Insee Focus ·
Octobre 2025 · n° 365
Cohabitation multigénérationnelle dans les DOM : plus de femmes et des logements suroccupés
En 2022, les ménages dits « complexes » sont plus fréquents dans les DOM que dans l’Hexagone, particulièrement les ménages qui regroupent un noyau familial et au moins un ascendant ou descendant. Ces ménages multigénérationnels représentent jusqu’à 5 % des ménages dans certains DOM, contre 1 % dans l’Hexagone.
Ils se caractérisent par une suroccupation des logements plus fréquente et des taux d’emploi inférieurs. Les femmes sont surreprésentées dans ces ménages.
Dans les cinq DOM, 56 % à 77 % des ménages multigénérationnels contiennent au moins une famille monoparentale ; leurs conditions de vie sont encore plus difficiles. La part des ménages multigénérationnels a fortement diminué depuis 1990 aux Antilles, à La Réunion et dans l’Hexagone, mais elle est restée stable en Guyane.
- 144 500 personnes vivent dans un ménage multigénérationnel dans les DOM
- Les femmes surreprésentées dans les ménages multigénérationnels
- Le ménage multigénérationnel le plus fréquent : une seule famille et un ascendant, et éventuellement une ou plusieurs personnes isolées
- Environ un quart des ménages multigénérationnels est constitué d’un couple et d’une famille monoparentale
- Plus de 60 % des ménages avec deux familles monoparentales vivent dans des logements suroccupés
- Encadré – Diminution des taux de ménages complexes et multigénérationnels entre 1990 et 2022
144 500 personnes vivent dans un ménage multigénérationnel dans les DOM
Dans les DOM en 2022, 2,2 millions de personnes vivent dans 850 600 logements, qui forment autant de ménages. Parmi ces ménages, 9 % sont dits « complexes », c’est-à-dire qu’ils ne sont pas constitués uniquement d’une personne seule ou d’un noyau familial (couple avec ou sans enfants ou famille monoparentale). Ils sont 12 100 en Guadeloupe, 12 900 en Martinique, 14 600 en Guyane, 27 500 à La Réunion et 10 500 à Mayotte (données 2017). Ces ménages complexes représentent 7 à 8 % des ménages aux Antilles et à La Réunion, 17 % en Guyane et à Mayotte, contre 3 % dans l’Hexagone (figure 1). 334 800 personnes vivent dans un ménage complexe dans les DOM.
tableauFigure 1a – Répartition des ménages complexes en Guadeloupe en 2022
| Type de ménage | Effectifs (en nombre de ménages) |
Part dans l’ensemble des ménages (en %) |
|---|---|---|
| Complexe | 12 100 | 6,8 |
| Avec noyau familial | 8 700 | 4,9 |
| Multigénérationnel | 5 100 | 2,9 |
| Non multigénérationnel | 3 600 | 2,0 |
| Sans noyau familial | 3 400 | 1,9 |
- Note : Ces données sont arrondies. Le calcul de sommes ou de proportions à partir de ces données peut donc être différent des valeurs affichées.
- Lecture : En 2022, en Guadeloupe, 6,8 % des ménages sont des ménages complexes.
- Champ : Guadeloupe, ménages.
- Source : Insee, recensement de la population 2022 (exploitation complémentaire).
graphiqueFigure 1a – Répartition des ménages complexes en Guadeloupe en 2022

- Lecture : En 2022, en Guadeloupe, 6,8 % des ménages sont des ménages complexes.
- Champ : Guadeloupe, ménages.
- Source : Insee, recensement de la population 2022 (exploitation complémentaire).
Les ménages complexes se divisent en deux catégories. La première regroupe les ménages sans noyau familial, qui ne comportent ni couple ni famille monoparentale. Il s’agit par exemple de personnes sans lien de parenté vivant en colocation, ou d’un frère et d’une sœur vivant ensemble sans leurs parents. La seconde regroupe les ménages avec noyau familial, constitués d’au moins une famille, un adulte avec enfant(s) ou un couple avec ou sans enfants, et d’au moins une autre personne qui peut appartenir ou non à une autre famille.
