Insee Focus ·
Décembre 2025 · n° 374
Les populations de référence des communes au 1er janvier 2023 La population française continue de croître, le solde naturel y contribue de moins
en moins
Au 1er janvier 2023, la population de la France hors Mayotte s’établit officiellement à 68 094 000 habitants. Elle augmente en moyenne de +0,39 % par an entre 2017 et 2023, comme entre 2012 et 2017. D’une période à l’autre, la contribution du solde naturel passe annuellement de +0,34 % à +0,15 %. Il ne contribue plus que faiblement à la croissance de la population française.
Parmi les communes de plus de 100 000 habitants, la population de Villeurbanne est celle qui croît le plus rapidement. À l’opposé, Paris connaît la deuxième plus forte baisse de population derrière Mulhouse. La hausse de la population est 2,3 fois plus élevée dans l’urbain que dans le rural.
- 68 094 000 habitants au 1er janvier 2023
- Les décès plus nombreux que les naissances pour une large partie du territoire
- La population est stable dans cinq régions entre 2017 et 2023
- Paris connaît la deuxième plus forte baisse relative de population parmi les communes de plus de 100 000 habitants
- Seul l’urbain densément peuplé connaît un solde naturel nettement positif
- Encadré 1 – Le choix des périodes d’évolution de la population
- Encadré 2 – Définition du rural
68 094 000 habitants au 1er janvier 2023
Avec environ 68 094 000 habitants au 1er janvier 2023, la population française hors Mayotte continue d’augmenter au même rythme entre 2017 et 2023 qu’entre 2012 et 2017 : en moyenne +0,39 % par an (figure 1 ; encadré 1 ; méthodes). Cette hausse représente un gain moyen de l’ordre de 262 000 habitants par an entre 2017 et 2023.
tableauFigure 1 – Population des régions et taux d'évolution annuel moyen de la population
| Région | Population au 1er janvier 2023 | 2017-2023 | 2012-2017 | ||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Ensemble | Dû au solde naturel | Dû au solde migratoire apparent | Ensemble | Dû au solde naturel | Dû au solde migratoire apparent | ||
| Île-de-France | 12 463 067 | 0,39 | 0,73 | -0,34 | 0,46 | 0,90 | -0,44 |
| Auvergne-Rhône-Alpes | 8 205 557 | 0,53 | 0,19 | 0,34 | 0,65 | 0,38 | 0,27 |
| Nouvelle-Aquitaine | 6 150 451 | 0,53 | -0,23 | 0,76 | 0,51 | -0,06 | 0,57 |
| Occitanie | 6 124 653 | 0,78 | -0,07 | 0,85 | 0,76 | 0,11 | 0,65 |
| Hauts-de-France | 5 992 194 | -0,03 | 0,14 | -0,17 | 0,10 | 0,38 | -0,28 |
| Grand Est | 5 563 378 | 0,04 | -0,03 | 0,08 | 0,00 | 0,19 | -0,19 |
| Provence-Alpes-Côte d'Azur | 5 218 960 | 0,61 | 0,04 | 0,58 | 0,38 | 0,22 | 0,16 |
| Pays de la Loire | 3 907 156 | 0,65 | 0,08 | 0,57 | 0,68 | 0,29 | 0,39 |
| Bretagne | 3 449 370 | 0,64 | -0,14 | 0,78 | 0,50 | 0,05 | 0,45 |
| Normandie | 3 345 842 | 0,08 | -0,06 | 0,14 | 0,05 | 0,16 | -0,12 |
| Bourgogne-Franche-Comté | 2 802 670 | -0,05 | -0,19 | 0,14 | -0,04 | 0,04 | -0,08 |
| Centre-Val de Loire | 2 587 031 | 0,07 | -0,08 | 0,15 | 0,10 | 0,12 | -0,02 |
| Corse | 355 486 | 1,00 | -0,17 | 1,17 | 1,15 | -0,03 | 1,19 |
| France métropolitaine | 66 165 815 | 0,39 | 0,13 | 0,26 | 0,40 | 0,32 | 0,07 |
| La Réunion | 889 679 | 0,69 | 0,92 | -0,23 | 0,47 | 1,14 | -0,68 |
| Guadeloupe | 384 160 | -0,26 | 0,17 | -0,43 | -0,66 | 0,47 | -1,13 |
| Martinique | 360 630 | -0,54 | -0,04 | -0,51 | -0,83 | 0,28 | -1,10 |
| Guyane | 293 996 | 1,51 | 2,48 | -0,97 | 2,31 | 2,36 | -0,05 |
| Outre-Mer hors Mayotte | 1 928 465 | 0,38 | 0,81 | -0,43 | 0,21 | 0,99 | -0,78 |
| France hors Mayotte | 68 094 280 | 0,39 | 0,15 | 0,24 | 0,39 | 0,34 | 0,05 |
- Lecture : La population française augmente en moyenne de 0,39 % par an entre 2017 et 2023.
