Insee Flash Centre-Val de Loire ·
Septembre 2024 · n° 85
86 000 jeunes en âge de fréquenter les écoles et établissements scolaires dans l’Eure-et-Loir
à l’horizon 2040
En 2021, l’Eure-et-Loir compte 107 000 jeunes de moins de 20 ans, soit près d’un habitant sur quatre à un âge proche de fréquenter les écoles ou les établissements du second degré. Cette population se concentre dans et autour des principales villes du département et aux limites de celui-ci avec l’Île-de-France. Elle diminue depuis la fin de la décennie 2010, notamment du fait du recul du nombre de naissances. Cette évolution concerne chacun des quatre territoires considérés dans le département. Dans l’hypothèse d’une poursuite des tendances actuelles, notamment en termes de solde migratoire et de natalité, la baisse de la population des moins de 20 ans devrait se prolonger à l’horizon 2040. Entre 2021 et 2040, le nombre d’habitants de moins de 20 ans diminuerait de 22 000.
Cette étude fait partie d’une série de sept publications sur la population en âge de fréquenter les écoles et établissements scolaires en Centre-Val de Loire.
La population scolaire se concentre dans le quart nord-est du département
En 2021, près de 431 300 personnes résident dans l’Eure-et-Loir. Parmi elles, 46,8 % vivent dans une commune urbaine, 34,7 % dans une commune rurale périurbaine et 18,5 % dans une commune rurale non périurbaine. Les 107 400 jeunes âgés de moins de 20 ans du département résident quant à eux plus fréquemment dans les communes rurales périurbaines et moins dans les communes non périurbaines (36,4 % contre 16,7 %). Cette population comprend les différentes sous-populations en âge de fréquenter les écoles, les collèges et les lycées du département.
Cette population des moins de 20 ans est la plus dense autour de Chartres, Dreux et aux limites du département avec l’Île-de-France (figure 1). En dehors des périphéries des communes de Châteaudun et de Nogent-le-Rotrou, la densité de jeunes est moindre dans le reste de l’Eure-et-Loir. La population des ménages du département habite en moyenne à 6 minutes en voiture d’un collège et 13 minutes d’un lycée d’enseignement général et/ou technologique, contre respectivement 6 et 12 minutes en moyenne dans la région.
Le nombre de naissances, en hausse dans la décennie 2000, a régulièrement diminué au cours de la suivante, et ce, plus brutalement à partir de 2017. Les naissances sont ainsi passées de 5 550 en 2012 à 4 600 en 2022, soit une baisse de 17,1 %. Cette évolution est plus marquée dans les territoires d’étude de Châteaudun et de Nogent-le-Rotrou (pour comprendre), qui connaissent une diminution de 20,9 % sur la période et comptent respectivement 500 et 530 naissances en 2022. Les territoires de Chartres et de Dreux (2 070 et 1 500 naissances en 2022) ont connu un déclin moins important : -15,0 % pour le premier et -0,9 % pour le second.
graphiqueFigure 1 – Densité de la population âgée de moins de 20 ans dans l'Eure-et-Loir

- Compte tenu du niveau de détail, les données de cette carte ne sont pas disponibles.
- Note : Les territoires d’étude sont définis en s’appuyant sur le découpage par arrondissement et par canton, et sur la sectorisation des collèges publics.
- Champ : Personnes de moins de 20 ans.
- Sources : Insee, Recensement de la population 2021, Base permanente des équipements 2021.
