Grenoble-Alpes Métropole : une agglomération jeune, spécialisée dans les activités scientifiques
Deuxième agglomération rhônalpine, Grenoble-Alpes Métropole représente 7 % de la population régionale et 36 % de celle de l'Isère. Son rayonnement scientifique et universitaire attire de nombreux étudiants, ainsi qu'une population d'actifs jeunes et diplômés. Avec 220 000 emplois, la métropole est le principal pôle d'emploi du département.
Le chômage y reste toutefois élevé même s'il progresse moins vite qu'ailleurs. Du fait d'un mouvement de périurbanisation qui s'amplifie, la croissance démographique du territoire est faible.
- L’attractivité à l’égard des étudiants ne compense pas le déficit migratoire des actifs et retraités
- Un espace fortement contraint par la densité et le relief
- Un appareil productif spécialisé dans l’industrie de pointe et la recherche et développement scientifique
- Une majorité d’actifs diplômés de l’enseignement supérieur long et une forte proportion de cadres
- Une population jeune au cœur de l’agglomération
- Revenus : de fortes disparités territoriales
- Un chômage élevé mais qui croît moins vite qu’ailleurs
- Des navettes domicile-travail nombreuses et déséquilibrées
- De nombreux navetteurs adoptent les transports en commun
- Un accès facile à tous les équipements et services
- Partenaire
Grenoble-Alpes Métropole est un territoire métropolitain de 433 000 habitants situé au cœur des Alpes, entre les massifs du Vercors, de la Chartreuse, de Belledonne et de l'Oisans. Composé de 28 communes jusqu'en 2013, le périmètre de la communauté d'agglomération de Grenoble a été élargi en janvier 2014. Il comprend désormais 49 communes, toutes incluses dans l'aire urbaine de Grenoble. La densité de population, de 800 habitants par km² en moyenne, y reste particulièrement élevée, atteignant plus de 1 600 habitants par km² dans les communes du cœur de l'agglomération. La commune de Grenoble, avec ses 156 000 habitants en 2010, concentre 36 % de la population du territoire ; c’est la 3e commune de la région.
tableauFigure 1 – Une densité de population importante
*Métro Grenoble | Zone de référence | Rhône-Alpes | |||
---|---|---|---|---|---|
1999 | 2010 | 1999 | 2010 | 2010 | |
Population | 422 330 | 432 916 | 2 630 318 | 2 784 573 | 6 230 691 |
Poids dans la région (%) | 7,5 | 6,9 | 46,6 | 44,7 | /// |
Densité (hab./km²) | 774 | 794 | 488 | 516 | 143 |
Nombre de communes | 49 | 49 | 419 | 419 | 2 879 |
Part de la population dans l'espace des grandes aires urbaines (%) | 100,0 | 100,0 | 96,8 | 96,7 | 88,4 |
Part des moins de 25 ans (%) | 35,3 | 33,8 | 33,7 | 32,8 | 31,7 |
Part des 65 ans et plus (%) | 13,2 | 15,7 | 14,7 | 16,4 | 16,2 |
Indice jeunesse (moins de 25 ans / 65 ans et plus) | 2,68 | 2,14 | 2,30 | 2,00 | 1,96 |
- (*) composition des EPCI au 1er janvier 2012
- Source : INSEE - Recensements de la population 1999 et 2010 (exploitation principale) et Direction Générale des Collectivités Locales
L’attractivité à l’égard des étudiants ne compense pas le déficit migratoire des actifs et retraités
Grenoble-Alpes Métropole est un territoire à croissance démographique faible. Comme dans la plupart des grandes agglomérations, un déficit migratoire prononcé atténue les effets de l'excédent des naissances sur les décès. Ce déficit migratoire, de 2 000 habitants par an en moyenne entre 1999 et 2010, s'explique en grande partie par un phénomène de périurbanisation : des actifs quittent les centres-villes, tout en continuant à y travailler, pour s'installer dans les couronnes des grands pôles. Entre 2003 et 2008, l'agglomération enregistre un déficit migratoire de 17 500 actifs de 25 à 64 ans soit 3 500 par an. Dans la métropole grenobloise, la périurbanisation s'accompagne du départ de séniors qui quittent le cœur de l'agglomération au moment de la retraite, aggravant ainsi le déficit migratoire de la zone. Ce déficit ne doit pas pour autant cacher la forte attractivité qu'exerce le territoire sur les jeunes, du fait de la présence de nombreux établissements d'enseignement supérieur. L'excédent des arrivées sur les départs est de plus de 2 600 personnes par an pour les seuls élèves et étudiants. Passé l'âge de 25 ans et devenus jeunes actifs, ces derniers quittent toutefois le territoire dans les mêmes proportions.
