Insee Analyses Guyane ·
Janvier 2025 · n° 75
Dès sa première année, un enfant sur deux vit dans une famille monoparentale en Guyane
En Guyane, 104 600 enfants mineurs vivent au sein d’une famille en 2021. La majorité d’entre eux habitent avec un seul de leurs parents, souvent dans une famille monoparentale, ou plus rarement dans une famille recomposée. Le plus souvent, ces enfants vivent avec leur mère. En Guyane, cette situation est vécue avant le premier anniversaire pour la majorité des enfants, contrairement à la France hexagonale où cette proportion est croissante avec l’âge, en raison des séparations. La résidence alternée est très marginale dans la région. La taille moyenne des fratries en Guyane est plus grande qu’ailleurs en France (hors Mayotte). La majorité des enfants vivent dans des familles dont la personne de référence n’a pas de diplôme, illustrant un niveau d’instruction plus faible dans la région. La part des enfants vivant en famille dont la personne de référence est en emploi est deux fois plus faible en Guyane que dans l’Hexagone. Les enfants résident souvent dans un logement suroccupé en Guyane.
Cette publication fait partie de l'opération coordonnée « Dans quelles familles vivent les enfants en 2023 ? » qui donne lieu à une publication nationale et des publications régionales.
- La moitié des enfants vivent en famille monoparentale en Guyane
- En Guyane, la grande majorité des enfants mineurs dont les parents sont séparés ou veufs vivent avec leur mère
- Avant un an, la moitié des enfants vivent déjà en famille monoparentale en Guyane
- En Guyane, la taille des fratries est la plus élevée de toutes les régions de France hors Mayotte
- En Guyane, plus de la moitié des enfants vivent dans une famille dont la personne de référence n’a aucun diplôme
- La part des enfants dont le référent familial est en emploi est deux fois plus faible en Guyane
- En Guyane, les enfants vivent majoritairement dans des logements suroccupés
La moitié des enfants vivent en famille monoparentale en Guyane
En 2021, 104 600 enfants de moins de 18 ans vivent au sein d’une famille en Guyane. La structure familiale y est différente de celle observée en France hexagonale. Sur 100 enfants mineurs, 32 vivent dans une famille dite « traditionnelle », c’est-à-dire avec leurs deux parents au domicile en Guyane (figure 1), alors qu’ils sont 68 en France Hexagonale. En Guyane, 52 enfants vivent en famille monoparentale, contre 21 en France hexagonale. Enfin, 16 enfants vivent dans une famille recomposée en Guyane. Parmi eux, 11 sont nés d’une union précédente, les 5 autres sont des enfants du couple recomposé.
tableauPart des enfants par type de famille et selon le lien de résidence avec leurs parents
Régions | Lien de résidence avec leurs parents | Famille « traditionnelle » | Famille monoparentale | Famille recomposée | Ensemble |
---|---|---|---|---|---|
Guyane | Vivent avec leurs deux parents | 32 | /// | 5 | 37 |
Vivent avec leur mère | /// | 46 | 7 | 53 | |
Vivent avec leur père | /// | 6 | 4 | 10 | |
Ensemble | 32 | 52 | 16 | 100 | |
Hexagone | Vivent avec leurs deux parents | 68 | /// | 4 | 72 |
Vivent avec leur mère | /// | 17 | 5 | 22 | |
Vivent avec leur père | /// | 4 | 2 | 6 | |
Ensemble | 68 | 21 | 11 | 100 |
- /// : Sans objet.
