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Insee Flash Martinique · Juin 2023 · n° 186
Insee Flash MartiniqueEn 2022, la situation sur le marché du travail s’améliore en Martinique

Matthieu Cornut, Eric Mével (Insee)

En Martinique, le taux d’emploi reste stable en 2022 : 57 % des personnes de 15 à 64 ans sont en emploi. Le taux de chômage recule d’un point (12 %) pendant que le halo autour du chômage reste stable (10 % des 15-64 ans). Le secteur tertiaire est le principal pourvoyeur d’emplois en Martinique. Les jeunes éprouvent toujours des difficultés à s’insérer sur le marché de l'emploi, avec un faible taux d'emploi et un taux de chômage élevé. À l’inverse, les seniors sont les principaux bénéficiaires de la bonne orientation du marché du travail.

Insee Flash Martinique
No 186
Paru le :Paru le28/06/2023

Le taux d’emploi reste stable en Martinique

En 2022, le nombre d’emplois est stable en Martinique (+0,5 %) par rapport à 2021. Ainsi, 123 300 actifs 15 à 64 ans sont en . Le taux d’emploi des personnes de 15 à 64 ans reste relativement stable par rapport à 2021 pour s’établir à 57 % (figure 1). Il est plus élevé qu’en Guadeloupe (51 %) et qu’en Guyane (42 %) mais reste inférieur de 12 points au taux d’emploi de la France métropolitaine. En Martinique, les femmes sont presque aussi souvent en emploi (56 %) que les hommes (58 %), contrairement à la France métropolitaine (5 points d’écart), la Guadeloupe (4 points) ou la Guyane (10 points). Les seniors profitent de la bonne orientation du marché de l'emploi : leur taux d’emploi progresse de 2 points et s’établit à 63 %, proche du taux en France métropolitaine (66 %). Le taux d’emploi des personnes de 30 à 49 ans est stable (69 %), inférieur de 15 points à la France métropolitaine

Pour les jeunes (15 à 29 ans), la différence avec la France métropolitaine est beaucoup plus importante : seuls 27 % d’entre eux sont en emploi contre 49 % en Métropole. Ce faible taux d’emploi peut s’expliquer par le fait que la moitié d’entre eux n’ont pas encore achevé leur formation initiale. Cependant, en 2022, 20 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (NEET). Les jeunes Martiniquais sont plus souvent dans cette situation que les jeunes résidant en France métropolitaine.

En Martinique, les personnes titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur représentent 37 % des personnes qui travaillent. Elles sont presque aussi souvent en emploi (81 %) que celles résidant en France métropolitaine (85 %). Comme dans l’ensemble du pays, l'absence de diplôme est un frein à l’insertion sur le marché de l’emploi : seuls 36 % des Martiniquais non diplômés ont un emploi. En Martinique, 42 % des personnes de 15 à 64 ans n’ont pas de diplôme dépassant le brevet des collèges, contre seulement 26 % en France métropolitaine. Les personnes titulaires d’un diplôme de niveau baccalauréat sont plus souvent en emploi (56 %), tout comme celles titulaires d’un CAP, d’un BEP ou d’un diplôme de même catégorie (61 %). Ils sont cependant moins souvent en emploi que les personnes résidant en métropole ayant le même niveau d’études (respectivement 67 % et 71 %).

Figure 1Taux d’emploi par âge, par sexe et par niveau de diplôme

(en %)
Taux d’emploi par âge, par sexe et par niveau de diplôme ((en %)) - Lecture : en 2022, 58 % des hommes âgées de 15 à 64 ans sont en emploi en Martinique.
Caractéristiques Martinique France métropolitaine
2021 2022 2021 2022
Ensemble 56 57 68 69
Hommes 58 58 71 71
Femmes 55 56 65 66
De 15 à 29 ans 27 27 47 49
De 30 à 49 ans 70 69 82 84
De 50 à 64 ans 61 63 66 66
Diplôme de niveau bac + 2 et supérieur 81 81 84 85
Baccalauréat ou brevet professionnel ou autre diplôme de ce niveau 52 56 66 67
CAP, BEP ou autre diplôme de ce niveau 61 61 70 71
Aucun diplôme, certificat d'études primaires ou brevet des collèges 36 36 38 39
  • Lecture : en 2022, 58 % des hommes âgées de 15 à 64 ans sont en emploi en Martinique.
  • Champ : personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 64 ans.
  • Source : Insee, enquête emploi en continu.

