marchands Services principalement non marchands Évolution totale
août 2022 0,4 0,1 4,6 0,3 5,4
sept. 2022 0,2 0,0 3,7 0,3 4,2
oct. 2022 0,2 0,0 3,0 0,2 3,4
nov. 2022 0,1 0,0 2,7 0,2 3,1
déc. 2022 -0,2 -0,1 2,3 0,2 2,3
janv. 2023 0,3 0,1 4,7 0,5 5,6
févr. 2023 0,1 0,0 3,4 0,4 3,9
mars 2023 0,1 0,0 2,3 0,3 2,6
avr. 2023 0,0 -0,1 1,7 0,2 1,8
mai 2023 0,2 0,0 2,2 0,3 2,7
juin 2023 0,0 0,0 1,7 0,3 2,0
juil. 2023 0,1 0,1 1,9 0,3 2,3
août 2023 0,1 0,1 2,3 0,3 2,7
sept. 2023 0,0 0,0 1,2 0,2 1,4
oct. 2023 0,1 0,1 1,3 0,3 1,9
nov. 2023 0,1 0,0 1,1 0,2 1,5
déc. 2023 0,0 0,2 0,7 0,2 1,1
janv. 2024 0,3 -0,1 1,2 0,2 1,7
févr. 2024 0,2 0,0 0,5 0,2 0,9
mars 2024 0,0 0,0 -0,1 0,0 0,0
avr. 2024 0,4 0,1 1,8 0,3 2,6
mai 2024 0,0 0,0 0,5 0,2 0,8
juin 2024 0,0 -0,1 -0,3 0,1 -0,3
juil. 2024 0,1 -0,2 0,5 0,1 0,5
  • Note : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Figure 2Contributions sectorielles mensuelles à l'évolution des heures rémunérées par rapport au même mois de l'année précédente - Île-de-France

  • Note : Ensemble des heures rémunérées des salariés y compris les heures supplémentaires ainsi que les absences pour lesquelles le salarié est rémunéré.
  • Champ : Secteur privé hors secteur agricole.
  • Source : DSN - traitement provisoire, Insee.

Au deuxième trimestre 2024, l’emploi salarié ralentit

Avertissement sur l'emploi

Les Estimations trimestrielles d’emploi ont été calées sur les Estimations annuelles d’emploi définitives de 2022, qui ont été publiées en juillet 2024. Cela conduit à légèrement abaisser le niveau de l’emploi salarié privé à partir de 2022, et à légèrement rehausser celui du public, par rapport aux estimations précédentes. En conséquence, les Estimations trimestrielles d’emploi sont davantage révisées sur le passé qu’habituellement.

Figure 3Emploi salarié total

Emploi salarié total
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 1 980,6 1 995,0 1 994,8 -0,0 0,7
Seine-et-Marne 505,7 508,3 508,5 0,0 0,6
Yvelines 537,1 538,7 539,7 0,2 0,5
Essonne 493,3 496,3 497,0 0,1 0,8
Hauts-de-Seine 1 160,0 1 169,0 1 170,9 0,2 0,9
Seine-Saint-Denis 669,8 675,8 678,4 0,4 1,3
Val-de-Marne 550,2 552,7 552,6 -0,0 0,4
Val-d'Oise 414,7 420,4 419,9 -0,1 1,3
Île-de-France 6 311,4 6 356,2 6 361,9 0,1 0,8
France hors Mayotte 26 998,0 27 142,4 27 129,5 -0,0 0,5

Figure 4Évolution de l'emploi salarié

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi salarié ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Emploi salarié total - Île-de-France Emploi salarié total - France hors Mayotte Emploi salarié privé - Île-de-France Emploi salarié privé - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,2 100,2 100,3 100,3
2ᵉ trim. 2018 100,4 100,2 100,6 100,4
3ᵉ trim. 2018 100,6 100,3 100,8 100,6
4ᵉ trim. 2018 101,1 100,6 101,4 100,9
1ᵉ trim. 2019 101,7 101,2 102,2 101,7
2ᵉ trim. 2019 102,1 101,4 102,6 101,9
3ᵉ trim. 2019 102,5 101,7 103,1 102,2
4ᵉ trim. 2019 103,0 102,1 103,7 102,7
1ᵉ trim. 2020 101,6 100,2 101,8 100,2
2ᵉ trim. 2020 100,4 99,6 100,8 99,9
3ᵉ trim. 2020 102,2 101,7 102,5 102,1
4ᵉ trim. 2020 102,1 101,8 102,4 102,2
1ᵉ trim. 2021 102,7 102,5 103,1 103,1
2ᵉ trim. 2021 103,4 103,6 104,0 104,4
3ᵉ trim. 2021 104,3 104,5 105,2 105,5
4ᵉ trim. 2021 104,9 105,1 106,1 106,3
1ᵉ trim. 2022 105,5 105,5 106,8 106,8
2ᵉ trim. 2022 106,0 105,7 107,4 107,1
3ᵉ trim. 2022 106,4 106,0 107,9 107,4
4ᵉ trim. 2022 106,9 106,4 108,5 107,9
1ᵉ trim. 2023 107,1 106,5 108,8 108,0
2ᵉ trim. 2023 107,5 106,8 109,2 108,3
3ᵉ trim. 2023 107,9 107,0 109,6 108,5
4ᵉ trim. 2023 107,8 107,1 109,5 108,4
1ᵉ trim. 2024 108,3 107,4 110,0 108,7
2ᵉ trim. 2024 108,4 107,3 110,0 108,6
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 4Évolution de l'emploi salarié

  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au deuxième trimestre 2024, l’emploi dans la construction est en forte baisse

Figure 5Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur

Emploi salarié en Île-de-France par grand secteur
Secteur d'activité Emplois (en milliers) Variation (en %) France hors Mayotte - Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle trimestrielle annuelle
Agriculture 5,6 5,5 5,4 -1,8 -3,1 -2,2 -2,0
Industrie 433,0 439,4 441,1 0,4 1,9 0,1 1,0
Construction 341,2 341,1 339,1 -0,6 -0,6 -0,6 -1,6
Tertiaire non marchand 1 570,4 1 585,2 1 588,5 0,2 1,2 0,2 1,2
Tertiaire marchand 3 961,2 3 984,9 3 987,7 0,1 0,7 -0,1 0,2
dont commerce 743,6 743,1 743,8 0,1 0,0 -0,2 -0,0
dont intérim 126,3 122,0 117,6 -3,6 -6,9 -2,2 -6,4
Ensemble 6 311,4 6 356,2 6 361,9 0,1 0,8 -0,0 0,5

