Insee Analyses Pays de la Loire ·
Décembre 2025 · n° 148
Grand centre urbain de Nantes : un accès aux espaces verts publics favorisé par les
grands parcs Morphologie des territoires et interactions
Les espaces verts publics, tels que les parcs, jardins et squares, jouent un rôle essentiel pour le bien-être et la santé des citadins. Dans le grand centre urbain de Nantes, les espaces verts publics sont constitués en majorité de grands parcs urbains. Près d’un habitant sur deux dispose d’un espace vert à moins de cinq minutes à pied, un niveau légèrement inférieur à celui des grands centres urbains comparables. L’accès est plus favorable pour les résidents des logements collectifs, majoritaires dans le grand centre urbain de Nantes, ainsi que pour les ménages pauvres et ceux des quartiers prioritaires de la politique de la ville. Néanmoins, l’accès de proximité aux espaces verts reste inégal selon les territoires et moins aisé que dans des villes aux caractéristiques similaires.
Cette étude fait partie de la série de publications Pays de la Loire « Morphologie des territoires et interactions ».
- Le rôle essentiel des espaces verts urbains pour la santé publique
- Des espaces verts dominés par les grands parcs urbains
- Près d’un habitant sur deux dispose d’un espace vert public à moins de cinq minutes à pied
- Un meilleur accès pour les ménages en logement collectif
- Quartiers prioritaires : un accès globalement plus favorable
- Encadré 1 – Des objectifs d’accès et de disponibilité fixés par l’OMS
- Encadré 2 – Ramener la nature en ville, un enjeu au cœur des politiques publiques
Le rôle essentiel des espaces verts urbains pour la santé publique
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les espaces verts sont essentiels à la qualité de vie en zone urbaine [OMS, 2017 ; pour en savoir plus (5)] (encadré 1). Ils contribuent à la santé physique et mentale, réduisent le stress et favorisent les interactions sociales. Ils participent également à l’équilibre de l’écosystème urbain. Mesurer l’accès des habitants aux espaces verts permet de mieux appréhender la place qu’ils occupent dans la morphologie des grandes villes. L’analyse selon les profils de population et les territoires met en évidence des inégalités d’accès.
Le grand centre urbain de Nantes, composé de sept communes, compte 501 100 habitants en 2022 (figure 1). L’accès aux espaces verts sur ce territoire est analysé au regard d’un ensemble de neuf grands centres urbains similaires, constituant le référentiel de comparaison (pour comprendre).
Dans cette étude, les « espaces verts publics », lieux de détente et de loisir au cœur des villes, recouvrent les squares, jardins et parcs publics d’au moins 1 000 mètres carrés (m2), ainsi que les forêts publiques d’au moins 5 000 m2. Tous les éléments de verdure ne sont donc pas pris en compte, quand bien même ils jouent un rôle déterminant dans la régulation de la chaleur, la biodiversité ou la qualité de l’air.
graphiqueFigure 1 – Les espaces naturels du grand centre urbain de Nantes

- Absence de données due à une carte de situation.
- Lecture : Le grand centre urbain de Nantes compte sept communes.
- Sources : Les contributeurs OpenStreetMap, sous licence Odbl ; IGN, BD TOPO ; traitements Insee-SDES.
Des espaces verts dominés par les grands parcs urbains
Les espaces verts publics couvrent 4,5 % du territoire du grand centre urbain de Nantes, un niveau comparable au référentiel. Ainsi, le grand centre urbain de Nantes fait partie des dix premiers centres urbains en matière de surface en espaces verts publics parmi les 72 grands centres urbains de France métropolitaine. La quasi-totalité des espaces verts publics sont des squares, des jardins ou des parcs aménagés.
Dans le grand centre urbain de Nantes, la population bénéficie, par exemple, du parc du Grand Blottereau, du parc de Beaulieu, du parc de la Chézine ou encore du parc de la Gournerie. Ces grands parcs urbains, de plus de 10 hectares (ha), constituent près des trois quarts de la superficie totale des parcs du territoire, à l’image du référentiel.