- Lecture : En 2021, 46 % des enfants en Guyane vivent avec leur mère dans une famille monoparentale, ils sont 17 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
graphiquePart des enfants par type de famille et selon le lien de résidence avec leurs parents

- Lecture : En 2021, 46 % des enfants en Guyane vivent avec leur mère dans une famille monoparentale, ils sont 17 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
En Guyane, la grande majorité des enfants mineurs dont les parents sont séparés ou veufs vivent avec leur mère
En Guyane, 37 % des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents, en famille « traditionnelle » ou recomposée, contre 72 % en France hexagonale. À l’inverse, 63 % des enfants mineurs guyanais vivent au quotidien avec un seul parent (séparé ou veuf) : 52 % résident dans une famille monoparentale et 11 % dans une famille recomposée. La grande majorité d’entre eux passent au moins la moitié de leur temps avec leur mère (84 %), tandis que 16 % vivent principalement avec leur père.
La résidence alternée, où les enfants partagent leur temps de résidence de manière équilibrée entre leurs deux parents, concerne moins de 1 % des enfants dont les parents sont séparés en Guyane, soit 21 fois moins qu’en France hexagonale en 2021.
Avant un an, la moitié des enfants vivent déjà en famille monoparentale en Guyane
En Guyane, la répartition des enfants au sein des trois types de familles reste stable à tous les âges : pour un âge donné, la moitié des enfants vivent en famille monoparentale, un tiers en famille « traditionnelle » et les autres en famille recomposée. Ainsi, déjà la moitié des enfants vivent avec un seul parent avant leur premier anniversaire. Cette stabilité suggère que la structure familiale varie peu avec l’âge des enfants en Guyane (figure 2).
À l’inverse, le modèle familial évolue avec l’âge des enfants en France hexagonale. Les séparations augmentent progressivement la proportion de familles monoparentales et recomposées, au détriment des familles « traditionnelles ». Ainsi, 11 % des enfants de moins de un an et 28 % des enfants de 17 ans vivent en famille monoparentale.
Dans les familles recomposées, la proportion d’enfants vivant avec leurs deux parents diminue avec l’âge, une tendance similaire dans les deux territoires. En Guyane, 1 enfant sur 2 de moins de un an en famille recomposée vit avec ses deux parents, contre seulement 1 enfant de 17 ans sur 8.
tableauFigure 2 – Part des enfants par âge et par type de famille
Age | Famille « traditionnelle » (Guyane) | Famille monoparentale (Guyane) | Famille recomposée (Guyane) | Famille « traditionnelle » (Hexagone) | Famille monoparentale (Hexagone) | Famille recomposée (Hexagone) |
---|---|---|---|---|---|---|
0 | 34 | 49 | 17 | 81 | 11 | 8 |
1 | 32 | 51 | 17 | 79 | 13 | 8 |
2 | 33 | 51 | 16 | 78 | 14 | 8 |
3 | 31 | 54 | 15 | 76 | 16 | 8 |
4 | 31 | 54 | 15 | 74 | 17 | 9 |
5 | 32 | 52 | 16 | 72 | 19 | 9 |
6 | 34 | 52 | 14 | 71 | 19 | 10 |
7 | 33 | 51 | 16 | 70 | 20 | 10 |
8 | 32 | 52 | 16 | 68 | 21 | 11 |
9 | 32 | 52 | 16 | 67 | 22 | 11 |
10 | 33 | 52 | 15 | 66 | 23 | 11 |
11 | 31 | 52 | 17 | 65 | 23 | 12 |
12 | 31 | 51 | 18 | 64 | 24 | 12 |
13 | 30 | 52 | 18 | 63 | 25 | 12 |
14 | 30 | 53 | 17 | 62 | 26 | 12 |
15 | 31 | 51 | 18 | 61 | 27 | 12 |
16 | 30 | 52 | 18 | 60 | 28 | 12 |
17 | 27 | 54 | 19 | 60 | 28 | 12 |
Ensemble | 32 | 52 | 16 | 68 | 21 | 11 |
- Lecture : En 2021, 49 % des enfants de moins de 1 an en Guyane vivent en famille monoparentale, contre 11 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
graphiqueFigure 2 – Part des enfants par âge et par type de famille

- Lecture : En 2021, 49 % des enfants de moins de 1 an en Guyane vivent en famille monoparentale, contre 11 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
En Guyane, la taille des fratries est la plus élevée de toutes les régions de France hors Mayotte
La Guyane se distingue par une taille moyenne des fratries supérieure à celle observée en France hexagonale. Le nombre moyen d’enfants par famille en Guyane atteint 2,6, le plus élevé des régions françaises (hors Mayotte), tandis qu’en France hexagonale, il est de 1,9. En 2021, 14 % des enfants en Guyane sont enfants uniques, 23 % ont un frère ou une sœur, 19 % vivent dans une fratrie de trois enfants, et 44 % grandissent au sein de familles comptant quatre enfants ou plus (figure 3). Cette spécificité s’explique en partie par la jeunesse de la population guyanaise, soutenue par un taux de natalité élevé et par l’attractivité du territoire pour les populations jeunes des pays voisins [Breton et al., 2023 ; pour en savoir plus (2)]. Les familles avec le plus d’enfants sont les familles recomposées, avec un nombre moyen d’enfants de 3,3 en Guyane, et 2,4 en France hexagonale.