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Construction Industrie Tertiaire marchand hors intérim Tertiaire non marchand
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,9 99,5 100,2 100,0
2ᵉ trim. 2018 102,4 99,5 100,5 99,8
3ᵉ trim. 2018 104,0 99,3 100,7 99,8
4ᵉ trim. 2018 105,5 99,6 101,4 99,9
1ᵉ trim. 2019 108,0 99,7 102,1 100,1
2ᵉ trim. 2019 109,9 100,0 102,4 100,1
3ᵉ trim. 2019 111,6 100,1 102,9 100,4
4ᵉ trim. 2019 113,5 100,5 103,5 100,7
1ᵉ trim. 2020 112,8 100,3 102,4 100,9
2ᵉ trim. 2020 114,5 99,6 100,9 99,2
3ᵉ trim. 2020 116,6 99,6 102,2 101,3
4ᵉ trim. 2020 118,2 99,5 101,8 101,6
1ᵉ trim. 2021 119,5 99,5 102,4 102,0
2ᵉ trim. 2021 120,7 99,8 103,4 102,0
3ᵉ trim. 2021 121,2 100,0 104,7 102,2
4ᵉ trim. 2021 121,2 99,8 105,8 101,7
1ᵉ trim. 2022 121,4 99,7 106,7 102,1
2ᵉ trim. 2022 121,6 99,7 107,4 102,0
3ᵉ trim. 2022 121,5 100,2 108,0 102,2
4ᵉ trim. 2022 121,8 100,3 108,8 102,2
1ᵉ trim. 2023 122,2 100,5 109,3 102,0
2ᵉ trim. 2023 122,3 101,0 109,7 102,3
3ᵉ trim. 2023 122,3 101,5 110,1 103,0
4ᵉ trim. 2023 122,3 102,2 110,0 103,0
1ᵉ trim. 2024 122,3 102,5 110,5 103,2
2ᵉ trim. 2024 121,6 102,9 110,7 103,4
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 6Évolution de l'emploi salarié par secteur - Île-de-France

  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données CVS, en fin de trimestre.
  • Champ : Emploi salarié total hors intérim.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au deuxième trimestre 2024, l’emploi intérimaire se replie

Figure 7Emplois intérimaires

Emplois intérimaires
Zonage Emplois (en milliers) Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 47,8 44,9 42,0 -6,5 -12,1
Seine-et-Marne 17,0 17,1 16,5 -3,2 -2,8
Yvelines 7,9 7,2 6,8 -5,4 -13,3
Essonne 11,8 11,1 10,7 -4,4 -9,6
Hauts-de-Seine 14,6 13,8 14,3 3,7 -1,9
Seine-Saint-Denis 10,5 10,1 10,0 -1,0 -4,3
Val-de-Marne 7,0 7,1 7,0 -0,7 -0,0
Val-d'Oise 9,8 10,6 10,3 -3,6 4,8
Île-de-France 126,3 122,0 117,6 -3,6 -6,9
France hors Mayotte 787,1 752,9 736,7 -2,2 -6,4

Figure 8Évolution de l'emploi intérimaire

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de l'emploi intérimaire ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 103,9 100,9
2ᵉ trim. 2018 103,7 99,8
3ᵉ trim. 2018 105,0 99,7
4ᵉ trim. 2018 102,9 96,4
1ᵉ trim. 2019 105,8 100,1
2ᵉ trim. 2019 107,4 99,8
3ᵉ trim. 2019 106,0 99,2
4ᵉ trim. 2019 102,7 96,5
1ᵉ trim. 2020 64,8 59,5
2ᵉ trim. 2020 72,6 73,0
3ᵉ trim. 2020 88,3 88,7
4ᵉ trim. 2020 91,1 91,1
1ᵉ trim. 2021 92,5 93,6
2ᵉ trim. 2021 94,8 97,2
3ᵉ trim. 2021 98,2 98,0
4ᵉ trim. 2021 102,5 102,1
1ᵉ trim. 2022 101,4 100,7
2ᵉ trim. 2022 101,5 99,4
3ᵉ trim. 2022 102,5 100,8
4ᵉ trim. 2022 102,3 100,8
1ᵉ trim. 2023 99,8 98,4
2ᵉ trim. 2023 100,4 97,9
3ᵉ trim. 2023 97,6 95,7
4ᵉ trim. 2023 94,5 94,2
1ᵉ trim. 2024 97,0 93,7
2ᵉ trim. 2024 93,5 91,7
  • Notes : Données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Figure 8Évolution de l'emploi intérimaire

  • Notes : Données CVS, en fin de trimestre.
  • Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Urssaf, Dares, Insee.

Au deuxième trimestre 2024, le taux de chômage baisse de 0,2 point

Figure 9Taux de chômage

Taux de chômage
Zonage Taux de chômage (en %) Variation (en points de %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 5,6 5,8 5,7 -0,1 0,1
Seine-et-Marne 6,6 6,8 6,7 -0,1 0,1
Yvelines 6,3 6,6 6,5 -0,1 0,2
Essonne 6,3 6,5 6,4 -0,1 0,1
Hauts-de-Seine 5,7 6,0 6,0 0,0 0,3
Seine-Saint-Denis 10,1 10,4 10,2 -0,2 0,1
Val-de-Marne 7,1 7,3 7,2 -0,1 0,1
Val-d'Oise 7,9 8,1 7,9 -0,2 0,0
Île-de-France 6,8 7,1 6,9 -0,2 0,1
France métropolitaine 7,0 7,2 7,1 -0,1 0,1
France hors Mayotte 7,2 7,5 7,3 -0,2 0,1

Figure 10Taux de chômage

(en %)
Taux de chômage ((en %))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 7,8 9,0
1ᵉ trim. 2018 8,1 9,3
2ᵉ trim. 2018 8,0 9,1
3ᵉ trim. 2018 7,8 8,9
4ᵉ trim. 2018 7,7 8,8
1ᵉ trim. 2019 7,6 8,8
2ᵉ trim. 2019 7,4 8,4
3ᵉ trim. 2019 7,4 8,3
4ᵉ trim. 2019 7,2 8,2
1ᵉ trim. 2020 7,0 7,9
2ᵉ trim. 2020 6,3 7,1
3ᵉ trim. 2020 8,3 9,0
4ᵉ trim. 2020 7,7 8,1
1ᵉ trim. 2021 7,8 8,2
2ᵉ trim. 2021 7,5 7,9
3ᵉ trim. 2021 7,6 7,9
4ᵉ trim. 2021 7,1 7,4
1ᵉ trim. 2022 7,0 7,4
2ᵉ trim. 2022 7,0 7,4
3ᵉ trim. 2022 6,9 7,3
4ᵉ trim. 2022 6,8 7,1
1ᵉ trim. 2023 6,7 7,1
2ᵉ trim. 2023 6,8 7,2
3ᵉ trim. 2023 7,0 7,4
4ᵉ trim. 2023 7,1 7,5
1ᵉ trim. 2024 7,1 7,5
2ᵉ trim. 2024 6,9 7,3
  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Figure 10Taux de chômage

  • Notes : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents ; données trimestrielles CVS.
  • Source : Insee, taux de chômage localisés.

Au deuxième trimestre 2024, le nombre de demandeurs d’emploi (A, B, C) est stable sur le trimestre

Avertissement sur les demandeurs d'emploi en fin de mois

Une expérimentation d’accompagnement renforcé vers l’emploi des bénéficiaires du RSA (BRSA) a été initiée en avril 2023 dans 18 territoires puis étendue en mars 2024 à 29 nouvelles zones, portant à 47 le nombre de territoires concernés (au niveau national) par l'accompagnement rénové des bénéficiaires du RSA. Elle conduit à enregistrer progressivement à France Travail l’ensemble des BRSA de ces territoires. Fin juin 2024, cette expérimentation concerne environ 34 000 personnes, dont 23 000 sont comptabilisées comme demandeurs d’emploi. Les effets du déploiement de cette expérimentation se poursuivront jusqu'à la fin de l'année 2024.

