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Insee Analyses Auvergne-Rhône-Alpes · Janvier 2022 · n° 136
Insee Analyses Auvergne-Rhône-AlpesPuy-de-Dôme - Un département fortement polarisé autour de Clermont-Ferrand

Aude Lécroart, Bruno Roy (Insee)

Le Puy-de-Dôme concentre sa population et ses emplois en son centre, autour de Clermont-Ferrand ; son pourtour est à l’inverse plus rural et par conséquent moins peuplé. La hausse du nombre d’habitants s’accélère, favorisée par l’arrivée de nouveaux habitants venant s’y installer, souvent en provenance des départements voisins. Il s’agit principalement d’étudiants et de jeunes actifs. Clermont-Ferrand, pôle économique majeur, étend son attractivité sur plus du tiers du territoire, suscitant par ailleurs de nombreux déplacements domicile-travail. Quatre autres pôles (Issoire, Thiers, Ambert et Saint-Éloy-les-Mines) structurent le département, même si leur influence est nettement moindre. Le poids de l’industrie reste important, notamment dans le domaine de la fabrication de produits en caoutchouc. Le niveau de vie des Puydômois est proche du niveau national, même si des disparités existent au sein du département.

Insee Analyses Auvergne-Rhône-Alpes
No 136
Paru le :Paru le11/01/2022

Le département du Puy-de-Dôme est un territoire relativement peu dense (82 hab/km² contre 113 hab/km² pour la région). Il présente un relief varié, composé de la plaine de la Limagne au nord et au centre, tandis que le pourtour est jalonné de plusieurs chaînes de montagnes. Au nord-ouest se trouve la chaîne des Puys (avec le puy de Dôme) ; au sud-ouest, les monts Dore (avec le puy de Sancy) et le massif du Cézallier ; et au sud-est, le Livradois-Forez. Ce dernier fait partie, avec les Volcans d’Auvergne, des deux parcs naturels régionaux du département, couvrant la moitié de sa superficie. Le réseau routier est structuré par les autoroutes A71-A75 du nord au sud et A89 d’est en ouest, autour de Clermont-Ferrand, principale agglomération située en plein centre du département. Ces infrastructures la place à 2h00 de voiture de Lyon.

Une population en hausse, concentrée autour de Clermont-Ferrand

En 2018, 659 000 personnes vivent dans le Puy-de-Dôme, ce qui représente 8 % de la population régionale, une proportion stable dans le temps. Le contraste entre les espaces urbains et ruraux est important. Les communes rurales occupent 94 % de la superficie du département (figure 1), un peu plus qu’au niveau régional, mais ne rassemblent que quatre habitants sur dix. La population est ainsi très concentrée sur les 6 % du territoire restants, en particulier dans l’unique grande , Clermont-Ferrand, qui rassemble 273 000 habitants et 41 % de la population, soit autant à elle seule que l’ensemble des zones rurales. La deuxième unité urbaine, Riom, ne compte que 34 000 habitants, devant celles d’Issoire et de Thiers autour de 15 000 personnes.

Figure 1Les types d’espace du Puy-de-Dôme

La croissance démographique du Puy-de-Dôme est de + 0,6 % par an en moyenne entre 2013 et 2018, soit environ 4 000 habitants supplémentaires chaque année. Elle est identique à celle de la région mais au-dessus de celle de la France métropolitaine (+ 0,4 %) ; elle est également supérieure à celle des six départements limitrophes. Cette tendance à la hausse est confirmée par les dernières estimations de population. Elle place le Puy-de-Dôme en 23e position des départements français et en 5e au regard de la région, derrière la Haute-Savoie, l’Ain, le Rhône et la Drôme. Cette croissance s’est accélérée depuis 1999 : de + 0,2 % entre 1975 et 1999, elle est passée à + 0,5 % par an en moyenne entre 1999 et 2018. Avec la Drôme, ce sont les deux seuls départements régionaux où la hausse s’accélère entre 2008 et 2018.

