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Insee Flash Centre-Val de Loire · Décembre 2024 · n° 94
Insee Flash Centre-Val de LoireUne population stable dans la région, croissante dans les deux métropoles

Cyril Coudray, Thibault Tillard (Insee)

Au 1er janvier 2022, près de 2,6 millions de personnes vivent en Centre‑Val de Loire. La population reste stable entre 2016 et 2022. Seuls le Loiret et l’Indre‑et‑Loire continuent de gagner des habitants. Ces départements bénéficient de la dynamique démographique des métropoles d’Orléans et de Tours. Le nombre d’habitants diminue dans l’Indre et le Cher. Si la population augmente dans les aires d’attraction des villes de plus de 50 000 habitants, celle des couronnes de ces aires croît moins qu’entre 2011 et 2016.

Insee Flash Centre-Val de Loire
No 94
Paru le :Paru le19/12/2024

La population régionale reste stable entre 2016 et 2022

Au 1er janvier 2022, 2 581 600 habitants vivent en Centre‑Val de Loire. La région fait partie des moins peuplées de France métropolitaine, un peu moins que la Bourgogne‑Franche‑Comté. Elle représente 3,9 % de la population de France métropolitaine. La région se distingue par une faible densité de population : 66 habitants par kilomètre carré, contre 101 en France métropolitaine hors Île‑de‑France. Ceci la place au 11e rang des régions métropolitaines, entre la Nouvelle‑Aquitaine et la Bourgogne‑Franche‑Comté.

La population de la région augmente de 620 habitants en moyenne chaque année entre 2016 et 2022, ce qui traduit une relative stabilité. Cette évolution est proche de celles des autres régions frontalières de l’Île‑de‑France : -0,1 % en Bourgogne‑Franche-Comté, nulle en Normandie, dans le Grand Est et dans les Hauts‑de‑France. La population d’Île‑de‑France augmente au même rythme que celle de France métropolitaine sur la même période (0,4 % par an en moyenne). Sur la période intercensitaire précédente, entre 2011 et 2016, la population de la région progressait de 0,2 % chaque année, contre 0,4 % en France métropolitaine.

L’évolution de la population est le résultat de la différence entre les naissances et les décès () et de la différence entre les arrivées et les sorties sur le territoire (). Ces composantes s’équilibrent dans la région : le léger excédent migratoire apparent compense le faible déficit naturel entre 2016 et 2022.

La population augmente uniquement dans le Loiret et l’Indre‑et‑Loire

Le Loiret et l’Indre‑et‑Loire regroupent la moitié de la population régionale. Ce sont les seuls départements dont la population a augmenté entre 2016 et 2022. Leurs populations ont crû au même rythme (+0,3 % par an), légèrement inférieur à celui de la période précédente (figure 1). Le Loiret gagne annuellement 2 120 habitants entre 2016 et 2022. L’Indre‑et‑Loire gagne 1 680 habitants par an sur la même période (figure 2). Dans le Loiret, l’accroissement naturel contribue à la hausse de la population (+0,2 % par an), ainsi que les migrations dans une moindre mesure. Dans l’Indre‑et‑Loire, la hausse provient de la balance migratoire positive (+0,2 % par an), tandis que le solde naturel est nul.

Figure 1Évolution de la population des départements du Centre-Val de Loire entre 2016 et 2022