Des informations complémentaires sont disponibles sur la dernière publication Ouvrir dans un nouvel ongletDares Indicateurs.

Figure 11Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail
Zonage Demandeurs d'emploi Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 187 230 188 880 188 810 -0,0 0,8
Seine-et-Marne 102 340 104 460 104 960 0,5 2,6
Yvelines 97 370 99 280 100 050 0,8 2,8
Essonne 87 730 89 340 88 510 -0,9 0,9
Hauts-de-Seine 110 720 113 440 114 590 1,0 3,5
Seine-Saint-Denis 165 640 167 750 168 000 0,1 1,4
Val-de-Marne 104 510 106 910 106 480 -0,4 1,9
Val-d'Oise 98 890 100 070 99 020 -1,0 0,1
Île-de-France 954 430 970 130 970 410 0,0 1,7
France hors Mayotte 5 347 900 5 400 500 5 389 000 -0,2 0,8

Figure 12Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail
Décomposition Demandeurs d'emploi Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Île-de-France
Ensemble 954 430 970 130 970 410 0,0 1,7
Hommes 483 370 493 130 494 010 0,2 2,2
Femmes 471 060 477 000 476 400 -0,1 1,1
Moins de 25 ans 95 350 102 930 102 000 -0,9 7,0
50 ans ou plus 265 540 263 540 263 770 0,1 -0,7
Inscrits depuis un an ou plus 414 230 417 520 414 700 -0,7 0,1
Catégories A 592 170 593 900 593 890 -0,0 0,3
France hors Mayotte
Ensemble 5 347 900 5 400 500 5 389 000 -0,2 0,8

Figure 13Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,4 100,2
2ᵉ trim. 2018 100,8 100,2
3ᵉ trim. 2018 100,7 100,0
4ᵉ trim. 2018 100,6 99,9
1ᵉ trim. 2019 100,6 99,9
2ᵉ trim. 2019 100,0 99,1
3ᵉ trim. 2019 99,5 98,0
4ᵉ trim. 2019 98,5 97,0
1ᵉ trim. 2020 99,1 97,0
2ᵉ trim. 2020 105,3 102,9
3ᵉ trim. 2020 106,2 102,2
4ᵉ trim. 2020 107,2 101,5
1ᵉ trim. 2021 107,0 101,6
2ᵉ trim. 2021 106,3 100,7
3ᵉ trim. 2021 104,0 98,4
4ᵉ trim. 2021 100,6 95,7
1ᵉ trim. 2022 98,5 93,3
2ᵉ trim. 2022 97,6 91,9
3ᵉ trim. 2022 97,3 91,5
4ᵉ trim. 2022 96,4 90,7
1ᵉ trim. 2023 96,1 90,5
2ᵉ trim. 2023 96,3 90,1
3ᵉ trim. 2023 96,7 90,3
4ᵉ trim. 2023 97,8 91,0
1ᵉ trim. 2024 97,9 91,0
2ᵉ trim. 2024 97,9 90,8
  • Notes : Données CVS-CJO.
  • Avertissement : Le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 13Demandeurs d'emploi (A, B, C) inscrits à France Travail

  • Notes : Données CVS-CJO.
  • Avertissement : Le nombre de demandeurs d'emploi du trimestre est une moyenne des données mensuelles afin de mieux dégager les évolutions tendancielles.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Au deuxième trimestre 2024, le nombre d’offres d’emploi diminue encore nettement

Figure 14Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail

Nombre mensuel moyen d’offres collectées par France Travail
Zonage Offres d'emploi (en milliers) Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Paris 17,1 15,1 14,6 -3,3 -14,6
Seine-et-Marne 3,9 4,0 3,7 -7,5 -5,1
Yvelines 4,5 4,4 4,1 -6,8 -8,9
Essonne 3,5 3,5 3,4 -2,9 -2,9
Hauts-de-Seine 7,3 7,3 6,1 -16,4 -16,4
Seine-Saint-Denis 4,3 5,2 4,1 -21,2 -4,7
Val-de-Marne 3,1 3,1 2,9 -6,5 -6,5
Val-d'Oise 3,1 3,3 3,2 -3,0 3,2
Île-de-France 46,8 45,8 42,1 -8,1 -10,0
France hors Mayotte 338,6 318,2 303,4 -4,7 -10,4
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 15Offres d'emploi

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Offres d'emploi ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Île-de-France France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 100,2 100,1
2ᵉ trim. 2018 98,6 100,3
3ᵉ trim. 2018 96,1 97,0
4ᵉ trim. 2018 88,5 93,1
1ᵉ trim. 2019 93,6 95,3
2ᵉ trim. 2019 91,6 95,1
3ᵉ trim. 2019 93,0 96,2
4ᵉ trim. 2019 90,0 94,7
1ᵉ trim. 2020 67,6 75,9
2ᵉ trim. 2020 33,6 43,4
3ᵉ trim. 2020 52,9 71,7
4ᵉ trim. 2020 56,8 73,6
1ᵉ trim. 2021 64,1 75,4
2ᵉ trim. 2021 78,5 94,0
3ᵉ trim. 2021 84,0 101,8
4ᵉ trim. 2021 96,3 112,8
1ᵉ trim. 2022 101,8 117,0
2ᵉ trim. 2022 103,1 117,3
3ᵉ trim. 2022 100,8 116,5
4ᵉ trim. 2022 92,6 116,9
1ᵉ trim. 2023 90,2 118,8
2ᵉ trim. 2023 91,4 117,2
3ᵉ trim. 2023 90,0 117,8
4ᵉ trim. 2023 91,4 112,1
1ᵉ trim. 2024 89,5 110,1
2ᵉ trim. 2024 82,2 105,0
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

Figure 15Offres d'emploi

  • Note : Données CVS-CJO.
  • Source : France Travail-Dares, STMT.

En juin 2024, le nombre d’allocataire du RSA recule de nouveau sur un an

Figure 16Allocataires du RSA

Allocataires du RSA
Zonage Nombre d'allocataires du RSA (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
juin 2023 mars 2024 juin 2024
Paris 64,0 62,6 62,5 -2,3
Seine-et-Marne 32,4 31,9 31,7 -2,2
Yvelines 26,2 25,4 25,6 -2,2
Essonne 30,0 29,1 29,1 -2,9
Hauts-de-Seine 31,0 29,7 29,6 -4,2
Seine-Saint-Denis 84,7 82,8 82,8 -2,1
Val-de-Marne 46,0 45,1 45,0 -2,1
Val-d'Oise 36,2 35,2 35,3 -2,6
Île-de-France 350,3 341,8 341,7 -2,5
France 1 858,2 1 830,7 1 832,0 -1,4
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : Données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 17Allocataires du RSA