Cette augmentation de la population n’est pas uniforme sur l’ensemble du département et traduit le phénomène d’étalement urbain autour de Clermont-Ferrand (figure 2). En effet, elle concerne surtout le centre du département, le long d’une ligne nord-sud passant par Riom et Issoire, mouvement favorisé par la desserte de l’autoroute A71-A75 et l’absence de relief (plaine de la Limagne, vallée de l’Allier). Parmi les communes de plus de 1 000 habitants, celles qui enregistrent les plus fortes hausses sont Cébazat, près de Clermont-Ferrand, avec + 3,2 % chaque année, Marsat (+ 2,7 %) et Loubeyrat (+ 2,4 %), ces deux dernières étant situées à proximité de Riom.

Figure 2Taux d’évolution annuel moyen de la population entre 2013 et 2018 par commune

  • Retrouver les données de la figure dans le fichier en téléchargement.
  • Lecture : dans la commune d’Issoire, la population a augmenté de plus de 1,0 % en moyenne chaque année entre 2013 et 2018. Elle atteint un peu moins de 16 000 habitants en 2018.
  • Source : Insee, Recensements de la population 2013 et 2018

La croissance démographique la plus forte concerne les communes rurales sous influence d’un pôle (croissance de 0,9 % chaque année), même si cette croissance tend à ralentir. Ce constat reflète la périurbanisation qui s’étend surtout autour de Clermont-Ferrand et de Riom (ainsi que d’Issoire et de Thiers dans une moindre mesure). La population augmente également assez fortement dans les communes urbaines, plus denses, et la hausse a tendance à s’accélérer.

En revanche, les espaces plus ruraux et montagneux des façades est et ouest du département, excentrés de la vallée de l’Allier, perdent des habitants.

L’apport migratoire, principal moteur de la croissance démographique

La population évolue selon deux moteurs : le solde naturel (différence entre naissances et décès) et le solde migratoire (différence entre arrivées et départs). Pour le Puy-de-Dôme, ce dernier est déterminant puisqu’il contribue à la quasi-totalité de la hausse de la population entre 2013 et 2018. En outre, ce solde migratoire s’accélère : il représente + 0,5 % par an en moyenne sur la période 2013-2018, après + 0,3 % entre 2008 et 2013.

Les échanges migratoires se font surtout avec les départements voisins, notamment avec l’Allier (4 500 mouvements au cours de l’année 2017). Le département du Rhône arrive en deuxième position, devant la Haute-Loire, la Loire, le Cantal et Paris (figure 3). En outre, le solde migratoire est positif avec chacun des départements limitrophes sauf avec celui de la Creuse pour lequel il est nul. Sur l’année 2017, l’ensemble des mouvements migratoires avec le reste de la France (hors Mayotte) aboutit à un solde de 3 300 habitants supplémentaires pour le Puy-de-Dôme.

Figure 3Les principaux flux migratoires avec les autres départements

Les principaux flux migratoires avec les autres départements - Lecture : au cours de l’année 2017, 2 500 personnes ont déménagé de l’Allier vers le Puy-de-Dôme et 2 000 personnes ont effectué le mouvement inverse.
Code Libellé Arrivées Départs Solde
03 Allier 2 523 1 997 526
69 Rhône 1 131 946 185
43 Haute-Loire 1 143 828 315
42 Loire 722 512 210
15 Cantal 699 528 171
75 Paris 435 499 -64
31 Haute-Garonne 321 367 -46
  • Note : seuls les flux supérieurs à 900 personnes (arrivées et départs confondus) sont retenus ici.
  • Lecture : au cours de l’année 2017, 2 500 personnes ont déménagé de l’Allier vers le Puy-de-Dôme et 2 000 personnes ont effectué le mouvement inverse.
  • Source : Insee, Recensement de la population 2018