Évolution de la population des départements du Centre-Val de Loire entre 2016 et 2022 - Lecture : Dans le Loir-et-Cher, le nombre d’habitants augmente de 0,1 % par an entre 2011 et 2016 et baisse de 0,2 % par an entre 2016 et 2022.
Code géographique Libellé Population 2022 Évolution annuelle moyenne 2011-2016 (en %) Évolution annuelle moyenne 2016-2022 (en %)
01 Ain 671 289 1,1 0,8
02 Aisne 525 558 -0,2 -0,3
03 Allier 334 715 -0,2 -0,2
04 Alpes-de-Haute-Provence 167 179 0,2 0,5
05 Hautes-Alpes 141 677 0,4 0,1
06 Alpes-Maritimes 1 114 579 0,0 0,5
07 Ardèche 333 229 0,5 0,4
08 Ardennes 267 204 -0,6 -0,5
09 Ariège 155 339 0,1 0,2
10 Aube 311 076 0,3 0,1
11 Aude 377 773 0,4 0,4
12 Aveyron 279 736 0,2 0,1
13 Bouches-du-Rhône 2 069 811 0,4 0,4
14 Calvados 704 605 0,3 0,3
15 Cantal 144 399 -0,2 -0,2
16 Charente 351 603 0,0 -0,1
17 Charente-Maritime 668 160 0,5 0,7
18 Cher 299 496 -0,3 -0,4
19 Corrèze 240 120 -0,1 -0,1
21 Côte-d'Or 537 577 0,3 0,1
22 Côtes-d'Armor 609 598 0,2 0,3
23 Creuse 115 529 -0,5 -0,6
24 Dordogne 416 325 0,0 0,1
25 Doubs 548 662 0,4 0,3
26 Drôme 521 432 0,8 0,4
27 Eure 601 305 0,5 0,0
28 Eure-et-Loir 432 950 0,2 0,0
29 Finistère 927 912 0,2 0,4
2A Corse-du-Sud 166 045 1,1 1,2
2B Haute-Corse 185 231 0,9 0,8
30 Gard 764 010 0,6 0,5
31 Haute-Garonne 1 456 261 1,4 1,3
32 Gers 192 649 0,2 0,2
33 Gironde 1 674 980 1,4 1,1
34 Hérault 1 217 331 1,3 1,2
35 Ille-et-Vilaine 1 109 232 1,1 0,9
36 Indre 216 809 -0,6 -0,5
37 Indre-et-Loire 616 326 0,4 0,3
38 Isère 1 291 380 0,6 0,5
39 Jura 258 405 -0,1 -0,1
40 Landes 428 427 0,9 0,9
41 Loir-et-Cher 328 953 0,1 -0,2
42 Loire 772 041 0,3 0,2
43 Haute-Loire 228 161 0,2 0,1
44 Loire-Atlantique 1 473 156 1,3 1,1
45 Loiret 687 063 0,4 0,3
46 Lot 175 620 -0,2 0,2
47 Lot-et-Garonne 332 226 0,1 0,0
48 Lozère 76 503 -0,2 0,0
49 Maine-et-Loire 828 151 0,5 0,4
50 Manche 496 815 -0,1 -0,1
51 Marne 564 107 0,2 -0,2
52 Haute-Marne 169 865 -0,5 -0,8
53 Mayenne 305 437 0,0 -0,1
54 Meurthe-et-Moselle 732 898 0,0 0,0
55 Meuse 180 745 -0,5 -0,7
56 Morbihan 776 103 0,6 0,6
57 Moselle 1 050 721 0,0 0,1
58 Nièvre 202 299 -0,9 -0,6
59 Nord 2 616 909 0,2 0,1
60 Oise 830 725 0,4 0,1
61 Orne 276 144 -0,4 -0,5
62 Pas-de-Calais 1 460 184 0,1 -0,1
63 Puy-de-Dôme 664 385 0,5 0,3
64 Pyrénées-Atlantiques 699 473 0,5 0,6
65 Hautes-Pyrénées 231 453 -0,1 0,3
66 Pyrénées-Orientales 492 964 0,9 0,6
67 Bas-Rhin 1 156 963 0,4 0,5
68 Haut-Rhin 767 800 0,3 0,1
69 Rhône 1 907 982 1,0 0,6
70 Haute-Saône 233 920 -0,2 -0,2
71 Saône-et-Loire 549 136 0,0 -0,2
72 Sarthe 566 129 0,1 0,0
73 Savoie 445 288 0,5 0,6
74 Haute-Savoie 849 583 1,4 1,0
75 Paris 2 113 705 -0,5 -0,6
76 Seine-Maritime 1 260 205 0,1 0,1
77 Seine-et-Marne 1 452 399 0,9 0,6
78 Yvelines 1 470 778 0,3 0,4
79 Deux-Sèvres 375 415 0,2 0,0
80 Somme 565 540 0,1 -0,2
81 Tarn 396 168 0,5 0,4
82 Tarn-et-Garonne 264 924 1,0 0,5
83 Var 1 108 364 0,8 0,8
84 Vaucluse 568 702 0,4 0,3
85 Vendée 706 343 0,9 0,9
86 Vienne 438 688 0,4 0,1
87 Haute-Vienne 372 438 -0,1 -0,1
88 Vosges 358 700 -0,5 -0,5
89 Yonne 333 896 -0,1 -0,3
90 Territoire de Belfort 140 082 0,1 -0,5
91 Essonne 1 324 546 1,0 0,5
92 Hauts-de-Seine 1 647 435 0,3 0,5
93 Seine-Saint-Denis 1 681 725 1,0 0,8
94 Val-de-Marne 1 419 531 0,7 0,5
95 Val-d'Oise 1 270 845 0,7 0,7
971 Guadeloupe 383 569 -0,5 -0,5
972 Martinique 361 019 -0,8 -0,7
973 Guyane 288 382 2,5 1,1
974 La Réunion 881 348 0,6 0,5
  • Lecture : Dans le Loir-et-Cher, le nombre d’habitants augmente de 0,1 % par an entre 2011 et 2016 et baisse de 0,2 % par an entre 2016 et 2022.
  • Source : Insee, Recensements de la population 2011, 2016 et 2022.