graphiqueFigure 2 – Une croissance démographique plutôt faible
tableauFigure 3 – Une forte attractivité pour les étudiants
Par CS (plus de 15 ans) | Arrivées | Départs | Solde | Solde de la population en % (en l'absence de migrations) |
---|---|---|---|---|
Agriculteurs exploitants | 13 | 90 | - 77 | - 19,8 |
Artisans, commerçants et chefs d'entreprise | 919 | 1 679 | - 760 | - 7,5 |
Cadres et professions intellectuelles supérieures | 9 123 | 15 536 | - 6 413 | - 12,4 |
Professions intermédiaires | 9 622 | 13 680 | - 4 058 | - 6,7 |
Employés | 7 011 | 9 368 | - 2 357 | - 4,1 |
Ouvriers | 3 750 | 5 147 | -1 397 | - 3,6 |
Retraités | 2 278 | 4 802 | - 2 524 | - 3,1 |
Étudiants et élèves | 18 694 | 5 504 | 13 190 | + 38,5 |
Autres inactifs | 2 192 | 3 569 | - 1 377 | - 4,7 |
Ensemble | 53 603 | 59 375 | - 5 772 | - 1,6 |
- (*) Il s'agit des migrations internes au territoire français (France métropolitaine + DOM). Elles ne tiennent donc pas compte des échanges avec l'étranger
- Source : INSEE - Recensement de la population 2008 (exploitation complémentaire)
Un espace fortement contraint par la densité et le relief
Comme celle de la population, la densité de logements s'accroît dans la métropole. Supérieure à 1 600 logements par km² dans le cœur de l'agglomération de Grenoble (Saint-Martin-d’Hères, Échirolles, Fontaine), elle témoigne d'un phénomène de saturation de l'espace au cœur de la métropole alpine. Pour autant, le phénomène de suroccupation des logements, en baisse du fait du vieillissement de la population, n'est pas plus accentué qu'ailleurs. Sans doute la forte proportion d'étudiants sur le territoire atténue-t-elle le phénomène. En revanche, la part des logements HLM parmi les résidences principales (15,9 %) est plus faible que dans le territoire de référence (17,8 %). Dans un territoire aussi dense et contraint par un relief exigeant, l'accès à l'habitat semble s'imposer comme un enjeu majeur pour les pouvoirs publics. Ces derniers doivent faire face à deux mouvements opposés. D'une part, la saturation des communes du centre qui provoque un exode des actifs vers les couronnes périurbaines, et, d'autre part, l'afflux massif d'étudiants attirés par le rayonnement scientifique et universitaire de la zone.
Un appareil productif spécialisé dans l’industrie de pointe et la recherche et développement scientifique
Grenoble-Alpes Métropole dispose d'un appareil productif fortement spécialisé dans les fonctions métropolitaines de conception recherche et de prestations intellectuelles. Les activités de recherche et développement et d'enseignement occupent 12,5 % des emplois. C'est 3,5 points de plus que dans le territoire de référence. Trois universités, le Centre National de Recherche Scientifique de Grenoble et le Commissariat à l'Énergie Atomique offrent près de 10 000 emplois et font de Grenoble un pôle scientifique et universitaire de premier plan. Dans le domaine industriel, les secteurs de la fabrication d'équipements électriques et de produits informatiques, électroniques et optiques concentrent 4,6 % des emplois de la zone, contre 2,7 % dans le territoire de référence. Ainsi, Schneider Electric Industries avec environ 2 500 postes sur trois sites, Hewlett-Packard et STMicroelectronics figurent parmi les plus gros employeurs de la zone.
De même, le secteur de la production et distribution d’électricité est particu-lièrement développé dans l'agglomération avec, notamment, EDF et Gaz et électricité de Grenoble. L'industrie de pointe et la recherche scientifique bénéficient à Grenoble d'un réservoir de main-d'œuvre hautement qualifiée formée dans les universités et les grandes écoles du territoire. À l'inverse, certaines activités, aussi diverses que les transports, la finance, l'hébergement, la restauration ou encore la construction, sont faiblement développées.
graphiqueFigure 4 – Évolution de l'emploi tertaire entre 2006 et 2011
Une majorité d’actifs diplômés de l’enseignement supérieur long et une forte proportion de cadres
Grenoble-Alpes Métropole concentre plus de 8 % de l'emploi régional au cœur de l'agglomération. Quatre communes, Grenoble, Saint-Martin-d'Hères, Échirolles et Meylan, offrent 84 % des emplois de la métropole. En adéquation avec la spécialisation de l'appareil productif, les actifs du territoire sont fortement diplômés. Non seulement parce qu'en tant qu'étudiants, ils ont trouvé sur place une offre de formation conséquente, mais aussi parce que les activités économiques présentes attirent davantage les diplômés de l'enseignement supérieur long. Ces derniers représentent 28 % des actifs (23 % dans le territoire de référence). En conséquence, près d'un quart des actifs occupés de la zone sont des cadres et professions intellectuelles supérieures contre un cinquième dans le territoire de référence. Ils sont davantage implantés dans les communes du nord-est de l'agglomération, notamment à La Tronche, Meylan et Corenc. Les ouvriers ne pèsent quant à eux que 17 % des actifs occupés contre 19 % dans le territoire de référence. Cette sous-représentation s'explique par la faible présence des activités économiques les plus employeuses d'ouvriers : la construction, le transport et l'entreposage, la métallurgie et la fabrication de produits métalliques. Ils sont toutefois surreprésentés dans certaines communes du centre : Échirolles, Pont-de-Claix, Fontaine, Saint-Martin-le-Vinoux mais aussi Vizille au sud ou encore Domène à l'est.