Au sein des ménages complexes avec noyau familial, les ménages multigénérationnels comprennent un noyau familial et au moins un ascendant ou un petit-enfant de l’un des adultes de la famille. Dans les DOM, 144 500 individus vivent dans 29 700 ménages multigénérationnels. En Guadeloupe, en Martinique et à La Réunion, 3 % des ménages sont multigénérationnels. Ce taux s’élève à 4 % à Mayotte et 5 % en Guyane. Les ménages multigénérationnels sont plus présents dans les DOM que dans l’Hexagone (1 %).
Enfin, dans les DOM, 56 à 77 % des ménages multigénérationnels comportent au moins une famille monoparentale.
Les femmes surreprésentées dans les ménages multigénérationnels
Dans les DOM, les ménages multigénérationnels sont davantage exposés à des situations de suroccupation de leur logement que les autres ménages. 31 % des ménages multigénérationnels sont concernés à La Réunion, 35 % en Guadeloupe et en Martinique, 66 % en Guyane et 71 % à Mayotte (figure 2). Les autres ménages vivent moins souvent dans un logement suroccupé (8 % en Martinique, 9 % en Guadeloupe, 12 % à La Réunion, 34 % en Guyane et 57 % à Mayotte).
tableauFigure 2 – Caractéristiques des ménages et de la population des ménages, par DOM
| Type de ménage | Part de ménages vivant dans un logement suroccupé | Part de femmes parmi les individus de 15 ans ou plus | Taux d’emploi des 15-64 ans |
|---|---|---|---|
| Guadeloupe | |||
| Ménage multigénérationnel | 35 | 65 | 49 |
| Autre ménage | 9 | 55 | 54 |
| Martinique | |||
| Ménage multigénérationnel | 35 | 65 | 53 |
| Autre ménage | 8 | 55 | 59 |
| Guyane | |||
| Ménage multigénérationnel | 66 | 59 | 33 |
| Autre ménage | 34 | 54 | 43 |
| La Réunion | |||
| Ménage multigénérationnel | 31 | 59 | 45 |
| Autre ménage | 12 | 53 | 50 |
| Mayotte | |||
| Ménage multigénérationnel | 71 | 60 | 24 |
| Autre ménage | 57 | 54 | 30 |
| France métropolitaine | |||
| Ménage multigénérationnel | 27 | 58 | 58 |
| Autre ménage | 9 | 52 | 68 |
- Lecture : En 2022, en Guyane, 66 % des ménages multigénérationnels vivent dans un logement suroccupé, contre 34 % des autres ménages.
- Champ : France, ménages (logement suroccupé), individus de 15 ans ou plus (part de femmes), individus de 15 à 64 ans (taux d'emploi).
- Source : Insee, recensements de la population 2022 et 2017 pour Mayotte (exploitations complémentaires).
Les femmes de 15 ans ou plus sont très présentes dans les ménages multigénérationnels : leur part est de 59 % en Guyane et à La Réunion, 60 % à Mayotte et 65 % en Martinique et en Guadeloupe, soit 5 à 10 points de plus que la part de femmes dans les autres ménages.
Les personnes y sont moins souvent en emploi : le taux d’emploi des 15‑64 ans de ces ménages est inférieur de 5 points en Guadeloupe et à La Réunion, de 6 points à Mayotte, de 7 points en Martinique et de 10 points en Guyane, par rapport au reste de la population. Dans l’Hexagone, la différence est également élevée, atteignant 10 points.