Figure 1Évolution de la population des départements du Centre-Val de Loire entre 2016 et 2022

  • Lecture : Dans le Loir-et-Cher, le nombre d’habitants augmente de 0,1 % par an entre 2011 et 2016 et baisse de 0,2 % par an entre 2016 et 2022.
  • Source : Insee, Recensements de la population 2011, 2016 et 2022.

Entre 2016 et 2022, le nombre d’habitants de l’Eure‑et‑Loir est stable. L’excédent naturel compense le déficit migratoire. Le Loir‑et‑Cher perd 640 habitants par an. Le solde naturel négatif (-0,3 %) n’y est pas totalement compensé par un solde migratoire légèrement positif (+0,1 %). Dans le sud de la région, les populations du Cher et de l’Indre baissent à un rythme plus soutenu : respectivement -0,4 % et -0,5 % par an entre 2016 et 2022. Dans le Cher, le déficit naturel (-0,4 %) contribue à la baisse de la population et le solde migratoire est nul. Dans l’Indre, le solde migratoire est légèrement positif (+0,1 %), sans compenser un solde naturel fortement négatif (-0,6 %).

La dynamique démographique est globalement moins favorable entre 2016 et 2022 qu’entre 2011 et 2016, où seuls le Cher (-0,3 %) et l’Indre (-0,6 %) perdaient déjà des habitants. Dans le Cher, la baisse de la population s’est accentuée : d’une perte de 920 habitants par an en moyenne entre 2011 et 2016 à 1 270 habitants par an entre 2016 et 2022. Dans l’Indre, la diminution de la population a légèrement ralenti : d’une baisse de 1 330 habitants à 1 120 par an en moyenne.

Parmi les six chefs-lieux de département, la population de Blois augmente le plus fortement (+0,5 %) entre 2016 et 2022, portée davantage par l’excédent naturel (+0,4 %) que le solde migratoire faiblement positif (+0,1 %). Les populations de Tours et d’Orléans s’accroissent également (+0,3 % et +0,2 % par an), malgré un solde migratoire déficitaire marqué à Orléans (-0,5 %). Les populations de Chartres, Bourges et Châteauroux diminuent (respectivement -0,3 %, -0,3 % et -0,4 % par an).