Les femmes sont deux fois plus souvent concernées par le sous-emploi que les hommes

En Martinique, 15 % des personnes en emploi travaillent à temps partiel, mois fréquemment qu’en France métropolitaine (17 %). Les femmes sont quatre fois plus souvent en temps partiel que les hommes. Certaines personnes à temps partiel souhaitent travailler plus, elles sont alors considérées en sous-emploi, tout comme les personnes en période de chômage technique ou partiel. En 2022, le sous-emploi baisse en Martinique et concerne 7 % des personnes en emploi. Cette proportion reste toutefois légèrement plus importante qu’en France métropolitaine (5 %) où le taux baisse également. En Martinique comme en France métropolitaine, le sous-emploi concerne deux fois plus souvent les femmes que les hommes. Par rapport à 2021, Il diminue de 11 points pour les jeunes de 15 à 29 ans (9 %).

Le secteur tertiaire reste le principal pourvoyeur d’emplois

En Martinique, huit personnes en emploi sur dix travaillent dans le secteur tertiaire. L’administration publique, l’enseignement, la santé humaine et l’action sociale emploient 42 % des actifs occupés, soit 2 point de plus qu’en 2021. Cette part est plus importante qu’en France métropolitaine (30 %). Le commerce, les transports, l’hébergement et la restauration, qui font partie des services marchands, emploient 20 % des actifs occupés en Martinique, comme en France métropolitaine.

En Martinique, le marché de l’emploi est marqué par une présence plus importante d’employés et moindre de cadres et professions intellectuelles supérieures qu’en France métropolitaine. En effet, un tiers des personnes ayant un travail sont des employés, contre un quart en France métropolitaine. La proportion de cadres et de professions intellectuelles supérieures (13 %) est près de deux fois moins importante qu’en France métropolitaine (22 %) alors que la part des ouvriers (18 %) et des professions intermédiaires (27 %) est proche du niveau national. La part des non salariés parmi les personnes en emploi est un peu plus élevée en Martinique (15 %) qu’en France métropolitaine (13 %).

Le chômage concerne plus souvent les jeunes

La population active regroupe les personnes en emploi et les personnes au . En Martinique, le des personnes de 15 à 64 ans est stable par rapport à 2021 (65 %). Il est de 66 % pour les hommes et 65 % pour les femmes. En France métropolitaine, il augmente d’un point et s’établit à 74 %.

En 2022, 12 % de la population active est au chômage en Martinique, soit 1 point de moins qu’en 2021 (figure 2). Le chômage en Martinique est plus élevé qu’en France métropolitaine (7 %) mais reste 7 points en dessous du de la Guadeloupe. Il concerne deux fois plus souvent les actifs non diplômés (16 % d’entre eux sont au chômage) que les actifs titulaires d’un diplôme de l'enseignement supérieur (8 %). Comme au niveau national, les jeunes sont particulièrement touchés par le chômage, mais dans des proportions encore plus importantes : 31 % des actifs de moins de 30 ans en Martinique sont au chômage. Le chômage de longue durée augmente légèrement par rapport à l’année précédente : en Martinique, 7 % des actifs sont au chômage depuis au moins un an, soit 63 % des chômeurs.

