Insee Flash Nouvelle-Aquitaine ·
Septembre 2024 · n° 113
Un enfant sur cinq confronté à la pauvreté en Nouvelle-Aquitaine
En 2021, 213 100 enfants néo-aquitains de moins de 18 ans vivent dans un ménage pauvre, soit 19 % des mineurs. La pauvreté infantile est moins marquée qu’en France métropolitaine (22 %), du fait notamment, d’une moindre présence des fratries nombreuses, plus souvent exposées à la pauvreté, dans les familles avec enfant(s). De plus, les parents néo-aquitains sont plus souvent en emploi.
Les taux de pauvreté infantile sont plus élevés dans les départements de l’est de la région et les grandes agglomérations comme Limoges, Angoulême ou Poitiers. De grandes disparités existent entre les quartiers des grandes villes.
- Un enfant sur cinq vit dans un ménage pauvre
- Les enfants des familles monoparentales ou nombreuses sont plus fréquemment en situation de pauvreté
- Plus de pauvreté infantile dans l’est de la région et dans les grandes agglomérations
- Encadré - Des taux de pauvreté infantile très contrastés dans les quartiers des grandes villes
Un enfant sur cinq vit dans un ménage pauvre
En 2021, 19 % des enfants néo-aquitains âgés de moins de 18 ans vivent dans un ménage en situation de pauvreté monétaire. Ces 213 100 mineurs vivent dans un ménage disposant de moins de 1 158 euros mensuels de revenu disponible pour consommer ou épargner par unité de consommation.
Les enfants de moins de 18 ans néo-aquitains sont moins souvent en situation de pauvreté qu’au niveau national (22 % en France métropolitaine).
La Nouvelle-Aquitaine est au dixième rang des régions françaises pour la pauvreté infantile (figure 1).
tableauFigure 1a – Taux de pauvreté infantile en 2021Par région
Région | Taux de pauvreté infantile |
---|---|
Hauts-de-France | 26,7 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 25,3 |
Occitanie | 24,9 |
Corse | 23,3 |
Grand Est | 23,2 |
Île-de-France | 22,8 |
France métropolitaine | 21,6 |
Centre-Val de Loire | 20,7 |
Normandie | 20,2 |
Bourgogne-Franche-Comté | 20,0 |
Nouvelle-Aquitaine | 19,4 |
Auvergne-Rhône-Alpes | 19,0 |
Pays de la Loire | 15,3 |
Bretagne | 14,8 |
- Champ : Enfants de moins de 18 ans des ménages résidant en France métropolitaine.
- Source : Insee-DGFIP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2021.
graphiqueFigure 1a – Taux de pauvreté infantile en 2021Par région

- Champ : Enfants de moins de 18 ans des ménages résidant en France métropolitaine.
- Source : Insee-DGFIP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2021.
En effet, les familles nombreuses, ménages davantage concernés par la pauvreté monétaire, sont moins présentes dans la région (13 % parmi les ménages avec enfant(s), contre 16 % en France métropolitaine).
De plus, le taux de chômage des parents néo-aquitains est moins élevé qu’en moyenne métropolitaine (8,9 % contre 9,4 %).
Toutefois, les enfants de moins de 18 ans sont plus souvent en situation de pauvreté monétaire que l’ensemble de la population néo-aquitaine (14 %). Les ménages avec enfant(s) pâtissent en effet de charges supplémentaires par rapport aux autres, charges qui ne sont pas compensées par des revenus d’activité supplémentaires. Par conséquent, les ménages avec enfant(s) ont souvent un niveau de vie plus faible que ceux sans enfant, même si les transferts sociaux et fiscaux atténuent les différences. Ainsi, la moitié des enfants de moins de 18 ans ont un niveau de vie inférieur à l'équivalent de 1 730 euros mensuels, contre 1 890 euros pour l’ensemble de la population néo-aquitaine.