Le nombre de jeunes continuerait de diminuer jusqu’en 2040
Cette tendance de fond contribue à la baisse continue de la population des moins de 20 ans. Entre 2015 et 2021, leur nombre a diminué de 2 900 (soit -0,4 % par an en moyenne). En 2021, les habitants de moins de 20 ans représentent un quart (24,9 %) de la population du département, ce qui le place au 18e rang des départements de France métropolitaine. Outre l’évolution de la fécondité, le nombre de femmes en âge de procréer (de 15 à 49 ans) est un facteur déterminant du nombre de naissances. Dans l’Eure-et-Loir, elles étaient 98 000 en 2000, 94 000 en 2010, puis 87 000 en 2020 selon les estimations de population (sources). Cette baisse est plus marquée encore aux âges les plus féconds (de 25 à 34 ans), où le nombre de femmes est passé de 28 000 en 2000 à 26 000 en 2010, puis 23 000 en 2020. Leur diminution lors de la première décennie s’est accélérée au cours de la suivante jusqu’à conduire à la perte de près d’un quart de leurs effectifs en 20 ans. Cette évolution contribue au déclin des naissances et donc de la population en âge d’être scolarisée dans le département à l’horizon 2040.
D’après les projections de population, cette évolution devrait se prolonger dans les prochaines années quel que soit le scénario envisagé. En effet, dans une hypothèse de poursuite des tendances actuelles en matière de fécondité, d’espérance de vie et de migrations avec l’étranger (scénario « central »), le nombre de jeunes diminuerait pour approcher 85 600 en 2040 (figure 2), soit une baisse annuelle moyenne de 1,2 % entre 2021 et 2040. Les moins de 20 ans représenteraient alors 21,9 % de la population, ce qui placerait l’Eure-et-Loir au 32e rang des départements de France métropolitaine.
Sous des hypothèses moins favorables notamment en matière de fécondité et de migrations avec l’étranger (scénario de « population basse »), l’Eure-et-Loir compterait 77 000 jeunes en 2040, soit une diminution annuelle moyenne de 1,7 %.
Enfin, sous des hypothèses plus favorables notamment en matière de fécondité et de migrations avec l’étranger (scénario de « population haute »), le nombre de jeunes diminuerait tout de même de 0,7 % par an en moyenne d’ici 2040, pour se situer autour de 94 500.
tableauFigure 2 – Évolution et projections de la population âgée de moins de 20 ans dans l'Eure-et-Loir
Année | Population observée | Scénario central | Scénario population haute | Scénario population basse |
---|---|---|---|---|
1990 | 120 660 | /// | /// | /// |
1999 | 111 780 | /// | /// | /// |
2010 | 110 080 | /// | /// | /// |
2015 | 110 320 | /// | /// | /// |
2021 | 107 380 | /// | /// | /// |
2025 | /// | 102 560 | 102 940 | 102 100 |
2026 | /// | 101 260 | 101 880 | 100 530 |
2027 | /// | 99 690 | 100 630 | 98 640 |
2028 | /// | 98 310 | 99 630 | 96 870 |
2029 | /// | 96 860 | 98 630 | 94 960 |
2030 | /// | 95 460 | 97 760 | 93 050 |
2031 | /// | 93 920 | 96 810 | 90 910 |
2032 | /// | 92 510 | 96 020 | 88 920 |
2033 | /// | 91 220 | 95 360 | 87 020 |
2034 | /// | 90 010 | 94 790 | 85 200 |
2035 | /// | 88 900 | 94 330 | 83 460 |
2036 | /// | 87 880 | 93 980 | 81 810 |
2037 | /// | 87 070 | 93 840 | 80 360 |
2038 | /// | 86 440 | 93 900 | 79 100 |
2039 | /// | 85 950 | 94 120 | 77 970 |
2040 | /// | 85 580 | 94 450 | 76 950 |
- /// : Absence de données due à la nature des choses.
- Note : Les effectifs sont arrondis à la dizaine.
- Lecture : D’après le scénario central des projections Omphale, la population des moins de 20 ans de l'Eure-et-Loir serait de 85 580 individus en 2040.
- Champ : Eure-et-Loir, personnes de moins de 20 ans.
- Sources : Insee, Recensements de la population 1990, 1999, 2010, 2015 et 2021, Omphale 2022.
graphiqueFigure 2 – Évolution et projections de la population âgée de moins de 20 ans dans l'Eure-et-Loir

- Note : Les effectifs sont arrondis à la dizaine.