- Champ : France hors Mayotte, géographie administrative au 1er janvier 2025.
- Source : Insee, recensements de la population, statistiques de l'état civil.
Entre 2017 et 2023, les littoraux atlantique et méditerranéen continuent de gagner des habitants (figure 2a). Les métropoles régionales de Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Nantes ou Rennes connaissent une hausse annuelle de la population de leur aire d’attraction supérieure à 1 %. Inversement, une large diagonale allant du nord‑est au sud‑ouest concentre les baisses de population en raison d’un solde naturel très négatif, compensé par le solde migratoire apparent uniquement dans le sud du pays.
tableauFigure 2a – Taux d'évolution annuel moyen de la population entre 2017 et 2023
| Les données mobilisées pour réaliser cette carte lissée ne peuvent être diffusées pour des raisons techniques. Les taux d’évolution au niveau départemental sont disponibles dans l’onglet « Tableau complémentaire » du fichier de données en téléchargement. |
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graphiqueFigure 2a – Taux d'évolution annuel moyen de la population entre 2017 et 2023

- Note : Voir méthodes.
- Lecture : Entre 2017 et 2023, aux alentours de Montpellier, la population augmente de plus de 0,75 % par an en moyenne.
- Champ : France hors Mayotte, géographie administrative au 1er janvier 2025.
- Source : Insee, recensements de la population, statistiques de l'état civil.
Les décès plus nombreux que les naissances pour une large partie du territoire
La baisse du solde naturel se poursuit sur l'ensemble du territoire. La contribution du solde naturel à la croissance de la population française passe de +0,34 % par an entre 2012 et 2017 à +0,15 % par an entre 2017 et 2023. D’une période à l’autre, l’excédent des naissances sur les décès a été divisé par un peu plus de deux, passant en moyenne de 225 000 à 100 000 par an.
La Guyane, La Réunion, la région parisienne, en particulier le nord et l’est de la capitale, et la métropole lyonnaise connaissent toujours un solde naturel élevé. Inversement, les décès excèdent désormais nettement les naissances pour une large diagonale allant du nord‑est au sud‑ouest du pays (figure 2b). Le solde naturel a nettement diminué dans les régions de l’ouest et du nord de la France où la natalité était encore élevée il y a une dizaine d’années. Il est maintenant quasi à l'équilibre. Enfin la géographie du solde migratoire apparent dessine un nord du pays globalement déficitaire tandis que le sud et l’ouest bénéficient d’un excédent des arrivées sur les départs (figure 2c).
La population est stable dans cinq régions entre 2017 et 2023
Entre 2017 et 2023, la population croît de plus de 0,35 % en moyenne par an dans 10 des 17 régions françaises (figure 1). Pour trois d’entre elles, l’Île-de-France, La Réunion et la Guyane, cette croissance a lieu en raison d’un fort excédent naturel, malgré un solde migratoire apparent négatif. Inversement, la population des sept autres régions en croissance, Auvergne‑Rhône‑Alpes, Nouvelle‑Aquitaine, Occitanie, Provence‑Alpes‑Côte d’Azur, Pays de la Loire, Bretagne et Corse, augmente malgré un solde naturel très faible, voire négatif.