Les enfants des familles monoparentales ou nombreuses sont plus fréquemment en situation de pauvreté
Le risque de pauvreté est deux fois et demie plus élevé pour les enfants des familles monoparentales que pour ceux qui vivent avec des parents en couple (38 % contre 14 %) (figure 2). Les difficultés financières et organisationnelles rendent les parents isolés, en particulier les femmes , plus fragiles sur le marché du travail et les exposent davantage au risque de pauvreté.
Le taux de chômage des parents isolés est supérieur à celui des parents en couple (11 % contre 7 %). De plus, huit fois sur dix, les femmes sont à la tête des familles monoparentales. Elles sont beaucoup moins nombreuses à trouver un emploi (60 % contre 78 % pour les mères de familles en couple) et sont deux fois plus souvent au chômage (28 % contre 14 %). Ainsi, les revenus d’activité constituent une part plus faible du revenu disponible que pour les parents en couple.
tableauFigure 2 – Taux de pauvreté infantile selon la composition familiale en 2021
Composition familiale | Taux de pauvreté infantile |
---|---|
Ensemble familles monoparentales | 38,3 |
Familles monoparentales avec 1 enfant | 26,1 |
Familles monoparentales avec 2 enfants | 41,4 |
Familles monoparentales avec 3 enfants ou plus | 67,1 |
Ensemble couples avec enfant(s) | 14,4 |
Couples avec 1 enfant | 8,2 |
Couples avec 2 enfants | 9,5 |
Couples avec 3 enfants ou plus | 29 |
- Champ : Enfants de moins de 18 ans des ménages résidant en France métropolitaine.
- Source : Insee-DGFIP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2021.
graphiqueFigure 2 – Taux de pauvreté infantile selon la composition familiale en 2021

- Champ : Enfants de moins de 18 ans des ménages résidant en France métropolitaine.
- Source : Insee-DGFIP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2021.
Par ailleurs, le taux de pauvreté augmente avec le nombre d’enfants du ménage. Ainsi, 35 % des enfants de moins de 18 ans vivant dans une famille avec au moins trois enfants sont en situation de pauvreté, contre 14 % des enfants vivant dans une famille avec un ou deux enfants.
Les difficultés peuvent se cumuler pour les enfants vivant dans une famille à la fois monoparentale et nombreuse. Ainsi, 67 % des enfants vivant dans une famille monoparentale de trois enfants ou plus sont en situation de pauvreté monétaire.
Plus de pauvreté infantile dans l’est de la région et dans les grandes agglomérations
En Nouvelle-Aquitaine, les disparités départementales sont notables (figure 1b). Cinq départements ont notamment un taux de pauvreté infantile supérieur à celui de la France métropolitaine. Il s’agit de départements essentiellement dans l’est de la région comme la Creuse, le Lot-et-Garonne et la Haute-Vienne. Cela va de pair avec une pauvreté plus marquée pour l’ensemble de la population dans ces mêmes territoires.
À l’opposé, les mineurs des départements littoraux et des Deux-Sèvres sont moins exposés à la pauvreté, les taux de pauvreté infantile allant de 17 à 18 %.
En Nouvelle-Aquitaine, 24 % des mineurs des communes densément peuplées, soit 57 100 enfants, sont en situation de pauvreté (28 % dans les pôles urbains en France métropolitaine). Cette moindre exposition à la pauvreté des enfants néo-aquitains dans les pôles urbains provient essentiellement de la situation exceptionnelle de Bordeaux. La pauvreté infantile y atteint 20 %, alors qu’elle est particulièrement marquée à Limoges, Angoulême (41 % chacune) et Poitiers (39 %). Ces pôles abritent en effet une proportion importante de familles en situation précaire (familles monoparentales et/ou nombreuses, parents rencontrant des difficultés d’insertion sur le marché du travail). Néanmoins, la situation au sein de ces centres urbains peut varier fortement d’un quartier à l’autre (encadré).
