Isère : l'attractivité au ralenti
La croissance de la population de l'Isère, de + 0,8 % par an depuis 2006, est un peu moins élevée que la moyenne de Rhône-Alpes (+ 0,9 %). Sa structure d'âge, jeune, induit un excédent naturel important qui s'accroît légèrement sur la période récente. En revanche, le solde migratoire, de + 0,1 % par an, est l'un des plus faibles de la région. Si la partie iséroise du périurbain lyonnais reste attractive, les échanges migratoires de l'aire urbaine de Grenoble laissent apparaître un déficit.