Figure 3Les principaux flux migratoires avec les autres départements

  • Note : seuls les flux supérieurs à 900 personnes (arrivées et départs confondus) sont retenus ici.
  • Lecture : au cours de l’année 2017, 2 500 personnes ont déménagé de l’Allier vers le Puy-de-Dôme et 2 000 personnes ont effectué le mouvement inverse.
  • Source : Insee, Recensement de la population 2018

Parmi ces derniers, un peu plus de la moitié sont des jeunes entre 18 et 24 ans. La plupart d’entre eux viennent suivre des études dans l’un des 58 établissements d’enseignement supérieur du département, concentrés en particulier à Clermont-Ferrand. Les étudiants y sont d’autant plus attirés que les départements limitrophes, mis à part la Loire, proposent une offre de formation supérieure nettement plus limitée. Le Puy-de-Dôme attire également de jeunes actifs, mais dans une proportion bien moindre : les 25 à 39 ans représentent 440 personnes supplémentaires.

Le solde naturel contribue très peu à la hausse de la population, de l’ordre de + 0,1 % par an en moyenne entre 2013 et 2018 (comme sur la période 2008-2013), contre + 0,4 % dans la région. En effet, malgré l’apport de personnes jeunes, la population dans son ensemble est vieillissante : les personnes de 60 à 74 ans représentent 18 % des habitants (contre 16 % en Auvergne-Rhône-Alpes). Elles étaient 16 % en 2013 et leur nombre augmente un peu plus vivement que dans la région sur la période. Les 75 ans et plus représentent 10 % des habitants (contre 9 % pour la région), comme en 2013, bien que leur nombre ait augmenté de 4 % entre-temps. Le maintien de l’attractivité envers les jeunes, y compris lors du passage dans la vie active, apparaît ainsi comme un enjeu majeur pour le renouvellement des générations. À cet égard, le rapport entre les personnes de plus de 65 ans et les moins de 20 ans augmente entre 2013 et 2018, passant de 0,87 à 0,95.

Des emplois également concentrés autour de Clermont-Ferrand, avec un secteur industriel bien présent

Le Puy-de-Dôme compte 270 000 emplois, pour les trois quarts dans le secteur tertiaire, à l’image de la région et de la France métropolitaine. Sur la période 2008-2018, le nombre d’emplois est en hausse dans le département (+ 2 %) alors qu’il est en recul dans les départements limitrophes (entre – 0,1 % et – 8 %), ce qui renforce son attractivité envers l’extérieur. Au regard de la croissance démographique, le rapport entre emplois et actifs occupés au sein du Puy-de-Dôme est à l’équilibre.

En particulier, le secteur industriel représente 41 500 emplois, soit 15 % des emplois du département, proportion identique à celle de la région mais supérieure à celle de la France métropolitaine (12 %). Depuis 1999, le secteur a cependant perdu 13 000 emplois, affichant un recul de 8 % entre 2008 et 2018 ; cette baisse reste toutefois moindre que celle de la région (– 12 %) et celle de France métropolitaine (– 14 %).

L’attractivité démographique est étroitement liée à l’économie du territoire, fortement polarisée autour de Clermont-Ferrand, comme en témoigne son qui recouvre 36 % du territoire et abrite les trois quarts des Puydômois (soit 504 000 personnes). Près de 210 000 emplois y sont localisés, ainsi que les deux tiers des emplois industriels du département. Cette aire est marquée par la présence des établissements Michelin, avec 8 000 postes consacrés à la fabrication de produits en caoutchouc et 3 000 postes tournés vers la recherche et le développement scientifique. Les activités pour la santé humaine constituent un autre secteur important avec la présence de plusieurs hôpitaux, tout comme l’imprimerie (Banque de France à Chamalières où sont imprimés les billets de banque) et l’administration publique (figure 4). Sur la période 2013-2018, la population active évolue au même rythme que les emplois (+ 2 %). Les nouveaux arrivants dans l’aire d’attraction des villes (AAV) de Clermont-Ferrand sont, pour un tiers d’entre eux, des élèves et étudiants (gain de 3 300 personnes entre les arrivées et les départs en 2017).