Dans les communes urbaines de densité intermédiaire, le taux de pauvreté des enfants est moins élevé (21 %), proche de la moyenne nationale. Ces villes, principalement des chefs-lieux de département (Niort, Brive-la-Gaillarde ou Agen) ou des sous-préfectures de département (Libourne ou Bergerac), hébergent 62 000 enfants pauvres.
Dans les communes peu denses, où la moitié de la population néo-aquitaine réside, la pauvreté infantile est moindre (16 %) mais concerne toutefois 80 700 enfants de moins de 18 ans. Dans ces communes, souvent situées dans les couronnes des grandes agglomérations de la région, les enfants vivent plus souvent avec des parents en couple et dans des familles plus aisées sur le plan économique.
Dans les communes rurales très peu denses, généralement éloignées des grands pôles d’emplois de la région, la pauvreté infantile s’élève à 22 %. Elle est plus marquée qu’au niveau national (18 %).
Encadré - Des taux de pauvreté infantile très contrastés dans les quartiers des grandes villes
Les quartiers présentant les taux de pauvreté infantile les plus élevés recoupent en grande partie la géographie de la politique de la ville (figure 3). En 2020, le pôle urbain de Bordeaux abrite 28 800 mineurs pauvres. Ces enfants vivent notamment au nord, dans les quartiers du Lac, Bacalan et les Chartrons. Certains habitent aussi dans le sud de la ville, dans les quartiers Capucins-Victoire et Gare Saint-Jean. Plus à l’est, les villes de Lormont et Cenon sont également marquées par un taux de pauvreté infantile élevé.
Au sein du pôle urbain de Limoges (8 800 mineurs pauvres), la pauvreté infantile est particulièrement marquée dans les quartiers du Val de l’Aurence, à l’ouest, et de La Bastide et Beaubreuil, au nord. À Poitiers, les quartiers en périphérie immédiate du centre-ville comme les Couronneries, les Trois Cités et Beaulieu, concentrent des taux de pauvreté infantile supérieurs à la moyenne du pôle urbain. À Angoulême, pôle urbain avec le plus fort taux de pauvreté infantile parmi ceux de plus de 50 000 habitants, c’est également le cas dans les quartiers Grande Garenne et La Grand Font.
tableauTaux de pauvreté infantile dans les principaux pôles urbains concernés de Nouvelle-Aquitaine
Code Grand quartier | Libellé Grand quartier | Pôle urbain | Taux de pauvreté infantile |
---|---|---|---|
1601501 | Grand Quartier 1 | Angoulême | 21,3 |
1601502 | Grand Quartier 2 | Angoulême | 16,5 |
1601503 | Grand Quartier 3 | Angoulême | 24,8 |
1601504 | Grand Quartier 4 | Angoulême | 28,1 |
1601505 | Grand Quartier 5 | Angoulême | 52,8 |
1601506 | Grand Quartier 6 | Angoulême | 40,8 |
1601507 | Grand Quartier 7 | Angoulême | 53,0 |
1637401 | Soyaux | Angoulême | 48,2 |
3301301 | Artigues-près-Bordeaux | Bordeaux | 19,6 |
3303901 | Bègles | Bordeaux | 18,9 |
3305601 | Blanquefort | Bordeaux | 14,7 |
3306301 | Le Lac | Bordeaux | 43,4 |
3306302 | Bacalan | Bordeaux | 34,0 |
3306303 | Chartrons-Grand Parc | Bordeaux | 30,0 |
3306304 | La Bastide | Bordeaux | 25,4 |
3306305 | Hôtel de Ville-Quinconces | Bordeaux | 18,0 |
3306306 | Saint-Seurin-Fondaudège | Bordeaux | 8,1 |