Figure 2Variation annuelle moyenne de la population et contributions dans les départements

(en %)
Variation annuelle moyenne de la population et contributions dans les départements ((en %)) - Lecture : Dans le Loir-et-Cher, le taux de variation annuel moyen est de -0,2 % entre 2016 et 2022. Le déficit naturel (-0,3 %) est compensé en partie par l’excédent migratoire (+0,1%).
Zone Contribution du solde naturel Contribution du solde migratoire apparent Évolution annuelle moyenne
Cher -0,40 -0,02 -0,42
Eure-et-Loir 0,09 -0,13 -0,04
Indre -0,63 0,13 -0,51
Indre-et-Loire 0,05 0,23 0,28
Loir-et-Cher -0,27 0,07 -0,19
Loiret 0,21 0,10 0,31
Centre-Val de Loire -0,05 0,08 0,02
  • Note : les taux de variation sont arrondis au plus près de leurs valeurs réelles. La somme des taux dus aux soldes naturel et migratoire peut être de fait légèrement différente du taux de variation de la population.
  • Lecture : Dans le Loir-et-Cher, le taux de variation annuel moyen est de -0,2 % entre 2016 et 2022. Le déficit naturel (-0,3 %) est compensé en partie par l’excédent migratoire (+0,1%).
  • Source : Insee, Recensements de la population 2016 et 2022, état civil.

Figure 2Variation annuelle moyenne de la population et contributions dans les départements

  • Note : les taux de variation sont arrondis au plus près de leurs valeurs réelles. La somme des taux dus aux soldes naturel et migratoire peut être de fait légèrement différente du taux de variation de la population.
  • Lecture : Dans le Loir-et-Cher, le taux de variation annuel moyen est de -0,2 % entre 2016 et 2022. Le déficit naturel (-0,3 %) est compensé en partie par l’excédent migratoire (+0,1%).
  • Source : Insee, Recensements de la population 2016 et 2022, état civil.

Un ralentissement de la croissance de la population dans les couronnes des aires d’attraction des villes de plus de 50 000 habitants

En Centre‑Val de Loire, 679 communes gagnent des habitants entre 2016 et 2022, soit plus d’un tiers (39 %) des 1 756 communes (figure 3). Plus d’un habitant sur deux vit dans une . Dans ces communes, la population augmente (+0,2 %) du fait de contributions positives équivalentes des soldes naturels et migratoires (+0,1 %). À l’inverse, dans les communes rurales, la population diminue de 0,2 %, car l’excédent migratoire positif ne compense pas le déficit naturel.

Figure 3Variation annuelle moyenne de la population entre 2016 et 2022 dans les communes

  • Les données sont disponibles dans le fichier en téléchargement
  • Lecture : À Tours, la population augmente de 0,3 % par an entre 2016 et 2022 pour atteindre 138 670 habitants.
  • Source : Insee, Recensements de la population 2016 et 2022.

Plus de 70 % de la population régionale réside dans l’une des huit aires d’attraction des villes de plus de 50 000 habitants. Entre 2016 et 2022, la population s’accroît globalement de +0,2 % dans ces aires (particulièrement dans celles d’Orléans et de Tours). Les pôles voient leur population augmenter à un rythme légèrement supérieur (+0,3 % par an), uniquement en raison de l’accroissement naturel. Dans les couronnes, le solde naturel et le solde migratoire contribuent autant à la hausse de la population (+0,1 %). Néanmoins, la croissance de la population dans les couronnes est moins importante qu’à la période précédente (+0,2 % entre 2016 et 2022, contre +0,5 % entre 2011 et 2016). Dans les aires d’attraction des villes de 50 000 à 200 000 habitants dont le pôle est dans la région, la population dans les couronnes n’augmente plus entre 2016 et 2022 (contre +0,4 % entre 2011 et 2016). Cela correspond à une baisse de 160 habitants par an en moyenne, contre une hausse annuelle de 1 530 habitants à la période précédente.

