Insee Flash Ile-de-France ·
Juillet 2025 · n° 102
En Île-de-France, les couples les plus modestes se séparent davantage que les plus
aisés
Chaque année, environ 3 % des personnes mariées, pacsées ou en union libre se séparent en Île-de-France. Quel que soit le type d’union préalable, les séparations concernent un peu plus souvent les individus dont le niveau de vie avant la rupture était bas. Toutefois, les conséquences financières induites sont plus marquées pour les individus avec de hauts niveaux de revenus. Les plus aisés voient en moyenne leur niveau de vie baisser de 21 % contre 11 % pour l’ensemble des personnes séparées.
Quel que soit le niveau de vie initial, suite à une séparation, les femmes sont davantage perdantes financièrement que les hommes. Leurs salaires sont souvent moindres et elles conservent plus souvent la garde des enfants.
Lorsque l’union était contractuelle, la baisse de niveau de vie après une séparation est plus importante qu’après une rupture d’union libre, mais l’écart est moindre en moyenne pour les plus aisés. De même, les conjoints ayant des enfants et qui en conservent la garde après la séparation voient leur niveau de vie baisser davantage que ceux qui n’en ont pas ou qui n’en conservent pas la garde.
- Chaque année, environ 3 % des couples les plus modestes se séparent
- La baisse du niveau de vie est d’autant plus importante qu’il est haut initialement
- Quel que soit le niveau de vie initial, les femmes sont plus touchées que les hommes
- La baisse de niveau de vie est moins marquée pour les personnes séparées qui vivaient en union libre
- Une baisse de niveau de vie plus importante pour les parents conservant la garde de leur(s) enfant(s) après séparation
Chaque année, environ 3 % des couples les plus modestes se séparent
Chaque année, entre 2014 et 2020, 2,7 % des couples franciliens liés par un mariage ou un pacte civil de solidarité (Pacs) ou vivant en union libre se sont séparés (hors veuvage), soit 76 300 couples environ. Des disparités s’observent selon les quintiles de niveau de vie des individus. En effet, les séparations sont plus fréquentes parmi ceux du premier quintile (les 20 % les plus modestes) et du deuxième quintile : respectivement 3,1 % et 3,3 % d’entre eux rompent leur union contre 1,9 % pour les individus du cinquième quintile (les 20 % les plus aisés). Ainsi, près de la moitié des séparations concernent les individus modestes et les plus modestes, contre un septième pour les plus aisés (figure 1).
Cette fréquence plus importante des séparations parmi les moins aisés s’observe quel que soit le type d’union rompue. Parmi les personnes vivant en union libre (union la plus fréquemment dissoute), les séparations touchent 14 % des plus modestes, mais seulement 8 % des plus aisées. Les personnes aux plus hauts niveaux de vie sont en moyenne plus âgées et plus avancées dans leur parcours de vie. Or, quel que soit le niveau de vie initial, la part des séparations diminue avec l’avancée en âge : 8 % des plus jeunes (18 à 29 ans) se séparent, contre 4 % des trentenaires, 3 % des quadragénaires et des quinquagénaires et 2 % des personnes âgées de 60 ans ou plus. De même, au-delà de 40 ans, le taux de séparation des plus aisés est plus faible que celui des plus modestes, alors qu’en deçà, il est équivalent.
tableauFigure 1 – Répartition des individus selon leur niveau de vie l’année précédant la séparation
Catégorie de niveau de vie l’année N | Niveau de vie annuel (en euros) | Répartition des individus en couple | Répartition des individus se séparant l’année N+1 |
---|---|---|---|
Plus modestes | Inférieur à 17 100 | 20,0 | 22,8 |
Modestes | De 17 100 à moins de 24 000 | 20,0 | 24,4 |
Intermédiaires | De 24 000 à moins de 31 000 | 20,0 | 20,9 |
Aisés | De 31 000 à moins de 41 900 | 20,0 | 17,9 |
Plus aisés | Supérieur ou égal à 41 900 | 20,0 | 14,0 |
Ensemble | 100,0 | 100,0 |
- Lecture : Parmi les individus se séparant, 22,8 % ont un niveau de vie inférieur à 17 100 euros par an l’année de leur séparation.