3306307 | Villa Primerose-Parc Bordelais-Cauderan | Bordeaux | 5,6 |
3306308 | Lestonat-Monséjour | Bordeaux | 13,1 |
3306309 | Saint-Augustin | Bordeaux | 11,1 |
3306310 | Saint-Bruno-Saint-Victor | Bordeaux | 11,5 |
3306311 | Capucins-Victoire | Bordeaux | 31,7 |
3306312 | Nansouty | Bordeaux | 11,1 |
3306313 | Gare Saint-Jean | Bordeaux | 28,3 |
3306901 | Le Bouscat | Bordeaux | 13,1 |
3307501 | Bruges | Bordeaux | 11,5 |
3311901 | Cenon | Bordeaux | 39,7 |
3316201 | Eysines | Bordeaux | 17,8 |
3316701 | Floirac | Bordeaux | 27,9 |
3319201 | Gradignan | Bordeaux | 15,2 |
3320001 | Le Haillan | Bordeaux | 14,4 |
3324901 | Lormont | Bordeaux | 41,3 |
3328101 | Centre-Ville | Bordeaux | 23,2 |
3328102 | Capeyron | Bordeaux | 15,4 |
3328103 | Arlac | Bordeaux | 9,5 |
3328104 | Chemin Long et Garies | Bordeaux | 12,4 |
3328105 | Le Jard et Bourran | Bordeaux | 20,0 |
3328106 | Pichey | Bordeaux | 22,2 |
3328107 | Eyquems | Bordeaux | 16,1 |
3328108 | Les Pins | Bordeaux | 26,6 |
3328109 | La Forêt | Bordeaux | 9,2 |
3328110 | Labatut | Bordeaux | 13,6 |
3328111 | Glacière | Bordeaux | 9,1 |
3328112 | Bourdillot | Bordeaux | 5,7 |
3328113 | Le Burck | Bordeaux | 35,0 |
3328114 | Beutre | Bordeaux | 16,3 |
3328115 | Zones d'Activités | Bordeaux | 38,1 |
3331801 | Pessac | Bordeaux | 17,8 |
3344901 | Saint-Médard-en-Jalles | Bordeaux | 10,1 |
3351901 | Le Taillan-Médoc | Bordeaux | 10,8 |
3352201 | Talence | Bordeaux | 19,9 |
3355001 | Villenave-d'Ornon | Bordeaux | 17,0 |
8604101 | Buxerolles | Poitiers | 27,0 |
8619401 | Centre Ville | Poitiers | 17,9 |
8619402 | Poitiers Sud | Poitiers | 25,9 |
8619403 | Trois Cités | Poitiers | 56,9 |
8619404 | Gibauderie | Poitiers | 18,4 |
8619405 | Beaulieu | Poitiers | 51,7 |
8619406 | Saint-Éloi-Breuil Mingot | Poitiers | 36,9 |
8619407 | Montbernage-Pont-Neuf | Poitiers | 21,5 |
8619408 | Couronneries | Poitiers | 65,0 |
8619409 | Faubourgs Ouest | Poitiers | 14,9 |
8619410 | Poitiers Nord-Ouest | Poitiers | 41,3 |
8708501 | Grand Quartier 1 | Limoges | 36,6 |
8708502 | Grand Quartier 2 | Limoges | 31,9 |
8708503 | Grand Quartier 3 | Limoges | 32,6 |
8708504 | Grand Quartier 4 | Limoges | 14,7 |
8708505 | Grand Quartier 5 | Limoges | 22,7 |
8708506 | Grand Quartier 6 | Limoges | 36,8 |
8708507 | Grand Quartier 7 | Limoges | 26,1 |
8708508 | Grand Quartier 8 | Limoges | 39,8 |
8708509 | Grand Quartier 9 | Limoges | 35,3 |
8708510 | Grand Quartier 10 | Limoges | 35,5 |
8708511 | Grand Quartier 11 | Limoges | 36,8 |
8708512 | Grand Quartier 12 | Limoges | 34,6 |
8708513 | Grand Quartier 13 | Limoges | 30,8 |
8708514 | Grand Quartier 14 | Limoges | 74,4 |
8708515 | Grand Quartier 15 | Limoges | 67,5 |
8708516 | Grand Quartier 16 | Limoges | 35,3 |
8708517 | Grand Quartier 17 | Limoges | 57,1 |
8708518 | Grand Quartier 18 | Limoges | 68,7 |
8708519 | Grand Quartier 19 | Limoges | 31,9 |
8708520 | Grand Quartier 20 | Limoges | 19,7 |
8711401 | Panazol | Limoges | 14,1 |
- Note : Les grands quartiers constituent un regroupement de plusieurs iris contigus à l'intérieur d'une même commune.