(indice base 100 en décembre 2017)
Allocataires du RSA ((indice base 100 en décembre 2017))
Période Île-de-France France
janv. 2017 100,3 100,6
févr. 2017 99,6 100,4
mars 2017 99,6 100,5
avr. 2017 99,4 100,5
mai 2017 99,6 100,5
juin 2017 99,4 100,2
juil. 2017 99,1 99,8
août 2017 98,9 99,3
sept. 2017 99,0 99,2
oct. 2017 99,6 99,5
nov. 2017 100,1 100,0
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 100,4 100,4
févr. 2018 100,3 100,3
mars 2018 100,6 100,4
avr. 2018 100,8 100,4
mai 2018 101,2 100,5
juin 2018 101,6 100,5
juil. 2018 101,6 100,2
août 2018 101,4 99,8
sept. 2018 101,9 100,0
oct. 2018 102,9 100,6
nov. 2018 103,5 101,1
déc. 2018 103,4 101,1
janv. 2019 103,1 101,1
févr. 2019 103,0 101,0
mars 2019 103,0 101,0
avr. 2019 103,0 101,0
mai 2019 103,2 101,1
juin 2019 103,2 101,0
juil. 2019 103,4 100,9
août 2019 103,3 100,5
sept. 2019 103,7 100,8
oct. 2019 104,5 101,2
nov. 2019 105,0 101,8
déc. 2019 104,7 101,7
janv. 2020 104,6 102,0
févr. 2020 104,9 102,2
mars 2020 106,5 103,5
avr. 2020 108,2 104,7
mai 2020 109,6 105,5
juin 2020 111,3 107,2
juil. 2020 113,5 108,6
août 2020 114,6 109,1
sept. 2020 115,6 109,4
oct. 2020 116,6 109,8
nov. 2020 117,2 110,1
déc. 2020 116,3 109,3
janv. 2021 114,9 108,1
févr. 2021 113,9 107,0
mars 2021 113,1 106,0
avr. 2021 112,1 104,9
mai 2021 111,2 103,9
juin 2021 110,5 102,9
juil. 2021 112,1 104,3
août 2021 112,1 103,8
sept. 2021 112,2 103,4
oct. 2021 112,0 103,0
nov. 2021 111,9 103,1
déc. 2021 110,9 102,5
janv. 2022 109,3 101,5
févr. 2022 108,2 100,4
mars 2022 108,4 100,9
avr. 2022 108,2 100,7
mai 2022 108,3 100,7
juin 2022 107,9 100,3
juil. 2022 107,6 99,8
août 2022 107,4 99,5
sept. 2022 108,0 99,8
oct. 2022 108,9 100,4
nov. 2022 109,2 100,8
déc. 2022 108,2 100,2
janv. 2023 107,5 99,7
févr. 2023 106,6 99,1
mars 2023 106,7 99,1
avr. 2023 106,6 99,0
mai 2023 106,9 99,0
juin 2023 106,7 98,6
juil. 2023 106,2 98,1
août 2023 105,8 97,4
sept. 2023 105,9 97,4
oct. 2023 106,4 97,8
nov. 2023 106,8 98,3
déc. 2023 106,4 98,2
janv. 2024 105,7 97,9
févr. 2024 104,5 97,5
mars 2024 104,1 97,2
avr. 2024 103,7 97,0
mai 2024 103,9 97,2
juin 2024 104,1 97,3
  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 17Allocataires du RSA

  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

En juin 2024, le nombre d’allocataires de la prime d’activité baisse de nouveau sur un an

Figure 18Allocataires de la prime d'activité

Allocataires de la prime d'activité
Zonage Nombre d'allocataires de la prime d'activité (en milliers) (*) Variation annuelle (en %)
juin 2023 mars 2024 juin 2024
Paris 105,9 102,0 102,7 -3,0
Seine-et-Marne 88,9 85,9 87,9 -1,1
Yvelines 72,2 68,3 68,9 -4,5
Essonne 76,1 74,2 74,7 -1,9
Hauts-de-Seine 72,1 70,6 70,8 -1,7
Seine-Saint-Denis 123,2 120,0 119,7 -2,8
Val-de-Marne 82,1 81,5 82,2 0,2
Val-d'Oise 77,5 74,4 75,4 -2,8
Île-de-France 697,9 676,8 682,4 -2,2
France 4 726,6 4 553,8 4 581,6 -3,1
  • (*) En fin de trimestre.
  • Note : Données provisoires pour les 2 derniers trimestres.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 19Allocataires de la prime d’activité

(indice base 100 en décembre 2017)
Allocataires de la prime d’activité ((indice base 100 en décembre 2017))
Période Île-de-France France
janv. 2017 92,2 92,2
févr. 2017 93,6 93,1
mars 2017 95,5 94,4
avr. 2017 95,8 94,1
mai 2017 97,1 95,2
juin 2017 97,8 96,2
juil. 2017 96,6 95,3
août 2017 97,1 96,5
sept. 2017 97,8 97,8
oct. 2017 97,8 98,1
nov. 2017 99,1 99,4
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 99,1 98,0
févr. 2018 99,2 97,8
mars 2018 100,3 98,2
avr. 2018 100,5 97,7
mai 2018 101,7 98,7
juin 2018 102,5 99,5
juil. 2018 101,7 99,0
août 2018 101,9 99,9
sept. 2018 102,6 101,1
oct. 2018 103,5 102,6
nov. 2018 105,9 105,4
déc. 2018 111,8 110,9
janv. 2019 138,3 136,7
févr. 2019 148,7 145,4
mars 2019 153,4 149,1
avr. 2019 153,6 148,4
mai 2019 155,2 149,9
juin 2019 156,5 151,5
juil. 2019 155,3 150,7
août 2019 155,9 152,1
sept. 2019 156,9 153,9
oct. 2019 157,7 155,0
nov. 2019 159,6 157,0
déc. 2019 161,6 158,3
janv. 2020 161,6 157,2
févr. 2020 162,5 157,3
mars 2020 163,2 157,7
avr. 2020 164,2 158,3
mai 2020 166,0 159,4
juin 2020 166,8 159,7
juil. 2020 163,7 156,2
août 2020 161,5 154,3
sept. 2020 161,5 155,0
oct. 2020 162,8 156,9
nov. 2020 164,5 159,6
déc. 2020 165,4 160,8
janv. 2021 164,1 159,1
févr. 2021 163,6 158,3
mars 2021 163,8 157,9
avr. 2021 163,7 157,2
mai 2021 164,2 157,4
juin 2021 164,4 157,8
juil. 2021 163,0 156,6
août 2021 163,2 157,3
sept. 2021 164,5 159,1
oct. 2021 164,9 160,1
nov. 2021 165,4 161,6
déc. 2021 166,5 162,3
janv. 2022 166,3 161,1
févr. 2022 165,7 159,6
mars 2022 166,3 160,3
avr. 2022 166,2 160,1
mai 2022 167,1 161,1
juin 2022 167,4 161,7
juil. 2022 166,4 161,1
août 2022 167,1 162,4
sept. 2022 168,6 164,4
oct. 2022 170,4 166,4
nov. 2022 171,1 167,7
déc. 2022 172,0 168,2
janv. 2023 172,1 167,5
févr. 2023 171,6 166,5
mars 2023 172,2 166,5
avr. 2023 171,9 165,4
mai 2023 172,8 166,1
juin 2023 172,3 166,0
juil. 2023 170,2 164,9
août 2023 169,5 164,7
sept. 2023 169,5 165,1
oct. 2023 169,0 164,6
nov. 2023 168,9 164,8
déc. 2023 169,2 164,5
janv. 2024 168,1 162,3
févr. 2024 167,9 161,2
mars 2024 167,1 160,0
avr. 2024 166,6 159,0
mai 2024 168,8 160,5
juin 2024 168,5 161,0
  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : La prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Figure 19Allocataires de la prime d’activité

  • Note : Données provisoires pour les 5 derniers mois.
  • Remarque : La prime d'activité est élargie à de nouveaux bénéficiaires depuis le 1ᵉʳ janvier 2019.
  • Champ : France, tous régimes (Cnaf et MSA). La localisation géographique s'appuie sur le lieu de gestion du dossier de l'allocataire pour les données de la Cnaf et sur son lieu de résidence pour les données de la MSA.
  • Sources : Cnaf, Allstat FR6 et FR2 ; MSA.