Figure 2Taux de chômage par âge, par sexe et par niveau de diplôme

(en %)
Taux de chômage par âge, par sexe et par niveau de diplôme ((en %)) - Lecture : en 2022, 12 % des hommes actifs en Martinique sont au chômage.
Caractéristiques Martinique France métropolitaine
2021 2022 2021 2022
Ensemble 13 12 8 7
Hommes 12 12 8 7
Femmes 13 13 8 7
De 15 à 29 ans 31 31 14 13
De 30 à 49 ans 12 12 6 6
50 ans et plus 8 7 6 5
Diplôme de niveau bac + 2 et supérieur 8 8 5 5
Baccalauréat ou brevet professionnel ou autre diplôme de ce niveau 16 14 9 8
CAP, BEP ou autre diplôme de ce niveau 14 15 8 7
Aucun diplôme, certificat d'études primaires ou brevet des collèges 17 16 14 13
  • Lecture : en 2022, 12 % des hommes actifs en Martinique sont au chômage.
  • Champ : personnes vivant en logement ordinaire, actives, âgées de 15 ans ou plus.
  • Source : Insee, enquête emploi en continu.

La population inactive comprend au sens du BIT les personnes qui ne sont ni en emploi, ni au chômage. Dans cette population inactive, certaines personnes souhaitent un emploi mais ne sont pas comptabilisées dans le chômage, soit parce qu’elles ne cherchent pas d'emploi, soit parce qu’elles ne sont pas disponibles pour en prendre un. Elles se trouvent à la frontière du chômage et en constituent le . En 2022, le halo autour du chômage concerne 10 % de la population de 15 à 64 ans résidant en Martinique (figure 3). Si ce taux est stable par rapport à 2021, il reste plus important qu’en France métropolitaine (4 %). La majorité (83 %) des personnes dans le halo autour du chômage ne recherchent pas activement un emploi, bien qu’elles souhaiteraient travailler.

En Martinique, trois quarts de la population inactive de 15 à 64 ans ne souhaite pas d’emploi pour diverses raisons. Parmi les personnes inactives ne souhaitant pas un emploi, la moitié sont encore en études ou en formation. D’autres évoquent des problèmes de santé (29 %) ou le fait d’avoir déjà pris sa retraite ou d’en être proche (11 %). Les femmes sont les seules à invoquer fréquemment la garde d’un enfant ou d’un proche (10 %).

Figure 3Part du halo autour du chômage

(en %)
Part du halo autour du chômage ((en %)) - Lecture : en 2022, 17 % des hommes âgées de 15 à 64 ans en Martinique sont au chômage ou dans le halo autour du chômage.
Caractéristiques Part du halo autour du chômage Part du chômage et du halo autour du chômage
Martinique France métropolitaine Martinique France métropolitaine
2021 2022 2022 2021 2022 2022
Ensemble 11 10 4 19 19 9
Hommes 11 9 4 19 17 9
Femmes 11 12 5 20 20 10
De 15 à 29 ans 12 11 6 24 23 13
De 30 à 49 ans 12 13 4 21 23 9
De 50 à 64 ans 10 8 3 15 13 6
  • Lecture : en 2022, 17 % des hommes âgées de 15 à 64 ans en Martinique sont au chômage ou dans le halo autour du chômage.
  • Champ : personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 64 ans.
  • Source : Insee, enquête emploi en continu.

Encadré - Les seniors sont plus souvent sans emploi ni retraite qu’en France métropolitaine

En Martinique, en 2022, 20 % des personnes de 53 à 69 ans ne sont ni en emploi, ni en retraite, ni en préretraite (Nerp). Les femmes (20 %) et les hommes (21 %) sont touchés dans la même proportion. Les personnes de 53 à 69 ans peu diplômées sont les plus touchées : un quart d’entre elles sont en situation de Nerp, contre seulement 7 % pour les personnes titulaires d'un diplôme de niveau bac+2 ou plus. La majorité des seniors qui ne travaillent pas ni ne touchent de retraite (88 %) sont en dehors du chômage et de son halo. Ils ne souhaitent pas travailler car ils sont souvent proches de la retraite ou ont des problèmes de santé. Le reste d’entre eux sont dans le halo autour du chômage (7 %) ou au chômage (5 %). Sous certaines conditions, des minima sociaux ou des allocations peuvent être versés permettant d’avoir un minimum de ressources destiné à compenser l’absence de revenus d’activité. En Martinique, pour les personnes en situation de Nerp, le revenu de solidarité active (RSA) est l’aide la plus courante (14 %). Il assure aux personnes sans ressources un niveau minimum de revenu qui varie selon la composition du foyer. Une allocation chômage est également versée à 11 % des Nerp. Certains adultes atteints d’un handicap peuvent aussi prétendre à l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Cette aide est versée aux adultes ayant un taux d’incapacité fixé au minimum à 50 %: en Martinique, 6 % des Nerp perçoivent l’AAH.