Hors forêts publiques, la végétation naturelle, telle que les espaces boisés privés et les prairies, couvre 12 % du territoire, soit 4 points de moins que dans le référentiel. Une grande partie de ces espaces sont inaccessibles au public, car situés sur des parcelles privées. Ils n’entrent donc pas dans le champ étudié, même s’ils participent à l’écosystème urbain.
Au-delà des espaces verts, les espaces bleus, tels que les fleuves ou les rivières (la Loire, l’Erdre, etc.), ont une place significative sur le territoire : 4,8 % de la superficie totale, contre 3,1 % dans le référentiel. Bien que l’accès à ces espaces ne soit pas mesuré ici, ils participent également au bien-être des citadins et à l’écosystème urbain. En effet, ils améliorent la santé mentale, contribuent au rafraîchissement urbain et préservent la biodiversité.
Près d’un habitant sur deux dispose d’un espace vert public à moins de cinq minutes à pied
Dans le grand centre urbain de Nantes, 47 % des habitants disposent d’un espace vert public à moins de cinq minutes de marche de leur domicile, soit à moins de 300 mètres (m), contre 50 % dans le référentiel.
En marchant plus longtemps pour atteindre d’autres espaces, plus grands (pour comprendre), l’écart avec le référentiel se réduit. Ainsi, à moins de quinze minutes à pied de leur domicile (environ 900 m), 72 % des habitants peuvent accéder à un espace vert public, contre 74 %. Toutefois, les habitants du grand centre urbain de Nantes bénéficient d’une meilleure proximité avec les grands parcs urbains. Ainsi, même à moins de cinq minutes à pied, 11 % de la population dispose d’un accès à un parc de plus de 10 hectares, contre 8 % dans le référentiel. À moins de quinze minutes à pied, cette part atteint 35 %, contre 28 % dans le référentiel (figure 2).
Quel que soit l’âge, enfants ou seniors, la population bénéficie d’un accès similaire, toutes surfaces confondues, tant dans le grand centre urbain de Nantes que dans le référentiel.
tableauFigure 2 – Accès de la population aux espaces verts selon la superficie et le temps de marche
| Temps de marche | Superficie | Grand centre urbain de Nantes | Référentiel |
|---|---|---|---|
| À moins de 5 minutes | Au moins 0,1 hectare | 47 | 50 |
| Plus de 10 hectares | 11 | 8 | |
| À moins de 15 minutes | Au moins 0,1 hectare | 73 | 73 |
| Plus de 10 hectares | 35 | 28 |
- Lecture : En marchant moins de cinq minutes, 11 % des habitants du grand centre urbain de Nantes ont accès à un espace vert de 10 hectares (ha) ou plus, contre 8 % des habitants dans le référentiel.
- Sources : Insee, Filosofi 2019 ; les contributeurs OpenStreetMap, sous licence Odbl ; IGN, BD TOPO ; traitements Insee-SDES.
graphiqueFigure 2 – Accès de la population aux espaces verts selon la superficie et le temps de marche

- Lecture : En marchant moins de cinq minutes, 11 % des habitants du grand centre urbain de Nantes ont accès à un espace vert de 10 hectares (ha) ou plus, contre 8 % des habitants dans le référentiel.
- Sources : Insee, Filosofi 2019 ; les contributeurs OpenStreetMap, sous licence Odbl ; IGN, BD TOPO ; traitements Insee-SDES.
Un meilleur accès pour les ménages en logement collectif
Les deux tiers des ménages du grand centre urbain de Nantes vivent en logement collectif. Ces ménages disposent d’un meilleur accès aux espaces verts que ceux vivant en maison individuelle. En effet, 52 % des ménages en collectif sont à moins de cinq minutes d’un espace vert public, contre 40 % des ménages en maison (figure 3). En marchant quinze minutes, l’écart reste notable : 77 % contre 66 %. Ce moindre accès pour les résidents en maison individuelle se retrouve également à l’échelle du référentiel. Ils disposent toutefois plus fréquemment de jardins privatifs.