tableauFigure 3 – Part des enfants par type de famille et selon la taille de la fratrie *
Taille de la fratrie | 1 enfant | 2 enfants | 3 enfants | 4 enfants ou plus | Ensemble |
---|---|---|---|---|---|
Guyane | 14 | 23 | 19 | 44 | 100 |
Hexagone | 20 | 45 | 23 | 12 | 100 |
- * La taille de la fratrie comprend tous les enfants (mineurs et majeurs).
- Lecture : En 2021, 23 % des enfants mineurs en Guyane font partie d’une famille de 2 enfants, pour 45 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
graphiqueFigure 3 – Part des enfants par type de famille et selon la taille de la fratrie *

- * La taille de la fratrie comprend tous les enfants (mineurs et majeurs).
- Lecture : En 2021, 23 % des enfants mineurs en Guyane font partie d’une famille de 2 enfants, pour 45 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
En Guyane, plus de la moitié des enfants vivent dans une famille dont la personne de référence n’a aucun diplôme
En 2021, 55 % des enfants en Guyane vivent dans une famille dont la personne de référence est sans diplôme, alors qu’en France hexagonale, cette proportion est de 16 %. À l’inverse, seuls 28 % des enfants en Guyane vivent dans une famille dont le référent a au moins le baccalauréat, contre 61 % en France hexagonale. Ce contraste reflète un niveau d’instruction globalement plus faible dans la région et peut avoir des répercussions sur les trajectoires éducatives et professionnelles futures des jeunes en Guyane [Breton et al., 2023 ; pour en savoir plus (2)]. La proportion plus élevée de personnes nées à l’étranger, et n’ayant pas le français comme langue maternelle en Guyane, par rapport à la France hexagonale, [Chanteur, Zavala, 2024 ; pour en savoir plus (3)] explique en partie ces écarts, en freinant la réussite scolaire et l’accès à l’emploi.
La part des enfants dont le référent familial est en emploi est deux fois plus faible en Guyane
En Guyane, 45 % des enfants vivent dans une famille dont la personne de référence est en emploi, soit près de deux fois moins qu’en France hexagonale (86 %) (figure 4). En particulier, 31 % des enfants vivant en famille monoparentale ont leur parent en emploi, contre 70 % en France hexagonale. Ce faible taux d’emploi contribue à la vulnérabilité sociale de ces familles. En effet, une famille monoparentale sur deux en Guyane est touchée par des privations matérielles et sociales [Reif, 2020 ; pour en savoir plus (4)]. Ces difficultés s’ajoutent à une situation économique souvent précaire alors que plus de la moitié de la population guyanaise vit sous le seuil de pauvreté [Creignou, Jeanne-Rose, 2022 ; pour en savoir plus (5)]. En 2021, un enfant sur trois vit dans une famille dont la personne de référence est au chômage en Guyane (un sur dix dans l’Hexagone). Enfin, la proportion d’enfants mineurs vivant dans une famille dont la personne de référence est inactive est également plus élevée en Guyane (22 %), soit 18 points de plus qu’en France hexagonale.