Quatre pôles économiques plus en retrait

Outre l’AAV de Clermont-Ferrand, le Puy-de-Dôme en comporte quatre autres, de taille bien plus réduite. Celles d’Issoire (pour sa partie puydômoise) et de Thiers comptent chacune environ 35 000 habitants. Elles offrent un nombre d’emplois supérieur à celui des actifs occupés. Cependant, la population active autour d’Issoire continue d’augmenter plus vite que les emplois, contrairement à Thiers où population active et emplois reculent faiblement, à un rythme proche. Les situations de chômage risquent ainsi d’être plus fréquentes dans l’AAV d’Issoire si l’offre ne s’accroît pas au même rythme que le nombre d'actifs. Les activités spécifiques de l’aire d’Issoire sont la fabrication de matériels de transport et la métallurgie (figure 4).

Figure 4Localisation et secteur d’activité des principaux établissements

  • Retrouver les données de la figure dans le fichier en téléchargement.
  • Note : seuls les établissements de plus de 750 postes sont représentés. Ce seuil correspond au nombre de postes du 20ᵉ plus gros établissement du Puy-de-Dôme.
  • Lecture : dans la couronne de l’aire d’attraction d’Ambert se trouve un des vingt plus gros établissements du Puy-de-Dôme. Son secteur d’activité est l’industrie manufacturière et il représente entre 750 et 1 000 postes.
  • Source : Insee, Flores 2018

Les AAV d’Ambert et de Saint-Éloy-les-Mines sont plus petites, avec respectivement 18 000 et 10 000 habitants. Ambert est surtout spécialisée dans l’industrie pharmaceutique (Sanofi Chimie avec 800 postes), tandis que la fabrication de produits minéraux non métalliques est une particularité de Saint-Éloy-les-Mines, surtout en raison de la présence de Rockwool France, spécialiste de l’isolation en laine de roche. Sur la période 2013-2018, le nombre d’emplois recule de 4 % à Ambert, mais cette aire continue cependant à offrir légèrement plus d’emplois qu’il n’y a d’actifs occupés. À Saint-Éloy-les-Mines, même si le nombre d’emplois augmente de 2 %, certains actifs travaillent à l’extérieur de l’AAV, faisant face à une offre d’emplois encore trop limitée. Dans ces deux AAV, les nouveaux arrivants sont plus spécifiquement des retraités, aussi bien à Ambert (28 %) qu’à Saint-Éloy-les-Mines (20 %).

Enfin, le reste du territoire hors AAV abrite 55 000 Puydômois. Il s’agit principalement de la façade ouest, mais aussi du sud-est du département. L’agriculture est fortement présente sur la façade ouest, où il s’agit surtout d’exploitations bovines, orientées vers les filières « viande » au nord-ouest et « lait » au sud-ouest. Entre 2013 et 2018, le nombre d’emplois et la population active diminuent à un rythme proche (respectivement – 4 % et – 3 %) dans ces territoires.

Des déplacements domicile-travail nombreux à l’intérieur du département

Ainsi, en raison de la forte polarisation exercée par l’AAV de Clermont-Ferrand, 95 % des actifs puydômois en emploi habitent et travaillent au sein du département, soit 254 000 personnes. Les principaux échanges de navetteurs avec l’extérieur ont lieu avec l’AAV de Vichy (avec un total de 5 500 mouvements, équilibré entre entrées et sorties) ainsi que les AAV de Paris, de Montluçon et de Brioude (2 000 mouvements environ pour le cumul entrées-sorties pour chacune d’elles).

Ces déplacements, à l’intérieur ou à l’extérieur du département, s’effectuent en voiture ou en moto dans 80 % des cas, un peu plus que dans la région. En revanche, l’utilisation des transports en commun est moindre (7 %). De ce point de vue, 9 % des habitants sont domiciliés à plus de 30 minutes d’une gare ferroviaire contre 4 % seulement dans la région. L’adaptation et le développement de l’offre de transport constitue un enjeu de taille face à l’augmentation de la population et à la périurbanisation croissante autour de Clermont-Ferrand.