Les ménages les plus modestes disposent également d’un accès aux espaces verts plus favorable. Dans le grand centre urbain de Nantes, 52 % des ménages pauvres marchent moins de cinq minutes pour accéder à un espace vert, contre 48 % pour l’ensemble des ménages. À moins de quinze minutes, 77 % d’entre eux accèdent à un espace vert (contre 73 %). Ce meilleur accès pour les habitants en situation de pauvreté se vérifie également dans le référentiel.
Dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) du grand centre urbain de Nantes, la pauvreté concerne jusqu’à deux habitants sur trois.
tableauFigure 3 – Accès des ménages aux espaces verts selon le type d’habitat et le temps de marche
| Temps de marche | Ensemble des ménages | Ménages vivant en logement collectif | Ménages vivant en maison |
|---|---|---|---|
| À moins de 5 minutes | 48 | 52 | 40 |
| À moins de 15 minutes | 73 | 77 | 66 |
- Lecture : Dans le grand centre urbain de Nantes, 52 % des ménages qui vivent dans un logement collectif disposent d’un espace vert à moins de cinq minutes à pied de leur domicile, contre 40 % des ménages qui vivent en maison.
- Sources : Insee, Filosofi 2019 ; les contributeurs OpenStreetMap, sous licence Odbl ; IGN, BD TOPO ; traitements Insee-SDES.
graphiqueFigure 3 – Accès des ménages aux espaces verts selon le type d’habitat et le temps de marche

- Lecture : Dans le grand centre urbain de Nantes, 52 % des ménages qui vivent dans un logement collectif disposent d’un espace vert à moins de cinq minutes à pied de leur domicile, contre 40 % des ménages qui vivent en maison.
- Sources : Insee, Filosofi 2019 ; les contributeurs OpenStreetMap, sous licence Odbl ; IGN, BD TOPO ; traitements Insee-SDES.
Quartiers prioritaires : un accès globalement plus favorable
Le grand centre urbain de Nantes compte 15 QPV, soit 53 630 habitants, répartis sur quatre communes (Nantes, Orvault, Rezé et Saint-Herblain).
Dans ces quartiers, l’accès de proximité aux espaces verts est plus favorable que pour l’ensemble de la population du grand centre urbain : 53 % des habitants résident à moins de cinq minutes à pied d’un parc ou d’un jardin public, soit 6 points de plus. À moins de quinze minutes de marche, 81 % des habitants des QPV disposent d’un espace vert, soit 8 points de plus que l’ensemble des habitants du grand centre urbain. Cependant, l’accès aux espaces verts est moindre que dans les QPV du référentiel, à cinq comme à quinze minutes de marche (respectivement -8 points et -3 points).
L’accès aux espaces verts varie d’un QPV à l’autre. En effet, dans six QPV du grand centre urbain (25 % de la population des QPV), plus de huit habitants sur dix disposent d’un parc ou d’un jardin public à moins de cinq minutes de chez eux. C’est le cas, par exemple, de la Petite Sensive à Nantes, doté d’un parc urbain en son sein, ou encore du quartier Château à Rezé, desservi par plusieurs jardins et squares comme le parc Paul Allain, le Rigolo square ou le parc des Mahaudières – Jacques Floch.
À l’inverse, certains quartiers sont nettement moins bien desservis en espaces verts de proximité. Dans le QPV Bout des Landes – Bout des Pavés – Chêne des Anglais à Nantes, seuls trois habitants sur dix disposent d’un espace vert à proximité immédiate. Mais, en élargissant le périmètre à quinze minutes de marche, plus de neuf habitants sur dix accèdent à un espace vert, qu’il s’agisse du cimetière parc paysager ou des bords du Cens. Les habitants de Plaisance ne bénéficient pas d’espace vert public à moins de cinq minutes à pied. En revanche, en un quart d’heure de marche, ils accèdent notamment au parc de la Gaudinière ou à celui de Michel Baudry. Enfin, quelques quartiers restent moins favorisés quelle que soit la distance : à la Bottière Pin Sec, deux habitants sur dix peuvent profiter d’un espace vert à moins de cinq minutes à pied et un peu moins de six sur dix à moins de quinze minutes.