- Lecture : Dans les quartiers colorés en bleu le plus foncé, le taux de pauvreté des enfants de moins de 18 ans est supérieur ou égal à 40 %.
- Source : Insee-DGFIP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2020.
graphiqueTaux de pauvreté infantile dans les principaux pôles urbains concernés de Nouvelle-Aquitaine

- Note : Les grands quartiers constituent un regroupement de plusieurs iris contigus à l'intérieur d'une même commune.
- Lecture : Dans les quartiers colorés en bleu le plus foncé, le taux de pauvreté des enfants de moins de 18 ans est supérieur ou égal à 40 %.
- Source : Insee-DGFIP-Cnaf-Cnav-CCMSA, Fichier localisé social et fiscal 2020.
Sources
Le fichier localisé social et fiscal (Filosofi) mobilise des données fiscales exhaustives ainsi que des données émanant des organismes gestionnaires des prestations sociales (Cnaf, Cnav, MSA).
Il permet de reconstituer les revenus déclarés et disponibles intégrant les prestations sociales réellement perçues net des impôts directs. Les revenus sont calculés au niveau des ménages, ce qui peut masquer des situations individuelles disparates.
Définitions
Le niveau de vie est égal au revenu disponible du ménage divisé par le nombre d'unités de consommation (UC). Le niveau de vie est donc le même pour tous les individus d'un même ménage. Les unités de consommation sont généralement calculées selon l'échelle d'équivalence dite de l'OCDE modifiée qui attribue 1 UC au premier adulte du ménage, 0,5 UC aux autres personnes de 14 ans ou plus et 0,3 UC aux enfants de moins de 14 ans.
Un individu (ou un ménage) est considéré comme pauvre lorsqu'il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté monétaire. En France et en Europe, le seuil est le plus souvent fixé à 60 % du niveau de vie médian, soit 1 158 euros mensuels en 2021 pour une personne seule.
La grille communale de densité permet de classer les communes en fonction du nombre d’habitants et de la répartition de ces habitants sur leur territoire. Dans sa version à quatre niveaux, elle définit quatre types de communes. Les communes densément peuplées et les communes de densité intermédiaire constituent l'espace urbain ; les communes peu denses et les communes très peu denses constituent l'espace rural.
Pour en savoir plus
(1) « Panorama de la pauvreté en Nouvelle-Aquitaine : une diversité de situations individuelles et territoriales », Insee Dossier Nouvelle-Aquitaine no 08, octobre 2023.
(2) « Un jeune néo-aquitain sur six n’est ni en emploi ni en formation », Insee Flash Nouvelle-Aquitaine no 99, avril 2023.
(3) Bidoux P-E., Monerie G. (Insee), Gosset S., Hubert V. , Marbach E., Portier S. (Caisse d'allocations familiales de Gironde, de Haute-Vienne, des Landes et de Charente-Maritime), « Les prestations des Caf en Nouvelle-Aquitaine : en 2020, les aides des Caisses d’allocations familiales bénéficient à 2,7 millions de Néo-Aquitains », Insee Analyses Nouvelle-Aquitaine no 118, mars 2022.
(4) Andrieux P-J., Flachère M., Fontès-Rousseau C. (Insee), « Un enfant sur quatre confronté à la pauvreté en Occitanie en 2020 », Insee Analyses Occitanie no 131, février 2024.