La population est stable dans cinq régions : Hauts‑de‑France, Grand Est, Normandie, Bourgogne‑Franche‑Comté et Centre‑Val de Loire. Leur solde naturel et leur solde migratoire apparent sont proches de l’équilibre.
Enfin, la baisse de la population en Martinique et en Guadeloupe est due au solde migratoire apparent négatif, les départs des deux îles excédant les arrivées.
Paris connaît la deuxième plus forte baisse relative de population parmi les communes de plus de 100 000 habitants
Parmi les 34 858 communes françaises hors Mayotte, 42 dépassent le seuil des 100 000 habitants. Elles regroupent environ 10 327 000 habitants, dont plus de la moitié réside dans une des dix communes les plus peuplées (figure 3a).
tableauFigure 3a – Taux d'évolution annuel moyen des dix communes les plus peuplées
| Code département | Commune | Population au 1er janvier 2023 | 2017-2023 | 2012-2017 | ||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Ensemble | Dû au solde naturel | Dû au solde migratoire apparent | Ensemble | Dû au solde naturel | Dû au solde migratoire apparent | |||
| 75 | Paris | 2 103 778 | -0,65 | 0,54 | -1,19 | -0,48 | 0,67 | -1,15 |
| 13 | Marseille | 886 040 | 0,43 | 0,51 | -0,07 | 0,25 | 0,63 | -0,37 |
| 69 | Lyon | 519 127 | 0,10 | 0,69 | -0,59 | 0,78 | 0,83 | -0,05 |
| 31 | Toulouse | 514 819 | 1,19 | 0,72 | 0,47 | 1,13 | 0,84 | 0,29 |
| 06 | Nice | 357 737 | 0,85 | 0,15 | 0,70 | -0,21 | 0,29 | -0,50 |
| 44 | Nantes | 327 734 | 0,97 | 0,65 | 0,31 | 1,19 | 0,67 | 0,52 |
| 34 | Montpellier | 310 240 | 1,42 | 0,57 | 0,84 | 1,21 | 0,81 | 0,40 |
| 67 | Strasbourg | 293 771 | 0,75 | 0,53 | 0,22 | 0,47 | 0,71 | -0,23 |
| 33 | Bordeaux | 267 991 | 0,87 | 0,49 | 0,38 | 1,07 | 0,50 | 0,57 |
| 59 | Lille | 238 246 | 0,39 | 0,62 | -0,23 | 0,36 | 0,90 | -0,54 |
- Lecture : La population de Marseille augmente en moyenne de 0,43 % par an entre 2017 et 2023.
- Champ : France hors Mayotte, géographie administrative au 1er janvier 2025.
- Source : Insee, recensements de la population, statistiques de l'état civil.
Cinq communes de plus de 100 000 habitants connaissent une croissance annuelle supérieure à 1 % : en premier lieu Villeurbanne, puis Montpellier, Toulouse, Rouen et Rennes. Elles tirent leur croissance à la fois du solde naturel et du solde migratoire apparent (figure 3b).
À l’opposé, les populations de Mulhouse et Paris ont les plus fortes diminutions relatives malgré un solde naturel favorable. Paris connaît ainsi la deuxième plus forte baisse de population, en pourcentage, parmi les communes de plus de 100 000 habitants. L’excédent des naissances sur les décès ne compense pas le déficit des départs sur les arrivées (figure 3c).