Des disparités de niveau de vie entre territoires

En 2018, dans le Puy-de-Dôme, 11,9 % de la population active est au chômage (chômage déclaré, au sens du recensement de la population), un niveau proche de celui de la région (11,5 %) et inférieur à celui de la France métropolitaine (13,0 %). Il diffère aussi selon les AAV : celle de Thiers en particulier est plus fortement touchée par le chômage (figure 5). Le (13,2 %), un peu au-dessus de celui de la région (12,7 %), est également plus faible qu’en France métropolitaine (14,8 %).

Figure 5Indicateurs socio-économiques par aire d’attraction des villes

Indicateurs socio-économiques par aire d’attraction des villes
Aire d’attraction des villes (AAV) Part de la population active au chômage (en %) Taux de pauvreté (en %) Niveau de vie médian (en euros)
Clermont-Ferrand 11,8 12,3 22 600
Issoire (partie puydômoise) 13,5 13,5 20 000
Thiers 15,6 17,1 19 600
Ambert 11,0 15,4 20 100
Saint-Éloy-les-Mines 13,7 17,6 19 200
Reste du territoire hors AAV 10,1 16,4 19 700
Département du Puy-de-Dôme 11,9 13,2 21 900
Pôles des AAV 16,3 19,5 20 600
Couronnes des AAV 9,6 9,4 22 700
  • Source : Insee, Recensement de la population 2018 ; Fichier localisé social et fiscal (Filosofi) 2018

Enfin, le des habitants du Puy-de-Dôme est de 21 900 euros, inférieur à celui de la région (22 500 euros) mais un peu au-dessus de celui de la France métropolitaine (21 700 euros). Il varie de 19 200 euros dans l’AAV de Saint-Éloy-les-Mines à 22 600 euros dans celle de Clermont-Ferrand. Cet écart s’explique par des emplois globalement plus qualifiés dans l’aire de Clermont-Ferrand, la part des cadres et professions intellectuelles supérieures étant de 10 % contre 3 % dans celle de Saint-Éloy-les-Mines, qui compte aussi davantage de retraités. Par ailleurs, la situation socio-économique est plus favorable dans les couronnes des AAV que dans leurs pôles, qui concentrent davantage d’inégalités. La pauvreté a d’ailleurs tendance à augmenter dans toutes les métropoles de la région, et en particulier dans celle de Clermont-Ferrand.

Publication rédigée par :Aude Lécroart, Bruno Roy (Insee)

Définitions

Une unité urbaine est une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et compte au moins 2 000 habitants.

L’aire d’attraction d’une ville (AAV) définit l’étendue de son influence en termes d’emploi sur les communes environnantes. L’AAV est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, constitué d’un pôle de population et d’emploi, et d’une couronne qui regroupe les communes dont au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle.

Le taux de pauvreté correspond à la proportion de ménages dont le niveau de vie est inférieur pour une année donnée à un seuil, dénommé seuil de pauvreté, fixé en France à 60 % du niveau de vie médian.

Le niveau de vie est le revenu disponible du ménage divisé par le nombre d’unités de consommation (UC), qui permettent de tenir compte de la taille du ménage et des économies d’échelle réalisées en son sein. Le niveau de vie médian est le niveau de vie au-dessous duquel se situent 50 % des ménages.

Pour en savoir plus

« Des enjeux pour demain / Département du Puy-de-Dôme : population et emploi se polarisent autour de Clermont-Ferrand », Insee Dossier Auvergne-Rhône-Alpes n° 6, février 2021

« Puy-de-Dôme : dynamisme démographique autour de Clermont-Ferrand », Insee Flash Auvergne-Rhône-Alpes n° 50, janvier 2019