Encadré 1 – Des objectifs d’accès et de disponibilité fixés par l’OMS
Dans son rapport de 2017, l’OMS souligne le rôle essentiel des espaces verts pour la santé publique et fixe deux objectifs en matière d’aménagement urbain : une proximité minimale et une disponibilité suffisante par habitant.
Elle recommande que chaque citadin réside à moins de 300 m d’un espace vert d’au moins 0,5 hectare. Dans le grand centre urbain de Nantes comme dans les autres grands centres urbains métropolitains, cet objectif n’est pas atteint : seul un tiers des habitants disposent d’un espace vert de cette surface minimale à moins de cinq minutes de marche.
Par ailleurs, l’OMS préconise une surface minimale de 10 m2 de parcs et jardins par habitant, afin de prévenir la surfréquentation et de garantir des usages confortables. Avec 16 m2 en moyenne, le grand centre urbain de Nantes dépasse ce seuil, mais reste en deçà du niveau du référentiel (21 m2). Cette moindre disponibilité peut accentuer la pression sur les parcs existants, notamment en cas de forte affluence.
Encadré 2 – Ramener la nature en ville, un enjeu au cœur des politiques publiques
Depuis la fin du 20e siècle, l’urbanisme tend à intégrer les enjeux environnementaux (réduction des îlots de chaleur, pollution de l’air, perméabilité des sols, etc.). Le modèle de la « ville durable » s’impose dans les années 2000, faisant de la préservation et de la restauration de la nature au sein des villes un enjeu central des politiques publiques, tant au niveau mondial que local.
Adopté en 2015, l’Agenda 2030 des Nations unies fixe des objectifs, notamment pour l’accès de tous à des espaces verts. En Europe, le règlement de restauration de la nature adopté en 2024 vise une absence de perte des espaces verts urbains d’ici 2030 et une augmentation de leur surface d’ici 2050.
En France, la nature en ville est une priorité depuis la circulaire de 1973 relative à la protection des espaces verts en zone urbaine, avec des normes reprises par l’OMS. Le Grenelle de l’environnement de 2007 et les lois qui en découlent, la loi Climat et Résilience et la Stratégie nationale biodiversité 2030, réaffirment l’importance de ramener la nature en ville et de restaurer les continuités écologiques avec les trames vertes et bleues [trames vertes et bleues ; pour en savoir plus (6)]. Ces dernières constituent des outils d’aménagement du territoire et de préservation de la biodiversité.
Les collectivités locales jouent un rôle clé et mettent en œuvre, pour beaucoup d’entre elles, des concepts comme la règle du « 3-30-300 » (3 arbres visibles depuis chaque domicile, 30 % de couverture arborée par quartier, espace vert à 300 m). Nantes métropole a décidé de faire de cette règle un principe directeur de sa politique en matière de végétation urbaine. En 2024, la charte des arbres [charte des arbres ; pour en savoir plus (7)] a été adoptée en ce sens.
Pour comprendre
Le grand centre urbain de Nantes regroupe sept communes : Les Sorinières, Nantes, Orvault, Rezé, Saint-Herblain, Sainte-Luce-sur-Loire et Saint-Sébastien-sur-Loire. Pour évaluer son niveau d’accès aux espaces verts, un référentiel de grands centres urbains comparables est défini. Il est composé de neuf grands centres urbains entre 200 000 et 700 000 habitants, sans littoral et avec un taux de couverture en forêts publiques inférieur à 5 % : Angers, Bordeaux, Dijon, Lens, Orléans, Reims, Rennes, Toulouse et Tours.
Pour identifier les espaces naturels, la cartographie libre et collaborative d’Ouvrir dans un nouvel ongletOpenStreetMap (OSM) et la base géographique de référence de l’Ouvrir dans un nouvel ongletIGN BD TOPO ont été mobilisées pour décrire précisément les éléments du territoire dans le but de qualifier l’usage des espaces. OSM a permis d’extraire une trentaine de types d’objets, tels que les parcs, forêts ou rivières. La BD TOPO complète ces données en recensant notamment les forêts publiques et en offrant une approche différente, fondée sur des informations institutionnelles [Insee-SDES, 2025 ; pour en savoir plus (3)]. Les espaces naturels sont ceux référencés au 1er janvier 2024.
