Définition
La consommation d’énergie pour le chauffage est plus forte quand l’hiver est plus rigoureux. C’est une évidence qui ne présente pas un grand intérêt pour l’analyse dans la mesure où elle ne traduit pas un changement des comportements. Pour mieux analyser les évolutions, on calcule des consommations « corrigées du climat » (primaire et finale). C’est-à-dire qu’on essaie d’évaluer ce qu’aurait été la consommation si les températures avaient été « normales ». On obtient un résultat théorique, qui dépend de la méthode utilisée et qui complète la consommation « réelle », celle qui est observée.
Remarque
Source : Service de l'observation et des statistiques (SOeS) au Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer (site : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/, rubrique « sources et méthodes »).