Le ménage multigénérationnel le plus fréquent : une seule famille et un ascendant, et éventuellement une ou plusieurs personnes isolées
Le ménage multigénérationnel le plus fréquent contient une seule famille (couple avec ou sans enfants ou famille monoparentale) avec une ou plusieurs personnes isolées. Cela correspond par exemple à un couple sans enfant vivant avec le père d’une des personnes du couple, ou alors à une femme vivant avec son enfant et sa mère. Ce type de ménage représente plus de la moitié des ménages multigénérationnels dans les DOM, hormis en Guyane (44 %) (figure 3). Les individus composant ces ménages bénéficient de conditions de vie plus favorables avec un logement moins souvent suroccupé et un taux d’emploi plus élevé, par rapport aux autres ménages multigénérationnels. Les femmes de 15 ans ou plus y sont surreprésentées.
tableauFigure 3 – Répartition des profils de ménages multigénérationnels et taux de suroccupation du logement, par DOM
| Profil du ménage multigénérationnel | Guadeloupe | Martinique | Guyane | La Réunion | Mayotte | France métropolitaine | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Part dans l’ensemble | Taux de suroccupation du logement | Part dans l’ensemble | Taux de suroccupation du logement | Part dans l’ensemble | Taux de suroccupation du logement | Part dans l’ensemble | Taux de suroccupation du logement | Part dans l’ensemble | Taux de suroccupation du logement | Part dans l’ensemble | Taux de suroccupation du logement | |
| Une seule famille (avec personnes isolées), dont : |
56 | 29 | 54 | 26 | 44 | 56 | 56 | 26 | 56 | 69 | 64 | 24 |
| Une seule famille monoparentale (avec personnes isolées) |
38 | 34 | 36 | 34 | 27 | 59 | 24 | 36 | 25 | 75 | 20 | 37 |
| Un couple et une famille monoparentale (avec ou sans personnes isolées) |
20 | 32 | 24 | 36 | 22 | 64 | 21 | 37 | 26 | 71 | 16 | 32 |
| Deux familles monoparentales (avec ou sans personnes isolées) |
18 | 65 | 17 | 65 | 24 | 86 | 11 | 64 | 10 | 94 | 4 | 65 |
| Deux couples avec ou sans enfants (avec ou sans personnes isolées) |
5 | 19 | 5 | 16 | 10 | 61 | 13 | 18 | 8 | 57 | 16 | 22 |
| Ensemble des ménages multigénérationnels | 100 | 35 | 100 | 35 | 100 | 66 | 100 | 31 | 100 | 71 | 100 | 27 |
- Note : Ces données sont arrondies. Le calcul de sommes ou de proportions à partir de ces données peut donc être différent des valeurs affichées.
- Lecture : En 2022, en Guadeloupe, 56 % des ménages multigénérationnels sont composés d’une seule famille (avec personnes isolées) ; 29 % de ces ménages vivent dans un logement suroccupé.
- Champ : France, ménages multigénérationnels.
- Source : Insee, recensements de la population 2022 et 2017 pour Mayotte (exploitations complémentaires).
Au sein de ce sous-profil de ménages multigénérationnels, ceux comprenant une famille monoparentale sont beaucoup moins favorisés tant pour la suroccupation du logement que pour le taux d’emploi. De plus, 70 % des personnes de 15 ans ou plus dans ces ménages sont des femmes en Guyane, 71 % à La Réunion, 75 % à Mayotte, 76 % en Martinique et 77 % en Guadeloupe, soit au moins 13 points de plus que la part de femmes des autres ménages multigénérationnels dans les cinq DOM.
Environ un quart des ménages multigénérationnels est constitué d’un couple et d’une famille monoparentale
Le deuxième type de ménage multigénérationnel le plus fréquent est composé d’un couple (avec ou sans enfants), d’une famille monoparentale et éventuellement d’une ou plusieurs personnes isolées. Cela peut correspondre à un ménage composé d’un couple et de son ou ses enfants, dont au moins un a son propre enfant. Ils représentent entre 20 % et 26 % des ménages multigénérationnels selon les DOM.
En Guadeloupe et en Guyane, les logements de ces ménages sont moins touchés par la suroccupation de respectivement 3 et 4 points par rapport à ceux des autres ménages multigénérationnels. À Mayotte c’est équivalent, en Martinique et à la Réunion la suroccupation est plus forte de respectivement 1 et 7 points.