- Champ : Individus de 18 ans ou plus, résidant en Île-de-France et ayant des revenus disponibles positifs ou nuls.
- Source : Insee, échantillon démographique permanent (EDP), Fichier localisé social et fiscal (Filosofi), 2014 à 2020.
La baisse du niveau de vie est d’autant plus importante qu’il est haut initialement
Une séparation a de nombreuses conséquences pour les individus concernés, notamment sur le plan financier. Ainsi, en moyenne en Île-de-France, le niveau de vie médian d’une personne diminue de 10,5 % l’année qui suit une séparation, passant de 24 900 euros annuels par unité de consommation (UC) à 22 200 euros (figure 2).
Cette évolution diffère toutefois selon le niveau de vie initial. En effet, les personnes les plus modestes (niveau de vie inférieur à 17 100 euros) voient leur niveau de vie médian augmenter légèrement après une séparation, passant de 13 000 euros annuels par unité de consommation avant la séparation à 13 800 euros l’année suivante. Cette évolution s’explique principalement par une hausse du salaire liée à un retour à l’emploi ou à une augmentation du temps de travail, mais aussi parfois par le versement d’une pension alimentaire en cas de garde d’enfants. Elle est en revanche peu liée à la différence de niveau d’imposition avant et après séparation, les impôts ne représentant qu’environ 1 % du niveau de vie des personnes les plus modestes. Pour les autres individus séparés (niveau de vie supérieur à 17 100 euros), c’est une baisse de leur niveau de vie médian qui s’observe, allant de 1 500 euros à 10 800 euros par an. Plus le niveau de vie initial est élevé, plus la baisse du niveau de vie est importante. Elle atteint même 21 % pour les individus les plus aisés. Ainsi, plus de la moitié des personnes appartenant aux catégories intermédiaires à très aisées appartiennent après la séparation à une catégorie de revenus inférieure à celle initiale. Parmi les ex-conjoints aisés et très aisés, plus d’un quart connaissent un déclassement d’au moins deux catégories, les faisant basculer vers des niveaux de vie nettement inférieurs à leur situation initiale.
tableauFigure 2 – Évolution du niveau de vie annuel médian avant et après la séparation selon la catégorie de niveau de vie
Catégorie de niveau de vie l’année N | Niveau de vie médian l’année N | Niveau de vie médian l’année N+1 |
---|---|---|
Plus modestes | 13 000 | 13 800 |
Modestes | 20 600 | 19 100 |
Intermédiaires | 27 300 | 23 900 |
Aisés | 35 500 | 29 600 |
Plus aisés | 52 300 | 41 500 |
Ensemble | 24 900 | 22 200 |
- Lecture : Le niveau de vie médian des individus modestes est passé de 20 600 euros par unité de consommation l’année N à 19 100 euros l’année N+1, soit une baisse de 7,4 %.
- Champ : Individus de 18 ans ou plus ayant connu une séparation entre 2014 et 2020, résidant en Île-de-France l’année de la séparation et ayant des revenus disponibles positifs ou nuls.
- Source : Insee, échantillon démographique permanent (EDP), Fichier localisé social et fiscal (Filosofi), 2014 à 2020.
graphiqueFigure 2 – Évolution du niveau de vie annuel médian avant et après la séparation selon la catégorie de niveau de vie

- Lecture : Le niveau de vie médian des individus modestes est passé de 20 600 euros par unité de consommation l’année N à 19 100 euros l’année N+1, soit une baisse de 7,4 %.
- Champ : Individus de 18 ans ou plus ayant connu une séparation entre 2014 et 2020, résidant en Île-de-France l’année de la séparation et ayant des revenus disponibles positifs ou nuls.
- Source : Insee, échantillon démographique permanent (EDP), Fichier localisé social et fiscal (Filosofi), 2014 à 2020.