Publication rédigée par :Matthieu Cornut, Eric Mével (Insee)

Sources

L’enquête Emploi en Continu (EEC) est la seule source fournissant une mesure des concepts d’activité, chômage, emploi et inactivité tels qu’ils sont définis par le Bureau International du Travail (BIT). Elle a lieu en continu toutes les semaines de l’année en France métropolitaine, mais également depuis le 1er janvier 2014, dans les départements d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion), à l’exception de Mayotte.

La mesure de la précision des statistiques issues de cette enquête constitue un enjeu majeur, afin de permettre une interprétation juste et complète des différents résultats de l’Enquête Emploi en Continu. Dans les régions d’outre-mer, le taux de chômage annuel au sens du BIT est calculé avec une précision à 95 % de ± 1,5 point.

Le niveau et la structure de l’emploi fournis par l’enquête Emploi peuvent différer de ceux obtenus à partir des sources administratives (Estimations d’emploi).

En 2021, l’enquête Emploi a connu une refonte majeure. Son questionnaire a été rénové afin, d’une part, de se conformer au nouveau règlement européen sur les statistiques sociales qui l’encadre et, d’autre part, de mieux répondre aux besoins de ses utilisateurs et aux nouveaux enjeux du marché du travail. Son protocole de collecte a également été modernisé (possibilité de répondre par Internet en réinterrogation) et sa méthode de pondération revue. Pour plus d’informations sur la refonte et son impact sur les principaux indicateurs issus de l’enquête (Insee Analyses no 65, 2021).

Définitions

Emploi (au sens du Bureau International du Travail (BIT)) :

Une personne en emploi au sens du Bureau International du Travail (BIT) est une personne de 15 ans ou plus ayant effectué au moins une heure de travail rémunéré au cours d’une semaine donnée ou absente de son emploi sous certaines conditions de motif (congés annuels, maladie, maternité,etc.) et de durée.

Toutes les formes d’emploi sont couvertes (salariés, à son compte, aide familial), que l’emploi soit déclaré ou non.

Les personnes qui déclarent avoir un emploi dont elles sont absentes sont classées en emploi si elles sont absentes pour congés rémunérés, maladie, maternité / paternité, congé parental de trois mois ou moins ou avec perception d’un revenu compensatoire lié à l’activité tel que la Prepare, aménagement du temps de travail, formation autorisée par l’employeur, période de morte saison dans le cadre d’une activité saisonnière en cas de travaux réguliers dans le cadre de cette activité saisonnière, chômage partiel (ou technique ou intempérie), autre raison d’absence d’une durée de trois mois ou moins.

Chômeur :

Un chômeur est une personne qui n'a pas d'emploi et qui en recherche un. La définition des chômeurs est extrêmement sensible aux critères retenus. La définition la plus couramment utilisée est celle « au sens du BIT ». Elle permet d'effectuer des comparaisons internationales.

Taux d'activité :

Le taux d’activité est le rapport entre le nombre d’actifs et l’ensemble de la population correspondante. Il peut être calculé sur l’ensemble de la population d’un pays, mais on se limite le plus souvent à la population âgée de 15 à 64 ans, ou à une sous‑catégorie de la population (femmes de 25 à 29 ans par exemple).

Taux de chômage (BIT) :

Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et le nombre d’actifs (en emploi ou au chômage).