Au deuxième trimestre 2024, le nombre de créations d’entreprises augmente légèrement

Figure 20Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage et type d'entreprise Nombre de créations Variation (en %)
2ᵉ trim. 2023 1ᵉ trim. 2024 2ᵉ trim. 2024 trimestrielle annuelle
Île-de-France
Classiques (*) 27 850 31 510 31 480 -0,1 13,0
Micro-entrepreneurs 43 510 48 820 51 450 5,4 18,3
Total 71 360 80 340 82 930 3,2 16,2
France
Classiques (*) 94 220 103 160 100 800 -2,3 7,0
Micro-entrepreneurs 163 190 185 030 184 290 -0,4 12,9
Total 257 400 288 190 285 090 -1,1 10,8

Figure 21Créations d'entreprises

Créations d'entreprises
Zonage Nombre de créations des trois derniers mois (de avr. 2024 à juin 2024) Variation (en %) (*) Nombre de créations des douze derniers mois (de juil. 2023 à juin 2024) Variation (en %) (**)
Paris 23 820 11,3 97 590 8,6
Seine-et-Marne 6 260 8,1 25 640 6,9
Yvelines 6 510 10,3 26 820 5,9
Essonne 6 030 15,7 24 640 7,3
Hauts-de-Seine 9 270 7,3 38 450 4,2
Seine-Saint-Denis 11 610 21,0 45 330 16,4
Val-de-Marne 7 930 16,1 31 890 10,3
Val-d'Oise 6 850 25,4 25 500 6,8
Île-de-France 78 280 13,7 315 860 8,6
France 272 650 9,6 1 108 250 6,1
  • (*) Trois derniers mois par rapport aux mêmes trois mois de l'année précédente.
  • (**) Douze derniers mois par rapport aux douze mois précédents.
  • Note : Données brutes.
  • Accès aux séries longues tableau "créations d'entreprises".
  • Champ : Ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Figure 22Créations d'entreprises

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Créations d'entreprises ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Île-de-France hors micro-entrepreneurs France hors micro-entrepreneurs Île-de-France y compris micro-entrepreneurs France y compris micro-entrepreneurs
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 98,4 99,1 104,4 103,6
2ᵉ trim. 2018 100,1 101,0 107,3 107,5
3ᵉ trim. 2018 100,3 99,1 108,2 107,9
4ᵉ trim. 2018 100,8 100,2 113,7 111,2
1ᵉ trim. 2019 107,1 107,0 125,0 122,3
2ᵉ trim. 2019 109,2 104,4 126,1 121,9
3ᵉ trim. 2019 107,5 104,6 120,6 124,5
4ᵉ trim. 2019 107,6 102,3 124,8 127,9
1ᵉ trim. 2020 105,5 97,0 114,8 120,0
2ᵉ trim. 2020 73,1 75,9 96,3 98,6
3ᵉ trim. 2020 116,4 114,7 151,1 152,4
4ᵉ trim. 2020 118,0 114,7 147,5 150,2
1ᵉ trim. 2021 123,7 116,5 152,5 152,8
2ᵉ trim. 2021 126,2 122,5 138,5 155,3
3ᵉ trim. 2021 121,7 115,1 133,6 145,1
4ᵉ trim. 2021 124,4 114,4 135,1 146,6
1ᵉ trim. 2022 127,4 117,4 141,7 151,6
2ᵉ trim. 2022 128,8 117,0 133,4 148,0
3ᵉ trim. 2022 133,7 119,1 150,2 153,0
4ᵉ trim. 2022 131,3 118,6 151,2 155,3
1ᵉ trim. 2023 116,1 105,4 138,0 143,2
2ᵉ trim. 2023 123,7 107,5 142,9 147,9
3ᵉ trim. 2023 132,1 110,5 156,9 156,1
4ᵉ trim. 2023 133,4 114,5 154,9 156,8
1ᵉ trim. 2024 139,9 117,8 160,9 165,6
2ᵉ trim. 2024 139,8 115,1 166,1 163,8
  • Note : Données CVS-CJO.
  • Champ : Ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

Figure 22Créations d'entreprises

  • Note : Données CVS-CJO.
  • Champ : Ensemble des activités marchandes hors agriculture.
  • Source : Insee, SIDE.

En juin 2024, la nombre de défaillances d’entreprises sur un an augmente

Figure 23Défaillances d'entreprises

Défaillances d'entreprises
Zonage Nombre de défaillances des douze derniers mois (de juil. 2023 à juin 2024) Variation (en %) (*)
Paris 4 060 22,3
Seine-et-Marne 2 080 13,1
Yvelines 1 160 36,2
Essonne 960 32,6
Hauts-de-Seine 1 310 40,1
Seine-Saint-Denis 2 550 68,2
Val-de-Marne 1 260 55,1
Val-d'Oise 1 020 23,6
Île-de-France 14 400 33,0
France 62 020 25,6