Seul l’urbain densément peuplé connaît un solde naturel nettement positif
Au sein de l’urbain, la population croît à un rythme plus élevé qu’au niveau national, quelle que soit sa densité, mais les causes en sont différentes. Dans les grands centres urbains, le fort excédent naturel compense nettement le faible déficit du solde migratoire apparent (figure 4). À l’inverse, la croissance de la population dans l’urbain de densité intermédiaire est portée uniquement par le solde migratoire apparent.
tableauFigure 4 – Population et taux d'évolution annuel moyen de population selon le caractère urbain ou rural des communes
| Type d’espace | Population au 1er janvier 2023 | 2017-2023 | 2012-2017 | ||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Ensemble | Dû au solde naturel | Dû au solde migratoire apparent | Ensemble | Dû au solde naturel | Dû au solde migratoire apparent | ||
| Urbain | 46 203 298 | 0,48 | 0,29 | 0,18 | 0,42 | 0,49 | -0,06 |
| Grand centre urbain | 25 323 054 | 0,45 | 0,52 | -0,07 | 0,42 | 0,70 | -0,28 |
| Urbain intermédiaire | 20 880 244 | 0,51 | 0,02 | 0,49 | 0,42 | 0,22 | 0,19 |
| Rural | 21 890 982 | 0,21 | -0,15 | 0,37 | 0,33 | 0,04 | 0,28 |
| Rural périurbain | 12 762 513 | 0,39 | 0,06 | 0,33 | 0,60 | 0,25 | 0,34 |
| Rural non périurbain | 9 128 469 | -0,04 | -0,46 | 0,41 | -0,04 | -0,24 | 0,20 |
| France | 68 094 280 | 0,39 | 0,15 | 0,24 | 0,39 | 0,34 | 0,05 |
- Lecture : La population des communes rurales augmente en moyenne de 0,21 % par an entre 2017 et 2023.
- Champ : France hors Mayotte, géographie administrative au 1er janvier 2025.
- Source : Insee, recensements de la population, statistiques de l'état civil.
Dans l’espace rural, la situation est différente entre le périurbain et le reste (encadré 2). Dans les communes périurbaines, le solde naturel est pratiquement à l’équilibre et la population augmente en raison d’un excédent des arrivées sur les départs. Dans les communes rurales non périurbaines, la population reste quasi stable entre 2017 et 2023 comme entre 2012 et 2017. Le solde naturel, déjà négatif sur la première période, se creuse encore. Mais il reste compensé par le solde migratoire apparent qui augmente dans les mêmes proportions.
Dans l’ensemble, entre les périodes 2012‑2017 et 2017‑2023, le différentiel de croissance entre l’urbain et le rural s’accroît : au cours des six dernières années, la hausse de la population est 2,3 fois plus élevée dans l’urbain que dans le rural contre 1,3 fois entre 2012 et 2017.
Encadré 1 – Le choix des périodes d’évolution de la population
La méthode du recensement annuel est fondée sur des cycles de collecte de cinq ans. Pour plus de pertinence, les données sont donc analysées avec un pas de cinq ans. Toutefois, l’évolution de la situation sanitaire a conduit à reporter à 2022 l’enquête annuelle de recensement prévue en 2021. Pour toutes les communes de moins de 10 000 habitants, il y a maintenant un intervalle de six ans au lieu de cinq habituellement entre deux collectes de recensement. Les évolutions mesurées sur la dernière période sont donc analysées avec un pas de six ans : 2017‑2023.
Encadré 2 – Définition du rural
La grille communale de densité permet de classer les communes en fonction du nombre d’habitants et de la répartition de ces habitants sur leur territoire. Plus la population est concentrée et nombreuse, plus la commune est considérée comme dense.
Une commune rurale est une commune peu dense au sens de la grille communale de densité à trois niveaux telle qu’elle a été définie début 2025. Les communes denses ou de densité intermédiaire sont dites urbaines. Outre cette caractéristique reposant sur la grille de densité, le fait que la commune soit ou non sous l’influence d’un pôle d’emploi est pris en compte. Les communes rurales hors attraction des villes ou appartenant à une aire de moins de 50 000 habitants en 2017 appartiennent au rural non périurbain.