Plus de 60 % des ménages avec deux familles monoparentales vivent dans des logements suroccupés
Les ménages multigénérationnels composés de deux familles monoparentales, avec ou sans personnes supplémentaires isolées, représentent entre 10 % et 24 % des ménages multigénérationnels, selon les DOM. Il s’agit par exemple d’un ménage composé d’une femme avec ses deux enfants ainsi que de son frère et de leur mère. Ce type de ménage peut aussi être constitué d’une femme avec trois enfants, dont un des enfants ayant son propre enfant.
Ces ménages sont très majoritairement concernés par la suroccupation des logements : cela concerne 64 % d’entre eux à La Réunion, 65 % en Guadeloupe et en Martinique, et jusqu’à 86 % en Guyane et 94 % à Mayotte. La présence de femmes de 15 ans ou plus dans ces ménages est aussi accrue : elles sont 61 % en Guyane, 65 % à La Réunion, 68 % à Mayotte, 70 % en Guadeloupe et 72 % en Martinique. Dans les cinq DOM, le taux d’emploi des 15-64 ans est significativement plus faible dans ces ménages, par rapport aux autres ménages multigénérationnels.
Les autres ménages multigénérationnels sont composés de deux couples avec ou sans enfants. Ils représentent 16 % des ménages multigénérationnels dans l’Hexagone, 13 % à La Réunion, 10 % en Guyane, 8 % à Mayotte et 5 % en Guadeloupe et en Martinique.
Encadré – Diminution des taux de ménages complexes et multigénérationnels entre 1990 et 2022
En 1990, 18 % des ménages à La Réunion étaient complexes, 20 % en Guadeloupe et en Martinique, et 22 % en Guyane (figure).
En 2022, les parts de ménages complexes sont beaucoup plus faibles qu’en 1990 dans les DOM comme dans l’Hexagone. Elles sont divisées par trois environ en Guadeloupe et en Martinique, et par deux environ à la Réunion et en France métropolitaine. Cette forte baisse en l’espace d’une trentaine d’années s’explique à la fois par une baisse des ménages multigénérationnels et une baisse des autres ménages complexes. La Guyane fait exception : la part de ménages complexes y diminue plus modérément (de 22 % à 17 %), la proportion de ménages multigénérationnels restant stable.
tableauFigure – Taux de ménages complexes et multigénérationnels en 1990 et 2022,
par DOM
| Région | Ménage complexe | Ménage multigénérationnel | ||
|---|---|---|---|---|
| 1990 | 2022 | 1990 | 2022 | |
| Guadeloupe | 20,4 | 6,8 | 9,9 | 2,9 |
| Martinique | 20,4 | 7,5 | 10,7 | 3,2 |
| Guyane | 21,7 | 17,0 | 5,4 | 5,2 |
| La Réunion | 17,8 | 7,8 | 9,0 | 3,4 |
| France métropolitaine | 6,0 | 3,4 | 2,3 | 0,9 |
- Lecture : En Guyane, le taux de ménages complexes est passé de 21,7 % à 17,0 % entre 1990 et 2022, celui de ménages multigénérationnels de 5,4 % à 5,2 %.
- Champ : France hors Mayotte, ménages.
- Source : Insee, recensements de la population 1990 (sondage au quart) et 2022 (exploitation complémentaire).
graphiqueFigure – Taux de ménages complexes et multigénérationnels en 1990 et 2022,
par DOM

- Lecture : En Guyane, le taux de ménages complexes est passé de 21,7 % à 17,0 % entre 1990 et 2022, celui de ménages multigénérationnels de 5,4 % à 5,2 %.
- Champ : France hors Mayotte, ménages.
- Source : Insee, recensements de la population 1990 (sondage au quart) et 2022 (exploitation complémentaire).