Figure 24Défaillances d'entreprises

(indice base 100 en décembre 2017)
Défaillances d'entreprises ((indice base 100 en décembre 2017))
Période Île-de-France France
déc. 2017 100,0 100,0
janv. 2018 100,2 99,1
févr. 2018 100,1 98,6
mars 2018 99,6 97,4
avr. 2018 100,6 97,6
mai 2018 100,8 96,7
juin 2018 101,4 96,7
juil. 2018 102,6 97,2
août 2018 102,7 97,7
sept. 2018 102,4 98,0
oct. 2018 103,9 99,0
nov. 2018 104,4 98,9
déc. 2018 105,1 99,0
janv. 2019 105,8 99,8
févr. 2019 105,9 99,7
mars 2019 104,7 99,3
avr. 2019 106,3 99,5
mai 2019 105,9 99,3
juin 2019 104,8 98,3
juil. 2019 103,6 98,3
août 2019 103,1 97,1
sept. 2019 102,8 96,3
oct. 2019 101,6 95,2
nov. 2019 100,4 94,3
déc. 2019 99,1 93,7
janv. 2020 98,1 91,5
févr. 2020 97,4 90,1
mars 2020 93,9 86,4
avr. 2020 87,0 80,8
mai 2020 80,9 76,0
juin 2020 77,6 73,5
juil. 2020 76,0 70,6
août 2020 74,7 69,7
sept. 2020 72,6 66,9
oct. 2020 68,9 63,3
nov. 2020 66,2 60,3
déc. 2020 63,4 57,2
janv. 2021 60,7 54,7
févr. 2021 57,0 51,6
mars 2021 57,9 51,4
avr. 2021 59,7 52,7
mai 2021 62,3 53,8
juin 2021 62,1 52,9
juil. 2021 61,6 51,5
août 2021 61,1 51,3
sept. 2021 59,6 50,4
oct. 2021 58,6 49,9
nov. 2021 57,9 49,9
déc. 2021 58,3 50,5
janv. 2022 58,1 51,5
févr. 2022 60,0 53,2
mars 2022 61,3 55,4
avr. 2022 63,3 57,5
mai 2022 63,7 59,3
juin 2022 65,5 61,4
juil. 2022 66,8 64,0
août 2022 68,2 65,2
sept. 2022 72,2 68,4
oct. 2022 74,0 71,1
nov. 2022 76,5 73,7
déc. 2022 78,3 75,6
janv. 2023 81,0 78,7
févr. 2023 83,7 81,0
mars 2023 86,2 84,0
avr. 2023 88,9 85,8
mai 2023 91,3 88,3
juin 2023 94,6 90,5
juil. 2023 96,4 92,4
août 2023 96,9 93,1
sept. 2023 97,5 94,9
oct. 2023 100,9 97,9
nov. 2023 104,3 100,7
déc. 2023 107,4 103,2
janv. 2024 111,3 105,1
févr. 2024 114,3 107,7
mars 2024 117,1 108,7
avr. 2024 119,0 110,7
mai 2024 122,9 112,2
juin 2024 125,8 113,6
  • Notes : Données mensuelles brutes au 23 août 2024, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Figure 24Défaillances d'entreprises

  • Notes : Données mensuelles brutes au 23 août 2024, en date de jugement.
  • Chaque point représente l'évolution du cumul des 12 derniers mois.
  • Source : Fiben, Banque de France.

Au deuxième trimestre 2024, le nombre de logements commencés baisse à nouveau

Figure 25Évolution du nombre de logements

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution du nombre de logements ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Logements autorisés - Île-de-France Logements autorisés - France hors Mayotte Logements commencés - Île-de-France Logements commencés - France hors Mayotte
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 104,1 100,1 88,0 84,4
2ᵉ trim. 2018 107,8 97,3 97,9 89,2
3ᵉ trim. 2018 108,6 97,7 78,8 82,9
4ᵉ trim. 2018 90,8 92,9 98,0 88,0
1ᵉ trim. 2019 91,5 90,2 90,0 83,5
2ᵉ trim. 2019 93,9 95,1 81,2 80,3
3ᵉ trim. 2019 87,4 90,3 84,3 81,9
4ᵉ trim. 2019 92,8 102,7 89,7 84,3
1ᵉ trim. 2020 79,4 96,4 73,2 80,3
2ᵉ trim. 2020 46,9 58,9 66,3 68,7
3ᵉ trim. 2020 66,6 80,8 82,9 86,8
4ᵉ trim. 2020 89,5 94,5 65,9 81,9
1ᵉ trim. 2021 76,4 94,4 81,2 88,1
2ᵉ trim. 2021 73,3 98,3 81,4 88,0
3ᵉ trim. 2021 83,9 101,1 67,5 87,7
4ᵉ trim. 2021 83,6 98,7 80,3 89,6
1ᵉ trim. 2022 78,2 117,8 80,7 90,6
2ᵉ trim. 2022 99,4 110,2 62,0 83,2
3ᵉ trim. 2022 119,8 105,3 75,1 80,0
4ᵉ trim. 2022 53,2 75,7 73,5 83,3
1ᵉ trim. 2023 74,5 82,6 60,2 71,4
2ᵉ trim. 2023 67,1 79,5 58,7 64,9
3ᵉ trim. 2023 62,5 72,1 52,1 58,8
4ᵉ trim. 2023 65,9 75,6 43,6 58,2
1ᵉ trim. 2024 64,2 72,7 54,2 55,6
2ᵉ trim. 2024 52,2 68,8 50,6 59,2
  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 25Évolution du nombre de logements

  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO, en date réelle estimée.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 26Logements autorisés à la construction

Logements autorisés à la construction
Zonage Nombre d'autorisations des trois derniers mois (de mai 2024 à juil. 2024) Variation (en %) (*) Nombre d'autorisations des douze derniers mois (de août 2023 à juil. 2024) Variation (en %) (**)
Paris 1 320 197,5 2 820 5,6
Seine-et-Marne 1 920 0,7 6 010 -16,7
Yvelines 1 640 25,4 7 110 9,1
Essonne 1 910 -29,2 6 960 -7,3
Hauts-de-Seine 2 810 4,6 9 050 4,0
Seine-Saint-Denis 1 750 -50,1 8 320 -39,9
Val-de-Marne 2 750 -34,0 9 550 -31,8
Val-d'Oise 1 190 -46,4 4 330 -34,1
Île-de-France 15 280 -19,2 54 150 -19,2
France hors Mayotte 94 040 -6,4 348 230 -12,1

Au deuxième trimestre 2024, la surface de locaux commencés est en légère baisse

Figure 27Évolution de la surface de plancher des locaux

(indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017)
Évolution de la surface de plancher des locaux ((indice base 100 au 4ᵉ trimestre 2017))
Période Locaux autorisés - Île-de-France Locaux autorisés - France Locaux commencés - Île-de-France Locaux commencés - France
4ᵉ trim. 2017 100,0 100,0 100,0 100,0
1ᵉ trim. 2018 121,8 102,4 108,7 105,9
2ᵉ trim. 2018 86,9 89,0 78,8 93,2
3ᵉ trim. 2018 101,5 94,9 58,4 88,6
4ᵉ trim. 2018 107,3 94,8 77,8 105,6
1ᵉ trim. 2019 117,2 109,6 113,6 107,9
2ᵉ trim. 2019 101,3 104,5 66,9 96,2
3ᵉ trim. 2019 111,4 93,7 76,7 104,0
4ᵉ trim. 2019 90,2 98,9 110,1 113,9
1ᵉ trim. 2020 98,2 87,3 61,8 90,8
2ᵉ trim. 2020 77,7 64,5 34,0 71,9
3ᵉ trim. 2020 67,0 91,8 66,7 90,2
4ᵉ trim. 2020 98,3 84,0 95,3 101,1
1ᵉ trim. 2021 73,4 84,3 60,7 83,8
2ᵉ trim. 2021 82,1 90,4 77,2 91,5
3ᵉ trim. 2021 78,3 99,1 81,2 97,5
4ᵉ trim. 2021 94,4 91,0 77,0 97,6
1ᵉ trim. 2022 79,7 92,5 73,1 100,8
2ᵉ trim. 2022 108,4 99,3 93,2 111,3
3ᵉ trim. 2022 92,7 94,4 75,7 89,5
4ᵉ trim. 2022 102,7 101,9 85,9 90,3
1ᵉ trim. 2023 89,8 93,0 66,7 87,7
2ᵉ trim. 2023 69,0 91,7 59,7 81,2
3ᵉ trim. 2023 85,9 88,5 44,9 80,5
4ᵉ trim. 2023 76,8 88,9 58,0 81,9
1ᵉ trim. 2024 85,0 89,2 63,9 79,8
2ᵉ trim. 2024 91,9 89,1 61,7 72,1
  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 27Évolution de la surface de plancher des locaux

  • Pour une meilleure visibilité, il est possible de cliquer sur les noms des séries dans la légende pour modifier l’affichage.
  • Note : Données en cumul trimestriel CVS-CJO en date de prise en compte.
  • Source : SDES, Sitadel.