Quel que soit le niveau de vie initial, les femmes sont plus touchées que les hommes
L’année de la séparation, les femmes sont dans une situation financière plus défavorable que les hommes, et ce, quelle que soit la catégorie de niveau de vie à laquelle elles appartiennent initialement. Pour les plus modestes d’entre elles, leur niveau de vie médian augmente de 400 euros par an seulement, contre 1 400 euros pour les hommes. Pour toutes les autres, leur niveau de vie baisse fortement et davantage que les hommes (respectivement de 11 % à 29 % selon la catégorie contre 2 % à 12 %). Ainsi, parmi les ex-conjoints les plus aisés, le niveau de vie des femmes diminue en moyenne de 15 100 euros par an contre 6 400 euros pour leurs homologues masculins.
Ces écarts peuvent s’expliquer. D’une part, les femmes ont souvent des salaires moins élevés que leurs conjoints et ont plus souvent la garde des enfants lors d’une séparation. Or, le niveau de vie d’un ménage dépend de la taille du ménage et est donc moindre pour une personne seule avec ses enfants. Les pensions alimentaires et les prestations sociales ne compensent pas totalement cet effet. D’autre part, la contribution de la femme dans les revenus du ménage varie selon le niveau de vie initial. L’impact de la séparation sur le niveau de vie de la femme sera d’autant plus important que l’écart de contribution avec l’homme l’est. Or, les écarts de salaire ont tendance à s’accentuer avec le niveau de vie en faveur des hommes. Ainsi plus le niveau de vie est élevé, moins la femme contribue aux revenus du ménage.
La baisse de niveau de vie est moins marquée pour les personnes séparées qui vivaient en union libre
La rupture d’une union contractualisée (mariage ou Pacs) entraîne une baisse de niveau de vie plus importante pour les ex-conjoints qu’une rupture d’union libre, excepté pour les plus modestes (figure 3). En effet, ces derniers voient leur niveau de vie augmenter de 900 euros après un divorce, de 800 euros après une rupture de Pacs et de 700 euros après celle d’une union libre.
Pour les personnes de la catégorie intermédiaire, le niveau de vie baisse de 17 % suite à un divorce ou une rupture de Pacs, soit une perte de 4 600 euros annuels. Pour les personnes qui mettent fin à une union libre, cette baisse est de 11 %, soit une perte de 2 900 euros annuels. Toutefois, plus le niveau de vie initial est élevé, plus les écarts entre types d’union rompue sont faibles : pour les plus aisées, divorcer ou rompre un Pacs induit une baisse de 22 % du niveau de vie contre 20 % pour une rupture d’union libre.
tableauFigure 3 – Évolution du niveau de vie annuel médian avant et après la séparation selon le type de séparation et la catégorie de niveau de vie
Catégorie de niveau de vie l’année N | Divorce | Rupture de Pacs | Rupture d’union libre |
---|---|---|---|
Plus modestes | 7,3 | 5,9 | 5,2 |
Modestes | -11,4 | -11,6 | -5,7 |
Intermédiaires | -16,8 | -16,5 | -11,0 |
Aisés | -19,4 | -18,7 | -15,5 |
Plus aisés | -22,0 | -22,0 | -20,0 |
Ensemble | -13,7 | -18,4 | -8,6 |
- Lecture : L’année de leur divorce, le niveau de vie médian des plus aisés baisse de 22,0 %.
- Champ : Individus de 18 ans ou plus ayant connu une séparation entre 2014 et 2020, résidant en Île-de-France l’année de la séparation et ayant des revenus disponibles positifs ou nuls.
- Source : Insee, échantillon démographique permanent (EDP), Fichier localisé social et fiscal (Filosofi), 2014 à 2020.
graphiqueFigure 3 – Évolution du niveau de vie annuel médian avant et après la séparation selon le type de séparation et la catégorie de niveau de vie

- Lecture : L’année de leur divorce, le niveau de vie médian des plus aisés baisse de 22,0 %.