Halo autour du chômage :

Le halo autour du chômage est composé de personnes sans emploi qui, soit recherchent un emploi mais ne sont pas disponibles dans les deux semaines pour travailler, soit n’ont pas effectué de démarche active de recherche d’emploi dans le mois précédent mais souhaitent travailler, qu’elles soient disponibles ou non.

Le halo regroupe donc les personnes inactives au sens du BIT (ni en emploi, ni au chômage), mais proches du marché du travail.

NEET (neither in employment nor in education or training) : personne qui n’est ni en emploi, ni en études, ni en formation ( ou ).

Formation formelle :

Une formation formelle est une formation qui à la fois :

  • présente un apprentissage graduel hiérarchisé par niveaux ;
  • exige des prérequis pour l'admission ;
  • dure au moins un semestre (ou 30 European Credits Transfer Scale) ;
  • et a un programme reconnu par le système éducatif national (ou une autorité équivalente).

Tels sont les critères de la " Classification of learning activities " (CLA) 2016 pour déterminer si une formation est formelle ou non formelle.

D’une manière générale, en France, les formations du système éducatif (éducation nationale et enseignement supérieur) sont classées comme formelles, notamment lorsqu’elles mènent à un diplôme ou préparent à un concours (par exemple, les classes préparatoires aux grandes écoles). Les formations menant à des certifications professionnelles ou titres inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) sont considérées comme formelles si elles durent au moins un semestre et si le diplôme / titre auquel elles préparent peut être classé à un niveau donné. Ainsi, les formations d’au moins un semestre préparant à un concours sont classées comme formelles, contrairement par exemple aux formations qui mènent aux certificats de qualification professionnelle (CQP) qui ne sont pas classés à un niveau de formation donné, au permis de conduire, au Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (Bafa), au Certificat d'aptitude à la conduite en sécurité (Caces), qui ne sont pas classées comme formelles.

Formation non formelle :

Une formation est dite non formelle si l'une des conditions suivantes n'est pas remplie :

  • présente un apprentissage graduel hiérarchisé par niveaux ;
  • exige des prérequis pour l’admission ;
  • dure au moins un semestre (ou 30 European Credits Transfer Scale) ;
  • a un programme reconnu par le système éducatif national (ou autorité équivalente).

Tels sont les critères de la " Classification of learning activities " (CLA) 2016 pour déterminer si une formation est formelle ou non formelle.

D'une manière générale, en France, les formations sont considérées comme non formelles si elles ne conduisent pas à un diplôme ou à un titre reconnu, ou ne peuvent pas être classées à un niveau de formation donné. Sont notamment considérées comme des formations non formelles, les formations de moins d’un semestre, menant par exemple aux certificats de qualification professionnelle (CQP), au permis de conduire, au Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur (Bafa), au Certificat d'aptitude à la conduite en sécurité (Caces), au Test of English for International Communication (TOEIC) et autres tests de langue similaires.

Les formations non formelles peuvent être à but professionnel ou personnel (comme les cours d’activités de loisirs organisés et encadrés par exemple).

Pour en savoir plus

(1) Cornut M., Mével E. « En Martinique, l’accès à l’emploi est toujours plus difficile qu’au niveau national », Insee Flash Martinique no171, octobre 2022.

(2) Pénicaud E.« L’emploi des jeunes continue d’augmenter fortement, le chômage recule de nouveau », Insee Première no1941, mars 2023.

(3) Principaux indicateurs sur l’emploi, le chômage et l’activité par DOM

(4) Arnaud F., Athari E., Chartier F., Ferret A., Gaudiller G., Guiberteau V., Guirriex R., Langevin G., Lièvre A., Meinzel P., Omalek L., Pichott F. (2021) « Ouvrir dans un nouvel ongletLes retraités et les retraites », Panorama de la DREES Social.

(5) Anaïs A. (ENS), Salibekyan-Rosain Z. ,« En Martinique, un quart des jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation » Insee Analyses Martinique no62, mars 2023.