Figure 28Locaux non résidentiels autorisés à la construction

Locaux non résidentiels autorisés à la construction
Zonage Nombre d'autorisations des trois derniers mois (de mai 2024 à juil. 2024) Variation (en %) (*) Nombre d'autorisations des douze derniers mois (de août 2023 à juil. 2024) Variation (en %) (**)
Paris 169 940 32,9 426 320 -17,0
Seine-et-Marne 231 250 97,9 775 030 -8,4
Yvelines 133 390 47,7 567 720 -3,3
Essonne 112 160 -40,6 522 390 -3,4
Hauts-de-Seine 81 500 -39,3 326 720 -0,3
Seine-Saint-Denis 140 630 9,8 424 590 -36,9
Val-de-Marne 74 300 -13,0 432 960 17,6
Val-d'Oise 175 140 -11,2 651 580 11,3
Île-de-France 1 118 300 4,6 4 127 300 -7,1
France 9 722 870 -2,2 37 131 270 -6,4

En juillet 2024, le nombre de nuitées dans les hôtels baisse nettement sur un an

Figure 29Évolution du nombre de nuitées totales dans les hôtels par rapport au même mois de l'année précédente

(en %)
Évolution du nombre de nuitées totales dans les hôtels par rapport au même mois de l'année précédente ((en %))
Période Île-de-France France entière
août 2023 -3,1 -5,5
sept. 2023 -1,7 1,7
oct. 2023 -8,8 -3,6
nov. 2023 -2,3 -2,8
déc. 2023 -7,1 -3,3
janv. 2024 -4,6 -2,5
févr. 2024 -0,7 -1,7
mars 2024 4,8 6,9
avr. 2024 -9,3 -8,9
mai 2024 -2,6 -0,5
juin 2024 -13,3 -4,7
juil. 2024 -15,4 -5,8
  • Notes : Le dernier mois est provisoire. Données mensuelles brutes.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Figure 29Évolution du nombre de nuitées totales dans les hôtels par rapport au même mois de l'année précédente

  • Notes : Le dernier mois est provisoire. Données mensuelles brutes.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Hôtellerie de plein air

Figure 30Évolution du nombre de nuitées totales dans l'hôtellerie de plein air par rapport au même mois de l''année précédente

(en %)
Évolution du nombre de nuitées totales dans l'hôtellerie de plein air par rapport au même mois de l''année précédente ((en %))
Période Île-de-France France métropolitaine
avr. 2023 13,5 13,4
mai 2023 28,0 21,8
juin 2023 3,8 -1,8
juil. 2023 16,2 0,7
août 2023 18,1 2,5
sept. 2023 15,8 11,9
  • Notes : Données mensuelles brutes.
  • La saison touristique couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie de plein air".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

Figure 30Évolution du nombre de nuitées totales dans l'hôtellerie de plein air par rapport au même mois de l''année précédente

  • Notes : Données mensuelles brutes.
  • La saison touristique couvre les mois d'avril à septembre.
  • Les données sont définitives.
  • Accès aux séries longues "hôtellerie de plein air".
  • Sources : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) ; enquête de fréquentation dans les hébergements touristiques.

En juillet 2024, le nombre de nuitées en hébergement collectif touristique augmente sur un an

Figure 31Évolution du nombre de nuitées totales dans les autres hébergements collectifs touristiques par rapport au même mois de l'année précédente

(en %)
Évolution du nombre de nuitées totales dans les autres hébergements collectifs touristiques par rapport au même mois de l'année précédente ((en %))
Période Île-de-France France métropolitaine
août 2023 0,5 -3,6
sept. 2023 -2,9 -0,9
oct. 2023 -6,3 -0,9
nov. 2023 -0,4 -6,6
déc. 2023 -1,6 -4,8
janv. 2024 -5,3 2,6
févr. 2024 -1,5 1,2
mars 2024 7,5 10,9
avr. 2024 0,2 -4,3
mai 2024 7,6 3,6
juin 2024 0,6 -5,1
juil. 2024 1,0 -4,7

Figure 31Évolution du nombre de nuitées totales dans les autres hébergements collectifs touristiques par rapport au même mois de l'année précédente

Avertissement

Les données chiffrées sont parfois arrondies (selon les règles mathématiques). Le résultat arrondi d'une combinaison de données chiffrées (qui fait intervenir leurs valeurs réelles) peut se trouver légèrement différent de celui que donnerait la combinaison de leurs valeurs arrondies.

Définitions

Heures rémunérées :

Les heures rémunérées couvrent les heures travaillées ainsi que des heures non travaillées mais rémunérées par l’employeur, notamment pendant les congés payés. Les périodes de chômage partiel indemnisées par l’administration publique et non par l’employeur ne sont à ce titre pas comprises dans les heures rémunérées.

Emploi salarié :

Les salariés sont les personnes qui travaillent, aux termes d’un contrat, pour une autre entité résidente en échange d’un salaire ou d’une rétribution équivalente, avec un lien de subordination.

Intérim / Travail temporaire / Travail intérimaire :

L' intérim (ou travail intérimaire ou travail temporaire) consiste à mettre à disposition provisoire d’entreprises clientes, des salariés qui, en fonction d'une rémunération convenue, sont embauchés et rémunérés à cet effet par l'entreprise de travail temporaire.

L'intérim se caractérise donc par une relation triangulaire entre l’entreprise de travail temporaire, l’entreprise cliente et le salarié, et implique la conclusion de deux contrats : un contrat de mise à disposition (entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise cliente) et un contrat de mission (entre l’entreprise de travail temporaire et le salarié).

Le contrat ne peut être conclu que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire, dénommée mission, et seulement dans les cas énumérés par la loi. Quel que soit le motif pour lequel il est conclu, un tel contrat ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise utilisatrice.

Secteur tertiaire / Tertiaire :

Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui s'étend du commerce à l'administration, en passant par les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.

Il est composé du :

  • tertiaire principalement marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus aux entreprises, services rendus aux particuliers, hébergement-restauration, immobilier, information-communication) ;
  • tertiaire principalement non-marchand (administration publique, enseignement, santé humaine, action sociale).

Le périmètre du secteur tertiaire est de fait défini par complémentarité avec les activités agricoles et industrielles (secteurs primaire et secondaire).

Taux de chômage :

Le taux de chômage est le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs).

On peut calculer un taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d'une classe d'âge avec les actifs de cette classe d'âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe, par PCS, par région, par nationalité, par niveau de diplôme...