La grille de densité a été revue début 2025 et remplace la précédente de 2022 utilisée jusqu’à présent. Les évolutions s’expliquent principalement par le changement de source et de millésime des données avec l’utilisation des données carroyées du recensement de la population 2021 au lieu de la source Fideli 2018. Le périmètre rural/urbain n’est donc pas directement comparable à celui utilisé pour les populations de référence au 1er janvier 2022.
Sources
Les données présentées ici sont issues du recensement de la population. Les données de population au 1er janvier 2023 dans les limites territoriales des communes existant au 1er janvier 2025 sont officielles dès leur authentification par décret. Ces populations officielles de référence entrent en vigueur au 1er janvier 2026. Les populations au 1er janvier 2012 et au 1er janvier 2017 ont été recalculées dans la géographie administrative au 1er janvier 2025 pour calculer des évolutions à périmètre constant. Elles n’ont pas un statut de population de référence.
Les statistiques sur les naissances et les décès sont issues de l’exploitation statistique des informations d’état civil transmises par les mairies à l’Insee.
Méthodes
Pour la représentation cartographique des taux d’évolution de la population entre 2017 et 2023, un lissage est réalisé sur un maillage régulier de 1 km² avec un rayon de lissage de 15 km. Pour les DOM, en l’absence de carroyage de référence, les données sont représentées sur un découpage communal.
En 2025, l’Insee devait lancer une ultime enquête annuelle de recensement pour terminer le premier cycle quinquennal et permettre d'intégrer les communes de Mayotte dans la diffusion communale des populations de référence. Or, le passage du cyclone Chido, le 14 décembre 2024, a bouleversé l’île et rendu impossible la collecte des informations pour le dernier cinquième du territoire compte tenu des effets de la catastrophe sur l’habitat et des mouvements de population. Les populations de référence au 1er janvier 2023 concernent donc, comme les années précédentes, toutes les communes françaises à l’exception de celles de Mayotte. Les populations de référence de l’ensemble des communes de Mayotte au 1er janvier 2026 seront connues en décembre 2026 grâce au recensement exhaustif exceptionnel en cours.
Définitions
La population municipale comprend les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune, dans un logement ou une communauté, les personnes détenues dans les établissements pénitentiaires de la commune, les personnes sans-abri recensées sur le territoire de la commune et les personnes résidant habituellement dans une habitation mobile recensée sur le territoire de la commune.
Le solde naturel est la différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès enregistrés au cours d’une période. On parle d’accroissement naturel ou d’excédent naturel lorsque le nombre de naissances est supérieur à celui des décès.
Le solde migratoire apparent est la différence entre le nombre de personnes qui sont entrées sur le territoire et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de la période considérée. Dans cette publication, il s’agit d’un solde apparent estimé par différence entre la variation totale de la population et le solde naturel. On parle d’excédent lorsque ce solde est positif, de déficit dans le cas contraire. Les évolutions de ce solde migratoire traduisent les fluctuations des entrées et des sorties du territoire, mais peuvent aussi refléter des évolutions méthodologiques du recensement de la population (protocole, questionnaire, etc.). À l’échelle nationale, il ne comprend que les mouvements de personnes avec l’étranger ; au niveau infranational (région, département, commune, zonage géographique d’étude), il inclut également les mouvements de personnes avec le reste du territoire français. Le solde migratoire apparent national est égal à la somme des soldes migratoires apparents infranationaux. Ce concept est indépendant de la nationalité.
Pour en savoir plus
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Publications régionales parues simultanément.
« Populations de référence 2023 – Recensement de la population – Régions, départements, arrondissements, cantons et communes », Chiffres détaillés, Insee, décembre 2025.
Chataignon P., « Les populations de référence des communes au 1er janvier 2022 – La baisse du solde naturel entraîne une moindre croissance de la population française », Insee Focus no 346, décembre 2024.