- Lecture : D’après le scénario central des projections Omphale, la population des moins de 20 ans de l'Eure-et-Loir serait de 85 580 individus en 2040.
- Champ : Eure-et-Loir, personnes de moins de 20 ans.
- Sources : Insee, Recensements de la population 1990, 1999, 2010, 2015 et 2021, Omphale 2022.
La baisse concernerait tous les territoires
Dans le scénario central de prolongement des tendances, le nombre de jeunes diminuerait en 2040 dans les quatre territoires de l’Eure-et-Loir (figure 3). Dans celui de Chartres, la part de la population d’âge scolaire dans la population totale passerait de 24,9 % en 2020 à 21,0 % en 2040, soit 38 600 personnes. En 2020, le territoire de Dreux est le plus jeune de la région avec une part des habitants âgés de moins de 20 ans de 27,0 %. En 2040, il serait dépassé par l’arrondissement d’Orléans : sa population d’âge scolaire tomberait à 26 600 individus, soit 23,0 %. Dans le territoire de Nogent-le-Rotrou, la part des jeunes passerait de 23,7 % à 18,8 % pour s’établir à 10 300 personnes. Enfin, dans celui de Châteaudun, cette part de 22,8 % en 2020 serait de 19,0 % en 2040, soit 10 100 individus.
Dans le territoire de Chartres, le nombre d’enfants de moins de 6 ans passerait de 13 300 à 11 300 entre 2020 et 2040. Dans le territoire de Dreux, leur nombre passerait de 9 800 à 7 700. Dans celui de Nogent-le-Rotrou, on en compterait 2 900 contre 3 700 en 2020. Dans le territoire de Châteaudun, les enfants de moins de 6 ans seraient 2 900 contre 3 400 en 2020.
Sur la même période, les enfants de niveau élémentaire (de 6 à 10 ans), au nombre de 12 400 en 2020 dans le territoire de Chartres, ne seraient plus que 9 600 en 2040. Dans celui de Dreux, leur effectif serait de 6 600 en 2040, contre 9 300 en 2020. Dans le territoire de Nogent-le-Rotrou, il s’établirait à 2 600 contre 3 700 en 2020. Dans celui de Châteaudun, les enfants de niveau élémentaire seraient 2 600 en 2040 contre 3 400 en 2020.
Entre 2020 et 2040, la population en âge d’être au collège (de 11 à 14 ans) passerait de 10 100 à 8 000 dans le territoire de Chartres, de 7 500 à 5 500 dans celui de Dreux, de 3 200 à 2 200 dans celui de Nogent-le-Rotrou et de 2 900 à 2 100 dans celui de Châteaudun.
Enfin, la population en âge d’être au lycée ou dans les premières années d’études supérieures (de 15 à 19 ans) baisserait de 11 200 à 9 700 entre 2020 et 2040 dans le territoire de Chartres, de 7 900 à 6 800 dans celui de Dreux, de 3 400 à 2 600 dans celui de Nogent-le-Rotrou et de 3 100 à 2 500 dans celui de Châteaudun.
tableauFigure 3 – Population par tranche d'âge dans les territoires de l'Eure-et-Loir en 2020, 2030 et 2040
Arrondissement | Année | Moins de 6 ans | de 6 à 10 ans | de 11 à 14 ans | de 15 à 19 ans |
---|---|---|---|---|---|
Chartres | 2020 | 13 280 | 12 370 | 10 070 | 11 170 |
2030 | 11 110 | 10 010 | 9 390 | 11 860 | |
2040 | 11 300 | 9 580 | 8 020 | 9 690 | |
Châteaudun | 2020 | 3 420 | 3 390 | 2 910 | 3 120 |
2030 | 2 900 | 2 660 | 2 530 | 3 180 | |
2040 | 2 940 | 2 570 | 2 130 | 2 470 | |
Dreux | 2020 | 9 760 | 9 260 | 7 530 | 7 940 |
2030 | 7 620 | 7 160 | 6 810 | 8 630 | |
2040 | 7 650 | 6 630 | 5 520 | 6 810 | |
Nogent-le-Rotrou | 2020 | 3 710 | 3 710 | 3 170 | 3 360 |
2030 | 2 940 | 2 730 | 2 650 | 3 260 | |
2040 | 2 940 | 2 590 | 2 160 | 2 570 |
- Note : Les effectifs sont arrondis à la dizaine. Les territoires d’étude sont définis en s’appuyant sur le découpage par arrondissement et par canton, et sur la sectorisation des collèges publics.