tableauFigure 4 – Part des enfants avec une personne de référence en emploi selon le type de famille
Type de famille | Guyane | Hexagone |
---|---|---|
Famille « traditionnelle » | 61 | 91 |
Famille monoparentale | 31 | 70 |
Famille recomposée | 55 | 86 |
Ensemble | 45 | 86 |
- Lecture : En 2021, 45 % des enfants en Guyane vivent dans une famille dont la personne de référence est en emploi. Ils sont 86 % en France hexagonale.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
graphiqueFigure 4 – Part des enfants avec une personne de référence en emploi selon le type de famille

- Lecture : En 2021, 45 % des enfants en Guyane vivent dans une famille dont la personne de référence est en emploi. Ils sont 86 % en France hexagonale.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
En Guyane, les enfants vivent majoritairement dans des logements suroccupés
En Guyane, 63 % des enfants vivent dans des logements suroccupés, une situation cinq fois plus fréquente que dans l’Hexagone (figure 5) Les enfants les plus concernés sont ceux des familles monoparentales : 7 sur 10 en Guyane vit dans un logement jugé trop petit par rapport à la taille du ménage, contre 2 sur 10 dans l’Hexagone. La suroccupation accentuée des logements, c’est-à-dire lorsqu’il manque au moins deux pièces à l’habitation par rapport au nombre de ses résidents, concerne 40 % des enfants en Guyane et 3 % en France hexagonale.
La majorité des enfants en Guyane habitent des maisons. Ainsi, 62 % des enfants de familles monoparentales y vivent contre 42 % en France hexagonale. De même, 72 % des enfants de familles « traditionnelles » et 71 % des enfants des familles recomposées en Guyane résident dans une maison, des chiffres proches de ceux observés dans l’Hexagone (respectivement 70 % et 68 %). Le parc de logements est plus majoritairement composé de maisons en Guyane qu’en France hexagonale [Mével, 2021 ; pour en savoir plus (6)].
En Guyane et dans l’Hexagone, un enfant sur deux en famille recomposée vit dans un logement qui appartient à sa famille. En revanche, la part d’enfants en famille « traditionnelle » propriétaire de son logement est inférieure de 18 points en Guyane, et la part d’enfants vivant dans une famille monoparentale propriétaire de son logement y est supérieure de 8 points. Enfin, la gratuité du logement est plus fréquente en Guyane : 8 % des enfants sont dans une famille qui bénéficie d’un logement gratuit contre 2 % en France hexagonale.
tableauFigure 5 – Part des enfants vivant dans un logement suroccupé par type de famille
Type de famille | Régions | Suroccupation modérée | Suroccupation accentuée |
---|---|---|---|
Famille « traditionnelle » | Guyane | 22 | 26 |
Hexagone | 8 | 2 | |
Famille monoparentale | Guyane | 23 | 48 |
Hexagone | 16 | 6 | |
Famille recomposée | Guyane | 23 | 45 |
Hexagone | 11 | 4 |
- Lecture : En 2021, 48 % des enfants en famille monoparentale vivent dans un logement suroccupé de manière accentuée en Guyane, contre 6 % dans l'Hexagone.
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
graphiqueFigure 5 – Part des enfants vivant dans un logement suroccupé par type de famille

- Lecture : En 2021, 48 % des enfants en famille monoparentale vivent dans un logement suroccupé de manière accentuée en Guyane, contre 6 % dans l'Hexagone..
- Champ : Enfants mineurs vivant en famille.
- Source : Insee, Recensement de la population 2021.