tableauFigure 5 – Des actifs très qualifiés
En % | Métro Grenoble | Zone de référence | Rhône-Alpes | |||
---|---|---|---|---|---|---|
1999 | 2010 | 1999 | 2010 | 1999 | 2010 | |
Agriculteurs exploitants | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 1,3 | 0,9 |
Artisans, commerçants et chefs d'entreprise | 4,2 | 3,8 | 4,9 | 4,3 | 5,9 | 5,3 |
Cadres et professions intellectuelles supérieures | 14,0 | 17,1 | 11,5 | 14,2 | 9,5 | 11,9 |
Professions intermédiaires | 16,6 | 16,4 | 16,0 | 16,3 | 15,4 | 16,0 |
Employés | 11,5 | 11,7 | 11,8 | 12,1 | 10,6 | 11,0 |
Ouvriers | 14,8 | 13,0 | 17,0 | 14,6 | 20,3 | 17,4 |
Retraités | 24,9 | 28,2 | 27,7 | 30,2 | 28,8 | 31,7 |
Étudiants et élèves | 8,0 | 5,7 | 4,8 | 4,0 | 2,6 | 2,0 |
Autres inactifs | 5,8 | 4,0 | 6,0 | 4,2 | 5,7 | 3,8 |
Ensemble | 100,0 | 100,0 | 100,0 | 100,0 | 100,0 | 100,0 |
- Source : INSEE - Recensements de la population 1999 et 2010 (exploitation complémentaire)
Une population jeune au cœur de l’agglomération
Conséquence de sa vocation universitaire, la population de la métropole est jeune. La moitié de la population est âgée de moins de 35 ans, un quart de 15 à 29 ans et les étudiants représentent près de 13 % de la population en âge de travailler. C'est deux points de plus que dans le territoire de référence et un point de plus que dans la communauté urbaine de Lyon. C'est dans le quart nord-est de l'agglomération que les étudiants sont le plus nombreux : à Grenoble et Saint-Martin-d'Hères qui accueillent la plupart des établissements d'enseignement supérieur de la zone, mais aussi dans les communes limitrophes de Gières, La Tronche ou Meylan.
Revenus : de fortes disparités territoriales
Malgré la surreprésentation des cadres et professions intellectuelles supérieures, le revenu net imposable annuel moyen de la zone n'est pas plus élevé qu'ailleurs. De 24 800 euros en 2010, il est équivalent à celui de la zone de référence. Une contradiction apparente qui s'explique par deux facteurs : d'une part, la forte proportion, parmi les cadres, d'enseignants et de chercheurs dont les revenus sont relativement modérés par rapport aux autres professions de cette catégorie socioprofessionnelle. D'autre part, les étudiants, très présents dans la zone, disposent de faibles revenus qui tendent à réduire le revenu moyen par foyer fiscal. En outre, la moyenne des revenus cache de fortes disparités à l'intérieur même de la métropole. La commune de Corenc compte parmi les plus riches de la région, avec un revenu annuel médian par unité de consommation supérieur à 36 000 euros. Ce qui la distingue nettement d'Échirolles, la moins riche de l'agglomération, qui présente un revenu médian autour de 17 000 euros. Ce dernier est toutefois largement supérieur à ceux, parfois inférieurs à 12 000 euros, des communes les plus pauvres de la région.