- Lecture : D’après le scénario central des projections Omphale, la population âgée de moins de 6 ans du territoire de Chartres serait de 11 300 en 2040.
- Champ : Eure-et-Loir, personnes de moins de 20 ans.
- Sources : Insee, Recensement de la population 2020, Omphale 2022.
graphiqueFigure 3 – Population par tranche d'âge dans les territoires de l'Eure-et-Loir en 2020, 2030 et 2040

- Note : Les effectifs sont arrondis à la dizaine. Les territoires d’étude sont définis en s’appuyant sur le découpage par arrondissement et par canton, et sur la sectorisation des collèges publics.
- Lecture : D’après le scénario central des projections Omphale, la population âgée de moins de 6 ans du territoire de Chartres serait de 11 300 en 2040.
- Champ : Eure-et-Loir, personnes de moins de 20 ans.
- Sources : Insee, Recensement de la population 2020, Omphale 2022.
Encadré - Partenariat
Cette étude a été réalisée dans le cadre d’un partenariat entre la Direction régionale de l’Insee Centre-Val de Loire (Insee) et le Rectorat de l’académie d’Orléans-Tours.
Pour comprendre
Les projections infranationales à l’horizon 2040 de cette étude sont obtenues à partie du modèle Omphale, en projetant d’année en année les pyramides des âges des différents territoires. L’évolution de la population par sexe et âge repose sur des hypothèses d’évolution de trois composantes : la fécondité, la mortalité et les migrations (flux internes à la France et solde migratoire avec l’étranger). Ces hypothèses sont appliquées aux quotients observés initialement sur la zone d’intérêt. Le point de départ des projections est le recensement de la population 2018.
Les scénarios de projection utilisés dans cette étude déclinent localement les évolutions nationales basées sur l’observation du passé récent (hors pandémie de Covid-19). Les hypothèses du scénario « central » sont un solde migratoire avec l’étranger de +70 000 personnes par an à compter de 2021, une fécondité stable à partir de 2023 (indicateur conjoncturel de fécondité égal à 1,8) et des gains d’espérance de vie (femmes : 85,4 ans en 2018 et 90 ans en 2070, hommes : 79,5 en 2018 et 87,5 en 2070). Le scénario « population basse » repose sur les hypothèses d’un solde migratoire de +20 000 personnes par an jusqu’en 2070, d’une baisse progressive de la fécondité pour s’établir à 1,6 en 2030, et resté constant jusqu’en 2070, et sur une progression moins grande de l’espérance de vie (femmes : 85,4 ans en 2018 et 86,5 ans en 2070, hommes : 79,5 en 2018 et 84,0 en 2070). Le scénario « population haute » repose sur les hypothèses d’un solde migratoire de +120 000 personnes par an jusqu’en 2070, d’une hausse progressive de la fécondité pour atteindre 2,0 en 2030, et resté constant jusqu’en 2070, et sur une progression plus rapide de l’espérance de vie (femmes : 85,4 ans en 2018 et 93,5 ans en 2070, hommes : 79,5 en 2018 et 91,0 en 2070). Les populations locales projetées sont calées sur les projections départementales.