Champ
Le champ se limite aux enfants mineurs vivant en famille. Sont exclus les mineurs qui ne vivent pas en logement ordinaire, ne vivent pas avec leurs parents ou sont eux-mêmes à la tête d’une famille.
Sources
Cette étude s’appuie sur le recensement de la population de 2021.
Définitions
Les familles sont définies à partir des liens unissant les personnes qui partagent habituellement le même logement. Il peut y avoir plusieurs familles dans un même logement. On distingue les familles :
- « traditionnelles », composées d’un couple, mariés ou non, et dont tous les enfants du logement sont ceux du couple ;
- recomposées, composées d’un couple d’adultes, mariés ou non, et d’au moins un enfant né d’une union précédente de l’un des conjoints ;
- monoparentales, composée d’un parent qui vit avec son ou ses enfant(s) sans résider en couple.
Les enfants qui ne vivent pas avec leurs deux parents sont rattachés au logement dans lequel ils passent la majorité du temps. En cas d’égalité (résidence alternée), l’enfant est compté dans le logement dans lequel il a passé la nuit précédant le premier jour de la collecte du recensement. Cela permet de ne pas le compter deux fois.
La fratrie est l’ensemble des enfants mineurs et majeurs d’une famille.
La personne de référence de la famille est, si il est unique, l’adulte de la famille qui est actif (en emploi ou au chômage), sinon, l’adulte de la famille le plus âgé. L’adulte de la famille est le parent ou son conjoint.
Un logement est suroccupé s’il comporte moins de pièces que le nombre théoriquement nécessaire au ménage occupant le logement (norme).
La suroccupation peut être modérée (une pièce de moins que la norme) ou accentuée (deux pièces ou plus).
Le nombre de pièces théoriquement nécessaire (norme) est calculé ainsi :
- une pièce de séjour pour le ménage ;
- une pièce pour chaque couple ;
- une pièce pour chaque personne de 19 ans ou plus ne vivant pas en couple dans le ménage ;
- pour les personnes de moins de 19 ans, une pièce pour deux personnes si elles ont le même sexe ou ont moins de 7 ans, sinon, une pièce par personne.
La cuisine n'est comptée dans le nombre de pièces du logement que si elle mesure plus de 12 m².
Remarque :
- On parle de logements suroccupés uniquement pour les logements qui sont des résidences principales ;
- On parle de surpeuplement si on utilise un critère additionnel de surface par personne (donnée disponible uniquement dans certaines sources) ;
- Eurostat utilise des critères d’âge différents dans le calcul de la norme.
Pour en savoir plus
(1) Retrouvez davantage de données associées à cette publication en téléchargement.
(2) Breton D., Marie C.-V., Floury É., Crouzet M., Lottin A., Taupe G., Bilionière M., Salibekyan-Rosain Z., « Ouvrir dans un nouvel ongletMigrations, Famille et Vieillissement en Guyane – Premiers résultats de l’enquête MFV-2 », Ined, 2023.
(3) Chanteur B., Zavala F., « En Guyane quatre adultes sur dix sont en difficulté face à l’écrit », Insee Analyses Guyane no 73, novembre 2024.
(4) Reif X., « En Guyane, une personne sur deux est en privation matérielle et sociale », Insee Analyses Guyane no 49, décembre 2020.
(5) Creignou A., Jeanne-Rose M., « 29 % des Guyanais en situation de grande pauvreté en 2018 », Insee Analyses Guyane no 59, juillet 2022.
(6) Mével É., « Une forte expansion du nombre de logements depuis 50 ans », Insee Flash Guyane no 143, juin 2021.
(7) Algava É., Bloch K., Vallès V.,« En 2018, 4 millions d’enfants mineurs vivent avec un seul de leurs parents au domicile », Insee Première no 1788, janvier 2025.
(8) P. Pora, « En 2023, trois enfants sur dix vivent avec un seul de leurs parents », Insee Première no 2032, janvier 2025.