Remarque :

Le taux de chômage diffère de la part du chômage qui, elle, mesure la proportion de chômeurs dans l'ensemble de la population.

Taux de chômage (BIT) :

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Demandeurs d'emploi en fin de mois / DEFM / Demandes d'emploi en fin de mois :

Les demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à France Travail et ayant une demande en cours au dernier jour du mois.

Demandeurs d'emploi de longue durée / DELD :

Les demandeurs d'emploi de longue durée (DELD) sont ceux inscrits en catégories A, B, C, depuis un an ou plus.

Création d'entreprise / Réactivation d'entreprise :

Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre d'une nouvelle combinaison de facteurs de production avec pour restriction qu'aucune autre entreprise ne soit impliquée dans cet évènement.

Les créations d’entreprises sont en fait des créations d’unités légales. On parle néanmoins de créations d’entreprises en raison de la spécificité de la situation au moment de la création. En effet, au moment de son immatriculation, il n’est pas possible de déterminer si une unité légale est indépendante ou appartient à un groupe. Par défaut, au moment de la création, toute entité est donc indépendante et considérée comme une entreprise.

La statistique mensuelle des créations d'entreprises est constituée à partir du dispositif SIDE (Système d’information sur la démographie d’entreprises). Ce dispositif est alimenté à partir de données du répertoire Sirene, enrichies d’éléments provenant du répertoire statistique Sirus.

Les créations d'entreprises correspondent aux unités légales du répertoire Sirene qui enregistrent un début d'activité relevant de l'un des cas suivants :

  • l'immatriculation d'une nouvelle unité légale avec création d'une nouvelle combinaison de facteurs de production ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de plus d'un an (il n'y a pas de nouvelle immatriculation mais reprise de l'ancien numéro Siren, en général pour un entrepreneur individuel) ;
  • le cas où l'entrepreneur redémarre une activité après une interruption de moins d'un an, mais avec changement d'activité ;
  • la reprise par une unité légale nouvellement immatriculée de tout ou partie des activités et facteurs de production d'une autre unité légale, lorsqu'il n'y a pas de continuité économique entre la situation du cédant et celle du repreneur.

On considère qu'il n'y a pas continuité économique de l'unité légale si, parmi les trois éléments suivants concernant son siège, au moins deux sont modifiés lors de la reprise : l'unité légale contrôlant l'établissement siège, l'activité économique et la localisation.

Depuis les données relatives à janvier 2009, à la suite de la mise en place du régime de l'auto-entrepreneur (renommé micro-entrepreneur, à compter du 19 décembre 2014), les statistiques de créations d'entreprises incluent les demandes de créations enregistrées dans Sirene au titre de ce régime. Ce dénombrement n'inclut pas les entrepreneurs déjà en activité avant le 1er janvier 2009 et qui avaient demandé, à titre dérogatoire au plus tard le 31 mars 2009, à bénéficier du régime micro-social et du versement fiscal libératoire en 2009.

La statistique de créations d'entreprises couvre l'ensemble des activités marchandes hors agriculture.

Remarque :

Depuis le 1er janvier 2007, la notion de création d'entreprise s'appuie sur un concept harmonisé au niveau européen pour faciliter les comparaisons.


Défaillance d'entreprise :

Une unité légale est en situation de défaillance ou de dépôt de bilan à partir du moment où une procédure de redressement judiciaire est ouverte à son encontre.

Cette procédure intervient lorsqu'une unité légale est en état de cessation de paiement, c'est-à-dire qu'elle n'est plus en mesure de faire face à son passif exigible avec son actif disponible.

Remarque :

Il ne faut pas confondre la notion de défaillance et la notion de cessation. La notion de cessation correspond à l'arrêt total de l'activité économique d'une entreprise. Toutes les défaillances ne donnent pas des cessations. Par exemple, un jugement d'ouverture de procédure de défaillance (dépôt de bilan d'une entreprise inscrite dans le cadre d'une procédure judiciaire) ne se résout pas forcement par une liquidation.

Toutes les cessations n'ont pas donné lieu à une défaillance. Par exemple, un entrepreneur individuel peut cesser son activité suite à un départ en retraite.

Logement autorisé :

Un logement autorisé est un logement, non encore réalisé, dont la construction a été autorisée par un permis de construire ou une non-opposition à une déclaration préalable.


Logement commencé :

Un logement est considéré comme commencé (ou mis en chantier) après réception de la déclaration d’ouverture de chantier (DOC) envoyée par le pétitionnaire (ou maître d’ouvrage).

Un chantier est considéré ouvert lorsque les fouilles en rigole ou les fondations sont entreprises pour une partie ou la totalité des constructions autorisées.

Remarque :

Une « fouille en rigole » est un creusement du sol pour permettre la construction à l'emplacement des « semelles » (ces dernières sont les parties basses).

Revenu de solidarité active / RSA :

Le revenu de solidarité active est une allocation qui complète les ressources initiales du foyer pour qu'elles atteignent le niveau d'un revenu garanti.

Le montant du revenu garanti varie en fonction de la composition du foyer et du nombre d'enfant(s) à charge.

Remarque :

Le revenu de Solidarité active (RSA) se substitue au revenu minimum d'insertion (RMI) et à l'allocation parent isolé (API).

Le RSA est en vigueur depuis 2009 en métropole, depuis 2011 dans les départements et collectivités d’outre-mer (à l’exception de la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie et Wallis-et-Futuna où il n’est pas applicable) et depuis 2012 à Mayotte (selon des modalités spécifiques).

Prime d'activité :

La prime d’activité est un complément de revenus d’activité s’adressant aux travailleurs percevant des revenus modestes. Elle remplace depuis 2016 le revenu de solidarité active (RSA-activité) et la prime pour l’emploi (PPE).


Sa réglementation s’inscrit dans la continuité de celle du RSA-activité, mais présente cependant quelques spécificités, notamment pour les temps partiels (bonus modulable individuel).

Nuitée :

Le nombre de nuitées correspond au nombre total de nuits passées par les clients dans un établissement ; deux personnes séjournant trois nuits dans un hôtel comptent ainsi pour six nuitées de même que six personnes ne séjournant qu'une nuit.

Autres hébergements collectifs touristiques / AHCT :

Les autres hébergements collectifs touristiques (AHCT) sont les résidences hôtelières de tourisme, les villages de vacances et maisons familiales de vacances, les auberges de jeunesse et centres internationaux de séjour, les centres sportifs.

Les résidences de tourisme et villages de vacances représentent plus de 90 % de l’ensemble des AHCT.

Correction des variations saisonnières / CVS / Désaisonnalisation :

La correction des variations saisonnières permet d’éliminer l'effet de fluctuations périodiques infra-annuelles dues au calendrier et aux saisons, de manière à faire ressortir les évolutions les plus significatives de la série. Celles-ci sont contenues dans la tendance et la composante irrégulière.

Par exemple, les ventes de jouets augmentent toujours fortement entre novembre et décembre, en raison de Noël. Sur les données brutes, cet effet périodique masque l’évolution conjoncturelle sous-jacente pour une année donnée. Une fois la série désaisonnalisée, c’est-à-dire l’effet Noël retiré, les ventes peuvent s’avérer en baisse, signe d’une moins bonne année.