Dans cette étude, afin de répondre aux contraintes destinées à réaliser des projections démographiques robustes, l’Eure-et-Loir est scindé en 4 territoires en s’appuyant sur le découpage par arrondissement et par canton, et sur la sectorisation des collèges publics. Les territoires de projection sont ceux construits dans l’Insee Analyses no 105 intitulé « La population des jeunes en âge d’être au collège en Eure-et-Loir pourrait se réduire d’un quart à l’horizon 2040 ». Le territoire de Dreux correspond à l’arrondissement de Dreux auquel a été soustrait la commune de Villiers-le-Morhier située dans l’aire de recrutement du collège de Maintenon. Le territoire de Chartres correspond à l’arrondissement de Chartres auquel a été soustrait le canton d’Illiers-Combray (à l’exception des communes de Saint-Georges-sur-Eure et Meslay-le-Grenet pour respecter l’aire de recrutement des collèges publics) et auquel a été ajouté les communes de Bazoches-les-Hautes et de Villiers-le-Morhier situées dans l’aire de recrutement d’un collège de l’arrondissement de Chartres. Le territoire de Nogent-le-Rotrou correspond à l’arrondissement de Nogent-le-Rotrou auquel a été ajouté le canton d’Illiers-Combray (à l’exception des communes de Saint-Georges-sur-Eure et Meslay-le-Grenet pour respecter l’aire de recrutement des collèges publics). Le territoire de Châteaudun correspond à l’arrondissement de Châteaudun auquel a été soustrait la commune de Bazoches-les-Hautes située dans l’aire de recrutement du collège de Toury.
Sources
Le recensement de la population a pour objectifs le dénombrement des logements et de la population résidant en France et la connaissance de leurs principales caractéristiques : sexe, âge, activité, professions exercées, caractéristiques des ménages, taille et type de logement, modes de transport, déplacements quotidiens.
La base permanente des équipements (BPE) est une base à vocation statistique. Elle répertorie un large éventail d’équipements et de services, marchands ou non, accessibles au public sur l’ensemble de la France au 1er janvier de chaque année.
Les temps d’accès aux équipements sont calculés à partir de durées de transport par la route, en voiture, fournies par le distancier Metric-OSRM de l’Insee.
Les estimations de population permettent d’actualiser les résultats du recensement le plus récent pour des territoires de taille suffisante : la France, les régions et les départements. Elles sont utilisées exclusivement à des fins statistiques et n’ont pas de valeur juridique. Elles permettent de constituer des séries annuelles longues.
Définitions
La typologie urbain-rural s’appuie sur celle de la grille communale de densité. Une commune rurale est une commune peu dense au sens de la grille communale de densité à 3 niveaux. Les communes denses ou de densité intermédiaire sont dites urbaines.
Les communes rurales qui appartiennent à une aire d’attraction des villes de plus de 50 000 habitants sont qualifiées de communes rurales périurbaines, les autres communes rurales de communes rurales non périurbaines.
Pour en savoir plus
(1) Retrouvez davantage de données associées à cette publication en téléchargement.
(2) Tillard T., « La population en âge de fréquenter les écoles et établissements scolaires en baisse en Centre-Val de Loire à l’horizon 2040 », Insee Flash Centre-Val de Loire, no 83, septembre 2024.
(3) Diel O., Formont C., « La fécondité du Centre-Val de Loire atteint son plus bas niveau depuis un quart de siècle - Bilan démographique 2023 du Centre-Val de Loire », Insee Analyses Centre-Val de Loire, no 115, septembre 2024.
(4) Dabadie S., Ménard B., « La population des jeunes en âge d’être au collège en Eure-et-Loir pourrait se réduire d’un quart à l’horizon 2040 », Insee Analyses Centre-Val de Loire, no 105, décembre 2023.
(5) Fégar T., Missamou K., Simonovici M., « Vieillissement limité à proximité de l’Île-de-France et des métropoles - Dynamiques démographiques en Centre-Val de Loire, tendances récentes », Insee Flash Centre-Val de Loire, no 68, mai 2023.
(6) Tillard T., Verdu F., « 374 000 habitants en Eure-et-Loir à l’horizon 2070 - Projections de la population en Centre-Val de Loire », Insee Flash Centre-Val de Loire, no 60, novembre 2022.