- Champ : Individus de 18 ans ou plus ayant connu une séparation entre 2014 et 2020, résidant en Île-de-France l’année de la séparation et ayant des revenus disponibles positifs ou nuls.
- Source : Insee, échantillon démographique permanent (EDP), Fichier localisé social et fiscal (Filosofi), 2014 à 2020.
Une baisse de niveau de vie plus importante pour les parents conservant la garde de leur(s) enfant(s) après séparation
Après la séparation, le niveau de vie des parents qui ont la garde des enfants est moindre que celui de leurs ex-conjoints. Ainsi, les parents conservant la garde de leur(s) enfant(s) subissent une perte de niveau de vie plus importante (-11 %) que ceux n’en conservant pas la garde (-6 %), malgré les dispositifs redistributifs (demi-part fiscale supplémentaire pour les parents isolés, prestations sociales et familiales) et les éventuelles pensions alimentaires. Cet écart est le plus fort pour les parents modestes et très modestes, parmi lesquels se trouvent davantage les personnes avec enfant(s). En effet, avant la séparation, la part des individus vivant avec des enfants est deux fois plus élevée chez les plus modestes que chez les plus aisés (près de la moitié contre près d’un quart). Après la séparation, cette différence persiste, avec une proportion d’un sur cinq chez les plus modestes, contre un sur dix chez les plus aisés.
L’année de la séparation, les personnes modestes perdent 800 euros par an lorsqu’elles n’ont pas d’enfant, 1 300 euros lorsqu’elles ont des enfants sans en avoir la garde et 2 300 euros lorsqu’elles en ont la garde. Pour les plus aisées, la baisse de niveau de vie varie entre 9 500 euros par an pour ceux qui n’ont pas d’enfant et 11 700 euros pour ceux qui ont des enfants, qu’ils en conservent ou non la garde après la séparation.
Pour comprendre
Cette étude fait suite à celle parue en janvier 2025. Elle mobilise les mêmes sources, à savoir l’échantillon démographique permanent (EDP) de 2020. Il s’agit d’un panel d’individus qui compile, pour environ 4 % de la population, les informations issues de différentes sources, en particulier les données fiscales du Fichier localisé social et fiscal (Filosofi) permettant de calculer le niveau de vie. Il est ainsi possible d’étudier les trajectoires des niveaux de vie et des revenus des ménages dont au moins une personne appartient à l’EDP.
Le champ est ici restreint aux individus de 18 ans ou plus ayant connu une seule et unique séparation sur la période allant de 2014 à 2020 et résidant en Île-de-France l’année de la séparation et ayant des revenus disponibles positifs ou nuls cette année-là, ainsi que la précédente. Pour assurer la robustesse statistique des résultats, toutes les données fiscales disponibles portant sur les revenus de 2014 à 2020 ont été concaténées. De fait, il est possible de suivre six cohortes annuelles d’individus (années 2014 à 2019). Les séparations de l’année N sont identifiées par différence entre les situations conjugales entre les années N-1 et N. Les analyses mobilisent donc les cohortes de 2014 à 2019. Afin d’assurer une comparabilité dans le temps, l’ensemble des revenus ont été convertis en euros courants 2020.
Les séparations sont repérées sur la période 2014-2020 à partir des données fiscales. La situation conjugale utilisée dans cette étude mêle des informations sur le statut matrimonial d’une personne au regard de la loi (célibataire, mariée, pacsée, veuve ou divorcée) et la vie en couple de fait (concubinage ou union libre).
Dans cette étude, la présence d’enfants de moins de 14 ans est repérée à partir des déclarations fiscales. Après la séparation, la garde exclusive ou partagée des enfants est attribuée aux parents dont les enfants apparaissent dans la déclaration fiscale.
Définitions
Le mariage est une union légale entre deux personnes, de sexe différent ou de même sexe, qui crée des droits et des obligations mutuels, notamment en matière de patrimoine, fiscalité et parentalité. Dans cette étude, les divorces sont comptabilisés par la déclaration fiscale de l’individu. Il s’agit de personnes qui se déclarent divorcées dans leur déclaration fiscale alors qu’elles se déclaraient mariées l’année précédente. Le divorce peut donc ne pas avoir été prononcé officiellement.