tableauFigure 6 – Des revenus dans la moyenne régionale
En euros de 2010 | Métro Grenoble | Zone de référence | Rhône-Alpes | |||
---|---|---|---|---|---|---|
2006 | 2010 | 2006 | 2010 | 2006 | 2010 | |
Revenu annuel moyen par foyer fiscal | 24 673 | 24 755 | 24 429 | 24 866 | 24 112 | 24 880 |
Foyer fiscaux non imposés (en %) | 40,3 | 40,7 | 42,5 | 42,7 | 43,8 | 43,8 |
Revenu annuel par foyer fiscal imposé | 34 729 | 34 982 | 35 089 | 35 849 | 34 530 | 35 685 |
Part des pensions et retraites dans le revenu fiscal (en %) | /// | 23,9 | /// | 24,0 | /// | 23,4 |
- Source : INSEE - DGFiP - Impôt sur le revenu des personnes physiques et Revenus fiscaux localisés des ménages
Un chômage élevé mais qui croît moins vite qu’ailleurs
Bien que riche en emplois, la métropole grenobloise n'est pas pour autant épargnée par le chômage. Si le haut niveau de qualification d'une majorité d'actifs les protège du chômage, les moins diplômés restent vulnérables et exposés aux aléas conjoncturels de l'emploi. En 2010, 11 % des actifs de 15 à 64 ans étaient au chômage. C'est un chiffre à peine inférieur au territoire de comparaison (11,5 %) mais supérieur à la moyenne régionale (10,2 %). Cette situation s'est aggravée depuis 2010, puisque dans la zone d'emploi de Grenoble, le nombre de demandeurs d'emploi en fin de mois a crû de 20 % entre mars 2010 et mars 2014. Cette augmentation est toutefois moins forte que dans le territoire de référence, dans un contexte tant national que régional particulièrement dégradé.
Des navettes domicile-travail nombreuses et déséquilibrées
Comme toutes les grandes agglomérations, Grenoble-Alpes Métropole est un pôle d'emploi qui attire des actifs au-delà de son territoire. Ce dernier compte 33 000 emplois de plus que d'actifs occupés résidents. Un déficit d'actifs occupés qui s'est accentué depuis 1999 ; il devrait sans doute s'accroître encore dans les années à venir du fait de l'étalement urbain qui résulte de la périurbanisation. En conséquence, les navettes domicile-travail entre la métropole et sa périphérie sont nombreuses et déséquilibrées. En 2010, on recense plus de 56 000 entrées quotidiennes pour environ 23 000 sorties. Un quart des emplois de la zone est occupé par des "entrants" résidant à l'extérieur de la Métropole.
De nombreux navetteurs adoptent les transports en commun
Ces déplacements pendulaires ont des incidences fortes sur les conditions de transport dans le territoire : les actifs "entrants" passent quotidiennement plus d'une heure trois quart dans les transports et parcourent plus de 50 km par jour en moyenne, tandis que les résidents de la zone qui travaillent sur place font moins de 15 km en une quarantaine de minutes. Les résidents de la Métropole semblent trouver une alternative à la voiture dans les transports en commun et dans l'usage des véhicules à deux roues. En 2010, 28 % d'entre eux utilisent ces moyens de transport contre 23 % dans le territoire de référence, de sorte que les navetteurs de l'agglomération émettent, en moyenne, moins de CO2 par personne que ceux du territoire de référence. Pour les autorités locales, l'incitation à l'usage de transports alternatifs est aussi un moyen d'améliorer la qualité de l'air, assez médiocre, de l'agglomération.
Un accès facile à tous les équipements et services
Du fait de sa petite taille et du rayonnement de sa ville centre, le territoire offre à l'ensemble de ses résidents un accès rapide à tous les types d'équipements, des plus indispensables services de proximité comme les médecins généralistes, les écoles ou les bureaux de poste, aux équipements plus rares de services culturels et médicaux. Les équipements de service aux personnes âgées (maisons de retraite, soins à domicile, service d'aide, service d'ambulance) sont toutefois moins développés dans la Métropole que dans le territoire de référence. Cela s'explique sans doute à la fois par la proportion relativement faible de personnes âgées sur le territoire et par les bons taux d'équipement observés dans les zones rurales et périurbaines frontalières où les séniors sont plus nombreux.
Partenaire
L'Insee Rhône-Alpes et la Région Rhône-Alpes, liés dans le cadre d'un partenariat, réalisent des synthèses socio-économiques territoriales. Les territoires étudiés sont identiques aux périmètres d'intervention économique du Conseil Régional, à savoir les Contrats de Développement Durable de Rhône-Alpes (CDDRA) et les Parcs Naturels Régionaux (PNR). Sur la base de données communes à chaque territoire et d'échanges avec les acteurs locaux, ces études présentent une analyse des principales caractéristiques démographiques et économiques. Elles visent à mettre en avant les enjeux propres à chaque territoire.
Définitions
Le territoire étudié est comparé à un territoire dit de "référence", englobant à la fois le territoire étudié et des territoires ayant des caractéristiques similaires. Cinq territoires de référence suivants sont définis : "les grandes agglomérations", "les villes moyennes", "le périurbain", "le rural", "les stations de montagne". Grenoble-Alpes Métropole est comparé aux territoires de type "grandes agglomérations".
Cette zone de référence est constituée de Saint-Étienne Métropole, Espace Métropole Savoie, Bassin Annécien, Valence Drôme Ardèche Centre, Grand Lyon et Grenoble-Alpes Métropole.
Chômage au sens du Recensement de la population.
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