Ces évolutions différenciées se retrouvent à l’échelle des intercommunalités. La population augmente de 0,6 % dans la métropole orléanaise et de 0,3 % dans la métropole tourangelle entre 2016 et 2022. Les intercommunalités connaissant la plus forte croissance démographique de la région se situent dans les couronnes des aires d’attraction des villes d’Orléans et de Tours. Par exemple, les communautés de communes de la Forêt, Touraine Vallée de l’Indre et Touraine‑Est Vallées (+1,1 %, +0,9 % et +0,9 %). La population diminue de 0,5 % par an dans les aires d’attraction des villes de moins de 50 000 habitants. Dans les , la population diminue de 0,5 % du fait du déficit naturel malgré un solde migratoire apparent légèrement positif (+0,1 %).

Encadré - Le choix des périodes d’évolution de la population

La méthode du recensement annuel est basée sur des cycles de collecte de cinq ans. Pour plus de pertinence, les données sont donc traditionnellement analysées avec un pas de cinq ans. Toutefois, l’évolution de la situation sanitaire a conduit à reporter à 2022 l’enquête annuelle de recensement prévue en 2021. Pour toutes les communes de moins de 10 000 habitants, il y aura donc dorénavant (pendant cinq ans) un intervalle entre deux collectes de recensement de six ans au lieu de cinq habituellement. Pour être robustes, les évolutions mesurées sur la dernière période (ici 2016‑2022) doivent donc être analysées avec un pas de six ans. Dans le présent document, les comparaisons sont ainsi basées sur une période de six ans pour la plus récente (2016‑2022) et une période de cinq ans (2011‑2016) pour la plus ancienne. La comparaison des évolutions de la population, du solde migratoire apparent et du solde naturel sur ces périodes de durées différentes n’en reste pas moins pertinente, car toutes les données sont présentées en moyenne annuelle.

Publication rédigée par :Cyril Coudray, Thibault Tillard (Insee)

Sources

Les données de population au 1er janvier 2022 dans les limites territoriales des communes existant au 1er janvier 2024 sont officielles dès leur authentification par décret. Ces populations officielles entrent en vigueur au 1er janvier 2025.

Les statistiques sur les naissances et les décès sont issues de l’exploitation des informations d’état civil transmises par les mairies à l’Insee.

Définitions

Le solde naturel est la différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès enregistrés au cours d'une période. On parle d’accroissement naturel ou d’excédent naturel lorsque le nombre de naissances est supérieur à celui des décès.

Le solde apparent des entrées sorties approche la différence entre le nombre de personnes entrées sur un territoire donné et le nombre de personnes qui en sont sorties, au cours de la période considérée. Il est obtenu par différence entre la variation totale de la population au cours de la période considérée et le solde naturel.

La typologie urbain‑rural s’appuie sur celle de la grille communale de densité. Une commune rurale est une commune peu dense au sens de la grille communale de densité à 3 niveaux. Les communes denses ou de densité intermédiaire sont dites urbaines.

Les communes rurales qui appartiennent à une aire d’attraction des villes de plus de 50 000 habitants sont qualifiées de communes rurales périurbaines, les autres communes rurales de communes rurales non périurbaines.

L’aire d’attraction d’une ville définit l’étendue de son influence sur les communes environnantes. Une aire est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, constitué d’un pôle de population et d’emploi, et d’une couronne qui regroupe les communes dont au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle. La commune la plus peuplée du pôle est appelée commune‑centre.

Pour en savoir plus

(1) Retrouvez davantage de données associées à cette publication en téléchargement.

(2) Chataignon P., « Les populations de référence des communes au 1ᵉʳ janvier 2022 – La baisse du solde naturel entraîne une moindre croissance de la population française », Insee Focus no 346, décembre 2024.

(3) Diel O., Formont C., « La fécondité du Centre‑Val de Loire atteint son plus bas niveau depuis un quart de siècle – Bilan démographique 2023 du Centre‑Val de Loire », Insee Analyses Centre‑Val de Loire no 115, septembre 2024.