Le pacte civil de solidarité (Pacs) est un contrat entre deux personnes majeures, de sexe différent ou de même sexe, pour organiser leur vie commune. Dans cette étude, les ruptures de Pacs sont comptabilisées par la déclaration fiscale de l’individu. Elles correspondent aux situations de personnes pacsées l’année N mais ni mariées ni pacsées l’année N+1.
L’union libre n’existe pas dans les déclarations fiscales. Elle a donc été estimée dans cette étude à partir du type de ménage défini par le dispositif Filosofi (couple), de la situation conjugale déclarée (célibataire, divorcé ou veuf) et du statut fiscal (déclarant principal ou conjoint). Elle ne prend pas en compte les couples de même sexe. Dans cette étude, les ruptures d’union libre sont repérées par les situations suivantes : être en union libre une année et ne plus l’être l’année suivante sans être pour autant marié ou pacsé.
Un quintile est, ici, un ensemble de ménages regroupés en fonction de leur niveau de vie, c’est-à-dire de leur revenu disponible brut par unité de consommation. Par exemple, le premier quintile désigne le cinquième le plus modeste des ménages, le deuxième quintile désigne le cinquième suivant, etc. Les niveaux de vie (en euros par an) correspondant à chaque quintile sont les suivants :
- premier quintile : moins de 17 100 euros ;
- deuxième quintile : de 17 100 à moins de 24 000 euros ;
- troisième quintile : de 24 000 à moins de 31 000 euros ;
- quatrième quintile : de 31 000 à moins de 41 900 euros ;
- cinquième quintile : 41 900 euros ou plus.
Les seuils de niveaux de vie des quintiles ont été calculés avant séparation pour l’ensemble des personnes vivant en couple.
Le concept de niveau de vie permet de comparer les ressources des personnes vivant dans des ménages de taille ou de composition différentes. Conventionnellement, tous les individus d’un ménage ont le même niveau de vie, calculé en rapportant le revenu disponible du ménage au nombre d’unités de consommation (UC). Les UC sont calculées selon l’échelle d’équivalence de l’OCDE modifiée, qui attribue 1 UC au premier adulte du ménage, 0,5 UC aux autres personnes de 14 ans ou plus et 0,3 UC aux enfants de moins de 14 ans, qu’ils soient en résidence alternée ou non. Un ménage ayant 20 000 euros de revenu disponible par an a donc un niveau de vie de 20 000 euros s’il se compose d’une seule personne, mais de 13 333 euros si ce ménage est un couple ou encore de 9 523 euros s’il s’agit d’un couple avec deux enfants de moins de 14 ans. Lors d’une séparation, le passage d’un couple avec deux salaires à une famille monoparentale avec un seul salaire entraîne mécaniquement une baisse de niveau de vie, qui peut être en partie compensée par une baisse du taux d’imposition, voire une non-imposition, et une augmentation des prestations sociales.
Pour en savoir plus
(1) Retrouvez davantage de données associées à cette publication en téléchargement.
(2) Acs M., Beaufils S., Brasseur M.-F., Pauquet Ph., « Niveau de vie, logement : en Île-de-France, lors d’une séparation, les femmes sont davantage pénalisées », Insee Analyses Île-de-France no 196, janvier 2025.
(3) Bonnet C., de Montaignac M., Solaz A., « Ouvrir dans un nouvel ongletSéparation des parents : quel impact sur le niveau de vie des enfants ? », La note d’analyse no 132, France Stratégie, janvier 2024.
(4) Camors C., Chaput K., Laurent P., Morvan A., Prevost É., Veal D., « En Île-de-France, dans 14 % des couples, la femme et l’homme perçoivent un revenu équivalent », Insee Analyses Île-de-France no 151, mars 2022.
(5) Costemalle V., « Formations et ruptures d’unions : quelles sont les spécificités des unions libres ? », in France, portrait social, coll. « Insee Références », édition 2017.