Afin de mesurer l’accès des populations, seuls les espaces verts publics sont conservés. Sont donc exclus les jardins privés, les végétations basses (telles que prairies humides, zones de broussailles, etc.) et les forêts privées. La proximité à moins de cinq minutes de marche, soit 300 m, se mesure en conservant les parcs et jardins d’au moins 0,1 ha et les forêts publiques d’au moins 0,5 ha. À partir de 300 m et jusqu’à 600 m, l’accès est mesuré autour des parcs et forêts suffisamment grands (au moins 1 ha). Enfin, de 600 à moins de 900 m, l’accès est calculé autour des plus grands parcs et forêts (au moins 10 ha). La population est calculée grâce aux données du fichier localisé social et fiscal (Filosofi) qui permet d’en connaître l’effectif dans des carreaux de 200 m de côté.
graphiqueFigure 4 – Accès des populations au parc de la Gaudinière

- Absence de données due à une carte de situation.
- Sources : Les contributeurs OpenStreetMap, sous licence Odbl ; IGN, BD TOPO ; traitements Insee-SDES.
Définitions
Les grands centres urbains sont définis par le périmètre des cities d’Eurostat, un concept permettant de délimiter les zones urbaines denses de manière comparable à l’échelle européenne. Ces cities regroupent des communes dans lesquelles la majorité de la population vit dans un centre urbain d’au moins 50 000 habitants. Par exemple, le grand centre urbain de Paris regroupe 321 communes. La notion de centre urbain s’appuie sur une grille de densité constituée de carreaux de 1 km, identifiant des ensembles de carreaux contigus d’au moins 1 500 habitants.
La disponibilité potentielle, exprimée en m2 d’espace vert par habitant, évalue l’adéquation entre la surface végétale d’un territoire et la population susceptible de bénéficier de cet espace (toutes distances confondues).
Un individu est considéré comme étant en situation de pauvreté monétaire lorsqu’il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté, fixé à 60 % du niveau de vie médian national. Le taux de pauvreté monétaire est la part de personnes vivant dans un ménage pauvre parmi l’ensemble de la population.
Les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) sont des territoires d’intervention de l’État et des collectivités territoriales définis par la loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014. L’objectif de la politique de la ville est de réduire les écarts de développement entre ces quartiers défavorisés et leur unité urbaine. Un QPV doit abriter au moins 1 000 habitants, être situé dans une unité urbaine de plus de 10 000 habitants et être caractérisé par un décrochage du revenu des ménages par rapport aux revenus de l’unité urbaine et de la France métropolitaine. La liste des quartiers actuels est fixée par le décret no 2024-806 du 13 juillet 2024 en France métropolitaine.
Pour en savoir plus
(1) Delhomme I., Manceau C., « Grand centre urbain d’Angers : une nature abondante, rapidement accessible pour un habitant sur deux », Insee Analyses Pays de la Loire no 149, décembre 2025.
(2) Delhomme I., Manceau C., « Grand centre urbain du Mans : un accès favorable à des espaces verts nombreux et vastes », Insee Analyses Pays de la Loire no 150, décembre 2025.
(3) Insee-SDES, « Ouvrir dans un nouvel ongletMéthode d’estimation de l’accès aux aménités environnementales en milieu urbain », Article JMS, novembre 2025.
(4) Colin S. et al., « Un accès inégal aux espaces verts dans les grands centres urbains », Insee Première no 2049, avril 2025.
(5) World Health Organization – Regional Office for Europe, « Ouvrir dans un nouvel onglet Urban green space interventions and health : a review of impacts and effectiveness », 2017.
(6) « Ouvrir dans un nouvel ongletCentre de ressources pour la mise en œuvre de la Trame verte et bleue ».
(7) Nantes Métropole, « Ouvrir dans un nouvel ongletCharte des arbres ».