Sources
Cette étude s’appuie sur les résultats des recensements de la population, qui seuls permettent de produire des statistiques suffisamment fiables sur la structure des ménages à un niveau géographique fin. Sur le champ France hors Mayotte, les données proviennent du recensement exhaustif de 1990 et du recensement de 2022, basé sur les enquêtes annuelles de 2019 à 2024. Pour Mayotte, les données sont celles du dernier recensement exhaustif de la population de 2017.
Méthodes
L’exploitation complémentaire des recensements permet de connaître les liens familiaux au sein des ménages et, par le biais de l’analyse ménages-familles, de distinguer les ménages complexes et d’établir leur composition. Dans l’analyse ménages-familles, une famille (désignée ici par noyau familial) est définie par une relation de couple ou de filiation directe. Pour qu’une personne soit enfant d’une famille, elle doit être célibataire et ne pas avoir de conjoint ou d’enfant faisant partie du même ménage ; aucune limite d’âge n’est en revanche appliquée.
Définitions
Un ménage désigne l’occupant ou l’ensemble des occupants d’un même logement sans que ces personnes soient nécessairement unies par des liens de couple ou de parenté (en cas de colocation par exemple).
Un ménage complexe est un ménage qui n’est pas composé exclusivement soit d’une seule personne, soit d’une seule famille (couple avec ou sans enfants, famille monoparentale).
Un ménage complexe sans noyau familial est un ménage complexe dans lequel il n’y a ni couple ni famille monoparentale.
Un ménage complexe avec noyau familial est un ménage constitué d’au moins une famille, avec ou sans enfants, et d’au moins une autre personne qui peut appartenir ou non à une autre famille.
Une famille est constituée d’un couple avec ou sans enfants, ou d’une famille monoparentale.
Un ménage complexe avec noyau familial multigénérationnel est un ménage complexe soit composé d’une famille vivant avec au moins un ascendant (parent ou grand-parent), soit d’une famille avec enfants vivant avec un petit enfant de l’un des adultes de la famille. Un ménage multigénérationnel est nommé ménage dynastique dans l’Hexagone [Daguet, Pora, 2024].
Un logement est suroccupé (ou en situation de suroccupation) s’il comporte moins de pièces que le nombre théoriquement nécessaire au ménage occupant
le logement (norme).
Le nombre de pièces théoriquement nécessaire (norme) est calculé ainsi : une pièce
de séjour pour le ménage, une pièce pour chaque couple, une pièce pour chaque personne
de 19 ans ou plus ne vivant pas en couple dans le ménage et, pour les personnes de
moins de 19 ans, une pièce pour deux personnes si elles ont le même sexe ou ont moins
de 7 ans, sinon, une pièce par personne. La cuisine n’est comptée dans le nombre de
pièces du logement que si elle mesure plus de 12 m².
Par exemple, selon cette norme théorique d’« occupation normale », un couple avec
un enfant a besoin d’au moins trois pièces.
Les personnes en emploi au sens du recensement de la population sont celles ayant déclaré avoir un emploi dans le formulaire du recensement.
Le taux d’emploi rapporte le nombre de personnes en emploi à la population totale. Il peut être calculé pour une sous-catégorie de la population donnée (par exemple une tranche d’âge, les habitants d’une région, les titulaires d’un diplôme, etc.).
Pour en savoir plus
Pora P., « En 2023, trois enfants sur dix vivent avec un seul de leurs parents », Insee Première no 2032, janvier 2025.
Enquête Migrations, Famille et Vieillissement 2020-2021 à La Réunion, Guadeloupe, Martinique et Guyane, Premiers résultats de l’enquête MFV-2, Ined, avril 2024.
Daguet F., Pora P., « Partager son logement au-delà du noyau familial : des disparités régionales qui persistent », Insee Première no 1980, janvier 2024.
Seguin S., Granjon M., Thibault P., « À Mayotte, un recensement adapté à une population aux évolutions hors normes », Le blog de l’Insee, janvier 2023.
Bernard V., Gallic G., Léon O., Sourd C., « Logements suroccupés, personnes âgées isolées… : des conditions de confinement diverses selon les territoires », Insee Focus no 189, avril 2020.





